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n° 18975Fiche technique69369 caractères69369
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Temps de lecture estimé : 48 mn
05/05/19
Résumé:  Un peu de science f(r)iction et de fantastique.
Critères:  #sciencefiction #fantastique #totalsexe fh ff ffh jardin travail douche exhib nudisme fmast intermast cunnilingu anulingus 69 fgode légumes pénétratio double fdanus fsodo jeu sm fouetfesse
Auteur : Katzou      Envoi mini-message
Janus

Clara travaillait aux espaces verts de la ville et elle aimait cela. Elle adorait ce boulot, physique et difficile, fatigant, mais elle était au contact de la nature, même si cela n’était pas vraiment celui qu’elle préférait. Chargée de la mise en place des plantations de la ville, elle devait manier très souvent bêche et râteau tout en étant secondée par les outils motorisés modernes.


Les hommes la regardaient toujours avec envie et certaines femmes aussi, mais elle ne se trouvait pas jolie. Grande, brune aux cheveux courts, elle avait un look androgyne qui la désespérait. Cependant son opinion n’était pas des plus justes, car elle était fine et souple, sportive et cultivée et, en bref, c’était une très jolie fille un peu seule et complexée, introvertie, ce qui expliquait sa virtuosité avec les râteaux…


Elle était encore jeune, pas la trentaine, et aimait regarder ses collègues principalement masculins. C’était le seul point noir, ses collègues hommes… un peu trop beauf à son goût, elle y reconnaissait souvent les personnages justement plantés par un célèbre duo d’humoristes à l’accent chantant du sud. Mais elle s’y faisait et puis il y avait une exception, enfin, deux, mais l’autre était une femme…


Max, il s’appelait Max, un garçon gentil et équilibré, sympathique et beau comme un dieu à ses yeux (et à ceux des autres filles aussi…)


Il restait toujours très professionnel et ne cédait jamais aux avances parfois éhontées des collègues femmes de Clara. Il devait être seul, mais Clara en doutait fortement. Elle s’en était déjà ouverte à Mia son amie au sein du service, sa seule amie.


C’était l’autre collègue intéressante du service. Elle avait son avis sur la question et pensait que Max faisait partie d’une secte ou ce genre de chose. Mia ne trouvait pas normal qu’il lui résistât aussi longtemps. Il est vrai que Clara l’avait vue déployer des trésors de tactiques afin de faire céder Max et aucune n’avait vraiment réussi. Il restait de marbre devant les efforts laborieux de Mia. Son absence totale de culotte, slip, string ou soutien-gorge, ses allusions discrètes à son état de célibataire peu effarouchée, ses positions souvent scabreuses, les revues érotico-limites qu’elle abandonnait derrière elle : rien ne le faisait fondre. Seule Clara avait remarqué des quarts de sourires, des regards amusés que Max lui jetait. Clara était sûre et certaine que le jeune homme aimait bien Mia et peut-être elle, aussi. Ce qui l’embêtait c’était justement ce « bien ». Elle n’était pas jalouse, elle se désolait elle aussi de ne pas attirer l’attention de Max, mais ne faisait rien de particulier pour cela tout en se disant qu’elle devrait peut-être.


Clara avait constaté qu’elle-même ressentait de l’attirance pour Mia, s’étant surprise à admirer sa ligne, regarder avec insistance sa jolie poitrine découverte par des décolletés profonds et à l’imaginer – sans grande peine – nue sous ses robes. Mais cela restait des regards, sans plus. Mia était si belle que cela n’était pas péché, pensait-elle. Clara aimait la photo et surtout le nu, masculin bien sûr et aussi féminin. Elle n’avait jamais pratiqué, mais collectionnait les ouvrages et possédait quelques tirages qu’elle aimait.


Mia travaillait aussi au contact des plantes : c’est elle qui concevait les parterres de toute la commune et il y en avait des dizaines. Mia connaissait presque tout de toutes les plantes et pouvait citer leurs noms savants en latin ainsi que leurs noms communs. De plus, elle avait un don pour le dessin et Clara s’extasiait devant les plans en couleur qu’elle faisait des parterres fleuris. Elle dessinait avec virtuosité et pas seulement les fleurs, c’était une portraitiste avérée. Mia entretenait un rapport spécial avec la nature, elle n’était pas vraiment écolo, mais pas loin : pas de voiture, un vélo et un goût immodéré pour le sport ce qui expliquait sa silhouette de rêve, et aussi un penchant immodéré pour le naturel.


Elles se connaissaient mieux depuis peu, depuis une soirée mémorable organisée chez Clara, où Mia était venue montrer ses photos de vacances. Elle lui avait décrit son séjour dans les îles Sporades en Grèce avec tellement d’enthousiasme que Clara l’avait illico invitée.


Un soir d’été où le temps s’était bloqué sur grand beau, les deux filles s’étaient installées sur le balcon confortable de Clara, au grand air.


La nuit tombait, mais il faisait encore très chaud et après une journée d’enfer à travailler au soleil avec des machines surchauffées et des protections brûlantes, Clara, après une longue douche fraîche, avait fait l’impasse sur les sous-vêtements, ne gardant sur elle qu’une robe d’été légère et courte.


Mia avait, elle aussi, passé une robe de coton très courte et échancrée qui laissait voir ses longues jambes et sa peau brune. Clara remarqua que ses seins se mouvaient libres comme les siens. Elle se troubla en s’apercevant qu’elle aimait cela.


Son balcon donnait sur la nuit, un grand parc arboré la privait de vis-à-vis, ce qui faisait son affaire, il n’y avait pas de voisins. L’air doux sentait les tilleuls qui bordaient le parc et les effluves se mélangeaient aux senteurs délicates des fleurs qui décoraient la terrasse de Clara dont Mia était à l’origine des plantations.

Son balcon était grand, en fait c’était une terrasse abritée et bien fleurie, avec une table et des chaises de jardin.


Mia pratiquait en experte la plongée sous-marine, ce que Clara savait depuis longtemps, mais Mia lui montrait pour la première fois des photos qu’elle avait faites à l’aide d’un appareil étanche. Elle avait pu plonger dans des eaux limpides et transparentes, dans des paysages magnifiques.


Ce que Clara ignorait jusque-là, c’est que Mia plongeait et se baignait nue, fidèle à ses principes naturistes.


Et ses photos, prises par un copain de plongée la révélaient superbement. Elle eut un petit pincement au cœur en la découvrant, car Mia était superbe, longiligne et belle, aux attaches fines et aux muscles harmonieux. Les photos ne cachaient rien de l’anatomie de Mia, découvrant ses seins bien galbés et ses fesses fermes et hautes et surtout son sexe intégralement épilé, fente généreuse laissant voir ses lèvres bronzées et sa vulve délicatement vallonnée. Clara put admirer en passant les sexes bien présents et érigés de ses compagnons de plongée, des athlètes bronzés intégralement nus eux aussi, mais très agréables à regarder. Clara remarqua aussi que Mia avait quelques amies chez les sirènes.



Mia rougit un peu, mais si peu…



Clara marqua une pause, assimilant l’information puis sourit à son amie.



Clara rougit en disant cela, mais elle n’avait pu s’empêcher. La verge nue et érigée de Tom occupait l’image et la faisait exploser. Le garçon était vraiment magnifique, un éphèbe grec. Mia éclata de rire.



Elle sortit une autre clé et la brancha. Les photos étaient plus coquines et franchement osées. Clara vit que la plongée n’empêchait pas les relations sexuelles, bien au contraire et elle posa la question.



