n° 18950 | Fiche technique | 32065 caractères | 32065Temps de lecture estimé : 19 mn | 14/04/19 |
Résumé: Un jeune homme découvre que sa copine n'est peut être pas aussi fidèle qu'il le croit. | ||||
Critères: fh couleurs couple extracon cocus piscine cérébral revede pénétratio confession | ||||
Auteur : Rediguane Envoi mini-message |
Ma copine et moi adorons sortir le samedi après-midi. Nous apprécions ces moments que l’on se réserve pour passer un peu de temps tous les deux. Tantôt c’est un cinéma, ou un bowling, une balade en forêt, un peu de sport, ou comme aujourd’hui une sortie à la piscine.
Nous sommes en couple depuis quelques années. Moi, c’est Sébastien, j’ai vingt-huit ans, grand, mince, avec des cheveux court et brun. Et elle, elle s’appelle Claire, elle a vingt et un ans, avec des cheveux au carré blond, elle est ravissante, pulpeuse, avec des rondeurs là où il faut et une belle poitrine. Notre relation est parfaite et nous nous entendons très bien, et particulièrement au lit. Sans être extravagants, nous aimons pimenter un peu nos jeux, mais nous restons tout de même un couple très classique.
En cet après-midi, nous avions décidé d’aller à la piscine, enfin j’avais décidé de l’accompagner de nouveau pour être plus exact. Nous aimions bien aller ensemble à la piscine, surtout que j’adore la voir en maillot de bain. Elle aime tellement la piscine qu’elle y va très régulièrement, même parfois un peu trop pour moi. Et ces derniers temps, je préférais rester à la maison pour jouer à la console plutôt que de l’accompagner. Mais cette fois, je décidai de venir avec elle, car j’avais constaté qu’elle s’était acheté un nouveau maillot de bain. D’habitude, elle porte des maillots une-pièce, mais fois-ci c’était un maillot deux-pièces.
Elle ne l’avait pas acheté le jour même, ça faisait quelques semaines qu’elle l’avait acheté, sûrement pendant la période où je ne venais plus avec elle. Du coup, je souhaitais vraiment la voir dans ce nouveau maillot. Elle, qui d’habitude ne voulait pas être dans un maillot deux-pièces, car elle ne se sentait pas à l’aise avec son corps, avait sauté le pas et en avait acheté un sans m’en parler. Je me suis bien demandé ce qui avait pu motiver son achat et prendre un maillot deux-pièces. Mais bon, vu que moi j’adore les formes de son corps et qu’en plus je rêvais de la voir dans un deux-pièces, cette question s’est vite envolée. Donc, aujourd’hui, je fais une impasse sur la console et direction la piscine avec elle.
Une fois dans la voiture, la discussion n’est pas des plus passionnantes jusqu’à ce que j’aborde la question du maillot. Je lui demande pourquoi elle avait changé son maillot de bain pour prendre un deux-pièces.
Elle ne répond rien et reste silencieuse pendant un moment, et moi je reste concentré sur la route même si au fond de moi je rumine quand même un peu.
Je ne suis pas convaincu par ces arguments, et je n’ai pas le temps de dire quoi que ce soit d’autre, car elle me coupe direct :
Nous étions arrivés sur le parking juste le temps de trouver une place et nous y sommes.
Nous entrons dans la piscine et allons nous changer aux vestiaires. Dans cette piscine, les vestiaires sont mixtes, il n’y a pas de différences hommes-femmes, mais les cabines sont bien sûr individuelles. Nous prenons chacun notre cabine, l’une à côté de l’autre, et nous nous mettons en maillot. Je m’empresse de me changer, car je veux la voir en maillot avant qu’elle ne parte à son cours et bien sûr dans l’empressement, je me bloque le pantalon sur les chevilles, sans compter les chaussettes qui ont décidé de fusionner avec mes pieds et le maillot qui ne veut pas s’enfiler comme il faut. Enfin bref, tout pour me faire louper la sortie de ma belle.
