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Rencontre avec Anna

Cela faisait quelque mois mon ancienne compagne m’avait quitté sans réel motif ! Un peu au fond du trou je m’étais noyé dans le boulot pour essayer d’oublier. Cela faisait quatorze ans que je travaillais dans une entreprise d’entretien d’antenne en Bourgogne ! Du coup, mes lieux d’interventions étaient souvent perdus au milieu de la campagne ou sur les monts. J’avais pour mission d’installer des alarmes sur tous nos sites. Je passais le lundi matin au bureau récupérer tout le matériel pour la semaine et je partais tout seul sur les différents lieux. J’avais environ trois mois de travail devant moi. Ça faisait trois semaines que j’avais commencé. Il me fallait moins d’une demi-journée par site pour faire l’installation.

C’était un mercredi matin du mois de mai que tout a basculé ! Je devais me rendre sur une antenne dans la côte chalonnaise que je ne connaissais pas ! Un collègue m’avait expliqué sur une carte IGN son emplacement exact ! Il m’avait prévenu que l’accès n’était pas des plus faciles. Je me retrouvais donc avec mon petit utilitaire dans les chemins entre les vignes et les sapins ! J’apercevais l’antenne sur ma gauche au sommet, mais je ne trouvais pas le chemin pour y accéder. Après dix minutes de recherche, je finis enfin par trouver le chemin et comme me l’avait signalé mon collègue, l’accès était loin d’être aisé. Le chemin était sinueux et la pente assez importante. Je me lançai dedans lorsqu’à la sortie d’un virage, je me retrouvai juste derrière une personne qui s’entraînait au trail avec des écouteurs de musique, ce qui fait qu’elle ne m’avait pas entendu arriver. Par un réflexe proche de la chance, je réussis à ne pas la renverser. Surprise d’entendre un véhicule au dernier moment à moins de trente centimètres d’elle, elle enleva ses écouteurs et je crus comprendre qu’elle n’était pas très contente. J’ouvrir la fenêtre :

• — Connard ! T’as qu’à monter plus vite encore ! me hurla-t-elle.
• — Désolé de travailler, madame ! (Avec un air un peu je-m’en-foutiste !).
• — Espèce de con, t’as rien à foutre ici !
• — Désolé, mais si j’ai les autorisations ! (Un peu toujours sur le même air).

Elle s’était déplacée sur le côté pour mieux pouvoir m’insulter !

• — Tu sais où tu peux te les mettre tes autorisations ?

Je commençai à en avoir marre de me faire insulter alors que je souhaitais juste faire mon taf sans être emmerdé ! Elle reprit à nouveau :

• — Casse-toi de là, abruti…

Exaspéré par cette dernière insulte je lui répondis en redémarrant :

• — Mais ferme ta gueule, mal baisée…

Je vis dans le rétro qu’elle continuait avec ses noms d’oiseaux.

Après une dizaine de minutes, je me retrouvai enfin devant la porte de mon antenne. Je sortis tout mon matériel et après à peine cinq minutes, j’étais déjà à pied d’œuvre pour remplir ma mission. Mon enceinte Bluetooth avec spotify qui tournait afin que je me sente un peu moins seul. Au bout de quinze minutes, j’entendis quelqu’un crier dans l’encadrement de la porte. Je coupai la musique et me rapprochai.

• — Alors du con, tu as dit quoi en partant ?

Tiens, la joggeuse qui en avait encore après moi ! Toujours en mode rien à faire :

• — Si tu poses la question, c’est que tu as dû entendre !
• — Tu n’assumes pas ? me demanda-t-elle.
• — J’assume toujours tout ce que je dis.
• — Alors tu as dit quoi en partant ? Si tu assumes, ose le redire en face !

En disant ça, elle avait l’air encore plus énervée que tout à l’heure. Un peu hésitant quand même, je me répétai :

• — Mal baisée.