Sans répondre, Clara quitta ses vêtements et se retrouva nue en face de Mia. Celle-ci en fit autant et se dénuda avec plaisir, s’étirant comme une chatte, libérant son corps du peu de vêtement qu’elle portait, si heureuse de se trouver ainsi.



Les deux filles se mirent à rire, Clara sortit une bouteille fraîche de vin doux et servit de larges rasades de ce vin capiteux qui les mit en conditions.


Mia avoua qu’elle avait aussi des vidéos un peu plus personnelles et Clara, un peu débridée par le vin doux, insista pour les voir, d’autant que sa définition de « plus personnelles » devait être croustillante. La jeune femme ne se fit pas trop prier et inséra une autre clef dans l’appareil de Clara. Elle ne fut pas déçue… La lumière était toujours superbe et Clara sentait presque la chaleur de l’eau sur sa peau. Mia se rapprocha d’elle pour mieux voir, se collant tout contre Clara qui frissonna. Le portable de la jeune femme ronronnait et soufflait de l’air chaud directement sur ses cuisses nues qu’elle avait un peu écartées.


Les vidéos étaient plus qu’érotiques et plus près de certaines vidéos X et Clara sut bientôt tout sur les prouesses sexuelles de Mia et ses amis. Elle avait organisé une séance échangiste sous l’eau !


La jeune femme pratiquait avec art la fellation sous-marine et Clara vit les queues superbes de ses partenaires émettre des filaments inépuisables de sperme, jaillissant avec force sous l’eau cristalline. Elle s’étonna un peu de la voir si libre elle qui s’habillait toujours strictement au bureau, mais se réjouit de la confiance qu’elle lui manifestait.


Clara se laissait aller et commentait avec verve les performances des partenaires de Mia, s’extasiant sur la dextérité de son amie, de son absence totale d’inhibitions sur les vidéos et le nombre de ses amis.


Clara se trouva surprise par ce qu’elle découvrait de Mia. Jamais elle n’aurait imaginé le quart de ce que Mia lui montrait. Cette révélation lui fit l’effet d’une bonne cuite et la joie que lui procura l’idée que Mia était une fille si libre la rendit un peu saoule. Elle avait à côté d’elle une clef pour une sorte de paradis païen qu’elle pensait perdu. Elle l’enviait aussi et, petit à petit, elle se sentit excitée par ce qu’elle voyait, par la liberté de ton de son amie, par la proximité de sa peau nue et si douce et par ses réponses sans détour à ses commentaires.


Mia parlait de ses amis librement et pouvait parler de leurs préférences pendant des heures et Clara sut bientôt que Carole aimait avaler, mais que son amie Adda était jalouse et se refusait à lui faire l’amour quand elle était allée avec un garçon. Elle sut que Mia adorait se faire sodomiser et cela se voyait sur les vidéos hyper chaudes de ses exploits. Clara avait sous les yeux les copains de Mia et ceux-ci, nus intégralement, bandaient dans toutes les vidéos, énormes et tendus. Clara avait déjà fréquenté des plages naturistes, mais jamais elle n’avait vu cela, les hommes évitaient les érections et leurs sexes restaient sages, se balançant normalement, et là, tout était raide, dur et bien horizontal et Clara adorait ça. Elle se demandait comment ils faisaient pour rester tendus des heures durant, même après leurs nombreux rapports. Mia lui expliqua en riant que cela était dû à l’ambiance et à ses caresses… Clara la crut.


Échauffée par la vision des corps nus emboîtés les uns dans les autres, Clara transpirait, pas seulement à cause de la chaleur. Elle avança une main et se caressa discrètement en regardant les aventures de Mia… Celle-ci se faisait prendre par tous les orifices et Clara regarda avec intérêt les verges s’enfiler entre ses fesses ou ses cuisses ouvertes. Au détour des photos, elle surprit Mia dans les bras d’une fille, superbe et gourmande. Toute une série de photos défilèrent, montrant Mia avec cette fille et d’autres et Mia s’occupait particulièrement bien d’elles. Clara se sentit excitée en la voyant caresser les seins de ses amies, enfiler ses doigts entre leurs cuisses et les faire jouir. Ses copines lui rendaient bien et Clara pouvait voir Mia crucifiée de plaisir par ses amies. Elle se troubla en écoutant les bandes-son réalistes et les cris de plaisir de Mia la firent chavirer. N’en pouvant plus elle ressentit un orgasme et se laissa aller, touchant la cuisse nue de Mia qui se rendit compte de ce qu’elle faisait. Clara se raidit. Elle rougit et Mia souriante posa sa main sur sa poitrine nue. Clara la laissa la toucher.



Elle avait prononcé ces mots à voix basse, ses lèvres chaudes tout près de son oreille, dans ses cheveux.

Clara, effrayée par ce qu’elle ressentait, se leva et se rhabilla rapidement, troublée.



Et puis Mia était revenue chez elle, et puis Mia et elle avaient pris l’habitude de se mettre nues dès que possible.


Un soir, elle avait sorti son carnet de croquis et avait demandé à Clara de poser pour elle. Elle s’était laissé faire et avait pris les poses demandées, un peu et même beaucoup érotiques, mais cela ne la dérangeait pas vraiment, bien au contraire. Clara appréciait depuis quelque temps de se montrer, de s’exhiber, allant jusqu’à imiter son amie en supprimant les sous-vêtements…


Lorsque Mia était chez elle, Clara oubliait rapidement son état au point d’ouvrir la porte sans se rhabiller. Le concierge appréciait, mais pas la concierge…


Mia lui avait apporté ses dessins et elle s’était étonnée de la beauté des portraits que Mia lui montrait, elle avait un don extraordinaire et savait rendre la vie des modèles qu’elle dessinait.

Elle remarqua tout de suite un portrait nu en grand format, magnifiquement réalisé et d’un érotisme extrême, celui d’un homme en érection et elle reconnut immédiatement, Max. Le réalisme et la précision du trait la firent détailler le corps offert et la pose naturelle de l’homme, surpris dans la nature, entouré de superbes plantes qu’elle ne reconnut pas.



Les deux filles éclatèrent de rire et Clara se sentit toute drôle en regardant ce corps d’homme en érection et sa copine nue et excitée à côté d’elle, nue aussi. Elle avait envie d’elle et cela la troubla.

Un soir Mia sortit de son sac quelques engins fluo que Clara reconnut rapidement.



Clara s’était agenouillée, ses longues jambes en compas et elle avait posé le museau renflé de l’engin droit sur ses lèvres tout contre son clitoris et ça vibrait, ça la faisait couler, ça la remuait. Elle se cambrait pour s’éloigner un peu et Mia la complimentait sur la forme de son ventre, de ses seins aux pointes durcies, sur la finesse de ses muscles tendus et elle la dessinait. Clara luttait pour faire reculer ce qui l’attendait, comme inéluctable, et sa lutte la rendait belle. Mia s’était approchée et détaillait le sexe gonflé de désir de la jeune fille, elle dessina ses lèvres mouillées et le pli de sa vulve entrouverte, le renflement de son clitoris encore caché et son miel qui l’inondait. Elle respira son odeur féminine et Clara sentit son sexe s’ouvrir, ses sens se réveiller. Elle anticipa l’orgasme qui allait la tuer. Mia sortit un petit appareil photo et la cueillit sous toutes les coutures, puis lui demanda.



La jeune femme se laissa couler, s’abandonnant au plaisir qui déboulait, sous le regard de Mia qui avait sorti un engin encore plus gros et se l’était enfoncé dans le sexe.

