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n° 19019Fiche technique28698 caractères28698
Temps de lecture estimé : 17 mn
03/06/19
corrigé 06/06/21
Résumé:  Tandis que nous déjeunons, notre invité relance la conversation : "Ah Vanessa, je viens de songer à un truc qui me botterait bien ! Toi, toute nue, uniquement habillée de tes cuissardes, comme passagère sur ma moto !"
Critères:  fh fhh cocus copains exhib -exhib -lieuxpubl
Auteur : Patrik  (Carpe Diem Diemque)            Envoi mini-message
Fantasme de motard


Ce petit arc narratif (plutôt soft) reprend les protagonistes d’une précédente histoire

(Samedi soir sur la terre, puis dimanche matin) qu’il n’est pas nécessaire d’avoir lue.

Afin d’éviter les commentaires assassins du style :

« Faut vraiment être con/taré/chtardé pour rouler sur une saloperie de xxx »,

le modèle de moto ne sera pas mentionné ;)

Bonne lecture :)





Bonne idée



Après une nuit de folie à tester diverses combinaisons (mais pas toutes) qu’offre un trio hhf, nous déjeunons tous les trois dans la cuisine, Francis, motard devant l’Éternel (et qui est devenu cette nuit l’amant de ma femme, Francis, pas l’Éternel), ma dévergondée de femme en nuisette translucide, et moi, son mari complaisant.


Tandis que nous déjeunons tous ensemble, notre invité relance la conversation :



Je constate qu’elle n’a pas dit non. Puis après nous être sustentés ce dimanche matin, nous avons continué nos galipettes pour la plus grande satisfaction de nos trois corps enfiévrés.


Inutile de dire que, par la suite, mon cher copain de maternelle est plusieurs fois revenu à la maison profiter des charmes de ma femme !


Les beaux jours reviennent. Après un nouveau trio très torride, nous sommes installés dans notre petit jardin. Ma femme est uniquement revêtue de sa fameuse nuisette translucide, lingerie qui doit lui rappeler certains souvenirs épiques. Peu complexé, Francis est carrément nu, et moi, j’ai juste mis un large short.


Verre en main, l’amant de ma femme s’exclame :



La principale intéressée répond :



Je souris, chaque chose en son temps : il y a quelques mois, il aurait été impensable pour Vanessa d’envisager le fait de montrer ses seins à quiconque, même sur une plage. Francis pose son verre à moitié vide, puis il continue de s’adresser à ma femme :



Notre invité ne met pas longtemps pour acquiescer :



Même si c’est un bon argument, il ne convainc pas ma femme :



Je mets mon grain de sel, afin de Francis comprenne mieux :



Nous discutons d’un peu de tout. Puis soudain, notre invité se tourne vers sa maîtresse :



À cette dernière phrase, je souris ; quelque chose me dit que Francis doit souvent proposer des balades à moto à la gent féminine, une façon efficace d’emballer, je suppose. Vanessa ne met pas longtemps à se décider :



Après s’être habillés, ma femme (en jean et T-shirt) et mon copain (idem) sont partis faire un petit tour, tandis que je restais sur place pour garder la maison, des fois qu’il aurait aussi pris à celle-ci l’idée d’aller se balader.




Petit tour



Avant qu’il ne parte, tandis que ma femme s’habillait dans notre chambre, Francis m’avait dit :



C’est pour cette raison que je suis face à mon ordinateur, en train de contempler une route qui défile. À tout hasard, grâce à un utilitaire, j’enregistre la vidéo en local ; peut-être que je pourrais en tirer quelque chose de potable après montage. L’image n’est pas en haute résolution, mais c’est largement suffisant. Parfois, j’entends quelques brides de dialogue entre Vanessa et Francis. À prime vue, ma femme semble s’amuser, si j’en crois les quelques gloussements que j’entends d’elle.


Francis joue le jeu, il ne roule pas trop vite, et il ne s’aventure que sur des petites routes, évitant soigneusement les grands axes. Soudain, j’entends de la part de mon copain :



Quelques minutes plus tard, Francis recommande à sa passagère :



Et il met les gaz. Ma femme pousse un petit cri, l’image défile à l’écran, moins nette. Je ne sais pas à combien il fonce, mais il y va de bon cœur. Cependant, ma femme n’a rien dit. Ou bien elle a trop peur pour parler, ou bien ça lui plaît. Puis je constate qu’il décélère à l’approche d’une sortie, l’image vibre moins.



