n° 19004 | Fiche technique | 11371 caractères | 11371Temps de lecture estimé : 8 mn | 27/05/19 |
Résumé: La première rencontre avec celui qui allait devenir l'homme de ma vie. | ||||
Critères: fh fplusag fsoumise fellation cunnilingu 69 pénétratio fsodo fouetfesse -occasion | ||||
Auteur : AmyLynn Envoi mini-message |
Amy, ce prénom vient de mon père anglais. J’ai vécu entre l’Angleterre et la France. Depuis trois ans, je vis dans le Vaucluse. Je suis une femme dans la cinquantaine. Blonde aux cheveux mi-courts, quelques kilos de trop, mais fort heureusement bien répartis. Il n’y a pas que moi qui le dis. Mère d’un fils, veuve depuis longtemps. Côté sexe, je me définirais comme une femme gourmande. On me reconnaît un caractère volontaire.
Il est à peine huit heures, je suis prête, je devrais dire apprêtée, à recevoir mon ami, un homme marié. La sonnerie de mon portable me surprend. Il ne passera pas avant le bureau comme prévu. Un rendez client l’en empêche. Les joies de l’homme marié. Je ne vous dis pas mon état d’esprit. Je suis furieuse, contrariée.
Un bruit provenant de la chambre de mon fils attire mon attention. Hier, devant se rendre à une soirée en ville, il m’avait demandé de venir dormir chez moi, et devait partir très tôt au travail. À cette heure-ci, il devrait y être. Pourtant, il m’avait semblé l’entendre partir ce matin. Il n’allait certainement pas tomber à nouveau dans ces travers qui lui ont valu de sérieux ennuis. J’allais enfin pouvoir passer ma mauvaise humeur sur quelqu’un.
Sans aucune précaution, j’ouvre la porte de sa chambre. Et… c’est Franck, le copain de mon fils, que je trouve assis au pied du lit, la tête entre les mains. La soirée a dû être très arrosée. Il lève la tête vers moi. En voyant son regard, je lui demande de patienter.
Je reviens, lui tendant un verre où finit de dissoudre un cachet. C’est là que je réalise ma tenue, en guêpière à volants, bas blancs retenus par des porte-jarretelles larges et chaussée d’escarpins noirs. La tenue d’une pensionnaire de maison close, tenue qu’affectionne mon ami.
En baissant le regard pour lui parler, je vois une gaule pas possible. Comme on dit trivialement, le chapiteau est monté. Son caleçon est déformé d’une belle façon. Naturellement, je m’agenouille devant lui et lui demande comment il va. Sans plus réfléchir, mes mains s’attaquent à l’élastique de son caleçon. Une matraque de belle dimension apparaît. Il est bien monté l’animal. Mes lèvres se posent sur le gland. Du plat de la langue, je le lèche comme un sucre d’orge. Il proteste, se dégage.
Ah non ! Lui aussi n’allait pas me faire faux bond. Il ne va pas jouer au père la pudeur, j’ai trop envie d’un homme. Je prends les affaires en main, l’oblige à se lever et l’entraîne vers ma chambre en le tenant par la queue.
Je le pousse autoritairement sur le lit où il tombe sur le dos, je lui retire prestement son caleçon. Je me glisse sur lui, je sens son sexe tressauter contre moi. Une main autoritaire plaquée sur ma nuque m’attire vers lui, il tente de m’embrasser, je me dérobe et le maintiens plaqué sur le lit en lui disant que je prenais les choses en main. Il ricane en me répondant qu’il n’entend pas se laisser faire.
Sûre de moi, je me laisse glisser le long de lui, sentant sa queue contre moi, effleurant son sexe de mes cheveux. J’ai devant mes yeux, tenu par sa main, un sexe de belle taille, l’autre main dans mes cheveux m’oblige à le prendre en bouche. J’agace du bout de la langue son gland en insistant sur le frein, Je lèche de bas en haut cette hampe en lui jetant un regard. Je remplace sa main à la base de son sexe avant de l’emboucher. Mes lèvres serrées descendent lentement, je m’empale la bouche sur cette queue qui m’excite.
