n° 19011 | Fiche technique | 22783 caractères | 22783Temps de lecture estimé : 14 mn | 31/05/19 |
Résumé: Un homme raconte ses expériences avec des masseuses. | ||||
Critères: fh grosseins groscul fépilée odeurs ffontaine massage entreseins fsodo uro -tarifé | ||||
Auteur : Chevalier7511 (Parisien de 47 ans raconte ses expériences) Envoi mini-message |
Collection : Abécédaire féminin |
J’ai quarante-sept ans, cadre dans la fonction publique et j’habite à Paris dans un arrondissement « bobo ».
Je suis grand, 1,82 m, avec quelques kilos en trop (84 kg) que j’essaie de perdre en allant régulièrement à la salle de sport, mais pour l’instant ça ne produit pas d’effet à ce niveau-là…
Je suis marié, mon épouse est un peu plus âgée que moi et nous n’avons pas d’enfant. Nous sommes ensemble depuis la fin de l’année 2004, bientôt quinze ans.
Voilà pour une rapide présentation à laquelle je pourrai ajouter que je suis très heureux dans mon couple, mais – car il y a un mais, vous vous en doutez – la routine s’est installée et ses effets sont terribles.
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Pour de nombreuses raisons qui touchent à la fois la baisse du désir pour ma femme et l’envie de découvrir un corps féminin autre celui que je côtoie chaque jour, j’ai trompé ma femme comme on dit…
Je ne suis pas spécialement fier de ça et ce n’était pas la conception que j’avais du mariage lorsque nous sommes passés devant monsieur le Maire, mais j’avoue que ces moments me font du bien, alors…
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J’ai commencé par découvrir des petites annonces de massage sur des sites internet.
Je n’ai pas sollicité les services de nombreuses masseuses, mais j’ai eu quelques expériences, toutes positives, car je suis très « sélectif ».
Je cherche de vrais massages, doux relaxants et sensuels. Et j’aime moi aussi masser.
Je vais vous présenter trois masseuses : Anne, Béa et Caroline, toutes différentes, mais qui m’ont fait vivre des expériences très agréables.
L’évocation de ces prénoms me donne le sourire, j’ai vécu des moments très agréables ne leur compagnie.
Je vais commencer mon ABCédaire avec Anne.
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A comme Anne
Anne et moi sommes nés à quelques jours d’écart.
Elle a vécu une grande partie de son enfance/adolescence dans l’océan indien.
Elle est passionnée par la culture indienne, les massages… elle est l’incarnation de la bienveillance, de la zénitude.
Elle est fonctionnaire territoriale et profite de son temps partiel du vendredi après-midi pour donner un ou deux massages par semaine.
Nous avons discuté longuement sur internet avant que je ne me décide à prendre un rendez-vous ; c’était pour moi la première fois…
Rendez-vous était fixé chez elle dans son appartement, non loin du quartier du marais. C’était un petit deux-pièces dans un bel immeuble qui avait les couleurs et les odeurs du continent indien.
Anne est assez petite (1,55 m) et elle a quelques rondeurs, une poitrine généreuse et de larges fesses.
Elle était en jupe courte qui remontait haut sur ses cuisses lorsqu’elle était assise dans son fauteuil en face de moi. Elle portait un haut légèrement transparent. Bon premier contact !
Lors de nos conservations, je lui avais dit que j’aimais beaucoup regarder et elle n’a pas dû être choquée par mon regard sur ses jambes – en essayant de voir si j’apercevais une culotte – ou sur ses seins.
Elle m’a invité à prendre une douche et j’ai pu admirer dans sa salle de bain, une collection de culottes et soutiens-gorges en train de sécher. Visiblement Anne aime la dentelle et les dessous sexy.
Aussi je me suis allongé nu sur le lit qu’elle avait recouvert d’une grande serviette de plage. La lumière était tamisée, un bâton d’encens brûlait et une musique que je qualifierais de « spirituelle » donnait une impression sacrée à ce moment.
Elle est passée à la salle de bains et je crois que j’aurais pu m’endormir dans cette ambiance.
