n° 18957 | Fiche technique | 29440 caractères | 29440Temps de lecture estimé : 17 mn | 18/04/19 |
Résumé: Quand Maya prend le train, elle ne s'attend pas du tout à vivre une aventure. Une rencontre inattendue avec un jeune couple va pimenter le trajet | ||||
Critères: fplusag jeunes inconnu voyage train voir exhib noculotte intermast fgode fdanus fsodo jouet -occasion | ||||
Auteur : Lexdepenny Envoi mini-message |
Avec un grand merci à Claude pour ses suggestions et améliorations.
Maya embrasse son mari et se dirige le long du quai pour trouver son wagon et sa place. Avec son mètre soixante-seize et ses soixante et un kilo, Maya vaut bien la peine qu’on l’observe et Éric constate qu’il est loin d’être le seul homme à suivre du regard la silhouette fine de cette dame élégante à la démarche souple. Sa jupe mi-mollet en laine gris-foncé, le mouvement de ses fesses et la doudoune qui s’arrête à sa taille ne font qu’en accentuer la finesse.
Maya ne part que cinq jours, rendre visite à une vieille amie qui s’occupe de ses moutons et chèvres sur le flanc d’une montagne en Auvergne. Comme elle ne fait pas souvent des voyages en solitaire, Éric a choisi de l’accompagner jusqu’au train. Il affiche un petit sourire : si seulement tous ces messieurs qui couvent son épouse des yeux l’avaient vue hier soir…
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Elle est déjà à moitié déshabillée, en soutien-gorge et slip.
Éric ferme la porte de leur chambre pendant que Maya finit de se mettre nue. Éric l’imite.
Maya fait oui de la tête et lui offre un grand sourire.
Éric sort quand même une écharpe en coton épais d’un tiroir et bâillonne sa femme. Maya se met en position pour être prise en levrette, en cambrant bien le dos. Lui, siffle à la vue provocatrice qu’elle lui propose, monte derrière elle et la pénètre d’un seul coup. Le gloussement qu’émet Maya est témoin de son plaisir à sentir ce sexe bien dur glisser en elle. Pendant quelques minutes, seul le grincement sourd du lit accompagne les poussées d’Éric. Puis, incapable de parler, Maya fait un geste de la main vers la table de nuit : Éric comprend tout de suite. Il ouvre le tiroir et en sort un gode. Lequel a vingt centimètres de longueur pour un diamètre de quatre. Ce n’est ni le plus long ni le plus gros de la collection toujours croissante de Maya, mais c’est celui qu’elle privilégie depuis quelques jours. Éric l’enduit de lubrifiant et, sans crier gare, l’enfonce jusqu’à la butée dans l’anus de son épouse dont la plainte incohérente à être aussi brusquement remplie est largement étouffée par l’écharpe autour de sa bouche.
Maya écarte l’écharpe juste assez pour lui marmonner :
Éric reprend position et engloutit à nouveau son sexe dans le vagin de Maya. Maintenant, à chaque poussée, il appuie avec son pouce sur le bout du gode. Le temps passe. Les gargouillements de sa femme rassurent Éric que Maya apprécie ses efforts. Il fait durer le plaisir autant que possible.
Maya s’arrache le bâillon et prend le sexe rigide et gluant de son mari entre ses lèvres. Quelques va-et-vient suffisent pour qu’il lui remplisse la bouche de semence qu’elle avale goulûment.
Ils reprennent haleine, et puis c’est au tour d’Éric de lécher et de sucer le sexe de Maya, pendant qu’elle joue avec le gode qui la fouille derrière. Deux orgasmes plus tard, elle lui tapote gentiment sur le crâne. Il lève la figure d’entre les cuisses de Maya.
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Éric secoue la tête pour se remettre au présent et va repêcher ses filles à leur leçon de natation à la piscine.
Arrivée à Paris, Maya a deux heures à passer avant le départ de son train vers le Sud. Elle en profite pour faire un tour dans la librairie de la gare et acheter un livre qu’elle a envie de lire depuis un moment. La vie sexuelle de Catherine M lui rappelle que, même si les circonstances ont récemment encouragé Maya (avec l’accord enthousiaste d’Éric !) à explorer une sexualité bien plus recherchée, elle est encore débutante face aux expériences d’exhibition et d’échangisme entre autres, que sa meilleure amie, Gaëlle, a vécues, sans parler des folles soirées de Catherine Millet.
Maya monte dans le train.
Deux heures plus tard, elle descend du TGV et cherche le quai d’où partira l’autorail vers la petite halte où Alphonsine l’attendra avec sa vieille camionnette. Il neige, et Maya se dépêche de se mettre à l’abri du vent glacial. La salle d’attente est bondée et elle doit se faufiler parmi des voyageurs aussi emmitouflés qu’elle pour trouver de la place.