En sortant, je suis légèrement contrarié à la pensée qu’elle est déjà partie et que j’aurai du mal à la retrouver parmi la foule qu’il y a habituellement un samedi après-midi, mais je retrouve vite le sourire. Elle m’avait attendue. Elle est là, belle dans son maillot. Elle a les bras repliés croisés sur son ventre comme pour cacher son nombril. Alors je m’approche et je décroise ses bras pour la contempler. Elle était belle.
Nous nous dirigeons vers les casiers pour y mettre nos affaires. Évidemment, il n’y a plus de casiers contigus, donc nous avons pris chacun un casier distant, mais toujours sur la même rangée. Nous nous dirigeons vers le pédiluve.
Nous nous dirigeons vers le grand bain, mais je reste quelques pas en arrière pour mater son cul, et quel beau cul elle a, dans ce maillot !
Après un petit quart d’heure, je vois qu’elle s’arrête et rejoint le bord de la piscine pour parler à quelqu’un. De l’autre côté du bassin, je finis ma longueur pour la rejoindre et je vois qu’au bord du bassin il y a deux gars, un grand type super baraqué, genre bodybuildé, un grand black, et un autre gars, grand aussi, mais avec une musculature plus fine, type nageur. Je les vois discuter le temps que je m’approche. Puis les deux gars s’en vont et j’arrive à côté de ma copine.
Et je la vois prendre appui sur le bord pour sortir de l’eau. À mi-hauteur, elle s’arrête soudainement et se retourne vers moi pour me dire :
Elle ne répond rien, se contente de me fixer, puis elle se penche pour me faire un baiser et sort brusquement de l’eau pour filer à son cours. Je suis un peu confus de par sa réaction, ou plutôt sa non-réaction. Je m’attendais à recevoir une volée de bois vert, mais non, rien, juste un regard furieux et en même temps un peu coupable et un baiser. À n’y rien comprendre.
Enfin bref, sur ce, je la regarde partir un instant sans pouvoir m’empêcher d’esquisser un sourire en regardant son nouveau maillot et ses magnifiques fesses, puis je continue à faire quelques longueurs de plus et ensuite comme promis je n’irai pas l’embêter, mais j’irai mater les meufs.
Après presque une demi-heure, je décide de sortir et je vais me poser, histoire de me reposer un peu. Je regarde vers le cours et je vois qu’ils y sont toujours. J’essaie de trouver ma copine et je la vois parmi le bric-à-brac des bras, corps, frites et flotteurs des membres du groupe, enfin, je pense la voir, car difficile d’être sûr à 100 % vu la distance et les corps en mouvement.
Bref, il me reste encore quarante-cinq minutes à tuer, je décide de regarder un peu à droite à gauche pour voir s’il y a des meufs intéressantes. Après un rapide coup d’œil, rien à signaler, en revanche je tombe sur le mec balèze black bodybuildé. Je ne l’avais vu que rapidement tout à l’heure, mais là, pfff…, c’est un sacré gabarit. Des muscles saillants, très gros, mais en même temps son corps n’est pas disproportionné comme certains bodybuilders peuvent avoir. Il est monstrueusement bien gaulé.
Je remarque assez rapidement qu’il s’approche de moi tout en regardant dans le bassin. Après avoir donné deux ou trois conseils, il s’approche de moi et commence à me parler.
Sur ces bons mots, Mike me quitte en me faisant un clin d’œil pour se diriger vers le vestiaire. Encore étonné de la discussion, je mets quelques minutes à m’en remettre. J’étais à cent mille lieux d’imaginer ce qu’il pouvait se passer à la piscine.
Après quelques minutes de réflexion, je regarde l’heure pour m’apercevoir qu’il est 16 h 20, l’heure d’aller vérifier si ce que Mike m’a raconté c’est du pipeau, et dans ce cas il se sera bien foutu de ma gueule, ou si c’est la pure vérité. En même temps, il ne reste que vingt-cinq minutes avant de retrouver Claire à la sortie de la piscine. Du coup, je décide de récupérer mes affaires et de profiter d’aller aux vestiaires pour me changer dans la foulée. De toute façon, je n’avais pas l’intention de retourner dans la piscine, alors quitte à ne rien faire autant aller me changer et être le témoin d’une séance de baise, si c’est vrai.
