n° 18968 | Fiche technique | 16733 caractères | 16733Temps de lecture estimé : 10 mn | 26/04/19 |
Résumé: La voiture d'un père de famille est percutée par une jeune femme particulièrement originale. | ||||
Critères: fh hplusag jeunes dispute miroir préservati pénétratio fouetfesse confession -occasion | ||||
Auteur : Patrick de Toscane (Patrick, 51 ans et doux rêveur...) Envoi mini-message |
Comme chaque matin à 8 h 30, je suis pris dans les embouteillages de ce p… de rond-point miniature qui pénalise les manœuvres des routiers. Cette plaie me permet de m’évader et de méditer sur les contrariétés suscitées par le désir de ma grande fille de se libérer d’une maison qui l’a vue grandir !
Par magie, la circulation se fluidifie un peu et je peux enfin passer la 3e, mais… j’ai trop rêvé ! Un camion s’impose avec autorité et je donne une petite touche sur les freins ; mon Alfa est brutalisée et ballotte de l’arrière, petit choc…
Un coup d’œil dans le rétro, je ne distingue pas l’énergumène qui dormait au volant et, hypnotisé, je descends pour constater les dégâts. Rien de grave ou presque ! Pour nous deux, juste des morceaux de peinture éclatée sur les deux pare-chocs et je lève un regard inquisiteur en direction… d’une chevelure mauve… d’un corps malingre… C’est une femme ! Une fille plutôt ! Gros coups de pinceau sur les paupières. De taille moyenne, quelle maigreur ! Elle est vêtue d’une jupe écossaise et d’un collant à mailles noir.
Elle marche vers moi…
Elle détaille le pare-chocs de ma voiture, puis de sa petite Fiat 500 et soupire en pinçant ses lèvres pourpres.
Un klaxon me laisse de marbre, mais pas elle… qui se tourne immédiatement vers les véhicules qui ne lui sont pas nécessairement hostiles.
À l’avant, la circulation a repris.
Un silence s’impose, une boule naît dans ma gorge, alors qu’elle marche vers sa porte pour… Je la colle…
Je marque une hésitation…
Elle s’assied sur le siège conducteur et fouille le vide-poche passager. Ses bras nus sont tatoués et ses cuisses naturellement ouvertes me confirment qu’elle ne porte pas de bas. Un brin gêné, je détourne le regard, pendant qu’elle note quelque chose sur un bout de papier.
Elle se lève et place ses papiers dans ma main. Pour la première fois, nous croisons nos regards et je comprends que ce n’est pas une mauvaise fille.
Elle remonte dans sa voiture : qu’est-ce qu’elle est maigre ! Le regard sévère, elle déboîte de derrière moi et « s’envole » vigoureusement.
Arrivé à mon bureau, je détaille son 06 que j’entre dans mon portable et regarde son identité : Gwen Philippe, 19 ans, elle habite dans les hauteurs de la ville et visiblement dans le quartier chic.
La journée passe comme celle d’hier. À midi, je déjeune avec Chris, ma secrétaire de direction.
À 16 h, j’appelle le numéro de Gwen pour fixer un lieu, afin de remplir le constat. Je tombe sur sa messagerie ! Agacé, j’essaye une seconde fois et là, je laisse un message.
Deux minutes plus tard, c’est mon portable qui sonne :
Distraite, elle semblait conduire…
Son arrogance me coupe le souffle et elle abrège en me raccrochant « au nez ».
Rue Mermoz, la résidence des bastides, je stationne ma voiture sur une place "visiteur" située non loin du 34. Je sonne à l’Interphone : pas de réponses, mais le simple claquement d’ouverture de la porte.
Au deuxième, je sonne et la porte s’ouvre immédiatement sur elle. Elle porte un horrible t-shirt qui lui colle à la peau et sa jupe courte.
À peine ai-je remarqué son chewing-gum que j’identifie une cicatrice irrégulière sur son poignet droit.
Elle referme et s’en va devant moi, aérienne, son squelettique bassin servant de métronome.
Nous entrons dans la pièce principale, cuisine ouverte sur le salon. Au centre de la pièce, une table et quatre chaises. Seuls les trois miroirs attestent de l’originalité de la propriétaire des lieux.
Elle rit…
Côte à côte, nous nous arrêtons devant la table où est posée sa carte verte : elle a rempli sa partie du constat.
Une corvée, ces constats, mais comme elle a correctement rempli sa part, la mienne est en bonne voie. Elle revient avec une tasse de café et un petit-beurre, histoire de ne pas prendre de poids ? Elle s’agenouille sur cette chaise presque en face de moi et pose ses coudes sur la table : je m’interdis de lever le regard. Oui ! Je ne l’avais pas remarqué ce matin, mais malgré sa maigreur, j’envisage un bonnet B sous son t-shirt et même… pas de bonnets ?
Patrick ! Tu n’es pas là pour cela ! Je détourne le regard vers le miroir derrière elle : il renvoie l’image de ses fesses dévoilées se dandinant : je n’imaginais pas qu’un collant pouvait être aussi… moulant ! Je ne devine pas de string prisonnier. Ne pas penser à mal !
Elle tourne mollement la tête vers le reflet.
Elle m’agace cette… Elle me fait prendre dix ans et voilà qu’elle glisse son biscuit entre ses lèvres pourpres… Sa langue timide et fragile se tord ; nos regards se croisent… se défient…
Je n’en peux plus, ma respiration s’est accélérée et je suis à deux doigts de…
Elle provoque mon regard que je viens d’ôter de ses fesses.
Gwen me fixe du regard, surprise, agacée et baisse les yeux. Moins prétentieuse… Elle quitte le tabouret.
Enfin, je soupire… sauvé… Pas envie de passer pour un pervers de cinquante balais s’envoyant avec une goth de vingt ans !
