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Temps de lecture estimé : 11 mn
08/04/19
corrigé 06/06/21
Résumé:  L'escapade de Paul et Juliette sur la Côte n'est pas terminée. La météo morose va les obliger à innover.
Critères:  fh hplusag rousseurs couple vacances plage fsoumise chantage contrainte fsodo -hplusag
Auteur : Oscar Cemeliasis  (Auteur amateur et éclectique)            Envoi mini-message

Série : Les aventures de Juliette

Chapitre 03
Tranches de vie avec Juliette - "Singing in the rain"

Résumé de l’épisode précédent : « Juliette 2 - Escapade »


Les aventures de Paul et Juliette continuent. C’est dans le cadre d’une escapade le temps d’un week-end que les relations à la fois torrides, parfois paternalistes continuent.




I’m singing in the rain




Juliette observe le serveur nous tourner le dos et s’éloigner.



Je manque de m’étouffer avec mon café brûlant.



J’avoue que sa question m’interpelle. C’est vrai qu’adolescent, j’ai eu une véritable fascination pour les chattes. J’étais hypnotisé par le mystère qui se dissimulait dans cet espace inconnu en forme de triangle niché au creux de leurs cuisses, tout en bas de cette espèce de pente abrupte entre leur ventre et leur pubis.



Le serveur interrompt la conversation :



Je reste stupéfait par le naturel avec lequel la question vient de fuser. Aussi naturel que la gêne du serveur qui ne l’a pas vue venir.



Le serveur repart en se demandant ce qui vient de lui tomber sur la tête.



Je dépose de quoi régler les consommations dans la coupelle devant moi, avant de rejoindre Juliette qui a déjà bondi de sa chaise. J’ai froid pour elle rien qu’en la regardant. La météo avait prévu plutôt beau temps et elle n’a emporté que des robes d’été. Je me lève en suivant le déhanché de ses fesses galbées dans une robe rouge à pois lacée dans le dos. Mon Dieu, qu’elle est belle !


Nous marchons, elle accrochée à mon bras, dans la rue principale qui mène à la plage. Chaque fois qu’une personne fait mine d’être gênée en voyant le couple improbable que nous formons, la belle me saute au coup et me roule une galoche appuyée et plaquant son pubis contre moi, quand il ne lui prend pas d’agripper mes fesses vigoureusement en plus. Cela a vite fait d’inciter les indisposés à passer leur chemin.



Juliette tourne la tête à la recherche de quelque chose.



Elle attrape ma main et me tire dans son sillage alors que l’averse tiède commence à déferler sur nous. Nous courons dans le sable humide tandis que nos vêtements prennent l’eau de toute part. Heureusement, nous avalons la vingtaine de mètres qui nous séparent de la petite maison de bois clair.



Je sors mon trousseau et fais jouer une de mes clefs dans la petite serrure corrodée qui cède bien vite devant ma dextérité. Nous nous engouffrons dans l’obscurité. Une fois à l’intérieur, nous entendons juste le martèlement des gouttes sur la petite toiture de contreplaqué. Étonnamment, une fois accommodé, la lumière qui filtre par les différents interstices du bois confère au lieu une clarté inattendue.



Je ferme les yeux et me replonge dans les souvenirs de cette nuit épique vécue il y a quelques années avec cette femme rencontrée sur un des sites que je fréquentais.



Juliette m’offre sa croupe immédiatement. Je me plaque contre elle, lui saisis la gorge et les bras et la presse contre la mince cloison de la cabane.



Je me surprends à entrer si vite dans ce rôle de mâle alpha dominant.



D’un geste ferme, je presse légèrement sa gorge pour lui faire sentir ma prise sur elle et glisse ma main droite sous sa jupe et tire vigoureusement sur son string. Je tourne légèrement mon poing pour faire pénétrer l’étoffe distendue dans le sillon de sa chatte et de sa raie.



Je remonte l’élastique de son dessous haut sur ses hanches et le fais jouer dans son intimité au point de presque la soulever. De mon autre main, je relève son visage sans desserrer la pression.



D’un geste vif, je remonte sa robe sur ses épaules et lui administre une violente claque sur la fesse.



La douleur, loin de la perturber semble la déchaîner.



Je glisse aussitôt ma main entre ses cuisses, fends son cul et passe mes doigts entre ses lèvres déjà ruisselantes.



Ma main libère sa gorge et vient attraper sa chevelure en l’enroulant. Je tire fermement sur sa crinière tout en la penchant en avant.



La belle s’exécute, cambrée dans une position aussi inconfortable qu’obscène.



Sur quoi j’administre une fessée plus vigoureuse que la première.

La tenant ainsi penchée et ouverte, j’ouvre rapidement mon pantalon et sors ma queue déjà prête pour l’assaut. Sans ménagement, j’écarte sa culotte et la pénètre d’un coup, en tirant plus fort sur ses cheveux.



Je la ramone avec force.



Je ressors d’entre ses cuisses et attire sa bouche sur ma queue luisante de son jus. Ma main ne relâche pas sa prise sur ses cheveux tirés derrière sa tête et lui imprime la cadence avec laquelle je veux qu’elle me suce. Ma queue s’enfonce jusqu’à la garde dans sa bouche dans un gargouillis étouffé par la pluie qui s’intensifie au-dehors.



Elle redouble d’efforts, m’aspire et me lèche comme si sa vie en dépendait.



Je lui tords le bras dans le dos et reprends ma prise sur sa gorge alors que mon gland trace sa route dans la fente béante. Je serre mes doigts sur son cou fragile à chaque coup de reins, ne libérant mon étreinte que pour la fesser violemment ou la griffer à la limite du supportable.



J’en profite pour lui retirer sa robe et savourer son corps nu ruisselant.



Le présent rejoignant le passé, je m’exécute tout en maintenant ma prise. Je la sens s’abandonner à mesure que son corps se cambre sous les coups de ma queue et de l’étranglement qui la brident.



Je ressors d’elle, viens presser mon gland contre sa rondelle. En moins d’une seconde, son cul avale ma queue jusqu’à la garde sans broncher, lui arrachant un gémissement dont je peine à savoir quelle est la part de plaisir ou de douleur. Je reprends mon pilonnage en cadence. Je lâche son cou et attrape ses cheveux que je tire vers moi au maximum. Son dos s’arque vers moi et cambre sa croupe dans une posture presque surréaliste. Je la prends si fort à chaque saillie que la paroi toute entière de la cabane en tremble. J’accélère



Je m’enfonce dans l’hystérie dont elle m’excite. Je sens ma queue au bord de l’explosion et se dilater davantage de seconde en seconde, écartelant sa rosette à son paroxysme. Dans un ultime coup de reins, j’agrippe sa fesse dans laquelle je plante mes ongles tout en la maintenant cambrée au moment où je jouis avec force au fond d’elle. Dans un mouvement réflexe incontrôlable, de puissants mouvements de hanche accompagnent chacun des jets de mon foutre qui la remplissent. Je la maintiens prisonnière de mon sexe dressé comme si je voulais que mon sperme remonte jusqu’à sa gorge.


Nous sommes en sueur, en plus d’être trempés. Épuisés, nous nous laissons glisser au sol. Lentement, elle tend la main et caresse ma joue avant de laisser courir son doigt sur mon torse et venir effleurer mon sexe en train de rétrécir.