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n° 19032Fiche technique18678 caractères18678
Temps de lecture estimé : 12 mn
11/06/19
corrigé 06/06/21
Résumé:  Première initiation aux relations extra-conjugales pour L. Les événements vont faire basculer les fantasmes candauliste de A. dans la réalité.
Critères:  h fh couplus extracon extraoffre cocus hotel telnet hsoumis photofilm hmast fellation nopéné -couple+h
Auteur : Elle et A.
Les planètes s'alignent



Commençons par quelques présentations, je m’appelle A., j’ai trente-cinq ans et suis en couple avec L. (trente et un ans) depuis un peu plus de dix ans. Il y a deux ans, nous nous sommes mariés, ce fut une journée absolument magnifique, sous un beau soleil, entourés de nos amis et nos familles. L. est une femme exceptionnelle. Je l’aime d’une façon indescriptible. Nous sommes heureux, partageons beaucoup de passions, de points de vue de avons de fortes valeurs communes… Nous sommes tout simplement épanouis ensemble.


Derrière ce beau tableau, L. a un problème de santé qui rend toute pénétration vaginale impossible, car beaucoup trop douloureuse. Depuis dix ans, nous avons appris à vivre avec ce problème en développant une sexualité alternative, basée sur les masturbations, fellations, cunnilingus et toutes sortes de caresses… Dernièrement nous avons même commencé à introduire quelques jouets érotiques afin d’étendre nos pratiques. Gode-ceinture pour qu’elle me pénètre, cage de chasteté (sans grande réussite hélas, dû principalement à mon comportement), pinces à tétons (qu’elle me met) et de jolis ensembles de lingerie sont venus garnir notre petite boîte secrète qui règne sur le bas de la penderie. L. aime aussi se masturber avec un stimulateur clitoridien, une petite merveille de sensation qu’elle a surnommée James.


Le fait de ne pouvoir pratiquer un rapport « classique » a, je pense, exacerbé chez moi une facette de ma personnalité que je ne connaissais pas ou très peu. À genoux devant L., je me sens à ma place. Une facette d’homme soumis a pris la place de l’homme « macho » que j’aurais pu être. Aujourd’hui, je m’épanouis dans cet aspect de ma sexualité et j’aimerais que L. puisse laisser parler un peu plus son côté dominant, mais je ne souhaite en aucun cas la brusquer sur ce domaine.


À mon initiative, nous explorons aussi le candaulisme, que nous n’avons découvert que récemment. J’avoue que L. a été un peu réticente au début lorsque je lui ai annoncé qu’elle pouvait prendre un amant si elle le souhaitait. Au début, elle pensait que je voulais faire la même chose et aller voir une autre femme. Peut-être pensait-elle que je voulais pallier le manque de pénétration qu’elle ne pouvait m’offrir, mais je l’ai rassurée en lui disant que je lui resterais fidèle, et je suis sincère sur ce point.


Je sais, et j’en suis certain, que si L. avait un amant, je serais heureux de la voir s’épanouir, de libérer un peu plus sa sexualité du carcan et des normes imposées par notre société de consommation où le sexe est devenu une marchandise. Il est très difficile pour une femme ne pouvant pratiquer la pénétration de se sentir à l’aise avec son corps et sa sexualité dans ce contexte. Tout autour de nous, notre environnement nous rappelle constamment que faire l’amour se résume dans la très grosse majorité des cas à la pénétration, alors qu’il y a de nombreuses façons de prendre du plaisir et de profiter de la vie. Notre démarche candauliste va en ce sens. Nous savons que si quelque chose doit un jour se passer, ça sera sans pénétration, il s’agira d’un échange de caresses digitales, buccales, et autres… Il ne sert à rien de forcer les choses, il faut surtout que les bonnes conditions soient réunies, que « les planètes s’alignent » comme nous aimons le dire tous les deux.




