n° 18956 | Fiche technique | 33318 caractères | 33318Temps de lecture estimé : 20 mn | 17/04/19 corrigé 06/06/21 |
Résumé: Ce soir, je suis contente, c'est invitation au restaurant ! Alors qu'il vient de rentrer du boulot, après un gros bisou, mon cher et tendre époux m'annonce en fanfare : Ma chérie, fais-toi belle car j'ai envie de sortir ma pin-up préférée ! | ||||
Critères: fh couple caférestau pénétratio fdanus fsodo | ||||
Auteur : Patrik (Carpe diem diemque) Envoi mini-message |
Avec l’accord de la personne concernée, je me suis amusé à réécrire et à augmenter ce récit dit autobiographique.
Bonne lecture…
Ce soir, je suis contente, c’est invitation au restaurant ! Alors qu’il vient de rentrer du boulot, après un gros bisou, mon cher et tendre époux m’annonce en fanfare :
Comme je suis une jeune épouse aimante et obéissante, je me prépare, avec bien du mal, car, bien sûr, entre les frôlements, les bisous et les caresses intimes de mon obsédé d’homme, j’ai beaucoup de mal à me concentrer et à trouver ce que je vais mettre ! Du coup, pour avoir la paix, je pars m’enfermer dans la salle de bain avec des habits pris à la sauvette. Après quelques essais, j’opte finalement pour une classique robe noire, avec un profond décolleté, orné un collier adéquat : bref sobre, et un petit poil sexy…
Il n’y a pas à dire, le reflet me renvoie une jeune femme qui est loin d’être moche. Il faut dire que je n’ai pas encore atteint la trentaine, aucun enfant, et un mari qui est nettement plus mon amant que mon ami, et qui ne fait pas dans le tiède !
J’avais bien prévu un truc issu du congélateur pour ce soir, mais un restau, ça ne se refuse pas, même s’il est évident que mon homme possède une arrière-pensée dans son caleçon !
Avant de connaître Jean-Louis que je préfère appeler mon gros Loup, j’ai vécu avec d’autres hommes, mais ça n’a jamais été très folichon. Oui, souvent, c’était amusant au lit, mais quand certains bonshommes ont tiré leur coup (unique souvent), eh bien, on n’existe plus, on est devenu invisible. Ce n’est pas le cas de mon gros Loup à moi. Lui, il fait attention à moi, avec toujours une petite attention ci et là. Et je sais que je suis le point central de ses fantasmes. Il est vrai aussi que je ne lui refuse pas grand-chose, et c’est très bien comme ça !
Revenons à nos moutons, ou plutôt à nos habits. Tiens, en parlant de mouton, je m’imagine souvent dans le rôle de la pauvre brebis pure et innocente qui va se faire dévorer toute crue par le grand méchant loup ! Je suis loin d’être tombée de la dernière pluie, d’autant que j’ai commencé jeune, mais ce rôle m’amuse…
Maintenant que mon choix est défini pour l’ensemble, il faut que je songe aux détails invisibles. J’exclus le soutien-gorge pour cause de décolleté. Par contre, j’hésite entre mettre un slip ou pas, je remarque qu’avec les attouchements de mon pervers et mon imagination qui galope, ma chatte est déjà bien trempée ! De ce fait, il faut que je l’essuie. Mais le frottement du gant de toilette m’excite davantage !
Tandis que je suis assise sur le rebord de la baignoire, soudain, il me vient une idée : il y a quelque temps, nous avons passé commande sur Internet d’un coffret plein d’objets intimes à un prix abordable… Je me souviens très bien, quand nous avons déballé le colis, de tous ces jouets aux couleurs fluo, bleu, rose, rouge, et de toutes les formes, grandes, petites, recourbées, étranges. Nous n’avons pas pu nous empêcher de les essayer sur-le-champ, et ma foi, pas un ne m’a déçue !
Après quelques essais en compagnie de mon homme, je lui ai lancé par plaisanterie :
Et il me l’a parfaitement prouvé tout de suite ! Que des bons souvenirs ! Oui, je suis un peu dévergondée, et mon mari est un peu obsédé sexuel, du moins, envers moi. Il faut dire que je m’offre à toutes ses fantaisies, je crois l’avoir déjà dit. J’avoue que je le mène du bout de la queue, queue qu’il sait très bien manier pour ma plus grande satisfaction ! Sans parler de ses dix doigts, de ses lèvres et de sa langue… Nous sommes un gentil couple complémentaire !