En répétant cela, je la vis devenir tout étrange ! Comme vexée ! Je vis bien qu’elle voulut renchérir, mais elle tourna les talons et fit demi-tour. Sur le coup, je me suis dit « bon débarras », mais pourquoi est-ce que mon esprit a eu des remords ? Je sortis de mon trou et rattrapai la fille.

• — Désolé ! Ce n’était pas bien malin de ma part de dire ça !
• — Lâche-moi connard ! me dit-elle les yeux gonflés.
• — Hey, calmez-vous ! Je m’excuse ! J’ai été pris un peu au dépourvu et je n’ai pas voulu perdre la face. Je suis désolé.

Je sentis qu’elle se calmait :

• — Désolé aussi ! Je n’aurais pas dû vous insulter comme je l’ai fait tout à l’heure. J’ai été surprise alors que j’étais dans mes pensées et j’ai mal réagi !
• — Je peux vous proposer un café ? Avec tout cela, je pense que votre entraînement est un peu tombé à l’eau !
• — Un café ?
• — Oui ! Alors ça ne sera pas un Starbucks, mais bon, s’il n’y a que ça, je noterai ton nom sur le gobelet !

Elle rigola ! J’avais au moins réussi ça !

Je sortis la petite cafetière que j’avais dans mon camion et la branchai dans le bureau de l’antenne. Elle m’avait suivi.

• — Je ne me suis pas présenté ! je m’appelle Sylvain. Et toi ?
• — Moi, c’est Anna.

Elle s’était calmée et n’avait plus les yeux gonflés. Elle affichait presque un sourire. Je lui proposai de s’asseoir sur la chaise pendant que je préparais le café. Je détaillais un peu plus Anna. Elle devait avoir dans mes âges, trente, trente-cinq ans, un peu plus petite que moi, 1,65 m, je dirais. Elle était rousse avec une longue queue de cheval, son corps prouvait qu’elle faisait beaucoup de sport. Ses jambes étaient musclées parfaitement et elle était fine de taille. Un détail attira un plus mon regard, ses seins. Étant sportif aussi et ayant l’habitude de courir avec un groupe mixte d’amis, je savais que les filles mettaient en général une brassière pour ce type d’activité et que celle-ci cassait un peu les charmes des demoiselles ! Mais une fois Anna assise, je me rendis compte que ses seins avaient l’air plutôt gros, je ne saurais pas dire la taille, mais bon. Mon esprit détaillait mon invitée, ses grands yeux verts me regardaient me perdre dans mes pensées. Dommage d’avoir rencontré cette fille dans ces conditions, me dis-je intérieurement. Elle était vraiment belle.

• — Tu viens souvent dans les coins ? me demanda-t-elle
• — Non ! C’est la première fois que je viens sur cette installation, d’habitude c’est un collègue qui passe ! Et toi, tu cours souvent dans le coin ?
• — Depuis que mon mari m’a trompée avec sa cruche de secrétaire, je me suis remise au sport ! J’essaie de courir trois à quatre fois par semaine !
• — Ah oui, quand même ! En pleine forme, du coup ?
• — Ça va, je me débrouille ! Je me prépare pour quelques courses pendant l’été pour passer le temps !

Le café avait fini de couler ! Sur un des gobelets, j’avais noté « Hana ». Je le lui tendis. Elle le prit et se mit à rigoler :

• — Au moins comme ça, je me crois vraiment au Starbucks, me dit-elle
• — C’est plus agréable comme ça que tout à l’heure ! Je préfère te voir sourire que m’insulter !
• — Oui, je suis vraiment désolée ! Mais je suis un peu à cran depuis deux mois ! Cet abruti me faisait croire qu’il passait un temps infini au travail à cause de gros dossiers, mais en fait c’était juste pour pouvoir se taper sa pute de secrétaire tranquillement.
• — Désolé pour toi, mais ton mari est un con !

Elle releva la tête et me fixa d’un air bizarre, interrogatif !

• — Bah oui, je suis désolé, mais tu es magnifique, sympa sauf quand on te croise dans les chemins… dis-je en rigolant. Je ne vois pourquoi aller voir une secrétaire.
• — Merci, c’est gentil !
• — C’est sincère !

