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D comme...

Si j’ai rencontré des masseuses, il m’est également arrivé de rencontrer des femmes, via Internet ou dans le cadre de la vie de tous les jours ou professionnelle.

D comme Delphine

Delphine est un peu plus âgée que moi (cinquante ans), c’est une maman de deux ados, elle est divorcée et travaille dans une banque.

Je l’ai rencontrée à la salle de sport que je fréquente.

Comme j’y vais généralement les mêmes jours aux mêmes heures, au fil du temps, je retrouve des gens.

Mais je dois avouer que je vais à la salle pour faire du sport et je n’échange que quelques bonjours avec certaines personnes.

Ça faisait plusieurs fois que je remarquais cette belle blonde aux cheveux courts qui faisait comme moi, de longues séances d’elliptique.

Un matin où je m’étais installé à ma place préférée, elle est arrivée et s’est installée sur la machine juste devant moi.

J’ai donc pu avoir tout loisir de regarder ses fesses moulées dans un legging noir pendant presque une heure. Ça aide à se motiver pour enchaîner les kilomètres !

À la fin de la séance, Delphine a quitté la machine, mais j’ai remarqué qu’elle avait oublié une petite sacoche.

J’ai récupéré la sacoche et je suis parti à sa recherche. Je l’ai retrouvée à l’étage inférieur où elle venait de s’installer sur une autre machine et lui ai rendu sa petite sacoche.

• — Oh merci beaucoup, vous me sauvez la vie. Heureusement que mes affaires ont été retrouvées par un homme honnête, a-t-elle dit. Il y a mes clés dans cette sacoche. Comment puis-je vous remercier ?

J’ai répondu que c’était tout à fait normal, elle aurait fait pareil à ma place.

Delphine m’a dit qu’elle tenait malgré tout à me récompenser.

• — Alors, je veux bien partager un café avec vous, ai-je dit.

Rendez-vous fut fixé pour le samedi suivant, à l’issue de la séance de sport. Elle a tout de même souhaité échanger nos numéros de téléphone, au cas où l’un de nous deux aurait un empêchement.

Lorsque je sortais de la douche, j’avais un SMS de Delphine qui indiquait :

.

Waouh, c’est de la drague ou quoi ?

J’ai répondu par SMS pour indiquer que j’étais OK pour le café chez elle samedi… et que mon week-end allait se dérouler avec ma femme… J’espère qu’elle aura bien compris que je suis marié.

Au cours de la semaine, j’ai reçu plusieurs SMS de Delphine, sur le sujet de la salle de sport… et de mes goûts en matière de pâtisserie.

Le samedi suivant, je suis arrivé chez elle à côté de la place de la Nation à l’heure convenue, en tenue de sport.

Elle me fait entrer dans son appartement, m’installe dans un canapé confortable en m’expliquant que ses enfants sont chez leur père ce week-end et qu’elle s’est réveillée en retard, mais qu’elle a eu le temps de préparer un gâteau. Nous partageons un café et une part de son délicieux gâteau en parlant de choses et d’autres.

Elle n’est pas du tout en tenue de sport, mais avec un jean assez moulant et un top rose. Son top est assez décolleté et j’aperçois sa poitrine lorsqu’elle se lève de son fauteuil et se penche pour me recouper une part de gâteau. Elle n’a pas de soutien-gorge ce matin.

Au moment où je la remercie pour son accueil et où je lui dis qu’il faudrait peut-être songer à aller à la salle, elle me répond qu’en fait elle a un peu mal au dos.

• — Tu sais peut-être masser, à tout hasard, me demande-t-elle ?
• — Je ne suis pas kiné ni ostéo, mais je masse un peu, oui, lui répondis-je.

Inutile de développer sur toutes les séances de massage que j’ai reçu !

Elle s’assied à côté de moi dans le canapé, se tourne et me montre la zone douloureuse.

• — Il faut que j’enlève mon chemisier, demande-t-elle ?
• — Oui, ça sera plus simple pour moi.
• — D’accord, mais j’ai oublié mon soutien-gorge ce matin, j’étais à la bourre, tu regardes pas hein ? dit-elle en plaquant un coussin sur sa poitrine.

Je masse la zone douloureuse, en dessous de l’omoplate droite. Visiblement mon massage a l’air du lui faire du bien, car elle pousse de petits soupirs de satisfaction.

• — Tu masses très bien, tu sais, tu peux continuer sur tout le dos, s’il te plaît ?
• — Oui, bien sûr,

Mon massage prend un caractère plus doux, plus relaxant, et Delphine semble apprécier.

• — Tu as d’autres endroits douloureux ?
• — Oui, j’ai les mollets et les cuisses endolories, je pense que je fais pas assez d’étirements après mes séances de sport. Je pose mon jean ?
• — Oui, c’est mieux de masser directement sur la peau.

Elle se lève en plaquant un coussin sur sa poitrine et essaie de défaire son jean d’une seule main.

• — Tu veux de l’aide ?
• — Oui, tu peux m’aider à faire glisser mon jean ?

Je lui viens en aide et je découvre une belle paire de fesses, séparées par un string bleu en coton. Je ne m’étais pas trompé sur la beauté de son cul, pensai-je intérieurement en me rasseyant.