Clara saisit la main de Mia et l’attira à son ventre et lui fit bouger l’engin sur elle et dans elle, au plus profond.



Elle jouit, tellement fort que cela lui fit mal, son corps se révulsa et tous ses muscles participèrent à l’orgasme qui la ravagea, la faisant s’oublier sous elle. Mia filmait et jouissait en riant de bonheur…


Une fois Mia repartie, Clara se sentit troublée et son corps se rappela à elle, impérieux et exigea qu’elle évacue ce qu’elle avait ressenti. Clara se masturba alors de longues minutes, rougissant en pensant au corps superbe de Mia qui s’était exhibée devant elle, et elle pleura sans savoir pourquoi.




Max


Max l’intriguait beaucoup et l’attirait comme un aimant, il émanait de lui un parfum de mystère assez spécial et son comportement était quelquefois des plus étranges… Ainsi, elle avait été témoin d’une scène un peu bizarre lors d’une intervention dans un des parcs de la ville. Ce jour-là, quelqu’un avait signalé un animal blessé et elle s’était retrouvée avec un filet à guetter ce qui aurait dû ressembler à un gros chat perché sur un arbre. La bête était blessée et on l’avait vu passer sous une voiture. Le conducteur avait juré voir un tigre et tout le monde avait souri à sa description. Max avait demandé des détails au conducteur, mais n’avait pas souri à ses déclarations, paraissant par contre plus inquiet encore. Clara s’étonna de le voir prendre ainsi sur lui cet accident somme toute banal. La suite l’éclaira un peu plus tout en la laissant sur sa faim.


Une fois sur place, Max s’était dirigé droit sur le bosquet où on avait vu le chat puis Clara le vit disparaître dans un fourré. Elle s’approcha doucement et entendit Max parler au chat. Cela ne la gênait pas, elle parlait bien elle aussi à son chat, mais là, elle ne reconnut pas la langue utilisée. En revanche, les intonations utilisées lui rappelaient une conversation avec un adulte et vraiment pas un animal. Un étrange et agréable parfum flottait dans l’air et elle se dit que Max avait une eau de toilette qu’elle ne connaissait pas.


Elle se dit qu’il s’agissait d’une astuce de dresseur, comme ceux qui parlaient en allemand aux tigres ou aux lions, mais, se rapprochant, elle distingua autre chose. Une voix autre répondait à Max…


Clara s’approcha encore plus et vit l’animal perché.


Elle recula rapidement et laissa tomber son filet, car la bête n’était pas vraiment un chat et avait la taille d’un tigre, pas un petit, mais un gros… Max était tout près de l’animal et lui chuchotait à l’oreille. Clara n’entendait pas ce qu’il disait, mais le tigre restait calme.


Soudain Max vit Clara et l’animal aussi. Celui-ci jeta un regard extraordinaire. Clara eut l’impression de voir un esprit intelligent, très intelligent même. Il bondit et disparut dans les fourrés en boitant. Max regarda Clara avec un sourire et s’approchant d’elle lui fit signe de se taire, touchant de son doigt ses lèvres. Clara frissonna au contact de Max et sentit quelque chose passer en elle, quelque chose d’agréable. Max lui souriait toujours.


Leurs collègues arrivèrent et Max leur expliqua que le chat avait disparu, mais qu’il n’était pas blessé. Clara ne dit rien.


Le lendemain, Clara entra dans le bureau de Mia et celle-ci l’accueillit avec un grand sourire.



Soudain Clara se trouva incapable de parler de ce qu’elle avait vu. Les images étaient là, mais impossible de les traduire en mots. Elle bafouilla et se tut …


Mia ne se rendit compte de rien, mais Clara se troubla et décida d’aller trouver Max. Elle n’avait pas réussi à parler de cette aventure à Mia, impossible d’aligner trois mots sur l’étrangeté de la situation.


Le fait d’avoir laissé un tigre dans la nature la torturait et elle s’inquiétait pour l’animal et pour Max. Pourquoi avait-il laissé courir le tigre, car c’était bien un tigre qu’elle avait vu ? Et puis ce blocage total sur l’incident, Clara se rendit compte qu’elle ne pouvait même pas écrire ce qu’elle avait vu, les mots se refusaient à elle, totalement. Elle s’essaya plusieurs fois, mais rien ne sortait de son clavier, ses doigts refusaient de former les mots. Même avec un stylo, sur une feuille blanche. Clara crut devenir folle et eut la tentation de jeter son ordi à la poubelle. Soudain elle se souvint du geste de Max, son doigt sur ses lèvres et la confusion qui l’avait envahie.




Le garage


Elle se décida à voir Max, sûre qu’il était au centre de l’affaire.


Elle le trouva dans le garage municipal, occupé à nettoyer le camion d’intervention. Il faisait très chaud et la canicule commencée une semaine auparavant continuait de plus belle. Fidèle à ses habitudes, elle était nue sous sa robe décolletée et cela se voyait. Le garage était un peu épargné, mais la température était déjà forte et difficile à supporter. Max travaillait torse nu, vêtu d’un caleçon plus que léger et Clara profita un peu du spectacle, admirant les formes parfaites du jeune homme. Elle imagina sans peine le reste de son corps et resta dubitative. Il s’interrompit et se tourna vers elle.



Il continua à frotter le camion avec son nettoyeur haute pression. Clara vit distinctement sa verge bouger sous le bermuda et se demanda si elle avait bien vu.



Elle avait réussi à le dire, elle avait dit « tigre » et non « chat ». Elle arrêta de parler net, puis éclata en larmes, soulevée par une lame d’émotion énorme. Elle s’affaissa et tomba à genoux, secouée de sanglots.



Le jeune homme s’approcha d’elle et la releva doucement.



À ce moment Mia entra dans le garage, appelant Clara. Elle la vit en larmes et s’approcha rapidement. Elle avait l’air furieuse et fusilla Max du regard qui de son côté avait l’air un peu dépassé.



Clara s’interposa



Elle bafouilla et n’arriva pas à dire le mot.



C’était Mia qui parlait.



Max alla fermer la porte de l’atelier et repoussa la lourde barre qui en condamnait l’accès.


Mia s’avança, enlaça Clara, la détournant de Max et l’embrassa doucement sur la bouche. Celle-ci, surprise, étonnée, se laissa faire, s’abandonnant dans les bras de son amie qui la caressait doucement. Clara se laissa aller, appréciant la langue fruitée de la jeune femme qui explorait sa bouche, passant doucement sur ses dents et jouant avec sa langue, s’entortillant autour avec joie. Elle sentait bon et son haleine avait un goût de fruit. Elle affermit ses bras autour de la taille fine de la jeune fille, sentant sa chaleur sous le tissu léger de sa robe. Une étrange faiblesse l’envahit et elle se mit une claque mentalement, se voyant défaillir devant sa copine comme une gamine.