Nez enfoui dans son pubis, je reste ainsi quelques secondes, ses gémissements, ses doigts dans mes cheveux me comblent, m’encouragent à continuer. Lentement, par saccades je remonte, me libère de ce bâillon de chair. Avec un regard salace, je lui susurre que sa queue me rend folle. Je le reprends en bouche pour quelques va-et-vient humides et bruyants. Certaine de moi, je m’amuse de lui, riant même d’un rire coquin.
Il me surprend en se levant, je n’ai pas temps de bouger qu’il est au pied du lit. Prise par les cheveux, il m’oblige à me retourner. Je sens à cet instant que la situation m’échappe. Assise au bord du lit, il m’oblige à le reprendre en bouche, de façon rapide, presque hystérique, je le suce, le branle. Sa main sur ma tête m’oblige à le prendre plus profondément que je ne le veux. Son pieu me défonce la gorge, m’étouffe. La respiration coupée, je me libère. Je reçois un long baiser, son premier baiser. Ma main le caresse. C’est certain, il prend les choses en main. Et cela me plaît.
Comme pour m’étrangler, sa main posée sur ma gorge m’oblige à me pencher en arrière. En le regardant, je le supplie de me prendre, de me baiser. J’en meurs d’envie. Je suis giflée pour me faire comprendre que c’est lui qui décide. Toujours tenue par la gorge, je me retrouve couchée sur le dos, les bras en croix, comme un papillon épinglé, le visage fouetté par sa queue. Il n’est pas doux, il est autoritaire, sans brutalité aucune. Sa force exprime le désir de me maîtriser.
Ma bouche est de nouveau ravagée par sa queue. De façon plus douce, mais toujours bruyante. Je gémis en le suçant, mes doigts entament également un doux ballet. Je lui dis de nouveau mon envie, lui promets mille délices. Il m’oblige à le reprendre profondément. Le nez plaqué sur son ventre, je m’étouffe. C’est délicieux. Ses gémissements me ravissent. En me libérant, je fais des bruits incongrus. Je reprends mon souffle. Mes gémissements lui font comprendre ma satisfaction, mon envie de le satisfaire, quels que soient ses désirs, ses instincts.
Toujours agenouillé près de moi, il commence à me caresser. Je l’encourage, je me laisse envahir par le plaisir. Je reçois de façon subite des claques sur ma chatte, je crie de surprise, tout en le suppliant de continuer. Je suis prête à jouir, quand il s’allonge derrière moi sur le côté, soulevant ma jambe. Ouverte, trempée, je le reçois en moi. Il me pilonne. Cette façon bestiale de me prendre est accompagnée d’une tendre complicité. Nos fronts se touchent, nos souffles se mêlent. Je lui parle, lui exprime mon plaisir. Je l’encourage à me prendre plus fort avec des mots crus. Une nouvelle claque me calme. La jouissance me foudroie. Je crie, feule mon plaisir. Mes cris résonnent. Avec des gestes nerveux, je ne me contrôle plus, je l’oblige à se plaquer à moi. Il m’embrasse longuement. Reprenant lentement mes esprits en gémissant, je sens sa queue toujours en moi.
Je me dégage. Je veux remercier cette queue qui m’a donné tant de plaisir. Une main ferme tenant mes cheveux m’oblige à me mettre tête-bêche. Son imagination me plaît. J’exprime mes talents de suceuse. Je suis déchaînée, je veux le faire craquer. Tout y passe, gémissements, cris, bruits de gorge, respiration râlante. Sa queue est luisante de ma bave. Sans l’aide des mains, je m’empale la bouche sur ce totem, je l’enfourne, mon nez touche ses couilles. Je le prends ainsi plusieurs fois en râlant comme la femelle en chaleur que je suis devenue. Je suis encouragée par quelques claques bien senties sur mes fesses et ses gémissements.
