Résumé de l’épisode précédent : « Juliette 2 - Escapade »
Les aventures de Paul et Juliette continuent. C’est dans le cadre d’une escapade le temps d’un week-end que les relations à la fois torrides, parfois paternalistes continuent.
I’m singing in the rain
- — Voici le chocolat chaud pour mademoiselle et voici le café allongé pour monsieur.
- — Merci beaucoup. Je crois que je vais prendre un bourbon on the rocks également. Avec ce temps, il me faut quelque chose de fort.
- — Très bien, monsieur, je vous apporte ça tout de suite.
Juliette observe le serveur nous tourner le dos et s’éloigner.
- — Tu crois qu’elle est comment, la sienne ?
Je manque de m’étouffer avec mon café brûlant.
- — Je n’en sais rien. J’avoue que je ne me pose même pas la question.
- — Moi je me la pose. Chaque fois que je croise un homme, je me demande comment est sa queue. Grosse ? Petite ? Épaisse ? Fine ? Longue ? Trapue ? Droite ? Courbée ? J’essaie d’imaginer sa couleur, sa forme en regardant le visage. Lui, je suis sûre qu’il en a une fine courbée vers le haut.
- — Qu’est-ce qui te fait dire ça ?
- — Ben… il a l’air tout timide et tout gentil avec ses grandes oreilles et son grand nez. Je ne le vois pas du tout avec un truc énorme entre les cuisses.
- — Tu sais, la taille du sexe ne se lit pas sur le visage, ça se saurait.
- — Tu ne te demandes jamais à quoi ressemble la chatte des femmes que tu croises ?
J’avoue que sa question m’interpelle. C’est vrai qu’adolescent, j’ai eu une véritable fascination pour les chattes. J’étais hypnotisé par le mystère qui se dissimulait dans cet espace inconnu en forme de triangle niché au creux de leurs cuisses, tout en bas de cette espèce de pente abrupte entre leur ventre et leur pubis.
- — Eh bien, disons qu’adolescent un peu, oui, mais maintenant…
- — Oh la la, il faut vraiment que je te dévergonde toi, sinon tu vas vraiment devenir vieux.
- — …
- — Mais je me demande pareil des filles, tu sais. Je me souviens la première fois que j’ai couché avec une fille. J’étais tout excitée. Je me demandais plein de trucs. Du genre : quel goût ça a, est-ce que c’est bon, est-ce que c’est mieux rasé ou poilu. Tout ça, quoi.
- — Tu sais, les garçons se posent les mêmes questions. C’est juste qu’avec les années, on s’en pose moins.
- — Ben moi, je garde une photo de chaque sexe dont je me suis occupée.
- — Pardon ?
- — Ben oui.
- — Tu veux dire que tu gardes des photos de MON sexe ?
- — Ben oui. Ça te gêne ?
- — Disons que je préfère le savoir. Non pas que je sois fier ni que j’ai honte de ce dont la nature m’a doté, mais je n’aime pas savoir que ça circule dans la nature. Rassure-moi, tu ne montres ça à personne ?
- — Ben, juste à ma copine Jessica. On adoooore comparer les photos des chattes et des bites qu’on a fait jouir. Ça a commencé avec nos premières fois. On s’est dit que ça serait rigolo de prendre des photos. Depuis, on n’a jamais arrêté.
Le serveur interrompt la conversation :
- — Voici votre bourbon, monsieur. La glace est à côté.
- — Ah oui, merci.
- — Je vous en prie, monsieur.
- — Dites, elle est comment, votre queue ?
- — …
Je reste stupéfait par le naturel avec lequel la question vient de fuser. Aussi naturel que la gêne du serveur qui ne l’a pas vue venir.
- — Eh bien… c’est que…
- — Ne faites pas attention, c’est une plaisanterie qu’elle vous fait.
- — …
- — Non, pas du tout. Je suis sûre qu’elle est longue et fine.
- — …
- — Laisse donc ce jeune homme faire son travail au lieu de lui poser tes questions.
- — B… bon, je dois vous laisser…
- — Bien sûr. Merci beaucoup pour le bourbon.
Le serveur repart en se demandant ce qui vient de lui tomber sur la tête.