Gwen traîne les pieds jusqu’au bar, son derrière insignifiant flotte…
J’ai senti des trémolos dans sa voix, elle prend le coupe-papier sur le comptoir et l’inquiétude m’oblige à me lever et à la rejoindre.
Elle lève ses grands yeux charbonneux vers moi, ils semblent immenses et j’y devine une interrogation.
La satisfaction illumine son visage et elle esquisse un sourire.
Elle rit…
Sûre d’elle, le dos tourné, elle saisit une enveloppe et l’ouvre… Les courbes de son corps en mouvement perpétuel me rendent fou !
Elle tourne la tête et me toise par-dessus son épaule. Pffff… dit-elle… J’ai déjà une main sur sa fesse gauche : elle sursaute… et je remonte un peu plus sa jupe pour découvrir son collant et un string. Je baisse l’ensemble jusque sous les fesses et sans prévenir, je caresse sa peau fraîche : je suis à l’étroit dans ma braguette ! Je claque fermement la miche droite : Gwen sursaute en poussant un râle.
Elle cambre un peu plus son derrière vers moi pour recevoir une seconde claque bien ferme.
Elle pousse un petit rire de personnage de dessin animé… Une troisième frappe bien lourde fait valser sa petite miche…
Ses miches virent déjà et la forme de ma main apparaît… Je passe mes doigts guérisseurs sur la douceur à présent brûlante de sa peau. Que fais-je ? Je bande trop fort pour en rester là et pourtant, l’absence de capote ne me laisse augurer qu’une simple fellation pour terminer cette entrevue ! Ma main remonte sur ses épaules…
Malgré la lourdeur de ma main, elle ne s’exécute pas… Elle penche la tête sur le côté, effleure mes doigts…
Une bouffée de chaleur s’empare de mon visage et ma queue se déploie avec indécence dans mon caleçon.
Je claque fermement sa miche et perds la tête : je m’accroupis, le visage en face de sa raie que je dégage pour découvrir une vallée lisse et deux orifices… Sa chatte coule et je ne résiste pas à coller ma bouche pour vérifier le goût de sa moule…
Hum… Mon Dieu !
Je me laisse guider par ma folie… Ma langue se plante dans sa fente obèse, je la fouille avec gourmandise… Son derrière danse la lambada, elle soupire – pour de vrai – et je dois être bon, car elle se cramponne…
Je suis trop excité, je déballe ma pine et me branle : va falloir que je la baise, cette ingénue perverse !
Soudainement, elle glisse d’entre mes mains et se défile… s’en va… !
J’empoigne ma crosse tétanisée et la branle un coup en me regardant dans le miroir sur le vaisselier : putain, je n’ai pas bandé aussi fort depuis l’armée !
Ma goth sort du couloir à petites foulées, mais… elle est complètement nue, juste habillée de ses tatouages et son piercing traversant ses tétons. Je savoure son corps et surtout ses seins opulents et bien fermes, avant qu’elle ne me glisse un préservatif au creux de la main.
Nous croisons nos regards, elle sourit :
Elle colle son chewing-gum sur la table et fait soudainement « l’ascenseur » et s’accroupit devant mes jambes, je sens ses doigts froids sur mon sexe avant la chaleur de sa bouche de coton. Le son se joint à la vue : elle m’aspire, me tète… hoooo… hmmm… à ce rythme, je ne serai pas le hardeur de ses films, il faut qu’elle se calme la petite, sinon je vais gicler dans sa bouche ; je pense à autre chose… mais la réalité est mémorable.
Nerveusement, je saisis son poignet, nos regards se croisent et je l’emmène vers la table, son énergie muselle mes fantasmes et elle s’assied sur le rebord de la table… Les genoux relevés et le regard gourmand sur ma pine sur laquelle je déroule mon préservatif… Elle doit être fan : en moins de temps qu’il n’en faut, elle ceinture ma taille et je fais rebondir mon gland sur ses grandes lèvres, avant de le caler sur sa source… je pousse… et entre… pour m’introduire jusqu’à la garde. Nom de dieu ! Que c’est bon, une jeune chatte. Mon cœur cogne, elle se mord les lèvres et soupire, se cale sur ses coudes. J’entame quelques délicats va-et-vient, pour apaiser la bête en moi… Ses seins droits commencent à s’agiter sous mes yeux.
À chaque coup de reins, elle manque m’échapper et je suis obligé de saisir ses hanches avec mes deux mains.
J’accélère mes coups de reins… Oui ! Je suis un salaud, je pourrai faire durer, mais je suis en feu !
Je distingue mille choses perverses dans son regard et je capitule, grogne et elle sait que le point de non-retour est franchi ; je ferme mes yeux et me plante au fond d’elle, le gland tendu délivrant mon excitation… deux… quatre… six… fois ! Je suis bien en elle ! Nos lèvres s’effleurent, mais Gwen se dérobe pudiquement…
Je me retire précautionneusement… et retire la capote de ma pine… sensible…
Sa respiration s’accélère en même temps que ma sève coule plus épaisse sur sa langue tendue, avant de glisser sur son menton et filer sur sa poitrine…
Je remonte mon pantalon et m’en vais jeter la capote dans la poubelle de la cuisine. Lorsque je reviens, je la vois indécemment allongée sur la table.
Pendant que je finis de remplir le constat, elle disparaît pour ne revenir que cinq minutes après la fin de mon devoir du soir.
Une robe de chambre trop grande, elle termine :
Comme si rien ne s’était passé, nous signons le constat et elle me raccompagne à la porte.
Pourquoi avais-je profilé une nouvelle tromperie ? Elle dépose un baiser sur ma joue et me laisse m’envoler.
FIN