Je me dirige vers le vestiaire et je regarde les cabines. Je n’avais pas remarqué jusqu’à maintenant, mais les cabines sont en forme de U et je remarque qu’il y a effectivement une aile du U qui est à l’opposé de l’entrée. Avant d’aller aux vestiaires, je passe récupérer mes affaires dans mon casier et en chemin je passe devant le casier de Claire qui, à ma grande surprise, est vide. Me serai-je trompé dans son numéro de casier ? C’est possible vu qu’il y a d’autres casiers fermés à côté de celui que je pensais être le sien. Bon, peu importe, elle a peut-être suivi ses copines après le cours pour aller prendre un café dans le salon de thé à côté de la piscine. Elle m’en avait déjà parlé, alors c’est possible. Enfin toujours est-il qu’il ne faudra pas que je tarde de trop si elle est déjà dehors. Vite, direction le vestiaire.
J’entre dans le vestiaire en étant le plus discret possible, mais pas suffisamment, car j’entends Mike dire :
J’entends la succion qui s’active encore plus fort. Je n’en crois pas mes oreilles, ce n’est pas des conneries, il est vraiment en train de baiser une fille.
Les bruits de succion s’arrêtent et j’entends des mouvements à côté. J’en profite pour sortir ma queue pour me branler, mon niveau d’excitation est à son comble.
J’entends le bruit d’un maillot qu’on descend. Ce n’est pas possible, il est vraiment en train de profiter d’une fille et il va la baiser. Je me caresse la queue de plus en plus vite.
Et après un silence, j’entends la fille lâcher un petit râle profond. Il venait de la pénétrer. Le salaud, il est bel et bien en train de se taper des filles à la piscine. Si ma copine savait ça, elle ne me croirait pas. Depuis ma conversation avec Mike, c’est bien la première fois que je pense à Claire. D’ailleurs il faut que je fasse attention au temps pour ne pas être en retard. Mais mon attention est de nouveau attirée par les bruits que j’entends de l’autre côté de la cloison.
Je l’entends répondre de façon saccadée sous les coups de queue de son Maître.
Oh putain à cette phrase j’en peux plus j’éjacule le long de la paroi et j’entends que Mike râle de l’autre côté, il est en train de se vider les couilles dans la meuf. Je prends mon pied de mon côté et je vois passer dans ma tête l’image de Claire en train de se faire remplir par Mike. Image fugace et troublante, mais tellement excitante.
Je m’assois sur le banc, épuisé. J’ai la tête encore dans les nuages. Cette séance m’a troublé surtout lorsque l’image du visage de Claire m’est apparue lorsque Mike a éjaculé au plus profond de la fille. Je ne pensais pas avoir de genre de penchant. J’entends des bruits de vêtements, et je m’aperçois qu’ils sont sûrement en train de s’habiller à côté.
Et j’entends la porte de la cabine s’ouvrir, suivi par des bruits de pas.
Et je l’entends partir de son côté. De mon côté, je me remets de mes émotions et je regarde l’heure. Eh merde, il est 16 h 40, je n’ai plus que cinq minutes pour me changer et re-merde je n’ai pas pris ma douche. Je ressors de la cabine pour aller vite fait sous la douche. Je la prends en quatrième vitesse et je retourne dans la cabine. Je m’habille super rapidement et je sors. Il est 16 h 50, je n’ai que cinq minutes de retard.
Je sors de la piscine et je regarde partout si je vois Claire m’attendre. Je ne vois personne, je me dirige alors vers le salon de thé qu’elle fréquente régulièrement après la piscine et je la vois sortir. On se rejoint, elle n’a pas l’air d’être énervée donc mon retard n’est pas un problème, c’est déjà ça.
Dans la voiture, je profite d’un feu rouge pour glisser une main sur sa jambe et la caresser en remontant doucement sous sa jupe vers son entrecuisse. Elle frissonne, mais se laisse faire. Je remonte encore pour atteindre sa culotte que je sens complètement mouillée.
Arrivés à la maison, je la pousse gentiment pour vite rentrer. Une fois à l’intérieur je la pousse vers notre chambre. Elle résiste pour le principe, mais se laisse doucement pousser.