Elle est arrivée dans la chambre vêtue d’un grand peignoir ample en soie qu’elle a fait glisser sans que je m’en aperçoive.
Elle a mis de l’huile entre ses mains et a commencé son massage sur le verso de mon corps, des pieds à la tête avec des mouvements doux, fluides et harmonieux.
Les côtés doux et le relaxant étaient bien présents, le côté sensuel un peu moins, jusqu’à ce qu’elle passe sa main entre mes fesses, ce qui a eu pour effet de réveiller mon sexe. Elle a ensuite massé mon corps avec sa lourde poitrine. Elle glissait sur mon dos, je sentais son souffle à mon oreille lorsqu’elle remontait vers le haut de mon corps.
Tout cela était parfaitement exécuté avec application et passion !
Elle m’a demandé de me mettre sur le dos et tournée vers mes jambes, elle s’est accroupie au-dessus de mon visage… son sexe parfaitement lisse n’était qu’à quelques centimètres de mes yeux. Ma queue s’est dressée d’un seul coup et Anne a laissé échapper un :
Toute fière d’avoir réveillé mon sexe, elle a repris son massage, à califourchon sur moi. Je ne bougeais pas, mais petit à petit je voyais son sexe qui se rapprochait de ma bouche. À la seconde où ma langue a touché ses lèvres, elle a laissé échapper un gémissement et j’ai senti sur mon visage une explosion de liquide chaud sucré/salé, dont je me suis délecté.
Elle s’est littéralement posée sur mon visage, appuyant sa chatte sur ma bouche. Je l’ai léchée, j’ai enfoncé ma langue dans son vagin. Elle a joui en libérant une quantité impressionnante de liquide chaud et poisseux, dans un long gémissement…
Elle s’est allongée contre moi, s’excusant d’avoir abandonné son massage, ce qui ne faisait pas très sérieux.
La petite idée fut une masturbation entre ses seins, et je me suis libéré bien au creux de ses lolos !
Dieu que c’était bon !
Nous sommes restés de longues minutes allongés l’un contre l’autre, couverts de fluides corporels : mon visage était couvert de sa mouille et elle avait du sperme sur les seins et même sur le bas du visage.
Elle m’a expliqué que les massages qu’elle pratiquait étaient, en temps normal, beaucoup plus sages, mais que je lui avais donné envie, que je lui plaisais.
Je lui ai répondu que je ne m’attendais pas du tout à ce massage divin, et que la surprise fut excellente !
J’ai revu Anne régulièrement. À chaque fois, c’étaient des moments très sensuels, très intenses.
Hélas, elle a entamé une formation qui l’a obligée à retourner sur les bancs de l’école le vendredi après-midi. J’ai dû lui trouver une remplaçante.
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B comme Béa
Après de longues recherches, dominées par la peur d’être déçu, tant les massages d’Anne étaient « faits pour moi », j’ai découvert le profil de Béa.
Elle a annoncé clairement la couleur : « je fais ça pour le fric, car je suis dans une situation difficile, mais ce que je fais, je le fais bien. Et je n’ai pas de temps à perdre à discuter donc, soit tu prends un rendez-vous, soit tu cliques sur un autre profil. » Un peu brut de décoffrage la dame !
En temps normal, je serais passé à un autre profil, mais il s’avère qu’elle habitait à deux stations de chez moi et qu’elle était libre de suite…
On était loin du charme de l’appartement d’Anne, ici c’était un immeuble social et l’appartement aurait mérité un bon ravalement ! Ou tout simplement peut-être un bon rangement ; la poubelle dans la cuisine débordait, les cendriers étaient pleins – et pas que des cigarettes classiques – et il y avait des canettes de bière sur la table basse.
J’ai hésité à partir, mais elle m’a proposé une bière ; quand j’ai entendu la musique qui passait (AC-DC) je me suis assis sur le canapé défoncé à ses côtés. On a bu notre bière chacun en écoutant la musique et je suis redevenu celui que j’étais avant d’être sérieux, marié et cadre ! Un bon grand bond en arrière qui faisait du bien. Pour un peu, j’aurais presque pris une clope alors que j’ai arrêté depuis plus de dix ans.