Ma décision est prise, je vais mettre une culotte, car je vais me remplir les deux trous du bas avec deux objets, les boules de geisha par-devant et le chapelet par derrière ! Ce sera une première bonne expérience !
Fébrile, je quitte la salle de bain, direction notre chambre, en criant au passage :
J’attends un peu que mon homme commence à se raser. Quand je pense que c’est OK, je m’allonge sur le lit pour procéder aux deux introductions. Malgré mon coup de gant de toilette, ma chatte est toujours aussi trempée, c’est fou ! Je suis très excitée en pensant à ce que je suis prête à faire. Je me masturbe un peu pour aider, ce qui fait que je n’ai aucun mal à enfiler les boules, elles entrent sans effort en moi. Je m’étonne moi-même ! Je me dis que, décidément, je suis une grande vorace, et qu’un beau jour, ou une bonne nuit, ce sont deux bites en même temps qu’il me faudra dans la fente !
Une fois les boules en moi, je prends un peu de ma mouille sur un de mes doigts et je le passe sur mon anus, au creux de la cuvette. Je le titille, je le rentre doucement à l’intérieur, je répète cela plusieurs fois jusqu’à que mon trou soit bien dilaté, et comme je suis très excitée, tout se déroule comme sur des roulettes.
Je fais coulisser le chapelet le long de ma fente afin de l’humidifier avec ma cyprine. Puis, une à une, je glisse en moi les petites boules. Mon cul les absorbe toutes jusqu’à la dernière. Je me sens remplie, comblée. Il ne faudrait pas grand-chose pour que j’aie un orgasme, mais j’entends des pas dans le couloir, alors je me redresse vite fait. Non, je ne veux pas que mon homme découvre mon petit jeu tout de suite !
J’enfile mon slip un peu avant qu’il entre dans la chambre. Je suis assise au bord du lit, son regard admiratif sur moi. J’aime quand il me zieute de cette façon. Tout de suite, le désir se lit dans ses yeux. Il m’embrasse goulûment sur les lèvres puis il descend le long de mon cou pour aller s’enfouir dans mon décolleté. Je me lève lentement, il en profite pour me malaxer les fesses sans vergogne.
Quand il ôte ses lèvres de mes seins, il constate :
Dépité, mon homme fait la moue, mais se fait quand même philosophe :
De voir son air de cocker tout triste me donne envie d’enlever ma petite culotte, mais je me ravise bien vite. Premièrement, j’ai le droit de faire ce que je veux. Et deuxièmement, si l’un de mes petits jouets ne veut pas rester à sa place, ma petite culotte l’empêchera d’aller pointer son nez à l’extérieur !
Nous partons en voiture, j’aime me faire conduire. Au début, avec les vibrations, je ressens une petite gêne qui est bien vite dissipée. Durant le trajet, nous discutons de tout et de rien. Puis je finis par demander :
J’ai ma réponse quelques instants plus tard quand nous nous garons face à un restaurant chinois, où nous sommes déjà venus. J’avais aimé cette cuisine au wok, doublée d’un self plutôt copieux. On choisit ce que l’on veut comme légumes et comme viandes, puis un cuisinier fait cuire le tout avec dextérité devant vous, à grands coups de flammes impressionnantes !
Je suis tout de même un peu inquiète, car il faut aller se servir soi-même. De ce fait, je vais devoir me lever plusieurs fois, et avec tous ces jouets en moi, est-ce que ça ne va pas s’échapper, malgré ma culotte ? C’est la première fois que je fais ce genre de petite folie, mais, en même temps, cela m’excite énormément !
N’empêche que j’aurais sacrément l’air d’une conne si jamais un de mes jouets tombe sur le sol dans tout le monde ! La honte de chez la honte !
Nous passons commande auprès de la serveuse qui est particulièrement mignonne, puis nous allons d’abord nous servir en entrées. Je marche à petits pas jusqu’aux plats situés à l’autre bout de la salle, les boules remuent dans ma chatte au rythme de mes pas, je les sens frotter contre mes parois ! Je serre les fesses pour mieux sentir le jouet dans mon cul, je m’amuse même à dilater et serrer mon anus, tandis que je remplis mon assiette !