Elle se dirige vers la salle de bain pendant que je reste assis sur le canapé. J’entends l’eau couler dans la salle de bain et j’ai une furieuse envie de prendre un peu d’avance et d’aller sentir l’odeur de sa chatte excitée dans sa culotte. Je me dirige dans la salle de bain et je récupère sa culotte. Effectivement elle est vraiment trempée. Le fond est tout mouillé et gluant. Je ne me rappelais pas que sa mouille était aussi gluante, elle me semblait plus liquide, mais bon. Cette culotte sent vraiment très bon, mais un peu différent que son odeur habituelle. Est-ce parce que c’est sa culotte et pas sa chatte directement qui fait que l’odeur est un peu différente ou peut-être l’eau de la piscine comme elle me le disait ?
Bref, peu importe, cette odeur est divine et je m’en abreuve jusqu’à entendre que l’eau ne coule plus, elle ne va pas tarder à sortir. Je rejoins notre chambre et je me déshabille en quatrième vitesse. Je l’attends nu sur notre lit. Elle sort de la salle de bain toute nue et me rejoint sur le lit.
Je l’attrape par la main et la tire vers moi sur le lit. Elle tombe à côté de moi et je la place allongée sur le dos pendant que je me dirige vers sa chatte si appétissante. L’odeur de sa culotte m’avait tellement enivrée que je ne peux résister plus longtemps.
Je la vois resserrer ces jambes. Mais j’insiste pour y aller quand même. Je vois sa belle chatte toute rose ou plutôt rouge, elle avait dû en jouer sous la douche parce que sa chatte est toute rouge et déjà bien ouverte.
Je me rapproche pour sentir son odeur, mais à la grande surprise je ne retrouve pas l’odeur qu’il y avait dans sa culotte, seulement son odeur habituelle. Mais ce n’était pas grave, j’adore lui lécher la chatte et me délecter de sa liqueur.
Je tourne ma langue autour de son clitoris puis descends vers sa chatte pour y enfoncer ma langue et boire son nectar. Je la sens gémir et vibrer sous mes caresses buccales. N’y tenant plus, je me suis relevé pour la pénétrer de mon sexe hyper excité.
Elle ne bouge pendant que je la pénètre de tout mon membre, profondément. Je reste un moment au plus profond d’elle me délectant de ce moment. Puis je commence à la pilonner ardemment.
Alors que je suis gentiment en train de monter dans mon orgasme et le sentir grossir doucement, les souvenirs de la piscine sont remontés sans prévenir. J’imagine que c’est Claire dans cette cabine, avec ce Mike qui la baisait par-derrière sans protection au plus profond de son intimité.
Je me suis figé et j’ai demandé à Claire d’un ton autoritaire « mets-toi à genou, montre-moi ton cul ». Elle me regarde bizarrement, mais ne dit rien et se met à genoux, me montrant son cul. J’approche mon sexe de sa chatte et je la pénètre par-derrière, comme ça, brutalement. Je la baise jusqu’à mon dernier souffle, mais ça ne dure pas longtemps, mon excitation était telle que mon orgasme a explosé sans prévenir, je me vide en plusieurs longs jets au plus profond de son sexe. Je l’entends murmurer et mordre dans l’oreiller. C’est bon.
Après un temps de repos où nous nous sommes écroulés tous les eux l’un à côté de l’autre, mon esprit est ailleurs, loin. Je ne réfléchis plus ni à ce qui venait de se passer ni à cet après-midi à la piscine. Rien, vidé, heureux, extase.
Longtemps après, je me lève et me rhabille. Je retourne dans le salon alors qu’elle préfère rester au lit faire un petit somme. Mais avant de s’endormir, elle me dit :
Je me dirige vers l’entrée pour regarder dans son sac. Je fouille un peu partout pour enfin tomber sur la fameuse carte. En sortant la carte, je la regarde devant, derrière. Belle carte bien faite. Je retourne la carte pour lire ce qu’il y a dessus « Mike B., décorateur d’intérieur ». Je retourne la carte, car j’y ai vu un message manuscrit.
À ma plus grande surprise, voici ce qui est écrit « À très bientôt, petite colombe ».