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Temps de lecture estimé : 14 mn
04/06/19
Résumé:  Week-end coquin à Lyon.
Critères:  2couples hagé fagée couplus fellation cunnilingu échange -entrecoup
Auteur : Coquinssofts  (Libertins matures et hédonistes)      
Week-end torride à Lyon

Je me prénomme Claire. Cinquante-huit ans, 1,62 m pour 53 kilos, cheveux gris, mince. Poitrine menue. Mon mari : Pierre, soixante ans, châtain, 1,80 m pour 80 kilos. Nos hygiènes de vie, sans tabac et avec peu d’alcool nous donnent aisément dix ans de moins. Nos enfants ont quitté le nid, nous profitons sans complexe des plaisirs de la vie : le naturisme et le libertinage font partie de nos valeurs.


Le téléphone sonne. Ce sont nos amis lyonnais. Olivier : cheveux poivre et sel, mince sportif, sympa. Christine : belle plante, aux hanches larges, jolies rondeurs, poitrine lourde et généreuse, tignasse rousse bouclée, sourire radieux. Elle assume sans complexe un corps pulpeux, un petit penchant bi qui est loin de me déplaire. Ils sont dans nos âges et forment un couple uni et complice depuis trente-cinq ans.


Les tentations font partie intégrante de l’être humain. Alors plutôt que le mensonge en trompant l’autre derrière son dos, nos deux couples ont choisi d’être ensemble pour partager le sexe comme une bonne bouteille, un bon repas ou un beau coucher de soleil. Le plaisir n’en est que plus intense.

Mon mari m’adresse un petit sourire en coin.


Une belle amitié libertine nous lie depuis cinq ans, depuis notre rencontre sur une plage naturiste. L’hygiène souvent douteuse des clubs libertins, leur côté « usine à sexe » nous ont fait évoluer vers une conception plus soft et intimiste du libertinage. Avec les petits inconvénients liés à la ménopause, les femmes ont besoin de plus de préliminaires et de douceur. Nos complices partageant les mêmes conceptions du libertinage : coquiner tranquillement dans l’intimité en restant en contact visuel et tactile avec son conjoint. Les femmes doivent être les reines de la soirée. Nos hommes n’ont qu’un seul but chose : repousser les limites du plaisir féminin en nous offrant plusieurs orgasmes. Comme, nous sommes en confiance, ils y parviennent à chaque rencontre !


En plus d’être bel homme, Olivier est très tactile avec une langue de velours, il sait s’y prendre pour amener graduellement ses partenaires à l’orgasme. Christine est une femme épanouie et gourmande qui a aussi besoin de délicatesse. Mon homme sait être à son écoute.


Ce week-end octobre s’annonce doux et ensoleillé. L’occasion de profiter aussi des derniers beaux jours. Flâner dans la capitale des Gaules et ses environs, dîner dans un bouchon.



Sa spontanéité, sa façon de croquer la vie à pleines dents nous ont séduits dès le début.

Je lui réponds avec malice et, regardant mon homme :



Jouer avec eux dans leur jacuzzi est toujours un moment de pur enchantement entre l’eau à la température idéale, les bulles, les caresses, les mains baladeuses et de tout le reste.

Les souvenirs de notre dernière soirée avec eux refont surface et une boule chaude naît dans mon bas-ventre.

Pierre glisse sa main sous ma jupe, ses doigts s’insinuent dans ma culotte.



Nous parlons librement de nos envies, de nos fantasmes et de nos limites.



C’est tout émoustillés que nous prenons la route après le déjeuner.

Notre hôtesse nous reçoit dans une jolie robe qui met joliment en valeur son corps pulpeux, ses seins généreux. Olivier est toujours aussi beau mec avec son corps sec sculpté par le sport.

De mon côté, j’arbore un chemisier blanc largement échancré, un affriolant soutien-gorge à dentelles qui met en valeur mes seins, une petite jupe serrée. Dans les yeux de nos hommes, le désir brille.

Évocations de nos séjours naturistes, sous-entendus érotiques et discussions coquines animent le repas. Une douce chaleur naît puis se répand dans mon bas-ventre. Excités par ces sous-entendus et une ivresse légère, nous sommes impatients de passer aux choses sérieuses.


Après le dessert, les hostilités débutent sur le grand canapé.

Assis de part et d’autre, nos hommes nous contemplent d’un air gourmand.