Je me retrouve sans savoir comment, accroupie sur lui, empalée sur ce pieu de chair. Mais quelle queue il a ce petit salaud ! Mes cris envahissent la maison. Je perds la notion du temps, je perds la tête. Je m’agite comme une folle, il me retient, me défonce, me pilonne. Je l’encourage avec un vocabulaire ordurier. Je râle, je hurle. Le plaisir me ravage, violemment. Dévastée, je m’effondre sur lui. Il est toujours en moi, gros et dur. Il continue à me pilonner.
Ses doigts se font inquisiteurs sur ma rondelle. Je lui fais comprendre avec mes mots que j’aime me faire enculer, mais que je n’ai jamais eu une aussi grosse « in my ass ». Subissant ses coups de boutoir, son doigt dans mon cul étroit, je le supplie de me baiser, de m’enculer. J’en meurs d’envie. Il m’empêche de me dégager, son doigt se fait plus insistant. Une claque me brûle le cul. Je crie de surprise, de douleur. Le massacre de ma chatte continue, je suis de nouveau foudroyée par le plaisir. Anéantie… souffle coupé.
Sans me laisser de répit, il continue à s’agiter dans ma chatte. Je le supplie d’arrêter. Je délire. J’implore, des « my god » résonnent, j’en perds mon français. Je me redresse, il dégage mes seins de leur prison de dentelle. Des claques rougissent mes seins. Je gémis de douleur, de plaisir. Jamais je n’ai subi une telle sauvagerie. Il arrive à se glisser au pied du lit, je me retrouve allongée sur ses cuisses, la tête dans le vide. Il continue à martyriser mes seins, avec rudesse sans brutalité. Mes cris emplissent la chambre. Il introduit ses doigts dans ma bouche, comme un hameçon, m’oblige à me redresser. Nous nous embrassons longuement, langoureusement. Je ne sais plus que penser.
Je me retrouve sur le dos, les fesses au bord du lit, les jambes écartées, sa queue caresse ma chatte et mon petit trou. Il écrase un de mes seins. Je découvre avec un certain trouble que j’aime être bousculée comme je viens de l’être. Je sens son gland contre ma rondelle. Je m’ouvre. Lentement, il m’encule. C’est si bon. Vulgairement je l’encourage, je perds le contrôle de ma pensée. Une claque me ramène à la réalité.
Il me lime lentement, du bout de la queue. Je lui dis que j’aime me faire prendre ainsi. D’un coup de reins, il m’envahit. De nouveau je crie. Sa main serre ma gorge, m’empêchant de respirer normalement. Il me ravage le cul, il me défonce. Un cri bestial sort de ma gorge, je sens la jouissance venir. Je le frappe, me débats, il me prend le visage dans sa main, m’oblige à le regarder. En me traitant de catin, il m’oblige à dire que j’aime être sa chienne. De toute sa longueur, il me laboure le cul. Il me gifle de façon maîtrisée le visage, les seins. Sous ses coups, je râle mon plaisir. De nouveau, je suis emportée par le tourbillon de la jouissance. Une jouissance primaire, violente.
À peine remise, assise au bord du lit, il est debout devant moi, m’obligeant à le prendre dans ma bouche. Je l’avale façon gorge profonde, le nez contre son ventre. J’entreprends de le sucer lentement. Mes gémissements lui font comprendre que je suis conquise, subjuguée, soumise. Sentant sa jouissance venir, il se branle devant ma bouche. Les doigts enfouis dans ma chatte, je déclenche mon plaisir au moment où il se libère sur mon visage, dans ma bouche.
À mon réveil, il est parti. Mon cœur éclate quand je découvre son numéro de téléphone écrit sur le miroir, avec le message « si tu veux ». Lui faire comprendre que j’étais à sa merci, des crampes plein le ventre, sans attendre, je lui envoie un message lui disant que mon cul désirait sa queue, en lui proposant ce soir ou demain. Instantanément je reçois : « demain ». Mais ça, c’est une autre histoire, une très longue histoire.