Elle avait trente-cinq ans, elle était plutôt mince, limite maigre, et j’imagine qu’elle devait se contenter souvent de repas bière/clope… Sa tenue n’avait rien de sexy, jean et tee-shirt.
Une rebelle, une ado qui n’avait pas franchi le cap de la maturité, voilà ce qu’elle était à mes yeux.
Je lui ai dit que c’était sympa, mais que pour le massage, je n’étais pas sûr et que j’allais m’en aller.
Elle s’est levée pour aller dans le frigo et je me suis dit qu’elle avait un beau cul finalement ! Je me suis dit qu’au pire je lui laisserais un peu d’argent pour le dérangement.
D’un coup, elle m’a dit :
Ni une ni deux, elle avait posé son jean, son tee-shirt, et sa culotte est tombée à mes pieds.
Je ne sais pas comment expliquer, mais cette culotte n’était pas d’un blanc immaculé, on devinait quelques traces… Situation terriblement excitante en ce qui me concerne, même si ça peut paraître dégoûtant à de nombreux lecteurs… Je n’étais jusqu’à ce jour pas attiré par cela, mais là… je ne sais pas expliquer comment, mais impossible de réprimer cette putain d’érection dans mon pantalon !
Trente secondes plus tard, elle revenait dans la pièce avec une dizaine de culottes dans les bras.
Et question taches, j’étais servi ! Devant et derrière si j’ose dire !
J’ai examiné toutes ses culottes pendant qu’elle était allongée sur le clic-clac…
– Bon ben, on y va, puisqu’avec les deux bières j’ai envie.
Elle s’est levée pour me guider vers la salle de bain, attenante à sa chambre, puis s’est accroupie sans s’asseoir sur la lunette.
En dix secondes j’étais nu et je me suis mis à genoux sur le sol, le visage à hauteur des toilettes et de sa chatte à l’image de son appart, pas entretenue du tout !
Et là, elle s’est libérée dans un jet puissant, sonore et odorant… ce n’était pas un petit pipi de jeune femme de bonne famille si j’ose dire, mais une bonne grosse pisse !
Le tout à vingt centimètres de mon visage ; j’étais aux anges. Je n’avais jamais vu un tel spectacle de toute ma vie. Les amateurs comprendront et m’envieront, les autres me jugeront un peu taré…
Elle a pissé durant une bonne vingtaine de secondes et cela s’est conclu par un pet sonore ! Classe, je vous dis !
Je me suis relevé, la queue au garde-à-vous et elle l’a prise dans sa bouche ; quelle pipe !
J’ai eu peur de jouir trop vite et je me suis retiré de sa bouche. Elle s’est levée sans s’essuyer puis s’est mise à quatre pattes sur le lit, puis elle a sorti un préservatif caché sous l’oreiller.
J’ai humé sa chatte pendant que je recouvrais ma queue de la capote. Je me suis mis derrière elle et je me suis enfoncé d’un seul coup ! Je l’ai baisée ainsi de longues minutes, furieusement, presque bestialement.
Elle m’a demandé de jouir sur ses fesses, j’ai quitté son vagin et enlevé la capote avant d’inonder ses fesses, elle était toujours à quatre pattes devant moi. Mon sperme a coulé lentement entre ses fesses dégoulinant sur son petit trou et sa chatte. Un spectacle exquis, selon mes goûts…
Après cette partie de baise terriblement intense, elle m’a rappelé que j’étais venu pour un massage et elle s’est exécutée.
Je dois dire qu’elle était douée, même si j’étais toujours un peu sur un petit nuage… Même si elle était maigre, elle avait de beaux seins – petits, mais fermes – et les mains douces.
Elle m’a longuement massé le dos, les jambes et les fesses, puis le torse et les cuisses lorsque je me suis retourné. Elle a profité que je me retourne pour aller chercher ses culottes au séjour et me les a mises sous le nez. J’ai rebandé en savourant son odeur forte, puissante.
