n° 18941 | Fiche technique | 62644 caractères | 62644Temps de lecture estimé : 36 mn | 08/04/19 corrigé 06/06/21 |
Résumé: Depuis quelque temps, je suis en instance de divorce. Jessica, ma future ex-femme, a bien essayé de me dépouiller de tout, sous le faux prétexte que je la trompais avec des maîtresses. | ||||
Critères: fh jardin caférestau fsoumise exhib noculotte | ||||
Auteur : Patrik (Carpe diem diemque) Envoi mini-message |
Malgré le thème abordé, cette histoire reste très soft.
N’attendez pas de scènes à faire rougir les professionnelles aguerries du X
Bonne lecture…
Depuis quelque temps, je suis en instance de divorce. Jessica, ma future ex-femme, a bien essayé de me dépouiller de tout, voulant conserver nos maisons, les voitures et exigeant de moi une pension alimentaire exorbitante, sous le prétexte que je la trompais avec des maîtresses.
Manque de chance pour elle, les femmes incriminées n’ont jamais eu le plaisir d’expérimenter la position horizontale avec moi, et ont pu le prouver aisément. Quant à moi, j’ai pu fournir une liste de divers hommes qui ont pu bénéficier des faveurs de ma future ex-femme, et ceci en plein tribunal, ce qui a fait l’effet d’une bombe très efficace. D’autant que j’avais pris soin de faire venir au tribunal trois ex-amants qui n’avaient pas trop apprécié d’avoir été jetés sans ménagement après usage. En clair, l’orage noir qui était au-dessus de ma tête est passé sur les cheveux châtains de la mère de mes enfants.
Le plus amusant (si je puis m’exprimer ainsi) fut quand l’avocate de ma femme m’a reproché d’avoir dissimulé ce genre de faits. Je lui ai répondu calmement :
Son sourire suffisant se tord sur ses lèvres. Elle réoriente la conversation :
Je la vois qui grimace un peu plus. Elle cherche quelque chose à répondre, puis d’un ton hautain, elle me lance :
J’esquisse un sourire narquois :
Interloquée, elle écarquille grands les yeux. Sans attendre sa réponse, je tourne des talons, puis le lendemain, je migre au lointain, mettant carrément presque mille kilomètres entre mon ancienne vie et la nouvelle.
Depuis que j’ai pris mon nouveau poste, je suis devenu la cible de certaines célibataires féminines en mal de placement ou de recasement. Mais jouer les entreteneurs de ces dames, j’ai déjà donné pendant quelques années, mon ex se gardait son salaire comme argent de poche, me laissant toutes les factures à payer. Quand j’y songe, j’ai été bien con, mais j’ai une excuse, j’étais amoureux de ma magnifique petite femme, une belle peau de vache avec le recul. Avec un certain style, il faut le reconnaître…
Assez vite, ma femme a essayé de recoller les morceaux. Il faut dire qu’elle était plutôt mal partie. Son zigoto, ayant réalisé qu’il ne toucherait pas le pactole, avait rapidement mis les voiles. Elle a pu garder la maison principale, mais j’ai récupéré tout le reste. Hélas pour elle, son salaire ne suffit plus à son train de vie, et ajoutons les enfants qu’elle n’arrive plus à gérer.
Sans me fâcher, calmement, je lui ai demandé :
Et j’ai coupé la communication.
Depuis, mon divorce a été définitivement prononcé. Entre-temps, j’ai commencé à sortir avec diverses femmes, mais en me méfiant toujours un peu. La candidate la plus sérieuse est Marlène, une experte-comptable, mais plus je la côtoie, plus je découvre qu’elle a des désagréables petits points communs avec mon ex. Oui, elle est belle, mais elle sait ce qu’elle vaut sur le « marché » de l’offre et de la demande. Et Marlène place la barre assez haut, il est vrai.
Par contre, il faut reconnaître que l’avoir à son bras est très valorisant. Mais tout se paye en ce bas monde…
Depuis quelques jours, je dialogue avec une nouvelle femme, Anne, dite Nana. Ce n’est pas tout à fait le même genre que Marlène, presque le jour et la nuit, dirais-je. Anne est une ancienne femme de ménage reconvertie comme assistante de vie. Elle a une orthographe déplorable, une syntaxe abominable, mais elle est spontanée, ce qui me change de la plupart des femmes un peu « prout-ma-chère » que j’ai pu croiser.
