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La vendeuse de lingerie, enceinte...

Nous étions en vacance à Collioure. Mon conjoint était parti pour la journée faire du bateau avec un ami.

Pour passer le temps, flâner, je suis allée faire les boutiques à Perpignan. Pour midi, je me ferai un petit restaurant au hasard, toute seule, c’est bien aussi de temps en temps. La voiture garée, me voilà partie dans les rues de cette ville que je ne connais pas du tout.

Un petit café d’abord, sur cette terrasse accueillante. La rue piétonne est agréable, les vitrines sont bien agencées, pleines de jolies choses.

Je rentre dans cette boutique pour essayer une robe légère, rouge, qui me plaît beaucoup, j’espère qu’ils l’ont dans ma taille…

Ils l’ont, je passe en cabine.

Un peu courte, mais pour allumer les hommes, c’est parfait… bien décolletée aussi, mais bon, c’est une robe d’été… J’aime, je me l’offre.

Je reprends mes flâneries, je vois beaucoup de belles vitrines, bien tentantes, le plus dur est de se raisonner. Et ce qui devait arriver arriva…

Dans une petite rue parallèle, je tombe sur une boutique de lingerie. Du premier coup d’œil, je remarque que la lingerie exposée est très, très, sexy… Mais, ce qui n’est pas courant, c’est qu’il y a beaucoup de grandes tailles, comme la mienne.

Attirée comme une pie, par toutes ces jolies choses, mais intriguée par l’exposition troublante de cette lingerie pour « grosses », j’entre dans la boutique. Je suis accueillie par le large sourire de la vendeuse. Blonde, regard bleu charmeur, plus petite que moi, et enceinte jusqu’aux yeux. Beau visage juvénile, vingt-cinq – vingt-huit ans environ. En débardeur largement échancré, autant devant que sur les côtés. Jupe courte, très courte…

Ses seins sont gonflés par sa grossesse, on devine sans peine des gros tétons qui ne demandent qu’à transpercer le mince tissu. Ses formes, exagérées par sa maternité proche, l’arrondissent un peu plus encore, je sais de quoi je parle, cette jeunette n’est pas une maigrichonne en temps normal.

Une jolie ronde… Ses jambes sont fines malgré ses kilos en trop.

Je lui demande d’essayer l’ensemble jaune qui est exposé dans la vitrine. Elle me dit de m’installer en cabine, qu’elle me l’apporte tout de suite.

Je me déshabille. La jeune fille me dépose l’ensemble sur le tabouret devant le rideau. Je le passe, il est un peu petit, je lui demande la taille au-dessus. Elle me va le chercher.

Un peu surprise, le rideau s’écarte.

• — Voilà l’autre taille, me dit-elle.

Elle me toise de la tête aux pieds en une fraction de seconde, mais ça ne m’a pas échappé.

• — Vous êtes une belle femme, ajoute-t-elle.
• — Merci, vous aussi, vous êtes vraiment jolie, vous savez.

Elle me propose de mettre l’autre taille, mais ne referme pas le rideau pour autant. Étonnée, pas vraiment embarrassée – après tout nous sommes entre femmes – je m’exécute, me retrouvant, juste un moment, nue devant cette fille, le temps de passer l’autre lingerie.

J’enfile la culotte, mets le soutien-gorge, elle rentre carrément dans la cabine.

• — Je vais vous aider.

Elle met en place l’agrafe. Je sens son ventre chaud sur mes reins. Je me sens toute chose, aussi… Le silence règne dans la cabine.

Tout en posant ses mains sur le haut de mes cuisses :

• — La culotte vous va bien.

Ses mains, encore ses mains viennent soupeser mes énormes seins.

• — Le soutien-gorge vous va bien aussi, il soutient sans écraser votre belle poitrine.

Je ne réponds rien, ma respiration parle pour moi…

Après une seconde ou deux d’un silence révélateur, elle dégrafe le soutien-gorge. Je crois qu’elle est arrivée à ce qu’elle cherchait.

Moi, j’ai envie, très envie…

Elle soupèse, caresse, malaxe mes nichons libérés, j’adore… je laisse faire… Je ne dis rien et je me retourne, face à cette beauté ronde.

