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Tchin-tchin

La bouteille de Meursault que tu as amenée a déjà rempli à plusieurs reprises nos verres à pied. Nous trinquons à nouveau. Tchin-tchin !

Je te raconte des bêtises, tu ris, me souris. Nous sommes de plus en plus collés l’un à l’autre, habituellement, nous n’avons pas beaucoup d’inhibition, mais l’alcool accentue quelque peu nos pulsions.

Alors que nous échangeons un baiser langoureux, ta main s’insinue dans mon entrejambe et tu commences à me caresser par-dessus le tissu de mon pantalon.

Habituellement, c’est moi qui prends ce type d’initiative, j’apprécie ce renversement des rôles. Je me laisse faire avec plaisir. Tes doigts défont avec dextérité la boucle de ma ceinture ainsi que les boutons métalliques de mon pantalon. Ta bouche est de plus en plus ardente alors que ta main caresse par-dessus mon boxer mon sexe bandé. Il ne te faut pas beaucoup de temps pour que ton exploration s’accentue et que tes doigts soulèvent le tissu protecteur et se saisissent de ma tige qui apprécie cette introspection. Tes doigts s’emparent de mes bourses, les enrobent, les chérissent puis glissent sur mon sexe que tu caresses à pleine main, tranquillement, sûre de ton pouvoir.

Ma main glisse sous ton tee-shirt et je te caresse tendrement le dos, le ventre. Je remonte jusqu’à tes petits seins jolis. Tiens ! tu n’avais pas mis de soutien-gorge, j’aime bien cette petite surprise. C’est à ce moment-là que tu te penches et commences à me lécher le sexe, une bonne fellation en plein apéritif, hmmm, c’est le jour des premières ! Ta langue joue, glisse le long de ma tige, telle une sucette bien sucrée, tu sembles prendre beaucoup de plaisir à goûter cette friandise. Tu l’apprécies tellement que tu ne manques pas de l’avaler tout doucement, entièrement, le gland d’abord sur lequel ta langue tournoie doucement, puis la tige que tu t’appliques à avaler encore un peu plus.

Pour encore mieux t’appliquer et, je crois, pour augmenter mon plaisir, tu te places entre mes jambes, les mains en appui sur mes cuisses… Ta main joue d’abord avec mes bourses que tu caresses avec une infinie douceur. Tu redresses mon sexe que tu lèches à nouveau de tout son long, tu prends ton temps, tu t’amuses, tu prends un plaisir certain à lécher mon sexe. Je ne boude pas mon plaisir, je savoure l’instant présent. À nouveau, tu gobes mon gland puis ma tige turgescente. Ta bouche est bien pleine, mais j’arrive à voir ton sourire, ton plaisir de me satisfaire ainsi. Tu me regardes droit dans les yeux, tes yeux pétillent de bonheur alors que ta fellation se fait plus intense, profonde.

Si tu continues ainsi, je risque de ne pas tenir bien longtemps et mon sperme finira par gicler au plus profond de ta gorge. Tu dois le sentir, car tu quittes ta proie et tu viens m’embrasser vigoureusement, intensément. Tu t’assois sur moi et relèves ta jupe pour mieux te frotter sur moi, contre mon sexe. Je me rends compte alors que tu n’as pas de culotte, tu as dû l’enlever en te rendant aux toilettes quand tu es arrivée. Je n’imagine pas que tu aies voyagé sans culotte, décidément, tu as vraiment envie de m’étonner de me surprendre ce soir.

Ton sexe humide glisse contre le mien, tes bras noués autour de mon cou, nous nous embrassons encore et encore. Nos langues s’emmêlent, nos lèvres sont collées. Mes mains caressent tes fesses, glissent sur tes cuisses. Tu te redresses un peu, juste ce qu’il faut pour que mon sexe se redresse et pénètre en toi profondément, vigoureusement. Tu jouis presque instantanément, intensément, ton cri est intense, vibrant et tu t’écroules tout contre moi. Mon sexe encore figé en toi, nous restons ainsi quelques minutes. Par moment tu m’embrasses, me dis tout doucement dans le creux de l’oreille combien tu m’aimes… Je n’ai pas joui, pas encore, mais je suis bien ainsi tout contre toi, encore en toi !