L’autorail arrive et tout le monde se précipite pour y monter. Dans le petit train à deux voitures, Maya doit rester debout jusqu’au premier arrêt. Ensuite, elle a droit à une place assise et le chauffage lui permet d’enlever sa doudoune. Deux arrêts plus loin, elle est presque seule dans le deuxième wagon. Presque, parce que juste derrière elle, il y a un couple. Elle ne les voit pas, mais elle sait qui ils sont. Elle les a repérés dans la salle d’attente. Ils sont jeunes : lui, pas plus de vingt ans, elle, sûrement moins, mais c’est la façon dont ils sont habillés qui a frappé Maya.
La fille, petite et rondelette est tout en noir : veston en cuir, jupe courte, collant épais (avec un trou à la cuisse). Ses yeux sont maquillés en noir aussi, tout comme son rouge à lèvres. Rouge à lèvres noir, ou noir à lèvres, se demande Maya, car la déformation professionnelle des enseignants ne dort jamais ! Le jeune homme a le même style, pas de veste, malgré la saison, tee-shirt troué, noir évidemment, jean déchiré au genou, cheveux dressés en crête iroquoise verte. Tout cela leur donne un air agressif et Maya ne se sent pas à l’aise, ainsi seule, car le contrôleur a disparu dans l’autre wagon.
Elle rencontre des jeunes semblables tous les jours dans son collège, mais là alors, elle est chez elle, Madame la Directrice, alors qu’ici… Elle se replonge dans les aventures de Catherine Millet, mais n’arrive pas à se concentrer. Elle pose le livre sur la banquette et ferme les yeux.
Elle est sur le point de s’endormir quand elle sent que l’un des deux vient de l’espionner par-dessus la banquette. Elle garde les yeux fermés, mais écoute attentivement.
Sa voix, cultivée et douce, est en contraste bizarre avec l’allure gothique qu’elle affiche
Maya, outrée, est sur le point de faire irruption dans leurs réflexions qui passent tellement à côté de la vérité, mais elle se calme, pour apprendre la suite. Le fait que cette Goth porte le même prénom qu’une de ses filles l’enquiquine un peu quand même.
Sophie soupire.
Maya entend les bruits d’un paquet qu’on ouvre, puis c’est le silence, jusqu’au moment où Sophie s’exclame :
Maya se met à genoux sur la banquette et regarde. Entre les deux têtes, elle voit un magazine porno ouvert sur les genoux de Marc. À la page qu’ils regardent, une fausse blonde aux seins massivement siliconés suce un pénis hors-norme, pendant que d’autres mains écartent les lèvres de son sexe pour y plonger un gode monstrueux.
Le jeune couple sursaute. C’est Sophie qui se remet la première.
Elle montre fièrement son alliance.
Sophie et Maya éclatent de rire toutes les deux à entendre cette formule de politesse bien cérémonieuse en pareille situation. Maya descend de sa banquette et vient rejoindre Marc et Sophie.
Sophie lui fait signe de s’asseoir.
Marc ne dit plus rien.
Marc la regarde d’un air intrigué et fouille dans le paquet.
Maya ne s’en étonne pas. Son amie Gaëlle ne lui a-t-elle pas dit un jour :
Marc sort un vibromasseur. Vu la situation, Maya se dit que continuer à vouvoyer ces jeunes lui semble bête.
Sophie rougit. La pauvre ! Elle ne doit pas avoir l’habitude de ce genre de conversations, et surtout pas avec une inconnue. Marc sort un autre emballage du paquet. Maya lit les mots en anglais : Advanced butt plug. Il ne ressemble pas tout à fait à celui avec lequel on lui a pris sa virginité anale, il y a à peine six mois. Rien que le souvenir de cette soirée-là la fait frissonner. Elle regarde le machin de plus près. Il est muni d’une espèce de boucle, assez grande pour laisser passer un doigt. C’est donc un plug qui donne le contrôle à la personne qui le tient, plutôt qu’à celle, ou à celui qui est pénétré. Maya le sort de son emballage.
Elle choisit de s’adresser à Marc, parce qu’il y a de fortes chances que Sophie lui dise non, alors que Maya est certaine que Marc ne refusera pas. Il hausse les épaules :
Maya sent qu’elle rougit. Marc continue :
Ah ! L’impétuosité de la jeunesse ! Maya se sent déchirée. Elle sait que sans doute Gaëlle aurait relevé le défi sans hésiter, mais elle, n’est pas son amie et son envie de réagir à la provocation de Marc est retenue quelque peu par la gêne. Elle n’a jamais imaginé une situation pareille, même pas en fantaisie avec Éric.