Elle sentit les mains de la jeune femme s’aventurer dans son dos et remonter sa robe dévoilant ses fesses nues. Cependant elle trouvait cela normal et tout à fait naturel. Elle écarta un peu les jambes, s’ouvrant et se cambrant, creusant son ventre, retenant sa respiration, assommée par le désir. Elle s’ouvrit à elle, impudique, et accepta les caresses de Mia, mais en même temps, elle voulait Max. Les doigts de Mia exploraient maintenant son sexe, sans hésitation, caressant la peau douce de sa vulve et séparant ses lèvres gonflées. C’était une déclaration et Clara en fut bouleversée. Une bouffée de chaleur monta du corps échauffé de Mia et elle sentit avec plaisir son odeur de femme. Elle embrassa la jeune fille avec tendresse, acceptant ses caresses, se donnant à elle, mais cherchait Max, désirait Max et aussi Mia…


Quelque part, son esprit lui criait que ce n’était pas bien, que l’on ne devait pas faire l’amour ainsi, devant n’importe qui. Elle revit les photos des vacances de Mia, elle revit les mains des filles entre ses jambes nues, elle vit sa bouche sur le sexe d’une autre femme. Et puis Mia était une femme et elle aimait cela, se faire caresser par elle. Tout cela se bousculait en elle, mais le désir l’emportait et la présence de Max lui plaisait, elle avait envie de lui avec elles, avec Mia.


Max regardait les deux filles avec intensité et Clara le trouva encore plus beau, sa peau nue brillante de sueur la fascinait. Il avait retiré son short.

Il était nu.




La porte


Il était beau, magnifique, fin et racé, musclé, mais pas comme un culturiste, des muscles longs et une peau superbe. Mia et Clara arrêtèrent leurs caresses et contemplèrent son sexe nu qui oscillait lourdement au bas de son ventre. Il était imberbe, magnifiquement nu et elles pouvaient voir l’entrelacs des veines sur sa queue droite et dure. Le gland, lustré et déjà mouillé rougissait sous l’afflux de sang.


La lumière des hautes verrières givrées tombait sur ses épaules et le nimbait d’un éclat argenté un peu mystérieux. Les filles pouvaient voir ses muscles luisants bouger lentement. Il se campa, les cuisses légèrement écartées et il libéra son sexe, le décalottant négligemment, le faisant osciller, lourd, rigide et mouillé.


Les deux filles s’avancèrent vers lui et se tinrent par la main devant lui. Clara réagit la première et fit glisser les bretelles de sa robe pour se tenir nue devant lui. Le tissu resta accroché à ses seins pointés, moites et Max s’approcha pour le faire tomber, Mia fit pareil et s’approcha de lui encore plus.


Clara et Mia se serrèrent contre lui, enlaçant son corps de leurs bras et jambes. Mia saisit son sexe, entourant avec sa main la hampe chaude et mouillée, Clara soupesa ses couilles, rondes, pleines et douces. Il sentait bon. Il ne réagit pas, mais avança sa main et la posa sur la vulve déjà mouillée de Clara.


Celle-ci sentit une chaleur envahir son ventre et diffuser dans tout son corps, elle se sentit devenir légère et aérienne et en même temps son sexe devint le centre de son corps, de ses sensations. Mia la regarda les yeux écarquillés puis il mit aussi sa main sur son sexe nu.


Clara avait quitté le sol, son corps nu devenu hypersensible lui faisait ressentir chaque geste de Max ou de Mia, un frôlement de leurs doigts déclenchait des salves d’orgasmes en série, explosant dans sa nuque puis descendant jusqu’à son sexe et remontant en boucle à ses seins. Elle commença à jouir sans discontinuer, enchaînant des cascades de chocs qui écartelaient ses cuisses et la faisait couler en continu. Mia à ses côtés gémissait la main serrée sur le sexe de Max.


Les deux filles étaient paralysées et leurs corps nus se tendaient, se cambraient en attente de ce que Max allait leur faire.


Soudain il bougea légèrement et se plaça devant Clara, sa verge se posa sur sa fente trempée et tout doucement l’investit. Mia pendant ce temps pétrissait avec douceur ses couilles tout en enfonçant sa main en elle.


Max la caressa et ses mains la prirent, fortes, douces. Il la toucha, la souleva, fit se dresser ses tétons et la fit lubrifier, mouiller, couler. Il la pénétra et sa queue emplit son vagin, la comblant au-delà de ce qu’elle espérait, puis il bougea et la besogna avec force faisant claquer avec un bruit mouillé ses testicules lisses sur ses cuisses. Il ahanait et Clara s’arquait pour accepter le plus possible sa verge, pour qu’il la ravage entièrement.


Il explosa en elle et son sperme la remplit, giclant en elle comme un torrent après l’orage, jaillissant sur leurs ventres, leurs cuisses.


Clara jouit, ses muscles se tétanisèrent et l’orgasme la terrassa, la fit jouir tellement fort qu’elle s’évanouit.


Max se retira d’elle et le sexe dégoulinant de sperme la déposa à même le sol de ciment sale puis s’occupa de Mia et la prit de la même façon, la faisant crier sous ses coups de boutoir, car elle était plus étroite que Clara. Elle aussi s’évanouit sous la jouissance qui la prenait.


Max les contempla, nues toutes deux étendues sur le sol sale et trempé du garage. Elles étaient déjetées abandonnées, couvertes de sa semence et salies par la poussière de l’atelier. Il resta à leur côté, attendant leur réveil.


Clara se réveilla la première, étonnée et timide, couvrant sa nudité de ses mains jusqu’à ce qu’elle remarque que Max était là. Il lui souriait et elle vit qu’il était sincère, elle ne risquait rien.



Il se leva et elle put voir qu’il était toujours en érection, superbe, et elle eut un peu peur en voyant la taille de son sexe.



Clara se pelotonna et cacha son sexe et ses seins, elle avait peur maintenant, il était fou. Elle voyait sa queue énorme qui oscillait lourdement et, en même temps, elle en avait envie, elle aurait voulu qu’il la prenne à nouveau, comme tout à l’heure.



Il s’approcha de Mia et passa sa main sur son visage. La jeune femme s’éveilla aussitôt et se redressa, toujours aussi belle. Clara s’approcha d’elle et lui prit la main.





Initiation


Max leur montra le chemin. Ils avancèrent vers le fond du garage, puis sortirent dans la cour intérieure, close de hauts murs. Il y avait là un amoncellement de carcasses automobiles rouillées sur plusieurs mètres. Max escalada les épaves en aidant les filles, leur signalant où mettre leurs pieds nus pour ne pas se blesser. Clara remarqua pour la première fois la hauteur phénoménale des épaves entassées. Le tas semblait dangereux et infranchissable, mais Clara remarqua que les carcasses étaient assurées par de gros boulons et des câbles métalliques les retenaient. Les ferrailles étaient brûlantes sous le soleil et les filles sentaient la sueur couler entre leurs seins et leurs fesses et se brûlaient les pieds sur les tôles surchauffées.


Cela sentait le fer chauffé et l’huile, le gas-oil, le tout mélangé en une odeur de garage, forte et prégnante. Leurs corps nus sur la ferraille tordue et déchiquetée formaient un contraste saisissant, Clara et Mia se faufilaient avec grâce parmi les portières rouillées, les capots de tôle brûlants sous le soleil, et poussaient de petits cris quand un sein, une cuisse touchaient les vieilles voitures frappées par le soleil au zénith. Max ne déparait pas non plus et son sexe tapait avec bruit les tôles surchauffées le faisant grimacer quelquefois. Clara, incorrigible, s’arrêtait pour le regarder arranger son sexe, le recalottant pour éviter de se brûler le gland. Elle vit qu’il était toujours aussi bandé et qu’il lubrifiait toujours autant. Ils durent se glisser dans une vieille DS aux sièges en cuir brûlants et en ouvrant la portière, se trouvèrent suspendus à cinq ou six mètres du sol. Max les fit passer en premier, leur expliquant où poser les pieds sur une échelle de corde. Les filles une fois en bas regardèrent avec envie Max descendre, chaque pas ponctué par le petit bruit de son sexe raide heurtant la tôle chaude et y laissant un rond mouillé.


