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n° 19006Fiche technique8674 caractères8674
Temps de lecture estimé : 6 mn
28/05/19
Résumé:  Sarah, son amant, sa maîtresse et son maître.
Critères:  ff hh fsoumise hsoumis fellation cunnilingu anulingus fgode fdanus fsodo hsodo -sm
Auteur : A. Duhring
Sarah

Sarah était aux anges. Le scénario qu’elle avait imaginé avec sa maîtresse pour faire découvrir de nouveaux territoires à son amant se déroulait à merveille. Elle était au spectacle, assise sur ses talons, les chevilles de gauche et de droite nouées en haut de chacune de ses cuisses l’empêchaient de se relever. Le moment où son amant avait vu sa maîtresse nouer les cordes les unes après les autres avec douceur avait été grand. La voir se laisser faire, tout en consentement, l’avait privé de parole. Car ainsi attachée, elle était encore plus belle. Dans son dos, au milieu de ses bras tirés en arrière, tombaient ses cheveux blonds rassemblés en une épaisse natte.


Sa maîtresse avait d’abord fait un premier lien au-dessus des coudes, tirant ses épaules en arrière, faisant ressortir sa poitrine vers l’avant. Elle avait ensuite relié, attaché ses mains aux poignets par une corde triplée et resserrée par un nœud. Ses mains effleuraient sur ses fesses. Après lui avoir glissé dans l’oreille le signe qui la libérerait aussitôt, sa maîtresse l’avait bâillonnée d’une boule retenue par deux lanières de cuir nouées à l’arrière de la tête. Empêchée de parler, mais ni de respirer ni de gémir. Elle n’avait eu aucun mal à prendre dans son ventre le vit collé au sol.


Pendant que sa maîtresse la préparait ainsi, Sarah avait pu voir son homme se laisser faire entre les mains du maître. Le plaisir de son homme était visible, et elle en prenait sa part. Malgré les liens, elle bougeait doucement, lascivement autour du vit enfoncé en elle, mais qu’on pouvait deviner à chacun des mouvements de son bas-ventre. À chaque fois que son amant exprimait son plaisir, le sien d’un cran montait de ses entrailles. Elle n’avait aucune intention d’utiliser le signe qui la libérerait…


La tête de son amant disparaissait maintenant entre les cuisses de sa maîtresse. Sa maîtresse était assise dans le fauteuil, les jambes relevées sur les accoudoirs, tandis que lui, son amant, était prisonnier à ses pieds, à genoux, les yeux bandés, les avant-bras liés sur son dos, le sexe tendu perdu en dessous de lui. Sa maîtresse guidait sa tête entre ses jambes. Et sa langue s’appliquait, s’activait en haut, descendait, se perdait à l’intérieur, remontait. Les cris de sa maîtresse ne laissaient aucun doute sur l’effet que son amant lui faisait.


Mais elle, Sarah, entravée, fouillée en bas, fixée en haut par son regard captivé par la scène devant elle, commença réellement à défaillir quand le maître s’approcha de son homme par-derrière. Sa main droite se glissa entre ses cuisses, caressa doucement son sexe tendu, puis remonta le long de sa fente. La main s’arrêta pour se saisir de la fesse droite, le pouce appuyé sur la rondelle qu’il pénétra doucement et facilement. La main gauche du maître se fixa sur sa fesse gauche et son pouce gauche vint se joindre au droit. Elle vit son amant s’arrêter un temps, surpris d’être ainsi pénétré. Mais d’un geste brusque, sa maîtresse le ramena à son exploration entre ses cuisses.


Pendant ces quelques secondes, elle crut voir son sexe se durcir encore un peu. Celui du maître était, lui, devenu complètement raide. Il dégagea ses pouces, étala une crème et dirigea vivement son sexe vers la rondelle encore ouverte de son amant et y pénétra sans hésitation. Son amant ne fut pas surpris, il avait compris ce qui l’attendait et il l’attendait avec impatience. C’est la vigueur de l’assaut qui le fit sursauter. Sa maîtresse plaqua de nouveau vivement sa tête sur son sexe pour qu’il reprenne son travail, pendant que le maître allait et venait.