- — Non, mais franchement, tu as fait exprès pour le mettre mal à l’aise, je me trompe ?
- — C’était marrant, non ? C’est rigolo quand même. Vous les hommes, vous passez votre temps à fanfaronner sur vos muscles et la taille de votre bite et tout, mais dès que vous croisez une fille à l’aise avec le cul, vous perdez tous vos moyens. Pfiout… y’a plus personne.
- — Hé, dis donc, parle pour toi. Il me semble que je tiens plutôt bien la distance pour mon âge.
- — Oooohhh… Mais oui, trésor. Toi, tu es différent. C’est pour ça que j’aime tant être avec toi. Et puis ta queue est tellement belle.
- — À ce point ? Tu m’apprends quelque chose.
- — Je te jure. Quand je te suce, je prends bien le temps de la regarder. Je sais si tu es très excité ou pas, rien qu’à la forme de ton gland.
- — La forme de mon gland ?
- — Ben oui. Quand tu es vraiment à fond, il est vraiment très gros et sa surface est vraiment toute lisse et dure. Sinon, c’est bien aussi, mais ça fait différent. Et puis il y a cette grosse veine droite qui monte sur le côté. Et puis j’aime la forme en S qu’elle a.
- — Tu sais, quand j’étais adolescent, ça me complexait cette courbure. J’avais peur que ça ne marche pas, que ça ne rentre pas.
- — Ben moi, je peux te dire que ça rentre bien, chéri. Et puis comme ça, en plus, je peux bouger et ça frotte à différents endroits à l’intérieur de moi. Le top, c’est quand je me mets sur le côté et que je sens que tu me ramones bien vers le devant.
- — Intéressant… Mais tu as ce genre de conversations avec tes copines ? Vous détaillez tout comme ça ?
- — Ah non, avec les copines, c’est pire. Quand on a eu un mauvais coup, le mec prend vraiment cher. On ne lui épargne rien ! Ni sa tête, ni son goût, ni comment il baise, ni la couleur de sa bite. Le pauvre. On se moque même de la coupe de ses poils de cul !
- — Vraiment ? Nous, les hommes, on est vraiment des enfants de chœur à côté de vous. À part parader un peu sur l’éventail des trucs qu’on annonce fièrement avoir faits, ça ne va pas bien loin. Et surtout, on balance rarement un mauvais coup. Eh bien, au moins, cette pluie diluvienne aura eu une vertu, j’en aurai appris un rayon sur l’approche décomplexée des femmes lorsqu’il s’agit de raconter leurs expériences sexuelles. Mais ça ne te dit pas qu’on essaie de profiter de cette légère accalmie pour aller marcher un peu sur la plage ?
- — C’est une super idée, ça.
Je dépose de quoi régler les consommations dans la coupelle devant moi, avant de rejoindre Juliette qui a déjà bondi de sa chaise. J’ai froid pour elle rien qu’en la regardant. La météo avait prévu plutôt beau temps et elle n’a emporté que des robes d’été. Je me lève en suivant le déhanché de ses fesses galbées dans une robe rouge à pois lacée dans le dos. Mon Dieu, qu’elle est belle !
Nous marchons, elle accrochée à mon bras, dans la rue principale qui mène à la plage. Chaque fois qu’une personne fait mine d’être gênée en voyant le couple improbable que nous formons, la belle me saute au coup et me roule une galoche appuyée et plaquant son pubis contre moi, quand il ne lui prend pas d’agripper mes fesses vigoureusement en plus. Cela a vite fait d’inciter les indisposés à passer leur chemin.
- — J’adore cet endroit, avec toutes ces vieilles cabines de plage.
- — Tu sais, je viens ici depuis que je suis tout bébé.
- — Tu devais être mignon, tout bébé, avec tes petites fesses roses et ton petit zizi tout fripé.
- — J’ai tellement de souvenirs ici, dans ces dunes, derrière ces cabines.
- — Tu as dû en culbuter des filles ici, oui.
- — J’ai des moments sympas en effet, mais je doute que ça ressemble à ce que tu t’imagines.
- — Mouais…
- — Il y en a une si, avec qui ça avait été assez spécial, maintenant que j’y repense.