Il y avait un espace derrière les ferrailles. Un carré d’herbe verte, drue et belle, sans aucune saleté, cerné par la muraille bigarrée des carcasses. Un agrès y était planté, de la taille d’un homme. Max se positionna dessous et attrapa la barre du haut puis écarta en grand ses jambes, formant un X superbe, ponctué de sa verge tendue. Il posa ses pieds sur un support et cela le fit ressembler à ce dessin d’homme nu de Léonard de Vinci.


C’était un athlète complet et sa nudité le rendait encore plus beau, son phallus tendu était magnifique et ne déparait pas au bas de son ventre musclé, ses couilles bien pendantes bougeaient avec grâce et rendaient sa queue attirante, Clara se sentait mouiller de plus en plus et se retenait pour ne pas se doigter devant lui. Se tournant, elle vit que Mia n’avait pas ce scrupule et se masturbait doucement, en harmonie avec le mouvement du phallus bronzé, elle avait trouvé un vieux levier de vitesse au pommeau bien rond et lisse, couvert de bakélite chaude et se l’enfonçait avec vigueur entre les cuisses. Clara regrettait de ne pas avoir pensé à cela et elle se toucha doucement profitant d’un rayon de soleil posé droit sur son sexe, enfilant doucement ses doigts entre ses lèvres toutes mouillées, se sentant étrangement coupable de faire cela devant Mia et Max. En même temps, elle était heureuse de leur montrer son corps, sa beauté et la grâce de sa masturbation, le climax de son orgasme qui lui tétaniserait les muscles et la ferait ressembler à une statue érotique, lisse et huilée. Elle était couverte de transpiration et la sentait couler entre ses seins, ses fesses et cela la dopait. Elles se demandèrent ce qu’il faisait, peut-être du yoga ou ce genre de chose.

Max fit signe à Clara de s’approcher. Elle se tint devant lui.



Mia s’approcha aussi et Clara s’agenouilla dans l’herbe, les cuisses écartées, enfourna la verge superbe et commença à caresser Max, posant ses mains sur les muscles luisants à l’intérieur de ses cuisses. Mia saisit les couilles de Max et les tritura, lui caressa les fesses. Clara ferma les yeux, elle adorait sucer ses amants, elle enfila ses doigts en elle pendant qu’elle faisait aller et venir le gland énorme dans sa bouche et tournait sa langue là où il fallait. Elle sentait des gouttes salées fondre sous sa langue et ses doigts dégoulinaient de son miel. Il avait la peau douce et son sexe, dur, long, pulsait sous ses morsures délicates. Mia jouissait à côté d’elle et elle sentait son odeur, sa chaleur. C’était un instant divin. La queue superbe de l’homme glissait entre ses dents et sous sa langue et elle arrivait à la faire entrer totalement en elle sans haut-le-cœur. Elle agrippa ses cuisses et fit aller et venir sa bouche autour du sexe mouillé de Max. un parfum se glissa jusqu’à elle, un parfum extraordinaire, divin, le même qu’elle avait senti lorsque le tigre était apparu.




L’entrée


Une lumière s’alluma derrière Max, comme un rideau plus clair.


On était à l’ombre maintenant, pourtant les formes de l’homme se dessinèrent comme cernées par un projecteur derrière lui. Mais il n’y avait rien. Un courant d’air parfumé souffla entre les fesses trempées de Clara et la rafraîchit.


Elle retint son souffle en sentant le sexe de l’homme trembler, Mia s’approcha d’elle et tout en l’entourant d’un bras, se fit jouir en ahanant. Elle enfonça ses doigts dans les fesses ouvertes de l’homme. Max fermait les yeux et Clara relâcha la verge toute mouillée qui glissa hors de sa bouche. Elles virent alors son sexe se cambrer et cracher un jet prodigieux de sperme qui vint leur mouiller les seins et le ventre pendant de longues secondes. Clara se sentit partir et eut un vertige, se sentant plus légère, elle fit sous elle et arrosa Mia de son jet. La lumière se stabilisa et les filles découvrirent un autre monde derrière la silhouette nue de Max. Il rouvrit les yeux.



Les deux filles roulèrent entre ses jambes, trempées de sperme et de miel.


Elles atterrirent sur un tapis de fleurs, parfumées et capiteuses, d’un rouge sanglant. Clara était étendue en x, subjuguée par ce qu’elle voyait.

Mia atterrit sur elle et le corps souple de la jeune fille se pelotonna contre elle, les mains posées sur son sexe trempé.


Max était toujours debout les bras et les jambes en croix. Elles virent un cercle sombre se rétrécir et disparaître au bout de sa verge tendue. Il s’écroula à genoux.



Il s’approcha d’elles et leur donna la main. Les deux filles se relevèrent et regardèrent autour d’elles. Elles se trouvaient dans une clairière assez vaste au bord d’une forêt un peu bizarre, pas tropicale ni tempérée, un peu entre les deux et Mia qui regardait les fleurs qu’elles avaient écrasées sous elles, ne les reconnaissait pas. Clara regarda les arbres et les trouva bizarres aussi. Le parfum entêtant les enveloppait, presque palpable.


Il se mit à pleuvoir, une pluie forte et dense, une pluie d’orage violente avec des gouttes énormes qui les frappaient avec force, mais la pluie était chaude, tiède et tellement agréable. Elles fermèrent les yeux et se laissèrent aller, se faisant toucher, masser par la pluie. Clara se toucha doucement et regarda Mia en se doigtant. Elle jouit devant elle, les jambes écartées et se laissa aller sans remords, tremblante de la tête aux pieds.


Max la regardait en souriant. Il s’approcha d’elle et l’embrassa sur la bouche, tendrement, et elle sentit sa main se poser sur sa vulve, ses doigts se loger dans son sexe et exciter son clitoris. Elle jouit à nouveau et sentit sa fente se tremper, ses cuisses se mouiller. Elle toucha Max et recueillit des perles transparentes au bout de son gland. Il s’approcha de Mia et devant Clara la fit se courber avant de la pénétrer, enfilant sa verge dure entre ses fesses. Elle gémit alors qu’il ouvrait son anus, la prenant durement, enfonçant son gland dans ses intestins. La jeune fille écarta en grand ses cuisses et avala la queue énorme de Max. Clara s’approcha du couple et embrassa Mia sur la bouche, la masturbant alors qu’elle se faisait prendre par Max. Elle cria sa jouissance et se laissa aller dans ses bras. Clara sentait le corps musclé de son amie sursauter sous les spasmes qui la traversaient.


Max sortit d’elle, toujours énorme. La pluie les douchait, forte et drue, tiède et délicieuse. Max leur fit signe de le suivre. Elles marchèrent derrière lui, ravies de le voir se faufiler nu dans les hautes broussailles, les herbes et les fleurs, profitant de la vision de son cul parfait, musclé et fin. Les deux filles se sentaient légères et fortes, emplies d’énergie, leurs pieds nus se posaient avec légèreté sur le sol et rien ne leur faisait peur. Elles étaient totalement nues, sans le moindre vêtement, sans la moindre protection et ne savaient pas où elles étaient, mais cela ne les inquiétait pas. La forêt s’estompa et elles virent qu’ils étaient au sommet d’une colline. La pluie s’arrêta et les laissa trempés.

Le paysage les cloua sur place.