Puis quelques instants après, la moto circule à nouveau sur des petites routes. Quelques minutes passent. À présent, Francis s’engage sur un chemin de terre. Sauf erreur de ma part, ça mène vers un petit bois. Puis il roule maintenant sur l’herbe. Je crois savoir ce que ce gros filou a en tête.


Je ne suis pas le seul à me douter de quelque chose, car j’entends la voix de ma femme demander :



Peu après, il arrête la moto dans un coin visiblement très tranquille. Ensuite, il aide ma femme à mettre pied à terre. Vicieusement, il dépose au sol son casque de telle façon que je puisse voir toute la scène. Je me pose alors la question si ma femme est au courant pour cette cam… Puis il capture Vanessa dans ses bras. Elle proteste mollement :



Il l’embrasse dans le cou, tout en mettant ses mains sur ses fesses.



Une main remonte le long du corps de ma femme pour aller se perdre sous son T-shirt.



Puis je les vois basculer sur l’herbe ; ma femme rit de l’audace de son amant qui met ses mains, ses doigts et ses lèvres partout sur son corps. Il ne faut pas bien longtemps pour que Vanessa se retrouve sans pantalon et sans culotte, les jambes largement écartées, en train de se faire joyeusement pistonner en missionnaire par un Francis déchaîné.


J’apprécie le fait que Francis me fasse partager ; au moins, il ne me fait pas des coups de crasse dans le dos. Mais je sens qu’il va falloir que je fasse attention. Je n’ai pas envie qu’il m’arrive la même chose qu’avec mon ex.


Un quart d’heure plus tard, ils sont de retour à la maison. Francis me fait un clin d’œil, tandis que Vanessa semble un peu gênée. Je m’approche d’elle, glissant mes mains autour de sa taille. Après déposer un petit bisou sur ses lèvres, je la rassure à ma façon :



Francis rigole doucement :



Assez énervée, elle se dégage de mon étreinte :



Francis rigole franchement, et ma femme est partagée entre deux sentiments. Néanmoins, elle se calme bien vite. Nous retournons dans le jardin, pour papoter. Puis nous décidons d’un commun accord de faire la prestation pour demain en début d’après-midi, après avoir consulté la météo qui nous promet un temps radieux.




Grand tour



Francis nous devance avec sa moto, nous le suivons en voiture. Nous avons planifié ce fameux grand tour pour maintenant. Nous nous sommes arrêtés le long d’un chemin peu fréquenté, Vanessa est un peu anxieuse, je la comprends parfaitement. Tandis qu’elle se prépare dans la voiture, Francis déploie une carte routière détaillée sur le capot de ma voiture.


Alors que je m’approche de mon copain, j’enclenche la caméra frontale que je porte sur moi, afin de conserver un beau souvenir de tous les instants que nous allons vivre. Il me demande :



Il désigne l’endroit où nous sommes :



Je le rassure :



Tout en me répondant, Francis ajuste quelque chose sur son casque :



Je positionne mieux mon oreillette, tout en m’éloignant un peu :



Je reviens vers Francis. Techniquement, tout semble nickel, lui et moi, nous pourrons communiquer durant la balade. Je le vois qui s’affaire devant puis derrière sa moto. Je comprends alors qu’il masque ses plaques d’immatriculation. C’est un détail auquel je n’avais pas songé. Soudain, une voix féminine retentit derrière nous :



Vanessa se tient toute nue devant nous ; toute nue, si on fait exception du bas. Comme la dernière fois, elle porte des bas noirs, à larges bandes bien visibles qui enserrent ses cuisses, et des demi-cuissardes, qui s’arrêtent à mi-chemin, sombres et dotées de hauts talons qui claquent sur l’asphalte craquelé de la route de campagne. À sa main pend le casque de moto avec lequel Francis est venu chez nous et que nous avions mis dans la voiture.


Tandis que je contemple le spectacle que ma femme nous offre, Francis me devance :



Francis enfourche sa moto, Vanessa s’installe derrière lui. Je m’approche d’elle, à la fois pour bien la filmer et aussi déposer un petit bisou sur ses lèvres :



Tandis que je filme, ma femme met son casque, Francis vérifie si tout est OK. J’entends Vanessa parler dans mon oreillette. Je retourne à mon véhicule. Le motard attend que je démarre pour s’élancer. Pour l’instant, tout va bien, nous nous suivons, moto devant et voiture derrière. J’ai sous les yeux une belle paire de fesses écrasées sur le cuir du siège arrière.