Tandis que je fais mon choix parmi les entrées, je sens nettement que je suis en train de détremper à fond ma culotte ! J’adore cette sensation, cela doit se voir sur mon visage, car mon mari me dit en catimini :
Se servant en sauce aigre-douce, mon gros Loup se fend d’un large sourire :
Haussant des sourcils, mon mari et amant s’étonne ; je le sens sincère sur ce coup, cette serveuse n’est pas une rivale. Intriguée, il me questionne :
Je lui explique le point de détail qu’il semble avoir zappé :
Assiette en main, il regarde au lointain, cherchant la serveuse en question :
Mon homme plisse des yeux pour mieux regarder :
Nous retournons à notre table. Étant assise, je ne peux m’empêcher de remuer, j’ai une furieuse envie de passer ma main sous ma robe pour me caresser ! Humm, cette sensation… c’est… comment dire… divin et infernal !
Tout à coup, face à moi, j’entends une voix susurrée :
Il faut que je me calme ! Je ne vais quand même pas avoir un orgasme ici ! Allez, concentre-toi sur ton assiette, d’autant plus qu’il y a dedans plein de choses que j’aime !
L’entrée finie, pardon, les entrées finies, nous attendons un peu pour la suite. Mon gros Loup prend ma main et me chuchote :
Je me souviens de certaines petites folies que mon homme a pu faire à mon encontre, dont l’une, il n’y a même pas une semaine. Parfois, je devrais avoir peur de sortir en sa compagnie, car je ne sais jamais ce qu’il va oser me faire ! Mais je ne déteste pas ce genre de marque d’intérêt à mon égard. Je dirai même que je serais un peu déçue s’il ne tentait rien de cochon !
Soudain, je sens une jambe entre les miennes. J’ai un frisson dans tout le corps, ça m’électrise, j’ai le ventre qui me serre ! Souriant, mon mari me confie :
Soudain, je me lève :
Puis je m’y précipite vite fait ! Arrivée sur place, je me jette un peu d’eau froide sur le visage ! C’est pas possible d’être dans un état pareil ! J’entre dans une cabine de toilette, je m’empare d’un pan de papier puis je m’essuie l’entrejambe : je suis dans un état d’excitation extrême !
Je me demande à quoi sert finalement ma culotte, si ce n’est de me tremper complètement ! Est-ce qu’elle est vraiment utile pour empêcher l’évasion de mes jouets ? Bonne question ! Je souffle un bon coup, je me tapote les joues, prenant un air serein, puis je regagne ma place auprès de mon Loup favori, dans la grande salle. Mon mari m’attend sagement, mais j’ignore s’il en a profité pour zieuter la serveuse durant mon absence. Il me demande :
Une fois de plus, j’ai droit aux grosses flammes quand le cuisinier fait cuire mon repas dans son gros wok. Une sacrée bouffée de chaleur ! Et pas due qu’aux flammes !
Le repas se poursuit, les va-et-vient dans la salle, les caresses que mon homme me procure en catimini, ses mots doux, je n’en peux plus ! Je suis pressée de rentrer à la maison afin qu’il me prenne, qu’il me baise !
Non, pas à la maison, là-toute de suite, dans la voiture, comme deux ados !
Le temps passe interminablement, malgré le fait que j’apprécie tout ce que je mange. Un beignet aux pommes, des litchis, un peu de glace et pour finir, un bon thé à la menthe. Enfin, nous partons ! L’air frais du dehors me fait du bien. Malgré mon envie pressante, je décide d’attendre, nous sommes quand même en pleine ville, ici !
Même s’il est court, le retour me paraît très long, j’ai envie de me masturber, là, dans la voiture, j’ai tellement la chatte en feu ! Enfin, nous arrivons devant chez nous. Mon Loulou ouvre la porte, et une fois dans le couloir, il me prend dans ses bras, il m’embrasse tendrement, puis plus possessivement.