Janus


Devant elles s’étendait une mer émeraude parsemée de centaines d’îles couvertes de végétation. La colline s’inclinait doucement jusqu’à une plage, mais un détail les fit s’arrêter, paralysées de peur.

Il y avait deux soleils. Un gros orangé et un petit bleu brillant.


Les deux filles se serrèrent l’une contre l’autre.



Mia fit une démonstration et son bond la fit monter d’un mètre là où elle n’aurait bondi que de trente centimètres.



Max montrait son sexe en érection.



Clara arrêta de parler, elle tremblait doucement, et son ventre se creusait, sa respiration se fit plus rapide. Mia s’approcha d’elle et lui toucha le sexe, doucement. Sa main se trempa immédiatement.



Clara s’allongea sur le sol herbeux et écarta en grand ses cuisses et Mia se mit en 69 sur elle, la tête entre ses jambes. Elle s’appliqua à masturber son amie de sa langue et de sa main. Clara gémissait et lui rendait la pareille. Les deux filles se firent jouir de longues minutes et Max les regarda, se masturbant doucement. Il s’approcha d’elles et s’allongea à leur côté. Clara se colla contre lui et saisit son sexe, jouant avec. Il bandait toujours et Clara fit aller ses doigts sur la hampe jusqu’à ce qu’une cascade de sperme inonde sa main. Il gicla encore longtemps, inondant les deux filles jusqu’aux seins. Elles savourèrent leur douche érotique et se frottèrent l’une l’autre, glissant leurs seins, leurs ventres, leurs cuisses.



Max la pénétra doucement, enfonçant sa verge en elle avec aisance puis il la besogna et sa semence l’inonda à nouveau et sans s’arrêter il prit Mia aux hanches et la fit crier de plaisir, faisant gicler son sperme jusqu’à ses seins aux tétons énormes. Les filles n’en revenaient pas, Max était une vraie fontaine de sperme, il éjaculait des litres de semence sur elles sans effort. C’était magique et délicieux.


Il s’absenta quelques minutes et revint avec des fruits à la main de forme bizarre. Les filles s’approchèrent. Il saisit l’un des fruits et le pela pour révéler sa pulpe, dure et lisse, visqueuse. Il s’approcha de Mia et enfonça doucement le fruit entre ses fesses. Cela la prit et l’investit et Mia poussa un petit cri.



Clara saisit un autre fruit et Max lui enfila aussi, le faisant disparaître entre ses fesses : seule la queue dépassait. Le fruit la prenait complètement, la comblait, elle dut pousser pour le faire pénétrer. Aussitôt elle sentit le désir continuel qu’elle ressentait depuis son arrivée diminuer et s’estomper pour ne laisser qu’un arrière-goût agréable. Max fit de même et sa verge se plia légèrement à son tour.


Clara fit quelques pas, mais cela ne la gênait pas, elle avait déjà porté un plug et cela la faisait partir à chaque fois, le massage continuel qu’elle ressentait alors la propulsait rapidement et elle devait soit l’enlever soit se masturber. Cette fois-ci cela inhibait ses sensations, mais pas de manière brutale, subtilement. Elle ressentait toujours la sensualité d’être nue et de s’exhiber, mais sans cette envie continuelle de se masturber, de faire l’amour.


Elle constata que Max se calmait aussi : sa verge toujours aussi imposante se courbait gracieusement et ne se tendait plus. Elle toucha son sexe et vit qu’il ne réagissait pas aussi rapidement.





Les îles


Les deux amies se levèrent et suivirent Max. Clara sentait le plug qui l’investissait et la faisait marcher les jambes un peu écartées, elle voyait devant elle les fesses de Mia, elles aussi ouvertes et les dévorait des yeux alors qu’elles se balançaient avec un rythme hypnotique qui la fit se toucher malgré tout.


Ils descendirent sur la plage et gagnèrent un des îlots à la nage. Leur poids relatif les faisait presque voler et l’eau se comportait bizarrement, formant de grandes vagues paresseuses et cristallines. Arrivés sur l’île, Max leur montra les arbres.



Clara en cueillit un et mordit dedans, une prune énorme, mais jaune tachetée comme une banane. Le fruit éclata et tout le jus coula sur elle, sucré, collant, la mouillant de la tête au pied sous les rires de Mia et Max qui l’imitèrent. Le trio se trouva trempé à leur tour. Max souriait un peu bizarrement quand une nuée d’insectes bleus les entoura.

Les bestioles se posèrent sur eux et Max leur dit de ne surtout pas bouger.



Les bestioles se posèrent sur leurs peaux sucrées et commencèrent à sucer le jus. Ce faisant elles déclenchaient des ondes insensées non pas de démangeaisons, mais de plaisir, Clara et Mia se firent assaillir et les insectes se posèrent sur leurs seins et leur sexe principalement. Elles regardèrent Max qui, lui, avait la verge couverte d’une fourrure animée. Les filles virent son sexe se redresser et éjaculer plusieurs fois et à chaque fois sa semence était engloutie par les voraces bestioles. Clara jouit plusieurs fois et son miel disparut lui aussi à chaque fois sous les assauts des bestioles. Les insectes se plaçaient sur ses lèvres, sur sa vulve et sur son clitoris, leurs élytres vibraient doucement et envoyaient des ondes de plaisir folles. Son clitoris hyper sensible était assailli et se gonflait sous les outrages qu’il subissait. Clara sentait ses lèvres, et même l’intérieur de son vagin se faire ramoner avec constance et détermination et cela l’envoyait au firmament. Elle défaillait sous les orgasmes géants qui la secouaient de spasmes et lui faisait faire des bonds extraordinaires, cambrée et tendue comme la corde d’un violon. Elle criait de plaisir et entendait Mia à côté d’elle faire de même.


Elle finit par s’agenouiller, les cuisses écartées les mains sur ses seins, jouissant à jet continu, faisant sous elle de plaisir.


Max gémissait lui aussi, la verge noyée sous les insectes colorés. Leur couleur passa du bleu au vert puis d’un coup elles s’envolèrent et disparurent, les laissant pantelants de sexe et épuisés. Max se leva le premier.



En effet tous leurs poils pubiens qui commençaient à repousser avaient disparu… leur peau était toute douce et lisse, superbe.





La nuit


Les filles choisirent d’autres fruits et mangèrent en faisant attention cette fois. Puis Max les emmena visiter l’île pas très grande, mais très riche en fleurs et plantes. Mia n’arrivait pas à retrouver les plantes qu’elle connaissait et cela la frustrait. Clara absorbait tout cela par les yeux et tous ses sens, se laissant effleurer par les hautes herbes, respirant les parfums capiteux des fleurs et goûtant les fruits qu’elle trouvait. Elle avait discrètement retiré le plug d’entre ses fesses et se laissait envahir par le désir. Elle aimait cette sensation de flotter sur un nuage, cette vibration continue qui lui prenait le sexe, ces rafales d’orgasmes qui lui mouillaient les cuisses et les fesses. La vision des corps nus de ses amis la faisait partir sans qu’elle se touche. La simple caresse d’une branche sur ses seins, la sensation de ses pieds sur les graviers, le souffle chaud de Mia à côté d’elle et elle jouissait, elle tremblait, elle se cambrait, son sexe se lubrifiait. Elle avait joué avec le plug et l’avait enfilé dans son vagin, et là, au contraire, il amplifiait ses sensations.


Lors d’une pause, Max l’avait vue se masturber et il était venu près d’elle, la contemplant.



