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Temps de lecture estimé : 9 mn
08/06/19
Résumé:  La deuxième rencontre avec mon amant.
Critères:  fh fsoumise fsodo fouetfesse -fsoumisah
Auteur : AmyLynn      Envoi mini-message
Celui qui a bousculé ma vie - Suite

Précédemment :

Amy, cinquante-sept ans. Sur une impulsion, j’ai provoqué l’ami d’enfance de mon fils. Un bad boy. Il se montre détaché, pour ne pas dire cynique. Ce qui n’est pas pour me déplaire, car j’ai toujours aimé les hommes virils. Je suis très perturbée par la différence d’âge, mais ce macho prend de l’ascendant sur moi.






Après avoir reçu sa réponse, je me suis fait couler un bain. Plongée dans l’eau, je me suis laissé aller à une douce rêverie. Ma main est venue naturellement sur mon sexe endolori par les assauts qu’il avait subis. Les souvenirs sont vite remplacés par une foule de questions, dont la première est : « Comment as-tu pu te laisser aller comme ça avec ce garçon ? »


Je connais Franck depuis des années, un ami de lycée de mon fils. C’est un garçon vivant de combines, un bad boy. Il avait dernièrement ouvert un garage et mon fils m’avait laissé entendre que tout n’y était pas légal. Rapidement une autre question me vient à l’esprit : « Comment ai-je pu me laisser brutaliser comme ça ? »


Mes fesses et mes seins étaient encore marqués par les claques reçues. La force employée n’était pas brutale, juste ce qu’il faut pour ressentir plus qu’une douleur, du plaisir. Des gifles reçues pour me mater, pour me faire taire. Et cette façon de me traiter de salope. Je ne suis pas prude, j’aime les mots grossiers lorsque je fais l’amour. Je suis la première à en dire pour exciter mes partenaires. Une autre question venait : « Pourquoi lui avoir obéi en me traitant moi-même de salope ? »


Ma main toujours sur mon sexe, les questions sont vite remplacées par le souvenir de mes nombreuses jouissances. Jamais je n’ai pris un pied pareil. Certainement, le fait de se sentir être un objet entre ses mains. Un objet dont il se sert comme il l’entend. Un objet qu’il peut choyer ou bousculer. Un objet qu’il peut jeter s’il ne lui procure plus de plaisir entendu. Une nouvelle question : « Pourquoi serait-il insatisfait ? Je suis prête à tout pour lui plaire, le garder ».


Suit une autre question : « Pourquoi je me pose toutes ces questions ? Depuis quand tu n’as pas eu envie de te branler quelques heures après une bonne baise ? Tu as pris ton pied, ma salope, alors assume ! »


Sur cette saine décision, je sors de mon bain.


Emmitouflée dans mon peignoir, confortablement installée dans mon canapé, je me décide à téléphoner à mon amie, ma confidente, ma complice. C’est à elle que j’avais demandé de déniaiser mon fils.



Il m’avait répondu demain, sans préciser l’heure. Sans doute un moyen de faire monter mon excitation.



Toujours aussi directe, Karine ne cache jamais ses sentiments. Son côté franc m’avait tout de suite plu.



J’hésite à lui dire. Cette différence d’âge, et surtout il a l’âge de mon fils. Je suis gênée, mais ce n’est pas possible. Suis-je plus troublée par ce type que je ne veux l’admettre.



Sa seule réponse, un éclat de rire. Et elle ajoute,



Je dois reconnaître que Karine c’est toujours montré discrète.



Nous partageons une franche rigolade. Quelque peu troublée, je lui demande :



Le cri du cœur



J’éclate de rire



Cette conversation m’a remonté le moral. Je suis prête à manger du lion. Je commencerais bien par la queue. Vivement demain.


Ce matin, j’ai reçu un message très tôt.


« Je passe baiser ma salope avant d’aller au taf. Disons dans trente minutes. Prépare ton cul. Et laisse la porte de chez toi ouverte. J’ai horreur de poireauter devant une porte.


Je suis certaine d’une chose, si je voulais un mec romantique, c’est raté ! J’ai peu de temps devant moi. Mais j’ai tellement pensé à ce moment. Un soutien-gorge noir, très pigeonnant met en valeur mes gros seins. Ils donnent l’impression de vouloir s’échapper de leurs corbeilles de dentelles. Un porte-jarretelles de même couleur ceint ma taille. Mes jambes sont gainées de bas blancs à bande noire pour compléter ma panoplie de femme gourmande. Je me parfume entre les seins. Après m’être méticuleusement maquillée, et mis un collier doré à maille forçat, je me décide pour un chemisier blanc sans manche, une courte jupe noire et des chaussures aux talons hauts. Ce genre de chaussures met en valeur la cambrure de mes reins. Une dernière touche de rouge à lèvres, et j’entends la porte claquer.


Bêtement, je lui crie que je suis dans la salle de bains. Aucune réponse, si ce n’est qu’au bout de quelques secondes, le son de la télévision me parvient. Mais c’est quoi ce délire ? En me maîtrisant, je le rejoins.

Il est avachi sur le canapé, les pieds sur l’immense table basse. Je suis accueillie par une remarque que je qualifierais d’ironique, mais je n’en suis pas certaine.



Je m’assois sur la table basse à ses pieds. Je lui caresse le bas des jambes en le regardant langoureusement, avec le regard d’une femme prête à satisfaire son dieu et maître.