- — Ah oui ? Vas-y raconte.
- — Une autre fois, ma belle. En plus, il recommence à pleuvoir. On devrait se dépêcher de rentrer, sinon on va être trempés.
- — Je ne bouge pas si tu ne me dis rien.
- — Je te promets que je te raconterai tout ce que tu veux savoir une fois qu’on sera au chaud et à l’abri.
- — …
- — Tu es une vraie tête de mule, toi, tu sais.
- — Oui, je sais. Et donc ?
- — Eh bien, c’est juste que cette fille aimait vraiment être dominée. Ça m’a vraiment fait bizarre du coup. Ça n’était pas désagréable, mais ça n’est pas dans mes habitudes.
- — Du genre ?
- — Par exemple, elle ador…
- — Non ! Ne dis rien. Tu sais quoi, tu ne vas rien me dire, mais tu vas me faire exactement ce qu’elle t’a demandé.
- — T… tout ?
- — Oui. J’ai envie d’essayer ça, de vivre les fantasmes d’une autre à travers toi.
- — Mais, on ne peut pas faire ça ici sur le sable devant tout le monde. En plus, il commence à pleuvoir sérieusement.
- — Attends une minute.
Juliette tourne la tête à la recherche de quelque chose.
- — Là ! Regarde. On dirait que cette cabine de plage n’est pas fermée. Viens, on va voir.
Elle attrape ma main et me tire dans son sillage alors que l’averse tiède commence à déferler sur nous. Nous courons dans le sable humide tandis que nos vêtements prennent l’eau de toute part. Heureusement, nous avalons la vingtaine de mètres qui nous séparent de la petite maison de bois clair.
- — Tu vois ? La serrure est mal fermée. En tirant un peu dessus, on pourra aller s’y cacher.
Je sors mon trousseau et fais jouer une de mes clefs dans la petite serrure corrodée qui cède bien vite devant ma dextérité. Nous nous engouffrons dans l’obscurité. Une fois à l’intérieur, nous entendons juste le martèlement des gouttes sur la petite toiture de contreplaqué. Étonnamment, une fois accommodé, la lumière qui filtre par les différents interstices du bois confère au lieu une clarté inattendue.
Je ferme les yeux et me replonge dans les souvenirs de cette nuit épique vécue il y a quelques années avec cette femme rencontrée sur un des sites que je fréquentais.
- — Retourne-toi ! lui ordonné-je immédiatement
Juliette m’offre sa croupe immédiatement. Je me plaque contre elle, lui saisis la gorge et les bras et la presse contre la mince cloison de la cabane.
- — Maintenant, tu vas faire exactement tout ce que je te dis, sans discuter.
Je me surprends à entrer si vite dans ce rôle de mâle alpha dominant.
- — Voyons ce que tu caches là-dessous…
D’un geste ferme, je presse légèrement sa gorge pour lui faire sentir ma prise sur elle et glisse ma main droite sous sa jupe et tire vigoureusement sur son string. Je tourne légèrement mon poing pour faire pénétrer l’étoffe distendue dans le sillon de sa chatte et de sa raie.
- — Il va falloir que tu mouilles, ma petite salope, parce que tu vas en prendre pour ton grade.
- — Mmm… Vas-y, plus fort.
Je remonte l’élastique de son dessous haut sur ses hanches et le fais jouer dans son intimité au point de presque la soulever. De mon autre main, je relève son visage sans desserrer la pression.
- — Je ne te trouve pas assez docile à mon goût.
D’un geste vif, je remonte sa robe sur ses épaules et lui administre une violente claque sur la fesse.
La douleur, loin de la perturber semble la déchaîner.
- — Voyons si tu commences à mouiller, maintenant.
Je glisse aussitôt ma main entre ses cuisses, fends son cul et passe mes doigts entre ses lèvres déjà ruisselantes.
- — Je vois que tu aimes te faire malmener. Tu n’as encore rien vu.
Ma main libère sa gorge et vient attraper sa chevelure en l’enroulant. Je tire fermement sur sa crinière tout en la penchant en avant.
La belle s’exécute, cambrée dans une position aussi inconfortable qu’obscène.