Les deux filles s’étaient aimées devant lui et Max avait participé de loin, caressant les filles, les embrassant, leur donnant son sexe.


La nuit était tombée alors, brutalement, et ils s’étaient retrouvés dans le noir qui s’alluma doucement sous la lumière d’une lune énorme.


Max leur avait trouvé un endroit agréable, couvert d’herbe sèche et à l’abri.

Les deux filles s’installèrent et sombrèrent dans un sommeil profond, épuisées par leurs performances de la journée. Mia s’endormit dans les bras de Clara elle-même emboîtée étroitement dans Max.


Ce fut la verge énorme de celui-ci qui la réveilla le matin. Elle sentit en elle son sexe et se laissa aller avec plaisir et se réveilla doucement pour constater que celui-ci dormait toujours. Il l’avait pénétrée dans son sommeil et son érection matinale avait fait le reste. Elle savoura l’instant et se cambra pour le laisser la prendre plus étroitement. Il jouit rapidement et elle sentit sa semence couler dans son ventre avec joie. Il gémit et se retira, son sperme gicla sur elle. Clara se tourna vers Mia et la caressa à son tour, enfonçant toute sa main dans son sexe, la faisant elle aussi gémir. Alors qu’elle embrassait son amie, elle sentit avec surprise Max forcer ses fesses. Un peu effrayée, car il était d’une taille hors du commun, elle se livra à lui et celui-ci posa son gland sur l’anneau sombre de son anus et poussa pour entrer. Elle essaya de se dilater, mais il lui faisait mal.

Mia les vit faire et s’en mêla.



Mia retira le sexe de Max puis enfonça sa main dans l’anus de Clara, la ramonant avec douceur. Clara jouit et Mia lubrifia sa main avec le sperme de Max, puis plaça sa verge et poussa la hampe. Max força son passage et Clara hurla puis sentit enfin le gland passer en elle. Il la remplissait totalement et elle lutta pour ne pas l’expulser rapidement. La queue allait et venait en elle, la faisant se tordre d’un plaisir trouble, douleur et jouissance en même temps. Max lui serrait les seins avec force et d’une autre main touchait son clitoris hyper excité et sensible. Elle sentit les orgasmes déferler en elle et cria sous ses coups de boutoir.


Il sortit d’elle et Mia ne lui laissa pas le temps de débander, elle s’empala sur lui les fesses en avant. Clara les regarda en se masturbant, admirant leur copulation comme une chorégraphie obscène et forte, prolongeant le plaisir encore et encore.




Les chats


Elles se rendormirent, mais le réveil fut plus difficile.

Mia fut la première et poussa des cris qui réveillèrent Clara.


Clara se secoua, mais ne bougea pas, elle était paralysée, ne pouvait plus bouger. Elle regarda autour d’elle et vit en limite de sa vision – car elle ne pouvait pas bouger la tête – des animaux et reconnut avec un choc le « chat » qu’elle avait aperçu avec Max. Celui-ci était absent. Aucune trace de lui. Les deux filles prirent peur.


Elles étaient attachées, liées, reliées par de fines cordes aux arbres autour d’elles. Les cordes étaient gluantes et les collaient littéralement au sol, les empêchant de bouger. Clara eut beau crier, menacer personne ne la délivra. Elle avait une envie pressante et Mia contempla une superbe fontaine qui l’arrosa de la tête aux pieds. Mia fit de même, incapable de se retenir.


Les « chats » les entouraient et regardaient les filles se débattre, essayer de se libérer. Clara aurait juré qu’ils profitaient du spectacle et de leur détresse. Max avait disparu et ne se manifestait pas. Les filles eurent peur qu’il lui soit arrivé quelque chose. La peur commença à les envahir. Seules dans ce monde inconnu, ignorantes des lois de cet endroit étrange, et surtout incapable de le quitter sans Max qui, lui seul, possédait la clef.


Un des « chats » s’approcha d’elles. Ça n’avait rien d’un vrai chat ou même d’un tigre. Clara se souvint d’une publicité qu’elle avait vue où les animaux avaient la silhouette très sexy d’hommes et de femmes. C’était exactement cela. Elle avait sous les yeux une femme, grande et belle, mais avec un visage de panthère, et le corps couvert d’un pelage superbe, ocellé et court, qui ne cachait rien de ses seins ou de son sexe, lui aussi velouté. Un mâle se trouvait derrière elle et arborait une superbe queue, enfin deux superbes queues comme sa compagne, dont l’une se tenait bien roide, elle aussi couverte de velours, à l’exception du gland bien visible et gonflé comme celui de Max.


Clara se sentit bizarre à cette vue et son sexe se lubrifia abondamment. Mia lui glissa :





Le sang


Clara ne put s’empêcher de rire et les spectateurs se rapprochèrent d’elles. La « chatte » s’accroupit près d’elle et Clara put détailler avec précision son anatomie superbe, ses muscles bien présents et respira son parfum, surprenant, de fleurs. C’était le « chat » qu’elle avait vu avec Max, elle en était sûre et elle en conçut de la jalousie. Celle-ci avança une main et fit jaillir une griffe acérée qui alla entailler vivement ses tétons, faisant naître une perle de sang. Elle piqua ses deux seins et griffa son sexe la faisant saigner. Elle eut un mouvement de recul quand la panthère lécha le sang de sa langue longue et râpeuse.


Elle se sentait impuissante et fragile face aux muscles d’acier qu’elle voyait bouger sous le pelage brillant. La langue lécha avec délicatesse ses tétons qui durcirent rapidement envoyant des ondes douloureuses de plaisir dans sa poitrine puis descendit à son sexe mouillé. Clara n’avait pas mal, les estafilades ne saignaient plus, mais la douleur se transformait sous les coups de langue. Son sexe hyper sensible se gonflait se sang et son clitoris devenu énorme se faisait bousculer sans ménagement.


Elle sentit la langue agile de sa tortionnaire entrer en elle et la lécher au plus profond de son intimité, raclant chaque millimètre carré de ses lèvres nues et la pénétrant comme un doigt inquisiteur et terrible. Clara gémit et se cambra essayant de s’ouvrir plus encore pour faciliter la besogne de la panthère. Ses articulations craquèrent et elle avança son pubis vers la gueule si habile habillée de velours. Elle sentit les vibrisses lui caresser l’intérieur des cuisses et entendit la panthère ronronner de désir. La langue enveloppa son clitoris et le fit vibrer, le fit rougir, le fit exploser. N’en pouvant plus, elle jouit et cria son plaisir et son miel gicla avec force. Mia de son côté subissait la même torture et hurlait comme une bête son plaisir.


Alors le mâle s’approcha d’elle et doucement introduisit son sexe gainé de velours dans le sien. Clara crut devenir folle sous les assauts de ses sens. Le sexe qui entrait en elle la rabotait littéralement et excitait chaque nerf de chaque millimètre de son sexe. Chaque mouvement de la verge veloutée la propulsait et faisait se cambrer son corps nu et nouait ses muscles la magnifiant et la rendant sculpturale, figée dans des orgasmes ravageurs qui couvraient son corps de frissons et de sueur.


Soudain quelque chose s’introduisit entre ses jambes nues et lubrifiées. Elle eut peur et serra les muscles de ses fesses puis, comprenant ce qui lui arrivait, les relâcha totalement. La queue, la vraie, de son amant la prenait et la pénétrait. Elle se faisait prendre par le sexe et sodomiser en même temps par son amant et c’était délicieux. Sa longue queue était elle aussi veloutée et la sentir dans son anus, brosse douce et dure, souple et chaude, la rendit folle. Elle bougeait et se tortillait dans ses intestins, profonde et longue, indécente. Rendue folle de plaisir, elle supplia son partenaire de l’achever, de la tuer et dans un cri elle s’évanouit, un rideau noir l’ensevelissant totalement.