Alors que j’en discutais au téléphone avec Ludovic, une de mes anciennes connaissances, celui-ci m’a carrément balancé en pleine figure :
J’en mettrais ma main au feu qu’il doit être tout rouge, il en bafouille :
Pour l’instant, Anne et moi, nous dialoguons, nous ne nous sommes pas encore rencontrés pour de vrai. Et puis, je ne songe pas à me mettre en couple, du moins, pas tout de suite. Mais avoir une maîtresse, ça oui. Et d’ailleurs, j’en ai déjà eu quelques-unes.
Anne n’a pas eu beaucoup de chance dans la vie, elle est souvent tombée sur des sacrés zigotos, dont l’un d’entre eux lui a laissé comme souvenir sa gamine. Malgré une flagrante ressemblance entre le père et la fille, d’après les photos que j’ai pu voir, le géniteur s’obstine à nier sa paternité. Courage, fuyons !
À force de discuter virtuellement est venu naturellement le moment de se voir pour de vrai. C’est pour demain, au grand parc, celui qui possède un lac tout allongé. Le rendez-vous est planifié dans un coin du lac, celui qui est proche de la petite entrée du fond. Je suis curieux de la rencontrer en chair et en os, même si j’ai déjà vu des photos d’elle. Mais entre les photos et la réalité, il y a parfois un certain écart.
Ce soir, par chat audio-vidéo, nous dialoguons comme de coutume. D’un coup, sans prévenir, Anne me demande :
C’est alors que je décide de m’amuser un peu, forçant le trait, mais au final, pas tant que ça :
C’est vrai qu’elle me court après… c’est même trop flagrant, décolleté à l’appui…
La réponse fuse, prévisible :
Je zappe cette mini-insulte, j’enfonce le clou :
Je m’amuse à la titiller :
Puis nous avons discuté d’un peu de tout, et je me suis endormi en me demandant quel type de femme je risquais d’emmener dîner demain soir dans un grand restaurant. Et tant pis pour ma réputation, même si, pour l’instant, je suis encore un illustre inconnu dans ma nouvelle ville. Il faut savoir vivre dangereusement, même si ce genre de danger reste très négligeable par rapport à bien d’autres que j’ai pu connaître !
Le lendemain de notre conversation doublée d’un pari, une fois le boulot fini, je monte dans ma voiture pour me diriger vers le parc où Anne et moi avons rendez-vous. Quelques minutes plus tard, j’arrive à l’endroit indiqué : personne. Pourtant, j’ai reçu un SMS de la part d’Anne m’indiquant qu’elle était déjà sur place. Circonspect, je regarde à droite, je regarde à gauche : rien, pas l’ombre d’une femme qui pourrait ressembler à Anne.
Soudain, j’entends une petite voix venue de nulle part :
En effet, derrière un groupe d’arbrisseaux, je vois la moitié gauche d’une tête, dont le visage est légèrement maquillé. Oui, ça lui va bien, d’autant que je l’ai toujours vue nature. Néanmoins, je m’étonne :
Je ne réponds pas, je sors de l’allée pour venir à elle. Je contourne le bosquet pour découvrir Anne enfin pour de vrai. Je reconnais que j’ai déjà eu des surprises dans la vie, mais celle-ci figure sans contestation dans mon Top Cinq !
En effet, j’aime les bustiers, les jupes, les bas, les talons aiguilles, ainsi que les porte-jarretelles, sans parler d’une petite pointe sexy. Anne est habillée de la sorte, mais parfois ce genre d’ensemble produit des effets un peu curieux, mais pas désagréables à contempler. De plus, son bustier possède à la fois un laçage devant et derrière, ce qui est très agréable à contempler. Le gros souci est que la taille n’est pas adéquate. Pour être charitable, je dirais que seules les chaussures sont bien ajustées.