Olivier ôte un à un les boutons de mon chemisier. Entre ses mains brûlantes, son souffle tiède sur ma nuque, ce n’est que du bonheur ! Il dégrafe ma jupe, la fait descendre le long de mes jambes puis c’est au tour de mon soutien-gorge d’atterrir sur la table basse. Ses doigts effleurent délicatement mes seins. Mon mari a ôté la robe de Christine. Elle est déjà complètement nue. Nos hommes se déshabillent en ne conservant que leur boxer et reprennent leurs caresses. Sous la douceur du tissu, nos doigts devinent les formes avantageuses de leurs queues prometteuses. Cela nous excite à outrance.



Ma complice rétorque avec un petit sourire



Sa main s’insinue dans ma petite culotte. Ses doigts caressent doucement en surface mes lèvres déjà mouillées.



Profitant de son absence, les garçons se rapprochent. Ils me libèrent de ma culotte qui rejoint mon soutien-gorge. Je suis entrouverte et luisante de désir. Mes doigts se glissent sous l’élastique de leur boxer et effleurent leurs chibres bien raides. Ils se penchent pour masser délicatement la pointe de mes seins avec leurs langues. Leurs mains douces et fraîches parcourent mon épiderme, Christine revient de la salle de bain et, amusée, elle contemple le spectacle les mains sur les hanches.



Un sexe raide dans chaque main je rétorque, espiègle, à ma complice :



Elle s’agenouille devant nous, et se sont deux mains supplémentaires sur mon épiderme. Ses doigts descendent vers ma minette entrouverte, jouent avec mon petit bouton. Les garçons ôtent leur boxer puis reprennent leurs caresses. Entre toutes ces mains qui parcourent ma peau, leurs langues qui massent délicatement mes mamelons, je suis aux anges !


Nous nous glissons dans le jacuzzi. En face de moi, Christine me sourit d’un air entendu, l’étroitesse de la baignoire est favorable aux rapprochements. Nous nous ouvrons toutes deux aux mains qui explorent nos ventres, nos dos, s’attardant à l’entrée de nos grottes intimes sans savoir exactement à qui elles appartiennent.


Ils connaissent les rouages du plaisir féminin, nos deux coquins ! Ils vont de l’une à l’autre, caressant nos seins qui émergent. Du bout des doigts, ils effleurent nos mamelons tendus par le désir en contemplant nos visages illuminés. Leurs mains plongent dans les bulles… des doigts trouvent l’entrée de ma grotte, s’attardent sur mon petit bouton. Nous, les filles, ne sommes pas en reste et nous partons à la découverte de leurs sexes gonflés de désir.


Le jacuzzi est juste à la bonne température, ni trop froide, ni trop chaude et la séance de jeux de mains et de langues se prolonge pour notre plus grand bonheur.

L’eau qui refroidit finit par nous déloger. Nos hommes prennent le temps d’essuyer doucement chaque parcelle de nos corps avant de nous enlacer tendrement. Nous savourons la douce pression de leurs pieux sur notre corps. Jamais nous ne sommes senties aussi femmes et désirables. Le grand lit nous accueille.


Allongée sur le dos, mon corps est maintenant pleinement offert. Ils me contemplent, se léchant les babines à l’idée de cette partition à six mains qu’ils vont m’offrir, j’ouvre mes jambes. De sa langue gourmande, Christine remonte le long de ma cuisse jusqu’à l’orée de ma chatte. La belle allongée que je suis, frissonne à sa langue experte, puis, de ses deux mains, elle écarte un peu plus mes cuisses et voit apparaître le rose vif de ma chatte entrouverte. Ma chatte, si appétissante, brille de mille feux par la mouille étoilée. Alors, par petites touches, du bout de la langue, elle lèche avec application mon clito. Sa langue se fait plus pressante, elle martèle avec sa salive mon clito qui semble se déployer à l’infini.


Allongés de part et d’autre, les hommes prennent le temps de me cajoler. Leurs mains fraîches parcourent mon épiderme, s’attardent sur mon ventre. Oh, les coquins ! Ils me massent la pointe des seins avec la pointe de leur langue tout en me caressant… six mains, trois langues expertes qui explorent chaque centimètre de mon corps, deux chibres bien durs contre mes cuisses, tout ça rien que pour moi !



Allongée sur le dos, j’encourage mes bienfaiteurs en leur caressant le crâne. Les garçons abandonnent mes seins pour poser par petites touches des baisers sur ma nuque.

Christine continue à titiller mon clito tandis que je masturbe doucement les deux hommes.


