n° 19014 | Fiche technique | 17087 caractères | 17087Temps de lecture estimé : 10 mn | 01/06/19 |
Résumé: Un rendez-vous avec la directrice de mon ex compagne... | ||||
Critères: fh rousseurs grosseins noculotte ffontaine fmast fellation 69 fist fsodo | ||||
Auteur : Simon Jeremy Envoi mini-message |
Je m’appelle Sylvain. J’ai trente-quatre ans, mesure 1,80 m et je suis assez sportif. Mon ex-compagne avait décidé de mettre fin à notre histoire de neuf ans. Je n’étais pas au top de ma forme, mais bon, il faut bien avancer. Bien entendu après neuf ans de relation, nous avions tout en commun. Du coup il fallait que ré ouvre un compte bancaire perso. Mon ex bossait justement dans une banque. Du coup, nous étions gérés par sa directrice. Pour des raisons de simplicité, je lui ai fait un mail afin de lui demander s’il lui était possible de m’ouvrir ce fameux compte. Je n’avais pas forcément envie de passer à l’agence pour retomber sur mon ex. À peine dix minutes après avoir envoyé mon message, mon téléphone sonnait avec un numéro que je ne connaissais pas.
Marie était donc la directrice de mon ex, Clara. On s’était vu plusieurs fois lors de diverses sorties entre collègues et lorsque je passais à l’agence dire bonjour. Elle est aussi grande que moi, quelques kilos en trop, rousse, mais elle a toujours des décolletés de dingue. Elle a une poitrine énorme ! Je m’étais fait plusieurs fois la réflexion lors de mes divers passages. Mais ça s’arrêtait là. C’était la directrice de ma compagne et voilà.
Je suis artisan dans le bâtiment. Pas de spécialité particulière, je suis touche-à-tout. Cela me permet de prendre les chantiers de A à Z. Actuellement je suis dans le rafraîchissement d’une grande maison qui a été achetée par un couple de Parisiens pour en faire leur résidence secondaire. Enfin de ce que j’ai compris, c’est leur quatrième ou cinquième résidence secondaire… C’est grâce à un ancien client qu’ils m’ont contacté pour faire leurs travaux. Il n’y a pas grand-chose à faire. Il faut juste repeindre l’ensemble et changer les sols. Mais, vu la taille de la bâtisse, j’en ai pour trois semaines de travaux.
Je prends le temps d’envoyer l’adresse de mon chantier à Marie et lui précise de rentrer directement lorsqu’elle arrivera, car je serai certainement à l’étage et ne l’entendrai pas. Je dois faire un peu de ménage à l’étage cet après-midi afin de pouvoir attaquer les sols.
Comme d’habitude, vu que je travaille tout seul, mon enceinte connectée me tient compagnie. Je n’ai pas vu passer la journée. Si bien que lorsqu’elle arrive, je suis en train de prendre des mesures par terre. Assis en tailleur avec mon bloc-notes pour relever toutes mes cotes, avec la musique, je n’ai rien entendu. Elle se retrouve devant moi.
Marie est devant moi. Elle porte une robe qui s’arrête au-dessus des genoux. Je n’avais jamais remarqué, mais elle a de jolies jambes. Lorsque je me relève, avec es talons, elle est plus grande que moi. Je lui fais la bise et me recule. Mon Dieu, le décolleté de fou qu’elle a encore ! Je ne sais même pas comment ses seins font pour ne pas sauter dehors. Je vais vraiment avoir du mal à la regarder dans les yeux. Elle me demande :
Je passe devant et enlève les draps sur la table et les chaises qui protègent de la poussière. Je lui donne une chaise et me mets en face. Elle me dit :
En disant cela, elle déplace sa chaise à côté de la mienne. Elle commence à me faire tout son bla-bla obligatoire pour l’ouverture d’un compte. En s’asseyant, sa robe est remontée et laisse deviner la naissance des bas. Et, à côté d’elle, j’ai une vue de dingue sur ses seins. C’est assez bizarre. Elle m’excite, en fait. J’essaie comme je peux de me concentrer sur ce qu’elle me dit, mais ce n’est pas facile !
Merde, c’est vrai que je ne dois pas être très discret.
Elle finit de m’expliquer toutes les petites lignes des contrats, mine de rien, alors que moi je me sens tout con de m’être fait reprendre comme un adolescent.
En disant cela, elle range ses affaires. Une fois toutes rangées, elle me dit :
Et nous voilà partis à déambuler dans cette immense maison. On passe pièce après pièce. Marie semble vraiment intéressée par mes explications. J’ai du mal à ne pas regarder ses seins par moments. Mais j’essaie d’être plus discret que plus tôt.
Nous remontons à l’étage. En même temps, on a avait fini de voir les pièces à intérêt en bas. Je lui indique les w.c. et vais l’attendre dans la pièce où l’on était pour faire les papiers.
Nous nous dirigeons dans le fond où l’échelle pour l’accès est installée.
Je grimpe donc au grenier et branche les spots. Je me rapproche du trou et donne le feu vert à Marie pour qu’elle monte. J’ai une vue parfaite sur ses seins. Impossible de regarder ailleurs. Une vue en contre-plongée. Elle a vraiment des seins énormes, me dis-je. Elle arrive enfin au-dessus.
Après avoir fait le tour du grenier et expliqué un peu le projet, je lui propose de redescendre.
Je descends donc le premier.
La voilà qui commence à descendre, et comme elle est en robe, je me retrouve avec une vue parfaite dessous. Et quelle n’est pas ma surprise lorsque je me rends compte qu’elle ne porte pas de culotte ! J’ai une vue parfaite de sa chatte toute lisse et de son cul qui se déhanche pour descendre.