Elle s’arrête pour mieux me dévisager, puis me scruter de la tête aux pieds :
Ce genre de réflexion spontanée et à double signification est très typique d’Anne. Je souris :
Nous discutons de tout et de rien avec une facilité assez déconcertante, comme si je connaissais Anne depuis des années et des années, alors qu’il y a un mois, je ne la connaissais pas. Néanmoins, c’est très agréable de dialoguer avec elle, je n’ai pas à faire systématiquement attention à ce que je dis, contrairement avec Marlène qui est très tatillonne, voire soupe-au-lait.
Après quelques minutes, je fais remarquer :
Le sortant de ma poche intérieure, je consulte mon smartphone afin d’afficher la vue satellite du parc dans lequel nous sommes. Après un rapide examen de la carte, je propose à Anne :
Lui montrant l’écran, je désigne du doigt le gros talus qui longe le lac en arrière-plan :
Nous essayons et nous débouchons sur une sorte de petit sentier niché entre la butte et les arbres, avec personne aux alentours. Anne respire un grand coup, soulagée.
La conversation roule à présent sur le sexe, un sujet qu’Anne aime bien. Elle en parle naturellement, ne cachant pas qu’elle ne déteste pas le sport en chambre, même si souvent ses partenaires n’ont pas été à la hauteur. Elle est attirée par le côté soumission, mais par jeu. Ce qui tombe bien, car, de par mon métier, je suis plutôt dans le côté domination.
Restant dans ce sujet, elle et moi sommes en train de parler de divers accessoires ainsi que les us et coutumes du BDSM. Suite à ma dernière réflexion, elle s’exclame :
Nous continuons notre tour du lac par derrière les arbres. J’aime discuter avec elle, je me sens bien, détendu, sans chercher à faire attention à mes propos, ce qui me change. Anne est capable de parler de beaucoup de choses, parfois avec une étrange façon de le dire, spontanée, sans chercher à cacher le fond de sa pensée. C’est très rafraîchissant. Parfois, elle saute instantanément du coq à l’âne, c’est d’ailleurs le cas quand elle me demande :
Elle me regarde d’une curieuse façon :
Nous continuons à marcher un peu, à parler beaucoup, toujours à l’abri derrière les arbres. Puis avisant un gros tronc jonché sur le sol, nous décidons de nous y asseoir. Sa jupe étant courte, le haut de ses bas se dévoile de façon bien agréable. Il ne faudrait pas grand-chose que j’en vois nettement plus que de décence. Avec amusement, je me demande intérieurement dans quelle position faudrait-il que je me mette pour finalement apercevoir son entrejambe ?
Elle me regarde, à la fois étonnée et émoustillée :
Fugacement perdu dans ces souvenirs, je confirme :
Anne sourit :
Puis elle me raconte diverses petites choses, dont je n’arrive pas à savoir si c’est du vécu par elle ou quelqu’un d’autre, à moins que ne soit du fantasme. Mais quelque chose me dit que c’est un mélange de tout ça…
Dix minutes plus tard, nous nous levons afin de continuer notre balade. Curieusement, Anne ne dit rien, comme perdue dans ses pensées. Après un long soupir, elle lâche :
Et sans lui laisser le temps de réagir, je la capture prestement par la taille, je la plaque sur moi et je l’embrasse. On ne peut pas dire qu’elle résiste beaucoup, d’autant qu’elle vient de mettre ses bras autour de mon cou. Je ne suis pourtant pas de ceux qui vont vite, mais aujourd’hui, avec elle, j’ai envie de l’embrasser, de la caresser, de lui faire plein de choses !
Quand nos lèvres se décollent, elle prend la parole :
Et elle en profite pour se frotter lascivement sur mon émotion !
Et pour clôturer la conversation, j’en profite pour l’embrasser à nouveau. J’aime le goût de ses lèvres, j’aime sentir la chaleur de son corps contre le mien. Peut-être que je suis un peu rapide, mais je sens confusément que je serais idiot de ne pas le faire, d’autant plus que ma partenaire n’y voit aucune objection !
Quand nos lèvres se séparent à nouveau, je la garde fermement captive dans mes bras, je n’ai pas trop envie de me séparer d’elle, et c’est ainsi que nous continuons à bavarder. Le temps passe agréablement, j’avais presque oublié que c’était si bon d’être de la sorte l’un contre l’autre, comme ça, à profiter de chaque instant.