Aucune réponse, un regard agacé. Je me fais chatte, je minaude. Je sors mon chemisier de ma jupe, je le déboutonne lentement en le regardant. Je le retire en prenant soin de me cambrer. Son regard s’attarde sur ma poitrine. Je me caresse les seins à travers la dentelle en lui demandant s’il aime. Toujours pas de réponse. Mes bretelles de soutien-gorge glissent le long des bras, les mains dans le dos, je dégrafe mon soutien-gorge. Mes seins libérés sont gonflés, les pointes érigées. Devant son mutisme, je me décide à me lâcher. Je prends mes lobes à pleines mains, les soulève, les écrase.



J’ai un sourire satisfait, quand il se penche et pince mes tétons. Sa main se fait douce en caressant mes seins. Je fonds en l’entendant me dire.



Ses doigts agacent mes bouts. Il les fait vibrer, les pince, les tire. Je frissonne, des gémissements de plaisir sortent de ma gorge. Il malaxe, triture, soulève mes seins. Mes mains se joignent aux siennes. C’est bon.



Il continue, je suis aux anges. Soudain, il s’arrête, se cale au fond du canapé.



Je me lève en lui tournant le dos. Je dézippe ma jupe, la fais glisser le long de mes hanches en me tortillant. Certaine qu’il apprécie la vue de mon cul épanoui entouré par la dentelle du porte-jarretelles. Je prolonge son plaisir en retirant mon string. En me penchant légèrement, je l’envoie à l’autre bout du salon de la pointe du pied.


À genoux sur la table basse entre ses jambes, mes mains remontent le long de ses jambes, de ses cuisses. M’obligeant à me pencher encore plus. Lui offrant la vue de mes seins lourds tremblant à chacun de mes mouvements.


Je commence à lui masser l’entrejambe.



Avant de m’allonger sur ses jambes, les seins écrasés contre ses cuisses, je l’agace encore quelques secondes à travers la toile de son pantalon. Allongée, j’entreprends de défaire sa ceinture, déboutonne lentement sa braguette du bout des doigts. Je m’amuse à l’exciter, je prends mon temps pour le libérer.



Je lèche son braquemart libéré, je sens sa chaleur dans ma main. Langue sortie tel un serpent, je m’approche, lui titille le gland. Je le prends à peine en bouche, lèvres serrées autour de la base de ce gros champignon. Je lève le regard vers lui. Il me sourit. Un hochement de tête m’encourage à continuer. Je prends mon temps, ma langue se fait coquine, mutine. Une seule envie : le rendre fou. Je le prends un peu plus profondément dans ma bouche. Lentement, goûtant de mon pouvoir. Je le suce langoureusement. Son gland subit un ballet diabolique du bout, du plat de ma langue. Je le suce de longues minutes entrecoupées de propositions obscènes.



Toujours allongée sur ses jambes, je me laisse aller. Je n’enivre de mes mots. Je le suce doucement, une vraie professionnelle appliquée. Je ne prends aucune initiative, j’attends ses ordres, son bon plaisir. Je me contente de le faire gémir avec ma langue, ma bouche.


Avec douceur, il me repousse. Débarrassé de son pantalon, il est debout face à moi, assise sur la table basse, les jambes repliées. J’entame, avec son aide, à déboutonner sa chemise. Son sexe dressé est à la hauteur de mon visage, je le prends de nouveau en bouche. Sa main posée sur ma tête m’oblige à le prendre plus profondément. Avec un certain plaisir, je retrouve mon mec.



Je ne peux qu’accepter si gentiment demandée, agenouillée sur la table, prenant mes seins à pleine main j’emprisonne son chibre. Je monte et descends le long de cette colonne. Le regard levé vers lui pendant toute cette branlette, je savoure ses grimaces de plaisir. Je me rends compte qu’il se retient de gémir.



Il se contente de se dégager, de tapoter sa queue sur mes lèvres, pour ensuite m’inviter à le prendre dans ma bouche. Gémissante, j’obéis.

Après quelques minutes, il ordonne



Enfin ! Je m’empresse de lui obéir. Je le sens derrière moi, il prend son temps. Profite-t-il de la vue de mon gros fessier ? Il s’enfonce en moi de toute sa longueur, doigts crochetés dans le gras de mes hanches. Je gémis de plaisir. J’attends depuis si longtemps ce moment. Je suis surprise de la douceur de son assaut. Il me prend lentement. Je crie sans discontinuer, exprimant bruyamment le plaisir procuré par ses coups de reins. Je jette mes fesses en arrière pour mieux m’empaler en lui disant de me baiser plus fort. Déclenchant ainsi sa brutalité, il est déchaîné, me bourre rapidement, violemment. Sous ses claques, mon cul me brûle. Je crie, je gueule quand la jouissance me fauche.


Sans se préoccuper de moi, autoritairement il me retourne, dos plaqué au bois de la table, il glisse un coussin sous mes reins, écarte mes jambes levées. J’ai à peine le temps de sentir son gland contre ma rondelle que sa queue lubrifiée de ma cyprine m’envahit, me dévaste le fondement. Je me caresse en subissant son doux, mais impérieux assaut. Je suis de nouveau ravagée par le plaisir.

Quand je reprends mes esprits, il se masturbe au-dessus de moi.



Il se libère. Ses jets s’écrasent sur mon visage, mes seins. En le fixant dans les yeux, j’essuie les traces de son plaisir avec mes doigts que je mets dans ma bouche en ronronnant.


Au moment de son départ, je lui demande timidement et avec appréhension



Après un doux et long baiser, il est parti en me donnant une claque bien sentie sur les fesses. Je vous l’ai dit : un romantique !