C’est la pensée de la réaction de son mari si elle avait une telle aventure à lui raconter qui la décide :
Gaëlle lui a parlé de ces moments où des papillons se mettent à voler dans son ventre, mais c’est seulement maintenant que Maya comprend tout à fait ce que son amie a voulu dire.
L’expression au visage de Marc est intense.
Sophie tape avec un doigt sur la bosse qui s’est développée dans le jean de son mari.
Maya est très consciente qu’elle n’est pas habillée pour une expérience sexy. Jamais elle n’aurait cru qu’un voyage dans une région rurale de la France au plus profond du mois de février mènerait à une rencontre érotique. Sous sa jupe en laine, elle porte de longues chaussettes et un slip, noir, certes, mais aussi quotidien que possible. Elle s’écarte du couple, leur tourne le dos et glissa ses mains sous sa jupe. Enlever son slip sans l’accrocher à ses bottes exige de la concentration à cause du mouvement du train et elle sait qu’elle n’a pas été formidablement élégante quand elle arrive enfin à extraire le bout de coton noir d’autour de ses chevilles. Elle se retourne pour faire face à Sophie et Marc et voit, au regard du couple, que ce n’est qu’à ce moment-là qu’ils se rendent tout à fait compte de ce qu’elle va faire et… qu’ils se sont engagés à faire pareil !
Maya range son slip dans son sac à main et sort son flacon de crème de nuit.
Sophie, elle, fait juste oui de la tête.
Ah, Sophie ! Ça te fait quand même un peu peur, pense Maya en s’allongeant sur la banquette en face d’eux.
Elle applique soigneusement de la crème sur le plug, plie les genoux et remonte un peu sa jupe, mais sans rien montrer. Sans regarder, elle fait passer le plug entre ses jambes. Oh, là là ! Qu’est-ce que je suis mouillée ! Oups !
Maya sursaute : le plug a frôlé son clitoris enflé au passage. Elle fait glisser le plug plus bas et se l’enfonce entre les fesses. Elle détend ses muscles et pousse doucement jusqu’à ce que le plug dépasse le sphincter. Une fois cela fait, la forme du plug l’attire automatiquement vers l’intérieur et il s’installe en elle. Il est moins gros qu’elle n’avait prévu et elle prend un moment pour savourer la sensation agréable qu’il lui procure.
Marc commence à se lever.
Sophie mène Maya de l’autre côté de la banquette.
Que ferait Gaëlle ? Certainement, tout un show ! Essayons d’en faire autant !
Maya commence à relever sa jupe. Elle entend la respiration rapide de Sophie qui a le regard fixé là où la vue va accéder des chaussettes à celle de ses cuisses nues. Maya arrête un instant la montée de la jupe, puis, d’un seul coup, la relève jusqu’à sa taille, révélant son sexe et la ligne fine de poils qui est tout ce qu’elle garde de sa toison pubienne. Sophie pousse un petit cri et couvre sa bouche de la main pour ne pas clamer plus fort sa surprise. Elle tend la main presque involontairement vers le sexe de Maya, puis s’arrête, hésitante. Maya lui prend les doigts et les approche du sexe qu’elle offre. Elle ferme les yeux de plaisir quand elle sent les doigts courts et dodus de Sophie qui touchent, puis palpent ses lèvres gonflées et moites. Ils glissent plus loin entre ses fesses et trouvent le plug.
Sophie passe un doigt dans l’anneau et tire doucement dessus. Maya gémit. Le plaisir est intense et ses genoux fléchissent. Sophie la regarde dans les yeux pendant qu’elle essaie quelques va-et-vient timides avec le plug.
Sophie lâche prise et retourne s’asseoir avec Marc pendant que Maya retire le plug et l’essuie.
Il tend la main vers le plug, mais Sophie intervient :
Maya tire alors sur le bas du tee-shirt de la jeune femme pour le sortir de la jupe et glisse sa main sous le ventre dénudé.
Sophie obéit, se calme et Maya sent avec plaisir la peau chaude et douce sur sa main. Elle passe le plug entre les cuisses de Sophie, l’utilise pour se frayer un chemin dans la touffe épaisse, caresse le sexe trempé de la jeune femme avant de continuer son chemin entre les fesses.
Sophie fait oui de la tête, mais sursaute quand le plug touche son anus. Maya attend que Sophie se détende de nouveau, puis, sans forcer, elle met juste ce qu’il faut de pression pour que la jeune femme accepte le plug. Sophie gémit une première fois quand son sphincter commence à céder, et de nouveau quand le jouet glisse inexorablement au fond d’elle.
Maya attend une minute avant de retirer le plug. À la grimace qui déforme son visage, Sophie trouve les sensations que cela lui procure bien moins agréables, mais elle remonte son collant, se rassied, avant de s’adresser à son homme :
Marc se couche sur le dos. Maya est assez surprise quand il baisse son jean et son caleçon avec enthousiasme, ce qui libère une impressionnante érection.