Au détour d’une phrase, je propose :
Sa réponse fuse, spontanée :
C’est n’est pas tout à fait faux, ni tout à fait vrai. C’est alors que germe en moi une petite idée :
Toujours captive dans mes bras, elle semble réfléchir, pesant le pour et le contre, se demandant si elle peut me faire confiance ou pas. Puis elle demande :
Elle me repousse des deux mains :
Je me sépare d’Anne, un peu à regret, puis je passe derrière elle. J’examine alors au mieux le laçage du dos de son bustier. À certains endroits, c’est visiblement trop serré, mais à d’autres, c’est trop lâche. Alors je me lance dans une séance de rééquilibrage, mettant mon index derrière le lacet et le tirant plus ou moins fortement pour égaliser le tout. Je ne déteste pas les casse-tête, et celui-ci n’est pas trop difficile, il faut simplement s’armer de patience. Quand j’estime que c’est correct, je préviens :
Devant, ça va mieux, là aussi. Je m’occupe du petit laçage situé entre ses seins, en évitant de la toucher à cet endroit stratégique, même si ça ne me déplairait pas d’aller y égarer mes doigts. Nous avons peut-être déjà fait des gros bisous, elle m’a avoué bien des choses, mais je ne tiens pas à aller plus vite que la musique avec Anne. J’ai le sentiment diffus qu’elle ne sera pas qu’une simple aventure de quelques jours ou de quelques semaines. Déjà, Marlène me semble fade, même si elle est plus belle et plus classe, c’est indéniable. Mais Anne a quelque chose en plus qui la rend très mignonne et attractive.
Non, il faut rectifier un peu, mais c’est léger. Je contrôle à nouveau tout le laçage du dos, puis contournant ma partenaire, je vérifie ce que ça donne devant. C’est OK, le bustier lui va nettement mieux. Plutôt satisfait de mon rééquilibrage, je lui annonce :
Je prends quelques photos, devant, derrière et même de côté, puis je lui montre le résultat. Elle regarde longuement les photos, avant de déclarer :
Je m’exécute. J’entends un peu de bruit derrière moi, puis la voix d’Anne :
Je me retourne. Écarlate, elle me tend une petite culotte noire en dentelle plutôt fine, un article très mignon. Je regrette presque de me priver de le voir porté par Anne. Néanmoins, la situation est devenue plus coquine, ce qui n’est pas à négliger. Quand je prends la pièce de tissu en main, je constate que c’est à la fois léger et chaud. Sans trop d’efforts, j’imagine bien ce que cette lingerie pouvait cacher…
Je la scrute de la tête aux pieds :
Comprenant ce que j’évoque, elle rougit à nouveau :
Je tends sa culotte entre mes mains à la hauteur de mes yeux, avant de poursuivre :
Ébahie, elle me regarde avec des grands yeux :
Amusée, elle lève les bras et les yeux vers le ciel :
Moi, je suis plutôt intéressé par le spectacle qu’elle me dévoile. En effet, en levant les bras, sa jupe remonte, dévoilant le haut de ses cuisses gainées de bas, ainsi que les attaches du porte-jarretelles. Et croyez-moi, le contraste entre chair blanche et lingerie noire est très stimulant ! J’en sais quelque chose dans mon pantalon !
Nous avons presque fini de faire le tour du parc, et nous nous approchons du parking où nous avons laissé nos voitures. Changeant abruptement de conversation, Nana s’exclame :
Furtivement, je dépose un baiser entre ses seins, avant qu’elle ne réagisse. Puis me relevant, je lui confie :
Elle me regarde, la tête un peu penchée, comme si elle souhaitait lire en moi. Après quelques instants, elle finit par déclarer :
Et c’est elle qui m’embrasse. Bien sûr, je réponds ardemment à son baiser, laissant mes mains se balader un peu partout sur elle. Je m’offre même le luxe d’aller cueillir deux belles fesses nues dans le creux de mes paumes.