Le bout de tissu est tombé par terre, mes seins sont nus, mes mamelons durs…

Elle n’hésite pas une seconde, elle m’embrasse. Sa bouche est douce, goulue, la mienne aussi. Sa langue lèche mes lèvres, la mienne aussi. Son ventre est chaud.

Sans précipitation, tout en me regardant, elle retire son débardeur. Ses seins sont deux énormes obus chargés de lait maternel, magnifiques globes de chair.

• — Vous voulez bien me bouffer les seins ? me dit-elle.

Son langage cru ne me choque pas, je ne me fais pas prier. Je suce un premier nichon, elle gémit, j’aspire. Je sens son lait couler dans ma bouche, je passe à l’autre, elle caresse mes épaules et mon dos, tout en m’ordonnant de continuer.

Je fais glisser sa jupe au sol, elle n’a pas de culotte. Elle transpire beaucoup et son odeur est enivrante.

Tout en m’occupant de ses nibards, je passe une main entre ses jambes, elle n’est pas rasée, mais toute mouillée. Je passe un doigt dans sa fente, son bassin vient à ma rencontre. À peine l’ai-je branlée, qu’elle me demande :

• — Vous voulez bien me lécher ?

Oh oui je vais te lécher ma belle, tu me fais trop envie…

• — Ici ? Il n’y a pas la place dans la cabine…
• — Dans le magasin, par terre.
• — Et si quelqu’un rentre ?
• — Ne vous inquiétez pas, j’ai fermé le magasin derrière vous

La coquine a tout prévu, je ne dois pas être sa première « proie ». Elle sort, je la suis, elle est belle cette fille, bien charnue, sa peau n’a aucun défaut, ses grosses fesses dodelinent sous mes yeux, j’aime beaucoup.

Nous nous roulons encore des pelles comme des gamines, j’aime beaucoup ça… elle aussi… Je lui caresse ses énormes seins d’où s’échappent encore quelques gouttes de lait.

Elle vient sucer les miens.

Puis, m’entraînant avec elle, elle se laisse aller sur la moquette, s’allonge sur le dos, les jambes bien écartées. À genoux devant cette femme voluptueuse, je caresse ses jambes, en extase devant son gros ventre, ses superbes nichons aux aréoles roses, sa toison blonde, offerte…

Elle se touche sans complexe, du bout des doigts.

À plat ventre devant son sexe dégoulinant, je pose d’abord un léger baiser, puis d’autres, plus appuyés. Avec la langue, j’écarte ses grandes lèvres, fouille son intimité, pour trouver un clitoris de belle taille et hyper sensible, si j’en crois sa réaction.

Excitée comme jamais, je lui bouffe la chatte hystériquement, je pénètre ma langue, je frotte ma bouche, mon visage sur son sexe grand ouvert. Rapidement elle jouit dans un grognement de bête satisfaite.

Je sens son corps se relâcher, se décontracter.

Mais moi je suis trop excitée pour que ça s’arrête là. J’enjambe la fille et viens m’asseoir sur sa bouche.

À mon tour de jouir. Je vais et viens sur ses lèvres tandis que sa langue essaie de me lécher. Ça y est j’ai trouvé le point où mon clitoris est bien accessible, elle l’a trouvé aussi…

Et je jouis, elle me fait jouir, putain que c’est bon !

Nous nous sommes rhabillées ensemble, elle m’a raconté que depuis qu’elle est enceinte son mec ne la touche plus, alors qu’elle a des pulsions sexuelles comme jamais avant, et bizarrement une attirance pour les femmes bien chair, alors qu’elle se pensait hétéro…

Je l’ai remerciée pour ce moment plus qu’agréable. J’ai réglé mes achats. Elle ne m’a pas laissée repartir sans m’embrasser goulûment, encore.

Je marche dans la rue, heureuse de cette aventure inattendue.

Le soir, j’ai raconté ça à mon homme. Il ne voulait pas me croire. Pourtant, l’envie ne s’est pas fait attendre…

Ce qui me fait beaucoup rire, chez les hommes, c’est que plus vous les trompez, mieux ils vous baisent…