Il devait arriver ce qui arriva. Au bout de quelques minutes, Sarah vit son amant se cabrer, se raidir sous les coups de son maître, sa semence se répandant partout. Bien que sa tête fût enfouie entre les cuisses de sa maîtresse, elle l’entendit longuement gémir. Quelques secondes plus tard, c’est sa maîtresse qui se cabra, enserrant puissamment ses cuisses autour de la tête de son homme et exprimant sa satisfaction d’un long râle. Le maître suivit lui aussi, se calant au plus profond du trou qui l’accueillait. Cette triple jouissance sous ses yeux déclencha chez elle un long orgasme, son sexe se refermant sur le pieu en elle…


Quand elle rouvrit les yeux, elle vit son amant au sol, les yeux toujours bandés, les bras toujours entravés dans le dos, la tête rouge, mais le visage extatique… Le maître vint lui ôter le bâillon, lui délia les jambes et la transporta sur le lit, ses mains toujours attachées dans le dos. Le maître la retourna et la rapprocha du bord du lit afin que ses fesses soient quasiment dans le vide. Elle vit alors que sa maîtresse s’était équipée de sa ceinture préférée et qu’elle y avait attaché un de ses nouveaux jouets qu’elle avait abondamment lubrifié. Elle s’avança vers Sarah, baisa ses lèvres, puis ses seins, son sexe, de haut en bas et finit sur son anus. Sa maîtresse s’attarda là, humidifiant, pénétrant, autour, dedans. Elle comprit ce qu’elle voulait et sentit monter son plaisir.


C’était entre elles devenu un rituel qui allait cette fois se dérouler en présence de son homme, ce qui redoubla son excitation. Sa maîtresse sentit qu’elle était prête. Elle se releva et se positionna entre ses jambes écartées, souleva ses fesses et appuya son sexe sur son anus. Au deuxième coup de reins, sa tête se fraya un chemin, lui arrachant un petit gémissement. Sa maîtresse entra lors doucement en elle. À mesure que le sexe en plastique la pénétrait, son anus s’écartait. Puis elle le fit sortir et rentrer de nouveau, entrant dans une danse de plus en plus frénétique. À chaque coup de reins de sa maîtresse, le plaisir de Sarah augmentait… jusqu’à ce qu’elle se cabre dans ses liens dans un nouvel orgasme…


Quand Sarah reprit ses esprits, elle était assise sur une chaise, les bras toujours attachés dans le dos, mais derrière le dossier, et les chevilles entravées. Elle sentit très vite qu’entre ses fesses, sa maîtresse lui avait laissé un souvenir, un autre de ses jouets, puisqu’elle était toujours équipée de celui dont elle venait de se servir. Elle aimait cette sensation d’être fouillée.


Elle vit ensuite que son amant avait pris place sur le fauteuil, les bras toujours attachés dans le dos, les yeux toujours bandés. Ses jambes passaient par-dessus les accoudoirs et ses chevilles étaient attachées un peu plus bas. Ses fesses étaient sur le bord du fauteuil, offrant leur fente à la vue de tous. Elle se demandait ce qu’il pensait dans sa position, ne voyant rien de ce qu’il se tramait autour de lui. Son sexe, de nouveau tendu, traduisait dans tous les cas son excitation.


Ce qu’elle vit alors l’interpella dans un premier temps, mais très vite, l’excita, elle aussi. C’est son maître qui, silencieusement pour ne pas trahir sa présence, se plaça entre les jambes de son amant. Sa bouche baisa son sexe, joua avec son gland, puis l’enfourna à moitié, aux trois quarts, en entier. Il le fit ressortir, baisa le mât, descendit, remonta, descendit aux testicules, remonta, enfourna de nouveau l’engin à moitié, en entier. Son amant entravé était aux anges. Puis le maître descendit vers le sillon entre les fesses et tout en branlant doucement la verge, lécha la rondelle qui s’offrait à lui, de plus en plus sûrement, de plus en plus profondément. Quand sa langue quitta les lieux, elle fut remplacée aussitôt par un, puis bientôt deux doigts, qui, recourbés vers l’avant, cherchaient visiblement le point sensible des garçons. Le maître avait repris le sexe de son amant en bouche et s’était lancé dans un lascif va-et-vient, sa main libre se refermant à la base. Cerné de toute part, il ne fallut que quelques secondes de plus à son amant pour se libérer une nouvelle fois, tout entier dans une bouche inconnue. Ses cris révélèrent tout son plaisir.


Laissant son amant pantelant, le maître se retira doucement, et le sexe tendu, il vint vers Sarah toujours entravée sur sa chaise, mais que la scène à laquelle elle avait assisté l’avait menée proche de la jouissance. Le maître s’approcha et l’embrassa profondément, lui faisant partager ainsi la semence de son amant. Puis il se releva, se mit face à elle et lui offrit son sexe qu’elle prit goulûment…