Quand nous nous séparons, elle me gronde faussement :
Elle sourit. Nous nous approchons du parking. Par coïncidence, nos voitures sont garées, l’une à côté de l’autre. Nana est assez étonnée de découvrir que j’ai une BMW. Elle la regarde attentivement, puis elle demande :
Ah zut, je n’avais pas vu le coup venir. Je décide de mentir un peu, mais pas trop, inventant une excuse crédible, sans devoir révéler la nature exacte de ma fonction :
Elle s’arrête pour me dévisager à nouveau, puis elle reprend :
Si elle savait que j’ai menti dans l’autre sens ! Je lui ouvre la porte, elle s’installe. J’en profite pour mater ses gambettes qu’elle dévoile bien haut, sans oublier d’aller glisser un regard dans son décolleté où brille l’absence remarquée d’un soutien-gorge.
Comme nous allons nous retrouver en ville et qu’il faut un minimum de décence pour éviter les soucis avec les forces de l’ordre, avant de refermer la portière, je pose la question à Nana :
Prestement, elle ressort de la voiture, ce qui me permet d’apercevoir à nouveau d’autres morceaux de son anatomie. Bon prince, quand elle revient avec son gilet, je lui tiens ouverte la portière :
Quelques instants plus tard, la voiture quitte le parking. Je suis en train de me dire que la vie réserve parfois des bonnes surprises. On verra ce qu’il adviendra ensuite, mais je pense que je vais retenir la date d’aujourd’hui, et ce, pour longtemps.
Tandis que nous nous dirigeons vers le restaurant, je mets la conversation sur un sujet qui m’intrigue et qui m’excite à la fois :
Elle se tourne vers moi pour demander :
Je mime avec ma main libre :
Je souris tandis que la voiture s’arrête à un stop :
La voiture reprend le cours de sa route. Amusé, je demande :
Je gare la voiture, pas trop loin du restaurant. Mais il y aura quand même au moins cinquante mètres à parcourir à pied, alors que j’aurais pu me stationner plus près. Mais ça, je ne sais pas si ma passagère s’en est aperçue, je le saurai assez vite…
Une fois sortis de la voiture, je réajuste prestement la tenue de ma passagère. Puis, main dans la main, nous nous dirigeons vers l’entrée du restaurant. Anne marche à petits pas, afin d’éviter certains accidents et d’en montrer trop. Elle a de la chance, il n’y a plus beaucoup de monde dans la rue qui pourtant est très active en journée, car bordée de nombreux magasins. Mais il est vrai que la plupart de ces boutiques sont à présent fermées, vu l’heure. Néanmoins, quelques passants se retournent sur nous, ou plutôt sur elle, ce qui la fait rougir. J’aime la voir rosir de la sorte…
Avec son petit gilet, on peut penser qu’elle porte par dessous une robe de soirée, et non pas un bustier. Néanmoins, je vois bien que la personne qui nous accueille n’est pas dupe. Diplomatiquement, elle nous propose :
En effet, le coin dans lequel nous sommes installés est assez abrité des regards. Peu après, le serveur nous apporte les cartes. Installée face à moi, Nana confie :
Quelques minutes plus tard, le serveur vient prendre la commande. Puis nous nous retrouvons à nouveau en face à face. C’est à nouveau mon invitée qui s’exprime d’abord :
C’est alors que j’ai un déclic en entendant le ton de sa réponse, sa façon de dire non, mais qui cache un oui. Peut-être que je me trompe, mais je tente le coup. D’une voix posée, j’annonce à Nana :
Je pose mes coudes sur la table, posant mon menton dans la paume de ma main, puis je me penche vers ma vis-à-vis :
Je vois bien qu’une certaine lueur brille au fond de ses yeux. Néanmoins, elle argumente :
Taquine, elle répond :
Peu après, j’ai son gilet dans ma main. Je reconnais que ç’aurait été dommage que je me prive du joli spectacle qu’elle m’offre, sans oublier de ses joues un peu rouges…
Puis lentement, elle s’y fait, considérant sa tenue comme normale. Le repas se poursuit très agréablement. Je flotte sur mon petit nuage, la situation est un peu irréelle, étrange, mais ça me convient. La nourriture est bonne, mais c’est le cadet de mes soucis. J’ai face à moi une femme qui ne demande qu’à être explorée et exploitée, et je me demande comme optimiser ce nouveau défi qui s’offre à moi. Mignon et sexy défi…