Ardente, je me colle contre lui, je le caresse, je le déshabille à moitié. Il s’exclame :
Impérativement, je prends sa main : direction notre chambre. Je le pousse carrément sur le lit, je n’arrive plus à me contrôler ! Je me jette sur lui, je l’embrasse, je le mords, je le griffe, je finis par clamer, impudiquement :
Fébrile et flatté, mon homme enlève mon slip trempé, ses doigts titillent d’abord mon clitoris en feu, puis descendent plus bas. Après quelques agaceries, il plonge un doigt en moi. Je vois bien que mon cher et tendre est surpris quand il y découvre les boules :
Il tire doucement sur la ficelle qu’il a réussi à capturer. Puis délicatement, il fait glisser les boules dans mon tunnel tout rose. Mouillée comme je suis, elles n’ont aucun mal à sortir ! Puis sa langue lape goulûment ma cyprine. Mon Loup me lèche, me mordille, me savoure, ses mains attrapent fermement et possessivement mes fesses, les pressent, les malaxent ! Quelques instants plus tard, mon homme glisse vers mon petit trou, puis soudain, il s’exclame, relevant la tête :
Taquine, je demande d’une voix polissonne :
Mon homme se redresse, son sexe bien raide et gonflé d’envie. Il se jette sur moi, se vautre sur moi, entrant d’un coup sec dans ma vulve détrempée !
Son beau sexe en moi par-devant, le chapelet toujours enfoncé par derrière, je sens confusément qu’il ne me faudra pas beaucoup de temps pour que je jouisse ! C’est extra d’être ainsi prise ainsi, complètement, totalement, passionnément ! J’adore ce côté à la fois dévoyé et animal, cette jouissance qui émerge telle une grande vague, comme une digue qui cède, depuis tout ce temps que je me retiens !
Mon orgasme fond sur moi, foudroyant, immense, démentiel ! Ce n’est pourtant pas la première fois que je m’offre des ouragans d’enfer, mais ce soit, c’est le Top Cinq ! Mon esprit décolle, tourbillonne, s’abandonne, mon corps tressaille sous mille décharges. Je me dilue totalement dans ce plaisir qui m’envahit, qui me submerge, qui me tue !
Alors que je suis tranquillement alanguie sur le ventre en train de récupérer de tous mes exploits jouissifs, tandis que mon homme caresse longuement et délicatement mon dos et mes fesses, je l’entends me dire :
C’est ainsi que je me retrouve, à quatre pattes, les fesses à l’air, mon gros Loup semble être très intéressé par mon cul tout en rondeurs.
Il me donne une petite tape sur la fesse :
Un peu inquiète, je préviens :
Il capture entre ses doigts la ficelle, puis il tire doucement :
Je sens passer petit à petit le diamètre de la première boule, mon petit trou s’élargit, c’est à la fois étrange et jouissif. Soudain, alors que la tension est forte, un vaste soulagement s’empare de moi, je suis en train de chasser l’intrus en plastique de mon fondement, et ça fait franchement du bien ! Soulagée, je m’exclame sans filtre :
Et joignant le geste à la parole, il s’exécute. À nouveau, je sens passer un deuxième diamètre, et à nouveau, ça me fait un bien étrange quand celui-ci est évacué. Je ne me savais pas si sensible du cul, même si mon gros Loup aime bien fréquenter mon entrée des artistes.
Et ensuite, c’est un festival de sensations quand, une à une, toutes les boules s’extirpent de mon rectum pour émerger dans la lumière. Je ne savais pas qu’enlever un chapelet pouvait procurer ce type de plaisir. Je note ça dans un coin de ma tête.
La dernière boule ôtée, mon Loup s’exclame :
Puis à ma grande surprise, il se lève prestement, quittant la chambre. J’entends un bruit d’eau dans la salle de bain. Il revient peu après, le chapelet humide en main. Sans me demander mon avis, il me retourne telle une poupée, puis il s’amuse à plaquer la suite de boules le long de ma chatte détrempée, faisant coulisser le tout. Le contact répétitif des boules contre mon clitoris me procure à nouveau du plaisir. Mon homme fait coulisser ainsi l’ensemble une paire de fois, puis il arrête son va-et-vient pour suspendre sous mon nez un chapelet maculé de cyprine.