• — Allonge-toi sur le ventre et place tes jambes sur moi.

Je commence à masser ses mollets et ses pieds, puis je remonte lentement vers ses cuisses. Je m’applique à la masser pour la soulager tout en donnant un caractère sensuel au massage, notamment en massant l’intérieur de ses cuisses.

Si j’en juge par la tache humide qui vient d’apparaître au fond de son string, je pense que mon massage fait son effet !

En remontant très haut à l’intérieur de ses cuisses, ma main frôle sa culotte et elle sursaute, surprise.

• — Oh excuse-moi, ma main m’a échappé.
• — Oh non, mais ne t’excuse pas, c’est juste que ça fait longtemps que je n’ai pas senti de main masculine à cet endroit-là….

Elle se relève, se retourne, poitrine nue et me dit :

• — En fait, ça fait trop longtemps que j’ai pas connu d’homme… et toi, tes massages me rendent folle, c’est si bon !

Elle s’assied sur moi et colle ses lèvres contre les miennes et nous échangeons un baiser torride.

Elle sent ma queue toute dure dans mon jean et me dit :

• — Je vois que je ne te laisse pas insensible !

Elle se lève, me prends par la main et m’invite à la suivre jusqu’à sa chambre dont les volets sont fermés.

Debout à côté du lit, nous reprenons nos baisers et nos caresses. Elle retire mon t-shirt et dégrafe les boutons de mon jean qu’elle fait ensuite glisser.

Elle s’agenouille devant moi, descend mon caleçon, me complimente sur la taille de ma queue dressée et la prend dans sa bouche et commence à me sucer longuement.

Je la taquine en lui disant que même si ça fait longtemps qu’elle n’a pas connu de mec, elle n’a visiblement pas oublié comment donner du plaisir. Elle me regarde dans les yeux et prend toute ma queue dans sa bouche en guise de réponse. Oh que c’est bon !

• — Attends, va doucement, sinon je vais jouir trop vite.

À regret, elle arrête sa fellation et s’assied sur le lit.

• — À mon tour de te donner du plaisir, lui dis-je en l’allongeant au bord du lit et en retirant sa culotte qui a maintenant une grande tache sombre.

Son sexe est parfaitement épilé en ticket de métro.

Je pose ma langue sur son clitoris et dès le premier contact, elle gémit de plaisir.

J’ai léché son sexe avec application et envie. Elle a gémi, crié et a fini par s’échapper de mes caresses… après avoir eu plusieurs orgasmes.

Elle m’a indiqué le tiroir de la table de chevet où j’ai trouvé des préservatifs. J’en ai passé un sur mon sexe tendu. Elle s’est allongée sur le dos et elle a cambré ses fesses lorsque je me suis approché de ses fesses.

J’ai frotté ma queue contre sa chatte encore tout humide et je l’ai pénétrée d’un coup, lui arrachant un cri. J’ai pilonné son sexe, en levrette, pendant de longues minutes, tandis qu’elle caressait son clitoris. Elle a hurlé de plaisir au moment je me suis libéré en elle…

Nous sommes restés nus l’un contre l’autre, elle m’a parlé de la dure vie de maman célibataire et de sa longue période d’abstinence. Elle avait tellement été déçue par son ex qu’elle avait du mal à se projeter dans une relation normale, et elle se sentait pas l’âme d’une dragueuse et n’était jamais allée sur des sites internet, trop timide.

Je lui ai dit qu’au contraire, la façon qu’elle avait eue de m’aborder et de m’inviter chez elle ne collait pas avec sa timidité.

• — Oh, mais ça fait longtemps que je t’ai remarqué à la salle, et j’ai vu dès le départ ton alliance. Rassure-toi, je n’ai pas fait exprès d’oublier ma sacoche, mais j’ai saisi l’occasion et j’ai osé te proposer un rendez-vous chez moi.
• — Moi aussi, je t’avais remarquée, une belle femme qui prend soin d’elle… mais je ne drague pas à la salle, je transpire !
• — On a encore un peu de temps pour notre séance de sport, m’a-t-elle demandé ? Et j’ai acquiescé.

Elle a repris mon sexe dans sa bouche, ce qui l’a immédiatement fait se gonfler.

J’ai caressé son sexe de mes doigts puis je lui ai demandé de venir sur moi. Sans relâcher ma queue, elle a posé son sexe sur ma bouche pour un délicieux 69.

J’ai léché son sexe, enfoncé ma langue dans son vagin, caressé son clitoris, tandis qu’elle me suçait alternativement rapidement ou plus lentement.

Elle a saisi un nouveau préservatif, l’a déplié sur mon sexe et elle s’est assise sur moi, s’empalant sur ma queue. Je guidais ses mouvements avec mes mains posées sur ses fesses.

Elle m’a embrassé lorsqu’elle a joui, très fort, au même moment où j’éjaculais en elle.

Je suis rentré chez moi, fatigué de cette superbe séance de sport, avec plein de calories dépensées !

Je recroise régulièrement Delphine à la salle de sport.

Nous avons baisé plusieurs fois dans la douche.

Elle a pris confiance en elle et elle a entamé une relation, qu’elle espère sérieuse, avec un homme rencontré sur internet. Donc dorénavant, nous ne faisons que nous saluer et parler de la pluie et du beau temps.