Je sentis que j’avais marqué un point.

Il y avait beaucoup de vent dehors. Une rafale fit claquer la porte de l’antenne et on se retrouva dans le noir, je n’avais pas allumé la lumière, car il n’y en avait pas besoin !

• — Ne bouge pas, je vais allumer ! Tous les sites sont identiques donc je devrais trouver facilement !
• — OK. J’attends !

Je cherchais contre le mur, mais ne trouvais rien ! Je ne pouvais ouvrir la porte sans la lumière, comme c’était un vieux site, il n’était pas équipé de porte-panique et il fallait la clé !

• — Désolé, c’est un peu plus long que prévu !
• — Attends, je vais t’aider ! Tu n’as pas ton téléphone pour faire de la lumière ?
• — Non, il est dans ma caisse !

Nous étions tous les deux à chercher à tâtons contre mur dans le noir et bien entendu sans le faire exprès, je me retrouvai à poser mes mains sur ses courbes ! Comme la nature est bien faite, j’avais une de mes mains sur un de ses seins. Surpris, je ne savais pas quoi faire ! Ma raison me disait de retirer ma main tout de suite, mais mon esprit me disait d’en profiter !

• — Ce n’est pas un interrupteur pour la lumière, je crois ! me dit-elle
• — Oui désolé ! C’est pas faux !

J’enlevai ma main, un peu gêné. On continua à chercher encore un peu lorsqu’elle trouva enfin l’interrupteur !

• — Bravo ! bien joué ! lui dis-je en me retournant !

Quelle ne fut pas ma surprise lorsque je vis qu’elle avait retiré son t-shirt ! J’étais comme hypnotisé !

• — Je t’ai vu depuis tout à l’heure me regarder sous tous les angles ! Et ta main tout à l’heure avait l’air d’apprécier !

Ne m’attendant pas à cette situation, je me retrouvai un peu con ! Elle s’approcha de moi ! J’avais les yeux fixés sur sa brassière !

• — Ils te plaisent apparemment !

Tout en disant ça, elle les mit en avant en tirant ses épaules en arrière !

Ils étaient énormes ! Je me demandai comment cela ne lui faisait pas mal tellement ils étaient compressés dans sa brassière !

• — Oui, ils sont superbes ! Mais cela ne te fait pas mal avec la brassière ?
• — Si un peu ! Attends, je vais me mettre un peu plus à l’aise !

En me fixant dans les yeux, elle se contorsionna pour les libérer. Mon dieu, qu’ils étaient magnifiques ! Ça devait être du 90 D ou E ! Elle était devant moi les seins à l’air avec le regard planté dans le mien ! J’avais envie de les dévorer ! Je me rapprochai d’elle et l’attrapai pour l’embrasser ! Avec tout ça, une belle érection s’était formée dans mon jean ! Collés l’un contre l’autre, je sentais son bassin faire des petits mouvements !

• — Tu as l’air à l’étroit aussi, toi !

En disant cela, elle commença à défaire ma ceinture et les boutons de mon jean ! Elle rentra sa main dans mon caleçon et en sortit mon sexe ! Elle me massait doucement celle-ci tout en venant m’embrasser de nouveau ! J’étais complément perdu ! J’essayai de reprendre un peu mes esprits, mes mains vinrent se poser sur ses seins et je commençai à les caresser ainsi qu’à jouer avec ses tétons qui étaient déjà bien durs. Elle me poussa sur la chaise et se mit à genoux devant moi pour me prendre en bouche. Elle me prodiguait une pipe exceptionnelle ! Elle était très douée. À ce rythme-là, je n’allais pas pouvoir me retenir très longtemps !

• — Arrête, je vais venir ! lui dis-je en lui repoussant la tête !

Je finis d’enlever mon pantalon et mon t-shirt en me relevant de la chaise. Je pris Anna par les hanches et lui enlevai son mini short et sa culotte ! Je la fis s’asseoir sur le bureau. Elle était complément rasée ! Elle mouillait déjà beaucoup, je pus introduire deux doigts directement. Je la masturbai, tandis que je lui dévorai les tétons.