Elle a récupéré un autre préservatif puis une fois posé, s’est empalée sur mon sexe… nous avons baisé ainsi doucement, longuement, sensuellement. Lorsqu’elle a ressenti que mon corps tressautait, elle s’est soulevée et a enlevé la capote et m’a pris dans sa bouche. Je n’ai pas pu résister et j’ai éjaculé longuement en elle.
Je ne sais pas vraiment si ce récit doit être dans la catégorie des massages, pour moi, oui, car c’est pour cela que j’étais allé chez Béa et il y eut un massage. Mais j’ai aussi vécu un des moments les plus intenses de ma vie sexuelle en la regardant uriner devant moi.
C’est un fantasme que j’avais depuis longtemps, et je ne regrette pas de l’avoir réalisé.
J’ai revu Béa deux fois avec le rituel du pipi… puis ma pisseuse a dû quitter Paris pour la banlieue où les loyers sont moins chers… dommage ! Et je n’ai hélas plus eu de nouvelles.
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C comme Caroline
Elle avait posté une annonce assez marrante, précisant que l’annonce était réservée à des amateurs de massages et que les obsédés et pervers pouvaient passer à l’annonce suivante tout en s’excusant pour celle qui serait l’annonce suivante… Dès les premiers échanges, il y eut un quelque chose entre nous.
Rapidement, nous avons convenu d’un rendez-vous pour un café.
Elle est arrivée, très « executive woman », avec un très beau tailleur strict noir, un sac à main d’une marque de luxe et les lunettes qui allaient avec.
Elle avait dépassé la cinquantaine et dégageait beaucoup de charme et d’assurance.
Récemment divorcée, monsieur ayant trouvé « la même, mais avec vingt ans de moins », son salaire ne lui suffisait plus et si elle voulait maintenir son train de vie. Elle s’était résolue à proposer des massages pour des amateurs éclairés, hommes de goût.
Elle rencontrait toujours avant dans un lieu public et ne recevait jamais chez elle, mais allait chez ses clients, uniquement dans certains arrondissements de Paris.
Nous avons discuté de la pluie et du beau temps, comme deux copains. Au moment de partir, elle m’a fait la bise et m’a dit qu’elle voulait bien faire une exception, car elle était en confiance avec moi.
Elle habitait dans le 17e dans un bel appartement hérité de ses parents qui constituait le domicile conjugal duquel elle avait viré monsieur qui avait retrouvé ses affaires sur le palier, un soir, les serrures changées. Je comprenais mieux le besoin d’argent pour maintenir le train de vie et entretenir l’appart !
J’y suis allé un soir après le boulot.
Elle était rentrée un peu plus tôt et avait revêtu une tenue moins stricte que celle qu’elle mettait pour son travail, une jupe longue et ample et un haut sans manche, blanc, décolleté juste comme il faut.
Nous avons dégusté un verre de bon vin, un excellent chablis issu de la cave de monsieur qu’il n’avait pas récupéré et qu’elle envisageait de boire intégralement, voire de verser les nectars dans le lavabo. Elle avait ainsi pris l’habitude de déboucher une bouteille aussi souvent que possible, mais elle n’en buvait qu’un verre.
Monsieur allait payer cher sa tromperie avec la jeunette – la petite salope, c’est le terme qu’elle avait utilisé – qui, me dit-elle, était déjà partie, prenant peur en voyant son amant débarquer chez elle avec ses valises.
Nous avons ri, comme de vieux amis qui se retrouvent.
Elle m’a invité à découvrir la chambre d’ami où elle ferait le massage, il n’y avait pas de lit, mais une couette était posée sur le sol, sur des couvertures pour ne pas avoir mal au dos.
Elle m’a invité à prendre une douche, je me suis exécuté et je l’ai rejointe, nu comme un ver, et je me suis allongé sur le lit. Je crois que j’ai surpris ses yeux qui se dirigeaient vers mon sexe, très sage à cet instant.
Je l’ai regardée se déshabiller dans le coin de la chambre, elle me tournait le dos, mais devait sentir mon regard, car elle était un peu gênée lorsqu’elle s’est retournée, essayant de cacher son sexe avec sa main.