Maya en ressent une toute petite pointe de jalousie : Marc a un beau sexe, long et légèrement courbé, une érection splendide et elle a l’eau à la bouche à l’idée de le sucer.
Profitant du fait que Sophie tient aussi les testicules de Marc à la main, Maya enfonce le plug. Marc ne réagit pas tout de suite et Maya a le temps d’admirer la technique de Sophie. Elle observe les muscles de sa gorge qui travaillent et le souvenir de sa soirée Glory Hole fait trembler Maya d’excitation, comme toujours. Elle sent que l’orgasme de Marc est imminent et elle joue avec le plug, le tirant, le poussant et l’agitant.
Marc jouit.
Sophie avale une première fois, puis de nouveau. Une goutte de sperme fuit d’entre ses lèvres et elle l’essuie avec son doigt. Involontairement, Maya se passe la langue sur les lèvres.
Oh, j’aurais tant aimé avoir la bouche pleine de lui ! Regardez-la, comme elle lui aspire tout, madame Sophie !
Laquelle lui jette un coup d’œil et lève un sourcil :
Le train commence alors à ralentir.
Marc remonte déjà son caleçon et son jean.
Les lumières de la petite halte illuminent le wagon et Maya se presse de ramasser ses affaires. Elle se relève et trouve Sophie, qui lui tend la main.
Maya est sur le point de rire. C’est un peu comme si ce jeune couple s’était perdu dans un pays étranger et qu’elle, une inconnue, leur aurait montré le bon chemin. Et… finalement, ce n’est pas trop loin d’être le cas.
Ensemble, ils descendent sur un quai gelé. Maya ne voit pas Alphonsine. Cela l’inquiète. Sophie et Marc sont en train de se faire embrasser par une dame plus âgée. Puis Marc l’appelle :
Ils la suivent au parking où une grande bonne vieille Renault les attend.
La voiture se met en chemin dans un noir des plus profonds. Bien au chaud sous le grand duvet, Maya devine que Marc est en train de faire quelque chose à sa chérie, qui se tortille comme un ver. Soudain, une main cherche la sienne et la tire vers Sophie, qui est assise au milieu. La main, celle de Marc, (Maya s’en doute bien), s’appuie sur la sienne et la plaque sur une peau nue et chaude. Le collant de Sophie est autour de ses genoux.
Il m’invite à la caresser ? Volontiers !
Maya promène ses doigts vers le haut des cuisses de Sophie et trouve sa toison. Marc enfonce la main de Maya entre les cuisses largement écartées de sa femme. Marc et Sophie s’embrassent avec fougue et bientôt Sophie jouit, laissant Maya avec une main trempée et parfumée. Elle l’essuie avec son mouchoir, mais sans beaucoup de succès.
Maya se détend de nouveau, mais avec la tête qui ne cesse de revivre les événements de ce voyage extraordinaire. Très vite, elle sent des mains qui tirent sa jupe. Laquelle est bientôt remontée jusqu’à sa taille. Consentante, voire impatiente, Maya écarte ses jambes et se couche un peu en arrière.
Sophie l’explore doucement. Elle trace les grandes, puis les petites lèvres du sexe, puis se met à titiller le clitoris qui est complètement distendu. Sophie, le prenant entre pouce et doigt, le masturbe, tel un minuscule pénis. Je vais jouir, je vais jouir ! L’idée de cet orgasme imminent fait trembler Maya. Faut surtout pas brailler, Maya !
Quand Sophie lui plonge plusieurs doigts dans le vagin, Maya ne résiste plus et jouit. Les vagues de contractions qui crispent les muscles de son estomac la plient presque en deux et elle ne peut s’empêcher de gémir, malgré ses dents serrées et la main qu’elle appuie contre sa bouche…
Sophie remet la jupe de Maya en place et lui tape gentiment sur la cuisse, comme pour lui dire qu’elle fait bien les choses.
Quel bijou que cette Sophie ! Tu as un trésor sexuel comme femme, Marc.
Au loin, on voit la lumière d’une lanterne. Quelques minutes plus tard, la voiture s’arrête devant la ferme d’Alphonsine. Maya sort de la voiture et Berthe lui tend la main. La droite heureusement : la main gauche de Maya porte toujours les traces poisseuses du jus de Sophie.
Maya en est ébahie :
Quand je pense à moi, qui à dix-huit ans, n’avais pas encore connu mon premier amant ! Et ma première expérience avec une femme qui ne remonte qu’à l’année dernière ! Chapeau, madame Sophie. Quelle insouciance, dans une femme si jeune. J’aimerais bien savoir où ton histoire avec Marc va vous mener !