Elle se réveilla libre, sur un lit de feuilles mortes douces et odorantes, son corps toujours nu avait été lavé avec soin et parfumé, seule la rougeur pâlissante de son sexe et une douleur diffuse entre les fesses trahissaient l’assaut érotique qu’elle avait subi. Clara était seule dans une niche végétale à l’ombre, il faisait chaud, mais sans plus, et la fraîcheur de l’air la revigorait. Elle se sentait bien, reposée, mais toujours son sexe la torturait, la faisait s’interdire de se toucher tout de suite, de se faire jouir, de chercher un partenaire ou une partenaire pour satisfaire sa libido envahissante. Elle porta sa main entre ses jambes et se doigta doucement. Elle pensait à Max, se demandant où il était passé. Le souvenir de sa queue ainsi que celle du grand mâle qui l‘avait possédée la faisait fantasmer.

À peine avait-elle commencé que Mia surgit.



Mia se jeta sur elle, et elles luttèrent toutes les deux, se faisant des clefs, des ciseaux, et terminèrent la lutte en 69, chacune sur le sexe de l’autre, la langue enfoncée dans leurs sexes hyper sensibles. Les deux filles aimaient faire l’amour ensemble, mais il leur manquait Max, sa différence, sa douceur, sa brutalité aussi. Et puis, c’était leur passeport pour rentrer, elles ignoraient tout de la manière de s’évader de ce monde si fou. Elles s’allongèrent, rassasiées pour quelque temps, se tenant par la main. Mia caressait les seins de Clara et agaçait ses tétons.



Les deux filles s’endormirent, trempées de sueur et de miel, le corps rouge de leurs caresses.




Trahison


Max arriva devant leur abri, il était toujours aussi érigé, dur et fort. Il les regarda dormir et s’adressa à son compagnon ; la panthère mâle qui avait pris les deux filles.



À leur réveil, les filles se retrouvèrent à nouveau attachées, cette fois en x sous un agrès comme celui que Max utilisait, bras et jambes écartés en grand, ouvertes et forcées. Clara et Mia sentaient toutes deux leur sexe occupé, investi par quelque chose qu’elles ne pouvaient pas voir. Leur position les faisait se cambrer et s’ouvrir en grand et elles commençaient à avoir mal, leurs membres tirés en arrière et forcés. Elles étaient placées l’une derrière l’autre, et chacune sentait dans son dos le corps de l’autre.


Il faisait encore nuit et elles virent autour d’elles des silhouettes sombres qui les contemplaient.


Clara se sentait encore plus nue et malgré les ondes de plaisir qui couraient de son sexe à ses seins aux tétons érigés, elle avait peur. Son sexe vibrait et menait sa vie propre, envoyant des salves de sensations à son cerveau, la faisant couler continuellement. À un moment elle expulsa lors d’un orgasme énorme ce qui la prenait et aussitôt une main vint repositionner le sextoy dans son vagin non sans avoir préalablement exploré méticuleusement son sexe hyper sensible.


Puis quelqu’un vint lui mettre un bâillon et elle se contenta de grognements sourds.


Enfin le soleil se leva et elles le virent.

Max était là, parmi les panthères, toujours nu, toujours érigé et aussi beau. Son sexe oscillait doucement quand il bougeait et elles pouvaient le voir laisser échapper des chapelets de gouttes cristallines qui filaient vers le sol ou mouillaient ses cuisses.


Il les regarda sans rien dire puis s’approcha et retira les plugs de leurs sexes.


Clara et Mia se sentirent trahies. Clara ne put empêcher ses larmes de couler et Mia l’injuria copieusement en grognant.


Il se plaça devant Clara et lui enleva son bâillon. Celle-ci ne dit rien et ferma les yeux. Max essuya une larme et lui caressa les seins, doucement.





Torture


Elle ne répondit pas, il retira le bâillon de Mia qui lui précisa ce qu’elle pensait de lui. Il lui toucha aussi les seins et se retira.


Puis on lui tendit le fouet. Pas un fouet d’opérette, non, un vrai avec une mèche longue et épaisse au bout. Clara avait vu ce qu’il provoquait sur une amie qui n’avait pas eu de chance.


Clara poussa un cri, imitée par Mia. Elle décida de ne pas montrer sa douleur et se jura de résister. Max se plaça sur sa droite, les jambes écartées, campé sur ses pieds crispés sur le sol de la clairière.

Puis il commença, abattant avec force la lanière de cuir droit sur ses seins, frappant avec régularité, visant avec soin ses tétons.


À chaque fois, il frappait droit sur les pointes, une fois Clara puis Mia et les coups violents les aveuglaient de douleur. Les seins de Mia s’écrasaient comme coupés en deux sous la violence des frappes de Max et à chaque fois elle perdait son souffle et cherchait sa respiration. Clara se cambrait au maximum et serrait les dents. Elle avait de petits seins et le fouet lui marquait les côtes plus profondément. Du sang apparut rapidement sous sa peau fragile.


Puis il descendit sur son ventre et là, il accéléra la cadence et augmenta la force de ses coups. Clara se pliait en deux à chaque fois et les lanières la cueillaient toujours plus fort, plus profondément.


Leur peau se creusait de longues traces rouges, de griffes sanglantes. Chaque coup les marquait, creusait leurs chairs les plus fragiles. Les tétons de Clara la faisaient souffrir à chaque respiration et du sang en coulait.


Enfin il visa leur sexe. Pour cela, il se mit en face de Mia et commença à inscrire la lanière de cuir épais droit sur son clitoris. La fille hurla de douleur et Max continua, enchaînant les coups sur les lèvres, le pubis et le clitoris qui se mit à saigner. Des gouttes de sang giclèrent et maculèrent la peau nue de Max. Clara la sentait dans son dos, se camber, se durcir puis osciller sous la douleur atroce qui la déchirait, sa peau nue glissait sur la sienne, couverte de sueur froide. Mia s’évanouit. Il s’arrêta.


Il se plaça devant Clara et la frappa à son tour, visant son sexe et ses lèvres, il s’était placé en face d’elle et frappait de bas en haut, faisant claquer la lanière entre les lèvres nues, les déchirant sans pitié. Le sang coula et il continua, Clara ne criait pas. Il redoubla ses coups puis dans une giclée de sang, il la pénétra, enfonçant sa verge dans son vagin martyrisé, la prenant aux épaules et s’y suspendant. Clara hurla comme une bête puis dans un éclat de lumière disparut totalement.




Le retour


Max, Clara et Mia roulèrent tous les trois à terre et se retrouvèrent au garage, là où tout avait commencé.

Mia gémit et se réveilla, Clara se redressa vivement et s’éloigna de Max. Celui-ci se releva, son sexe toujours tendu oscilla et émit une giclée de sperme épais et blanc, il s’essuya et contempla les filles.



Mia se releva et caressa sa poitrine intacte et son sexe sans marques. Elle s’approcha de Clara et lui toucha le ventre, l’explorant avec fébrilité, frottant ses seins contre les siens. Clara l’embrassa goulûment et lui pinça le clitoris doucement. Les filles se mirent sous le portique et la porte s’ouvrit. Max s’approcha et les caressa. Sa verge se perdit entre les fesses de Clara.