Nous flirtons, sa main dans la mienne. Nous discutons de tout et de n’importe quoi. Souvent, elle s’amuse à me lancer des sous-entendus salaces. Alors qu’elle vient de faire une allusion à « prendre son pied » en parlant de chaussure, il me vient une idée saugrenue. Alors j’enchaîne :
Elle m’adresse un sourire canaille :
Comme je suis curieux de nature, après avoir fait ce qu’il fallait de mon côté sans qu’elle s’en doute, je demande à mon invitée :
Elle est un peu étonnée, mais d’après les mouvements de son corps, j’en conclus qu’elle a à présent les jambes ouvertes. Elle m’interroge du regard, se demandant si je ne vais pas tenter de jeter un coup d’œil sous la table. Non, j’ai décidé de m’y prendre autrement…
À son air étonné, je vois bien qu’elle ne s’attendait pas à ça. À l’instant, mon gros orteil dénudé est en train de taquiner l’orée de sa fente. Je constate que c’est tout lisse, sauf un mini-bosquet, peut-être taillé en triangle sur son pubis. Anne se contente de plisser un peu les yeux avant de dire :
Elle grimace un peu :
Et je commence à chercher l’entrée de sa fente. Je constate que celle-ci n’est pas précisément sèche, ce qui me facilite les choses. Peu après, je débusque ce qui me semble être son clitoris. Si c’est bien celui-ci, il doit être assez gros. En général, les femmes que j’ai fréquentées l’avaient assez petit. Un peu de changement fera du bien !
Je laisse mon pied où il est, le reste du repas. Au dessert, j’accentue ma caresse, elle se tortille un peu et elle finit par murmurer :
C’est alors que je vois briller une étrange lueur dans ses yeux, sans parler d’un certain sourire. De voir son expression à la fois réjouie et gênée me donne un long frisson dans le dos. Alors, elle se laisse aller, profitant de la présence incongrue de mon gros orteil. Elle agrippe fermement le rebord de la table, serrant les lèvres. Après quelques secondes de résistance, je la vois qui ferme les yeux, son corps agité de petits tremblements, sa respiration saccadée…
Elle reste suspendue un certain moment, puis elle soupire, ouvrant largement la bouche. Mon orteil est totalement détrempé, j’aime cette sensation humide et indécente. Je m’offre le luxe de pousser mon avantage plus loin encore en entrant un peu entre ses lèvres détrempées. Je reste quelques instants dans cet antre si doux et si chaud, puis je décide de me retirer.
Malheureusement, je ne suis pas dans un club privé, sinon je pense que j’aurais allègrement abusé de ma partenaire de repas sur cette table, sans égard pour les plats, bestialement et joyeusement ! Ma voisine ne dit presque plus rien, dégustant consciencieusement son dessert. Pour ma part, je suis rêveur, me disant que je viens de vivre quelque chose qui m’était impensable, il y a peu de temps. Néanmoins, même si Nana semble ravie, je me demande si je ne suis pas allé un peu trop loin. Je ne voudrais pas gâcher notre relation en allant trop vite ! Ni trop lentement non plus…
Une fois l’addition réglée, histoire de nous rafraîchir, nous sortons.
L’air frais fait du bien. Me prenant par le bras, Anne me dit :
Elle rit. Nous nous dirigeons vers ma voiture. Nous croisons quelques promeneurs qui ne font pas trop attention à nous. Dommage pour eux. Quelques minutes plus tard, une fois en voiture, Anne s’étire sur le siège passager. Une fois de plus, ce fut à un doigt qu’elle me montre son entrejambe, mais raté ! La prochaine fois, ou bien je colle un petit miroir sur la boîte à gant, ou bien j’installe carrément une mini- caméra en dessous !
Nous revenons vers le parking du lac, là où Anne a laissé sa voiture. Je constate qu’elle a un grand sourire, et qu’elle a apprécié la soirée, même si celle-ci n’a pas été très conventionnelle. D’ailleurs, la soirée n’est pas finie, car durant le repas, j’ai eu une petite idée…
Alors que nous sommes presque arrivés, je propose à ma passagère :
Quelques minutes après, main dans la main, nous sommes en train de nous promener autour du lac. Néanmoins, il me semble qu’il y ait encore quelques couples dans ce parc, mais ils sont visiblement trop occupés pour faire attention à nous. Au lointain, je distingue un joggeur, et peut-être un autre plus loin encore.