• — Oh oui, continue ! C’est trop bon…

Elle me mordillait l’oreille. Je sentais son souffle s’accélérer. Je laissai un peu ses tétons et descendis ma langue sur son sexe et, toujours deux doigts dans sa chatte, je lui fis un cunnilingus comme j’en ai le secret ! J’aime sentir une femme partir alors que je l’ai en bouche ! Elle m’appuyait sur la tête pour surtout ne pas arrêter. Elle gémissait de plus en plus ! Sentant qu’elle n’était pas loin de l’explosion, j’accélérai les coups de langue et la vitesse de mes doigts ! Elle mouillait énormément ! Tout d’un coup, elle hurla quasiment ! Ses jambes se refermèrent sur ma tête, me coinçant ! Je sentis son corps entier parcouru de vibrations ! Cela dura presque une minute ! Elle était couchée sur le bureau les yeux dans le vague ! Elle reprit ses esprits et me sauta au cou pour m’embrasser !

• — Tu as été exceptionnel ! Ça faisait longtemps que je n’avais pas explosé ainsi ! Maintenant, je veux te sentir en moi !

En disant cela, elle posa ses pieds au sol se plia en deux sur le bureau. Elle prit ma bite et la présenta devant sa chatte ! Je n’ai pas eu besoin de forcer ! Elle était toujours très humide ! Je ma retrouvai en elle en une fois ! Elle était très douce ! Je commençais les va-et-vient ! Ma main gauche était passée entre ses jambes et je jouais avec son clitoris tout en la culbutant ! Ma main droite lui caressait les seins ! Anna était aux anges. Elle lâchait un petit cri à chaque fois que j’arrivais en butée jusqu’à la garde ! Je lui pinçai les tétons ! Son volume sonore s’amplifia de plus en plus ! Mes mains attrapèrent ses hanches et j’accélérai sérieusement les mouvements ! Anna mouillait énormément, elle n’était pas loin de repartir pour un tour au pays des merveilles ! Ça tombait bien, car je n’allais pas tenir encore très longtemps. Elle explosa littéralement ! Son corps entier se crispa d’un coup ! Elle hurlait quasiment ! J’étais aussi sur le point d’exploser ! Je me retirai au dernier moment. Ma première giclée vint s’écraser sur son dos, les suivantes terminèrent leur course sur ses fesses ! J’étais vidé ! On reprit doucement nos esprits! Tout en se rhabillant, elle me dit :

• — Merci beaucoup, tu as été génial !
• — Merci, tu as été pas mal non plus !
• — Tu peux m’essuyer un peu le dos, s’il te plaît ? Tu m’en as mis partout !

En rigolant, je pris un chiffon et lui essayai le dos. Une fois à peu près plus présentable, elle m’embrassa à nouveau.

• — Quand est-ce que tu reviens dans le coin ?
• — Je suis dans le coin pendant une semaine et demie encore ! À vingt kilomètres autour d’ici !
• — Cool ! Et tu dors où ?
• — J’avais prévu de prendre une chambre d’hôtel !
• — Très bien ! Je te donne mon numéro ! Écris-moi si tu t’ennuies un de ces soirs !
• — Je n’y manquerai pas, je pense !

Pendant qu’elle notait son numéro au feutre dans ma caisse à outils, je pris mes clés et ouvris la porte. Elle m’embrassa avant de partir en courant ! Je la regardai s’éloigner et me dis que cette femme était vraiment une bombe. La journée ne fut pas des plus productives ! Mon esprit n’arrivait pas se remettre de tout cela ! Comment je suis passé de me faire insulter… à ça ! Décidément, je n’arrive vraiment pas à comprendre les femmes.

Une chose est sûre, je vais sûrement prendre un peu plus de temps pour finir tous les sites du coin ! On ne sait jamais ce qui pourrait arriver…