Puis nous nous retrouvons serrées l’une contre l’autre. Nos hommes prennent le temps de mieux redécouvrir la conjointe de l’autre sans pour autant négliger sa moitié. Les partitions à quatre mains, c’est toujours du bonheur pour la gent féminine. Olivier est toujours aussi tactile. Ses mains parcourent mon corps, s’attardent sur mon ventre, il pose par petites touches des petits baisers sur ma nuque. Mon mari prodigue les mêmes caresses à Christine. Elle semble apprécier le lent ballet de mes doigts sur son épiderme. Elle se met sur le flanc pour lui offrir son dos particulièrement sensible aux caresses. Il en parcourt chaque centimètre ponctuant son épiderme de petits baisers. Elle se retourne à nouveau pour offrir son buste aux caresses. Oh le coquin ! Il lui butine la pointe des seins avec la pointe de sa langue. Ravie, elle caresse doucement le dos de mon mari en me souriant. Bel instant de complicité entre femmes !


Tant de délicatesse et de respect me tranquillisent : elle est entre de bonnes mains ! Je peux m’abandonner dans les bras d’Olivier. Allongée sur le dos, je m’offre à lui, il effleure ma peau lisse et sucrée, s’attarde un instant sur un sexe déjà entrouvert et luisant de désir, il se penche sur moi pour masser à mon tour la pointe de mes seins avec sa langue. Tout en nous encourageant, en caressant leurs chevelures, nous nous sourions d’un air entendu. Heureuses d’être les reines de ce moment magique, de fondre de plaisir devant ces flots de caresses.


Christine a empoigné le sexe de mon homme. Sa langue s’enroule autour de son gland. Il semble apprécier l’offrande, car un sourire béat illumine son visage. Il encourage sa bienfaitrice en effleurant doucement sa chevelure.


Olivier me sourit. À son regard, je devine qu’il attend le même hommage de ma part. J’empoigne à mon tour son sexe bien raide pour le masturber délicatement.

Je pose ma tête sur son ventre avant de prendre délicatement son phallus en bouche. Ma langue tourne, s’attardant sur les endroits sensibles, titillant l’extrémité tandis que ma main masse ses testicules. Nous y mettons tout notre savoir-faire ! Un regard complice : nous passons de l’un à l’autre. Au bout d’un moment, nos hommes se tordent de plaisir. Je lance un œil coquin à ma complice. Les hommes, au bord de l’explosion, demandent grâce :



Nous échangeons un regard où se mêlent jubilation et tendresse. Olivier s’approche délicatement de l’objet du désir. C’est d’abord son nez qui profite de mon odeur intime agréable. Il souffle délicatement sur ma minette : le baiser du papillon. Il se décide à poser un délicat bisou sur ma fine fente. Puis c’est sa langue qui s’aventure pour une redécouverte à l’aveugle. Qu’y a-t-il derrière mes jolies lèvres ? Il explore, le haut à la recherche du clitoris, le bas à l’origine du jus.


Le visage de Christine se crispe à l’instant où mon mari plonge son visage dans son entrecuisse. Elle semble apprécier son hommage. Sa main flatte la chevelure de celui qui semble si bien la fouiller. Allongée, les yeux clos, elle laisse peu à peu le plaisir l’envahir. Christine a la bouche entrouverte, les yeux clos, le visage radieux, c’est bon signe !

Son sourire comblé en dit long. Il va s’efforcer de la rendre folle de bonheur !


Quel enchantement ! Olivier est aussi très cunni. Et comme c’est l’un des plus beaux hommages à la féminité, il ne peut que s’exécuter. Mon nectar a un goût différent, délicatement sucré, agrémenté d’une once de cannelle et d’épice. Quel ravissement pour lui de redécouvrir mon puits d’amour. Cette seconde langue tourne autour de mon clitoris, descend vers l’entrée de mon vagin, goûte lentement à tous les replis de mes lèvres. C’est si bon que toutes les deux nous nous sommes mises à pousser des petits cris de plaisir tandis que nos jambes restent mêlées. Nos mains se crispent sur leurs crânes. Nos cris si proches stimulent le ballet de leurs langues agiles. Tandis que leurs mains explorent nos corps, nos seins. Leurs doigts jouant avec nos mamelons exacerbés par le plaisir.


Chaque femme a un goût différent. Chaque homme ou femme prodigue le cunni d’une manière différente. L’explosion finale n’est plus très loin. Olivier aspire mon petit bouton tout en jouant avec la pointe de sa langue. C’est trop ! Un orgasme violent parcourt tout mon être. Simultanément, Christine atteint l’extase sous la langue experte de mon mari.



Olivier s’allonge à mes côtés. Je me colle à lui pour sentir la pression de son sexe contre mes fesses. Il me mordille les oreilles et cajole mes seins aux mamelons durcis.