Je décide de passer à l’action :
Lâchant sa main, j’attrape le pan arrière de sa jupe que je viens coincer plus haut dans le laçage du bustier, révélant une belle lune au clair de lune. Le blanc de sa chair ressort admirablement bien entre ses bas, son porte-jarretelles et sa jupe. Elle proteste mollement, mais elle ne fait rien pour remettre sa jupe en place :
Elle se contente de sourire, restant fesses à l’air pour le plaisir de mes yeux. Je précise :
Elle ne répond rien, souriant à nouveau. Elle ne dit rien non plus quand je m’approche d’elle pour marcher à ses côtés, posant délibérément ma main sur ses fesses nues. Je pense avoir cerné la façon dont Anne, ou plutôt Nana, aime qu’on la traite de temps à autre. Et finalement, ça me convient.
De plus, j’adore caresser son mignon petit cul tout doux et rondouillet !
Nous restons un petit moment ainsi, puis au détour d’un virage, nous découvrons un couple qui s’approche vers nous. Je sens que Nana frémit, on dirait qu’elle souhaite rabattre le pan de sa jupe. Je capture fermement sa fesse, lui glissant à l’oreille :
Pour faire voir qui commande, j’insinue délibérément mon index dans son sillon pour venir taquiner sa petite rondelle qui frémit sous mon contact :
Le ton qu’elle a employé est à la fois soumis et amusé. Elle adore ce type de jeu. Le couple nous dépasse, je pense qu’il n’a rien vu. Peu importe. N’empêche que j’aime beaucoup l’endroit où est niché mon doigt. C’est la première fois que je m’aventure dans ce genre de pratique, et je reconnais que c’est loin d’être désagréable. Peut-être que les femmes dociles sont plus adaptées à mon profil que toutes celles que j’ai pu fréquenter… Qui sait… On croit se connaître, puis on découvre bien des années plus tard qu’il n’en est rien…
Elle marque une légère pause, changeant sans doute ses mots :
Elle rougit un peu :
Elle met deux-trois secondes à répondre :
Aussitôt, elle propose :
Elle me fait un large sourire :
Son lumineux sourire parle pour elle. C’est alors que je décide de franchir une certaine étape. J’ai un merveilleux jouet sous la main, et je serais idiot de ne pas en profiter. Mais profiter ne veut pas dire casser, ce n’est pas mon intention. Ce soir, nous avons convenu d’un code, je sais jusqu’où je peux me permettre d’aller. Alors faisons un petit essai, là maintenant dans ce parc, en mode chaud et froid.
Je la capture dans mes bras, je la serre contre moi pour l’embrasser voluptueusement. Et il est flagrant qu’elle ne déteste pas ! Après quelques gros baisers appuyés, nos lèvres se séparent, et j’annonce sereinement :
Néanmoins, elle n’a pas prononcé le nom d’une fleur rouge ou orange… Je la relâche pour qu’elle puisse ôter son vêtement. Comme je m’y attendais, elle s’exécute, à la fois contente et angoissée, une certaine lueur dans ses yeux. Je tends la main pour prendre sa jupe que je garde avec moi. Puis je me penche un peu pour mieux admirer un certain spectacle offert à ma vue :
Puis nous recommençons à marcher autour du lac. La luminosité décline. De loin, on ne se doute de rien, mais de près, il est flagrant qu’elle n’a rien sous son bustier. Comme tout à l’heure, ma main est posée sur sa fesse, ce qui est très jouissif !
Soudain elle sursaute :
Je l’entends qui respire très fortement. En effet, quelqu’un arrive, un joggeur. Il est flagrant qu’il s’est rendu compte de l’absence de jupe et de culotte. D’ailleurs, son regard est fixé sur le pubis nu de Nana, et son sourire parle pour lui. Néanmoins, il continue à trotter, puis il disparaît derrière nous. Je reprends la parole :
Elle ne répond pas, mais le simple fait qu’elle se colle contre moi est révélateur. Nous marchons silencieusement puis je finis par rompre le silence :
Elle me regarde de ses yeux luisants :
À sa façon de me regarder, je vois que ma réponse lui plaît. Mille images et idées fusent dans ma tête. Je sens qu’elle et moi allons faire prochainement de grandes choses…