Content de lui, il annonce :
Je me positionne afin de bien présenter mes fesses. Puis sans plus de manière, une première boule entre aisément en moi. Il s’extasie :
Une à une, les autres boules entrent moi avec la même facilité. Du coin de l’œil, je vois bien que mon grand nigaud de mari se régale à enfoncer le chapelet dans mon fondement. Tous les hommes sont de grands enfants, et nous, les femmes, nous sommes leur plus beau jouet !
Soudain, une claque fait vibrer ma fesse :
Il ne répond pas. Je laisse passer le temps, puis intriguée, je le questionne :
Puis il embrasse carrément mes fesses, faisant de gros suçons dessus. Quand je vous disais que c’était un grand gamin, je n’avais pas tort ! Mais je me laisse faire. Je me laisse toujours faire quand on m’adore de cette façon et qu’on me prouve que je suis bandante et excitante !
Enfin, ça dépend quand même avec qui… Je n’offre pas mon petit corps à n’importe qui, j’ai mes préférences. De plus, selon Monsieur le Maire qui nous a mariés, il y a quelques années, je suis censée être fidèle à mon cher mari.
En parlant de lui, j’entends sa voix me dire :
Oui, je suis censée être fidèle, mais parfois c’est difficile quand on entend une histoire de ficelle à la place de mots doux. Enfin bref ! Et encore, je ne savais pas ce qui allait venir ! Mon cher mari vient de se découvrir une nouvelle lubie :
Je m’exécute, mettant mon cul en buse, fesses écartées afin de faciliter la sortie du chapelet. Mon homme tire dessus lentement, une première boule s’échappe. J’aurais juré entendre une sorte de « plop » quand elle est sortie ! En tout cas, la sensation n’est pas désagréable ! Curieusement, elle est différente de tout à l’heure, je ne saurais expliquer pourquoi…
Une deuxième boule force graduellement la sortie, mon homme fait exprès d’en retarder l’échappatoire, la laissant s’installer à l’orée de mon anus. Alors je pousse un peu afin qu’elle s’évade de mon rectum. Amusé, mon mari déclare :
La troisième boule s’échappe à son tour, me soulageant une fois de plus. Curieux effet que de sentir des petites balles s’évader de ses profondeurs ! Chose confirmée par la quatrième boule.
Je rougis, une conséquence pas prévue ! Mon mari me rassure à sa façon :
Puis il tire en continu sur le chapelet pour extraire à la file les dernières boules. Une fois de plus, ça me fait un certain effet ! À nouveau, une à une, je sens distinctement les diamètres s’expulser de mon fondement, avec, à chaque fois, cet étrange petit plaisir diffus. La dernière boule sortie, je soupire d’aise, j’ai la nette impression que mon petit trou est devenu nettement moins petit !
Après s’être un peu agité derrière moi, mon mari me le confirme :
Sans attendre ma réponse, il se positionne à mon entrée des artistes, puis il s’engage fermement en moi jusqu’à mi-garde. Un peu étonnée, je constate que sa bonne queue est entrée en moi avec facilité ! Il est vrai que je suis restée bien ouverte, et qu’il a dû mettre du lubrifiant, si j’en crois ce qui dégouline le long de ma cuisse.
Mon gros cochon s’exclame :
Il ne répond pas à ma petite provoc. Agrippant mes hanches, il commence à coulisser en moi, s’enfonçant davantage à chaque coup de boutoir :
Tout en me ramonant de plus belle, mon homme affirme :
Puis il commence une chevauchée fantastique, un limage en règle de mon cul, mon corps ballotte dans tous les sens sous ses va-et-vient, c’est pire encore pour mes seins qui s’entrechoquent joyeusement ! Mes doigts détrempés s’activent dans la fente en folie, je sens que je vais m’offrir dans peu de temps un orgasme d’enfer !
Mon cul qui brûle, ma chatte en feu, mon corps qui tressaille, mes nichons qui valdinguent, je sens venir en moi à nouveau cette fameuse vague que j’aime tant. Je sens aussi que, cette fois-ci, elle sera encore plus dévastatrice, animale, bestiale !
Avant de me laisser aller complètement dans le stupre et la débauche, je songe qu’il aurait été amusant que je me fasse prendre impudiquement de la sorte sur la table en plein restau chinois…