Nous nous baladons sur diverses petites routes. Depuis cinq minutes, mis à part un cycliste, deux tracteurs, ajoutons un couple qui marche main dans la main, aucun autre véhicule. Le coin est vraiment calme, je suis même un peu déçu.


Sur une longue ligne droite, après avoir prévenu en audio, je dépasse le couple en moto, afin d’avoir quelques images différentes, puis quelques secondes plus tard, Francis me redouble, tandis que ma femme me fait un petit coucou. C’est vrai qu’elle est bandante, toute nue avec ses cuissardes noires et ses quelques mèches qui flottent au vent par-dessous son casque.



Puis nos routes bifurquent. Peu après, je me range sur le côté afin de mieux faire demi-tour. Ma caméra arrière se fera un plaisir de filmer leur venue. Une bonne minute plus tard, je les vois apparaître. J’attends qu’ils me dépassent pour me lancer à leur poursuite. J’entends un petit rire dans l’écouteur, ma femme s’amuse beaucoup, tant mieux pour elle. Nous continuons notre balade sur les petites routes, tout est calme. Parfois, nous croisons d’autres voitures et quelques promeneurs.


Soudain, j’entends dans mon écouteur :



Cette proposition doit abasourdir ma femme, car elle met un peu de temps pour répondre :



J’en profite pour demander à Francis :



En effet, c’est un argument qui se tient. Ma femme et moi donnons notre accord. Peu de temps après, la moto s’engage sur la rocade avec sa passagère nue. Il n’y a pas trop de circulation, mais j’ai du mal à les suivre, car Francis fonce, sans doute pour éviter les problèmes. Néanmoins, je constate ou plutôt j’entends divers coups de klaxon festifs venant de certains automobilistes masculins et surtout de camions. Je reconnais que le spectacle doit être plaisant à voir, même quand on ne s’y attend pas.


J’entends Francis dire :



Visiblement, ma femme y prend goût. Francis me lance précipitamment :



La voix de ma femme résonne :



Et que je sorte de la rocade, je les vois disparaître au lointain. Après m’être engagé dans l’autre sens, je roule plus lentement. J’espère les voir revenir vers moi. J’entends toujours les conversations entre le motard et sa passagère. À prime vue, tout va bien.


Quelques minutes plus tard, j’entends dans mon oreillette :



Houlà, il va m’inventer quoi, le Francis ?



J’entends divers frottements ainsi qu’une respiration accentuée, puis la voix de ma femme :



Dans mon rétroviseur, je les vois arriver, j’entends aussi quelques klaxons. Quand Francis me dépasse sur la gauche, j’en profite pour zieuter ma propre femme. C’est vrai que, comme ça, les seins à l’air, nue, casque sur la tête, quelques mèches au vent, et des cuissardes, il y a de quoi bander !



Puis nous sortons de la rocade pour aller nous perdre à nouveau dans les petits chemins. Quelques minutes plus tard, nous revenons quasiment au point de départ. La moto s’immobilise. Je gare la voiture, puis je sors aussitôt rejoindre le couple. J’aide ma femme à s’extirper du siège arrière. Je constate que ses fesses ont laissé une double trace bien visible sur le cuir. Je remarque aussi que légèrement plus en avant, il y a une autre trace, plus luisante…


Elle ôte son casque, quelques mèches collées sur son front luisant :



Je la capture dans mes bras, je suis fier d’elle. Pas besoin que je le lui dise, elle a déjà compris. Nous nous embrassons, tandis que je caresse son dos et ses fesses. J’adore tenir entre mes bras son corps nu, ici, en pleine nature, au bord d’une route, et peu importe si quelqu’un passe.


Après avoir attendu que nous cessions nos mamours, Francis vient vers nous :



Vanessa se frotte les bras :



Francis se tourne sur moi :



Je réfléchis un peu avant de lui fournir un délai :



À ces mots, je rigole un bon coup, ma femme m’accompagne, et Francis nous suit. Puis Vanessa part s’habiller dans la voiture, tandis que je reste avec mon copain à discuter :



Puis regardant vers la voiture, je souris :



Je réfléchis un court instant, avant de lâcher :



Et ça, l’avenir nous le dira, mais j’ai bon espoir que ma chère Vanessa fasse par la suite des tas de balades coquines ou sexy, à moto, dans diverses tenues ou absence de tenue…