Mon mari présente son gland à l’entrée de son puits d’amour, écarte délicatement ses lèvres intimes, joue avec son clito. Elle n’en peut plus et ses mains se crispent sur ses fesses. Elle reçoit son sexe bien dur au fond d’elle, tout nous adressant un regard canaille et d’intense harmonie entre nous. Il entame son va-et-vient. Christine gémit doucement s’abandonnant sans pudeur sous nos yeux.



Il avance. Mes cuisses s’ouvrent encore plus sous la pression de ses hanches. Son sexe est là. Il entre, il me laisse la vision de sa queue qui disparaît en moi. Je vois, comme au ralenti, son ventre venir au contact du mien. Il est tout en moi. Dur comme du bois. Il me remplit bien. Je le sens palpiter, son bâton brûlant ne bouge plus.

Doucement, tout doucement mon amant me possède. On dirait qu’il déguste chaque instant, avançant, reculant, laissant ma fente entrouverte pour revenir à nouveau.



Christine gémit maintenant sur les tendres coups de reins de mon homme. Ses seins généreux tressautent sous l’effet des mouvements amples et puissants tandis qu’elle s’arcboute à lui.

J’attire Olivier contre moi en l’emprisonnant avec mes jambes. Mes seins aux pointes aiguillonnées par le désir pressent contre son poitrail. Il enfouit son visage dans ma chevelure, embrasse sa nuque. Je l’encourage en caressant son dos puis ses reins. Planté au plus profond de moi, il me mordille doucement les oreilles comme beaucoup de femmes, je suis très sensible à cette caresse !

Il me chuchote :



Je lui chuchote entre deux soupirs :



Un sourire béat illumine son visage et elle gémit sous les doux assauts de Pierre.



On n’entend plus que les soupirs d’aise de deux libertines qui s’abandonnent sans pudeur, les corps se frôlent, se touchent. Nous sommes toutes les deux au bord de l’extase. Christine la première, se cambre sous un orgasme qui la fait crier de plaisir.



Relevant mes jambes sur ses épaules, il va plus loin en moi !



C’est l’explosion. L’orgasme me submerge, telle une vague déferlant dans tout son être.

Maintenant c’est Christine qui mène la danse. Ses seins lourds glissent sur le poitrail de mon homme son bassin allant au-devant de son sexe. Puis elle se redresse offrant la pointe de ses seins à sa langue experte. Comme beaucoup de femmes, elle raffole de cette position d’Andromaque. Elle laisse les mains et la langue libres à mon homme. Il peut simultanément flatter la pointe des seins avec la langue, caresser le dos, titiller son clitoris pendant qu’elles donnent le tempo.

Mon mari ne s’en prive pas. Elle l’encourage :



Pour moi, cette position d’Andromaque est devenue douloureuse depuis mon ablation des ovaires.

Olivier le sait. Je me mets sur le côté et avec beaucoup de délicatesse, il me pénètre latéralement.



Il m’embrasse dans le cou, caresse mes seins, mon dos, titille mon bouton d’amour, flatte la pointe de mes seins avec ses doigts. Sa queue gonflée de désir est en moi. Je suis offerte à ses doigts à ses mains qui parcourent chaque parcelle de mon épiderme. Je suis humide. Son chibre bien dur coulisse délicatement dans mon puits d’amour. Ses doigts jouent subtilement avec mon bouton d’amour. Le plaisir monte d’un cran ! il l’a deviné !



Christine chevauche toujours mon homme, les yeux dans le vague, les mains dans les cheveux, les seins fièrement dressés. Son bassin ondule sous les caresses et sous nos regards émerveillés, elle s’achemine peu à peu vers une nouvelle extase. Sa respiration s’accélère devient haletante puis son plaisir éclate enfin dans un cri.

À cet instant, je jouis. Oui, je jouis. Un orgasme. Une vague terrible. Un tsunami. Plus rien ne compte que cette joie. La porte du paradis est franchie. C’est la seule qui compte.



Elle se laisse retomber sur le côté, contre moi heureuse et comblée.

Quel bonheur de prendre autant de plaisir ensemble sur le même lit !

Nous redescendons doucement de notre septième ciel. Allongées lascivement entre nos hommes.

Mon mari se penche vers moi.



À chaque fois que nous coquinons avec un autre couple. Nous faisons l’amour avec passion comme si nous retrouvions après une longue absence.



À quelques centimètres de nous, nos complices sont plus proches que jamais.



Ces mots crus font craquer nos hommes. Nous sommes comblées : nous avons joui toutes les deux intensément. Ils peuvent enfin se répandre en nous.

Au fond, tout au fond de ma grotte. Pierre déverse sa semence. Chaque giclée accompagnée par une poussée.

Nous restons un moment entremêlés avant de nous endormir, heureux d’avoir partagé tous ensemble ces moments de plaisir intense.