Le massage était divin, elle prenait le temps de masser chaque zone, chaque centimètre carré de ma peau. Ses mains glissaient sur mon corps lentement, sensuellement… À un moment, elle a pris mon bras pour me masser et elle a calé ma main contre son sein. J’ai senti son téton se durcir sous la paume de ma main. Même opération et même résultat avec l’autre bras. Elle s’est accroupie, presque assise et, hasard ou préméditation, ce fut sur ma main, sur mes doigts. J’ai senti ma main s’humidifier lentement et j’ai essayé de bouger mes doigts le plus lentement possible… Elle paraissait stoïque, mais le liquide qui sortait de sa chatte me prouvait qu’elle était troublée.
Elle m’a demandé si je voulais la masser, envie dont je lui avais fait part lors de notre rendez-vous au café. J’ai essayé d’être aussi tendre aussi doux et aussi doué qu’elle l’avait été.
Elle était sur le ventre et s’est laissé faire quand j’ai écarté ses jambes pour m’agenouiller entre elles. J’ai massé son dos, sa nuque, ses jambes, puis l’intérieur de ses cuisses, des fesses… son sexe était luisant de mouille et une odeur très agréable s’en dégageait. Elle n’a pas eu de mouvement de recul lorsque mes doigts se sont glissés entre ses fesses, effleurant son petit trou. Peut-être même a-t-elle encore plus écarté ses jambes.
Mes mains pétrissaient ses belles fesses, puis passaient à l’intérieur de ses cuisses. Lorsqu’au même moment, mon doigt a glissé sur ses lèvres et que ma langue a pointé sur son anus, elle n’a pu se retenir de crier ! Je lui ai littéralement bouffé le cul et j’ai enfoncé un puis deux puis trois doigts dans son vagin, détrempé. Elle avait relevé son postérieur pour m’offrir plus facilement son trou du cul et j’y ai enfoncé ma langue.
Elle s’est allongée sur le dos le temps que je mette un préservatif.
Sur le dos, elle a relevé très haut ses jambes, les pieds sur mes épaules alors que j’étais devant elle.
Lorsque j’ai fait glisser ma queue sur son sexe, elle m’a dit :
J’ai enfoncé un doigt dans son vagin, puis je l’ai glissé dans son cul, ensuite j’en ai mis un deuxième.
Je l’ai sodomisée de face, en missionnaire, elle avait ses jambes sur mes épaules.
Je pouvais voir ma queue disparaître au fond de son anus puis ressortir lentement. À chaque mouvement, un petit geyser sortait de sa chatte. Une vraie fontaine reliée directement à ma queue dans son cul.
Elle a joui plusieurs fois, je la sentais se contracter sur ma queue.
J’ai joui longuement en elle… Je suis resté longtemps dans son cul et, chose assez incroyable après une telle séance, ma queue est restée dure et j’ai continué à l’enculer !
Elle a crié, hurlé, gémi, pleuré même, je crois…
Je suis sorti de son anus dans un bruit obscène, j’ai enlevé le préservatif et j’ai présenté ma queue à sa bouche. Elle m’a allongé sur le dos, ses fesses à portée de main et m’a sucé. Il s’en est fallu de quelques secondes pour que j’explose dans sa bouche… comme pour le chablis, elle n’en a pas perdu une goutte et a tout avalé !
J’ai revu Caroline plusieurs fois chez elle, pour de longues séances de massage, de caresses, de léchage de chatte et de pompage de queue. Je l’ai sodomisé à chaque fois, mais jamais elle ne m’a donné sa chatte… Je me suis contenté de cet « arrangement » !
À quatre pattes, de face, sur le côté et même empalée sur moi, je crois que nous avons exploré toutes les voies de la sodomie !
Un jour, elle m’a dit qu’elle avait rencontré quelqu’un et qu’elle voulait commencer une histoire sérieuse et qu’en étant dans son esprit (et un peu dans son cœur), cela ne lui facilitait pas les choses.
D’un commun accord, mais un peu à contrecœur pour moi, nous avons décidé de ne plus nous voir…