Elle arrive au sol en finissant sa phrase.
En disant cela, elle s’est rapprochée de moi et pose sa main sur ma braguette.
Tu m’étonnes. Je bande comme un cochon. Elle joue avec mes nerfs.
En disant cela, elle soulève sa robe et expose ça chatte devant les yeux !
C’en est trop ! Je plaque ma main sur sa chatte et mon majeur commence à pénétrer dans sa fente. Elle est déjà bien mouillée.
En disant cela, elle me prend par la main et me remmène dans la pièce du début. Je soulève un grand drap pour découvrir un immense canapé d’angle. Je me rapproche d’elle et attrape sa robe que j’enlève rapidement ! Elle se retrouve donc en bas avec ses talons et en soutien-gorge. Ses seins y sont ultras comprimés d’ailleurs. Elle fait sauter mon polo en peu de temps aussi et me pousse sur le canapé. Couchée sur celui-ci, elle défait ma ceinture ainsi que les boutons de mon jean et tire dessus en attrapant mon boxer avec ! Je me retrouve à poil, allongé sur le canapé. Ma bite est tendue à mort. Elle m’attrape en bouche directement. Putain ! Elle est hyper douée. Ses lèvres coulissent sur le dessus de ma verge, sa main droite me branle le bas de celle-ci avec une légère rotation du poignet, tandis que sa main gauche me caresse les testicules. Faut qu’elle fasse attention. Si elle continue comme ça, je vais décharger rapidement.
Je me déplace, et l’on se retrouve en position 69. Je lui dévore la chatte pendant qu’elle recommence sa gâterie. Ma langue excite son clitoris pendant je la branle avec déjà deux doigts dans la chatte. Elle mouille vraiment. Sa chatte est vraiment très dilatée. Elle accélère sa pipe. Je ne tiens plus. J’explose dans sa bouche ! Elle ne loupe aucune goutte. Elle aspire, lèche tel un chat qui fait ça toilette, elle avale tout. Une fois tout propre, je me déplace afin d’être mieux placé pour lui bouffer la chatte. Ma langue reprend son action sur son clito. Je rentre un troisième doigt dans sa chatte. Je la branle fort. Elle mouille énormément et continue de se dilater. Je me demande jusqu’où elle peut s’ouvrir. Je rentre un quatrième doigt. Je me redresse et lâche son clito. Elle gémit de plaisir et me supplie de ne pas arrêter. Je rentre et ressors mes doigts à un rythme soutenu. Elle mouille excessivement, je n’ai jamais connu ça. Elle gémit de plus en plus fort.
Sur ces paroles, je ressors ma main et présente mon poing devant sa fente. Je force un petit peu pour rentrer, mais elle mouille tellement que le passage se fait assez facilement. Je me retrouve avec le poing dans sa chatte. Je commence à bouger le bras pour la pénétrer. Je n’ai jamais connu ça ! Elle hurle de plaisir quasiment.
Je m’exécute. Mon avant-bras rentre et sort de sa chatte. Elle hurle à chaque mouvement. D’un coup, tout son corps devient raide ! Elle hurle de ouf. Un mini geyser sort de sa chatte. Putain une femme-fontaine ! Je n’avais jamais connu. Sa jouissance dure un long moment. Une fois revenue du septième ciel, elle dégrafe son soutien-gorge et laisse sortir ses deux fameux seins ! Ils sont vraiment énormes. On dirait deux pastèques avec des tétons tout durs d’excitation. Je commence à les malaxer et mordille les tétons. Elle me dit.
Pendant que je cherche et mets la capote, Marie s’est déplacée sur le canapé. Elle est à genoux sur celui-ci et m’expose sa chatte en levrette. Je me place derrière elle et, en un coup de reins, je rentre complètement. Avoir l’avoir fistée, je suis loin d’être serré. Dans cette position, j’ai une vue parfaite sur son anus. Je récupère un peu de sa mouille et présente un doigt devant l’orifice. Il rentra sans forcer. Putain, ce n’est pas croyable, me dis-je, elle est ouverte de partout. Après avoir dilaté un peu son anus, je présente ma queue devant. J’entre tout doucement pour laisser le temps à son cul de s’habituer. Mais à peine j’ai commencé que Marie se recule d’un coup et je me retrouve au complet dedans.
Je vais et viens joyeusement dans son cul. À chaque coup de boutoir, elle gémit. J’attrape ses seins pour lui pincer les tétons alors qu’elle se caresse la chatte. À ce rythme-là, elle ne va pas tenir. Je lui défonce le cul aussi vite que je peux. Je la tiens par les hanches et vais et viens à vive allure. Elle est à nouveau prise de spasmes. Elle jouit à nouveau de grands jets de la chatte. Je continue à l’enculer. Je vais bientôt exploser aussi. Elle s’avance pour échapper de mes coups de boutoir. Elle arrache la capote et se met à me masturber très vigoureusement la verge. Je suis aux anges. Je sens la sève monter. Elle dirige les jets sur ses seins. J’inonde ses deux mastodontes.
Je la regarde sortir de la pièce et me dis que ce qui vient de se passer est quand même juste énorme ! Je me nettoie vite fait aussi avec des mouchoirs et je remets mes habits. En regardant autour de moi, je me dis : putain heureusement qu’il est en cuir le canap’ ! Sinon, vu le tas de mouille qu’elle a joui, il serait foutu. Marie revient dans la pièce toute remise en état.
Elle m’embrasse pour la première fois, récupère ses affaires et part du chantier.
Je prends un peu le temps de réfléchir à ce qui vient de se passer. C’est juste énorme ! Moi qui voulais changer de banque, finalement je vais peut-être revoir mes plans…