Sur quoi j’administre une fessée plus vigoureuse que la première.
La tenant ainsi penchée et ouverte, j’ouvre rapidement mon pantalon et sors ma queue déjà prête pour l’assaut. Sans ménagement, j’écarte sa culotte et la pénètre d’un coup, en tirant plus fort sur ses cheveux.
- — C’est bon, vas-y chéri, baise-moi fort. J’ai envie d’être ta pute, ta chienne là, tout de suite. Enfonce ta queue plus fort encore !
Je la ramone avec force.
- — Tiens, petite salope, viens goûter ta chatte au bout de ma queue, et qu’il n’en reste plus.
Je ressors d’entre ses cuisses et attire sa bouche sur ma queue luisante de son jus. Ma main ne relâche pas sa prise sur ses cheveux tirés derrière sa tête et lui imprime la cadence avec laquelle je veux qu’elle me suce. Ma queue s’enfonce jusqu’à la garde dans sa bouche dans un gargouillis étouffé par la pluie qui s’intensifie au-dehors.
- — Suce-moi, mieux que ça !
Elle redouble d’efforts, m’aspire et me lèche comme si sa vie en dépendait.
Je lui tords le bras dans le dos et reprends ma prise sur sa gorge alors que mon gland trace sa route dans la fente béante. Je serre mes doigts sur son cou fragile à chaque coup de reins, ne libérant mon étreinte que pour la fesser violemment ou la griffer à la limite du supportable.
- — C’est bon, continue, baise-moi, griffe-moi. Je veux te sentir dans ma chair.
J’en profite pour lui retirer sa robe et savourer son corps nu ruisselant.
- — Crache-moi dessus, m’ordonne-t-elle.
Le présent rejoignant le passé, je m’exécute tout en maintenant ma prise. Je la sens s’abandonner à mesure que son corps se cambre sous les coups de ma queue et de l’étranglement qui la brident.
- — Petite chienne, tu n’en a pas assez. Tu vas voir.
Je ressors d’elle, viens presser mon gland contre sa rondelle. En moins d’une seconde, son cul avale ma queue jusqu’à la garde sans broncher, lui arrachant un gémissement dont je peine à savoir quelle est la part de plaisir ou de douleur. Je reprends mon pilonnage en cadence. Je lâche son cou et attrape ses cheveux que je tire vers moi au maximum. Son dos s’arque vers moi et cambre sa croupe dans une posture presque surréaliste. Je la prends si fort à chaque saillie que la paroi toute entière de la cabane en tremble. J’accélère
- — Vas-y, balance ton jus, remplis-moi comme un sac à foutre ! Encule-moi bien profond et bien fort !
Je m’enfonce dans l’hystérie dont elle m’excite. Je sens ma queue au bord de l’explosion et se dilater davantage de seconde en seconde, écartelant sa rosette à son paroxysme. Dans un ultime coup de reins, j’agrippe sa fesse dans laquelle je plante mes ongles tout en la maintenant cambrée au moment où je jouis avec force au fond d’elle. Dans un mouvement réflexe incontrôlable, de puissants mouvements de hanche accompagnent chacun des jets de mon foutre qui la remplissent. Je la maintiens prisonnière de mon sexe dressé comme si je voulais que mon sperme remonte jusqu’à sa gorge.
Nous sommes en sueur, en plus d’être trempés. Épuisés, nous nous laissons glisser au sol. Lentement, elle tend la main et caresse ma joue avant de laisser courir son doigt sur mon torse et venir effleurer mon sexe en train de rétrécir.
- — Tu as bien bossé, toi, dit-elle en s’adressant à moi en souriant. Ça s’est passé comme ça avec elle ?
- — Oui, c’était comme ça, mais en moins bien. Je ne t’ai pas fait mal j’espère ?
- — En temps normal, je ne sais pas si j’aimerais, mais là, je me sentais vraiment dans la peau de quelqu’un d’autre. Et je crois que les fessées, les griffures et tout ont décuplé mon plaisir. Il va falloir qu’on recommence, tu sais ?
- — Sérieusement ?
- — Ooooh oui. Et je pense qu’on va explorer plus loin encore…