À voir ton sourire, je me doute que tu as particulièrement apprécié ce moment. Tu te redresses, ajustes ta jupe et tu t’assois à nouveau à mes côtés. Tu me tends mon verre de vin blanc, tu prends le tien et nous trinquons à nous, à nos retrouvailles. La soirée est vraiment bien partie.

Nous vidons nos verres, les remplissons à nouveau, tu me parles, je t’écoute attentivement, nos échanges régulièrement entrecoupés de nos rires, de nos baisers. Nos verres et ta bouteille sont vides désormais. Nous avons grignoté pendant cet apéritif et je n’ai plus vraiment faim. Je te demande si tu as faim, tu me réponds :

• — Oui, j’ai faim de toi !

Je te souris tendrement et te propose d’aller prendre une douche « un peu » coquine alors que ma main glisse sous ta jupe. Tu ne te fais pas prier, tu te lèves et m’emmènes vers la salle de bain. Nous ôtons mutuellement nos vêtements. J’enlève ton tee-shirt, descends ta jupe et c’est tout, tu es déjà nue. Il te faut un peu plus de temps pour défaire les boutons de ma chemise et à nouveau défaire ma ceinture et les boutons de mon pantalon. Nous sommes nus tous les deux, blottis l’un contre l’autre dans la chaleur de la salle de bain.

Nous allons sous la douche et mettons l’eau à couler. Nous nous savonnons mutuellement, je m’occupe de te laver avec application, tu fais de même et n’oublies pas, évidemment, de laver avec encore plus d’application mon sexe qui a repris toute sa vigueur.

Mes mains savonnées glissent entre tes cuisses, entre tes fesses, mes doigts caressent tes lèvres, ton clitoris, ton petit trou. Je te sens jouir à nouveau alors que mes doigts te pénètrent, il n’en faut plus beaucoup pour que tu exploses encore. Je cesse de te caresser et te plaque contre la paroi de la douche. Spontanément tu écartes les jambes et cambres tes reins. Je présente mon sexe contre le tien et le pénètre tout doucement en toi. Je te lime, vais et viens doucement dans ton vagin lubrifié. Mes mains glissent entre la paroi de la douche et tes petits seins. Je m’amuse à pincer tes tétons érigés, tu sembles encore plus réagir.

L’eau chaude ruisselle sur nos corps enfiévrés. Tu retires mon sexe, je me demande ce qu’il se passe, t’ai-je fait mal ? Tu te retournes, t’accroupis et je comprends vite tes intentions. À nouveau, tu me suces, tes mains s’agrippent sur mes fesses alors que mon sexe va-et-vient dans ta bouche, tu me regardes peut-être pour voir ma réaction ou me provoquer et déclencher mon éjaculation. Je résiste tant bien que mal, j’ai bien envie de jouir maintenant dans ta bouche gourmande, mais j’ai envie de te prendre encore et encore.

Je te redresse et t’appuie le dos contre le mur, tu écartes les jambes spontanément pour mieux m’accueillir, tu en as envie autant que moi, je viens en toi. Tu relèves une de tes jambes pour que mon sexe te pénètre un peu plus fort, plus intensément. Tes deux jambes se nouent maintenant sur ma taille, je te soutiens par les fesses pour mieux te pénétrer. Je ne tiens plus, je n’en peux plus, je jouis longuement en toi. Je sens mon sperme s’échapper en un long jet, abondant au plus profond de ton ventre. Ton cri plaintif me fait comprendre que tu as joui également.

Je me retire et t’embrasse langoureusement. Nous nous lavons à nouveau, mais plus sagement cette fois-ci. Nous nous séchons et filons dans notre lit sous cette couette confortable. Nous nous blottissons l’un contre l’autre et restons ainsi, nous ne faisons plus qu’un, nous reprenons des forces pour poursuivre une nuit qui s’annonce intense …

Une nouvelle nuit d’amour !