Première initiative



Il y a environ deux mois, les planètes étaient presque alignées, L. était en week-end sans moi chez une amie et elle a rencontré N., un jeune homme de son âge, lors d’une soirée. Le courant passait bien à tel point qu’elle m’a envoyé un SMS à une heure du matin disant :


« Si les planètes s’alignent, je fonce toujours ? »


Le « Vrrrrrr » du portable sur la table de chevet m’ayant réveillé, je me suis empressé de lui répondre :


« Bien sûr. Pourquoi ? Elles sont alignées ? »



N’ayant pas de réponse, j’ai ajouté dix minutes plus tard :


« Profite… Envoie-moi un message en te couchant. Je t’aime… »


Hélas, une heure plus tard, je l’avais au téléphone, et elle m’a annoncé, que le temps de m’envoyer le message et d’un passage aux toilettes pour se « réajuster et rafraîchir », N. avait quitté la soirée. Malgré un SMS qu’elle lui envoya pour lui dire qu’elle aurait aimé passer un moment agréable avec lui, il n’a pas souhaité revenir. Il lui a annoncé le lendemain que la proposition l’avait surpris de la part d’une femme mariée (une alliance fait, mine de rien, passer un message), mais que ce n’était pas l’envie qui manquait. Étant parti avec un ami, il a justifié le fait de ne pas revenir par l’indélicatesse de laisser cette personne seule. Ce n’est pas grave, mais c’est dommage. L. était très déçue par cette soirée qui pourtant s’annonçait plutôt bien.




Premier essai



Les semaines ont passé, et me voici en déplacement professionnel pour quelques mois à l’étranger sans possibilité de revenir à la maison. La séparation fut compliquée et nous apprenons à gérer cette distance entre nous sur un temps aussi long au fur et à mesure que les jours se passent. C’est une première grosse séparation et une grosse épreuve pour un couple fusionnel comme nous.


Nous échangeons régulièrement des SMS, des appels audio et visio. Nous partageons des photos coquines et je lui fais part régulièrement de mes fantasmes. Aujourd’hui, L. m’a annoncé qu’elle souhaitait reprendre contact avec N. Pourquoi ne pas retourner chez son amie qui avait organisé la fameuse soirée, ou peut-être même l’inviter à passer le week-end sur la région afin de passer une soirée avec lui ? J’avoue que j’ai été surpris par l’annonce, mais je trouve l’idée excellente. Je l’aime encore plus après cette proposition. J’ai bien entendu accepté avec grand plaisir. C’est entendu entre nous, elle enverra un message à N. demain.


Le lendemain, L. me dit qu’ils ont finalement convenu d’un week-end dans trois semaines pour se voir près de chez nous. J’étais fou de désir et d’amour pour ma femme et cette nouvelle m’enchanta. Les semaines qui suivirent, nous ne firent que peu d’allusions dans nos conversations à ce fameux week-end à venir.


Le vendredi soir en question, lors de notre appel quotidien, L. me dit :



À mesure que les heures passaient, mon cerveau montait en ébullition. Vers vingt-et-une heures, je reçus un message avec une photo de ma femme prise à l’aide du miroir de la salle de bain chez nous avant son départ. La chaleur du mois de juin lui avait fait opter pour une jupe légère qui arrivait au-dessus de ses genoux et un t-shirt clair légèrement transparent qui laissait apercevoir un soutien-gorge de dentelles noires. Je me doutais que la culotte associée de cet ensemble de lingerie prenait place sous sa jupe. Un joli maquillage soulignait ses yeux bleus, un rouge à lèvres appliqué avec soin et une parure de bijou comprenant un collier et les boucles d’oreilles assorties, complétait sa tenue. Aux pieds, elle avait opté pour une paire de sandales blanches à talons moyens. Ses ongles de mains et de pieds étaient vernis d’un joli rouge en accord avec son maquillage. La grande classe… Elle était rayonnante et élégante. S’il ne craquait pas, alors là je ne comprends plus rien aux autres hommes. Avec sa photo un petit message est arrivé :


« Je pars, souhaite-moi bonne chance, mon cœur. »

« Bonne chance mon amour. Amuse-toi, profite et surtout ne te pose pas trop de questions. Laisse faire les choses. Tu y vas pour profiter et te faire du bien. Je t’aime. »

« Merci mon cœur. Moi aussi je t’aime. »


Trente minutes plus tard, la vibration du téléphone me tira de mon occupation. Une autre photo avec un message, simple, concis, sans détour… Il s’agissait de la culotte de l’ensemble de lingerie qu’elle portait sur la photo. La culotte était posée sur un cadre photo où nous sommes tous les deux le jour de notre mariage. Ce cadre, je le connais bien, il est dans le salon. J’adore cette photo et elle le sait… Le message qui accompagnait la photo disait :


« Je n’en aurai pas besoin ce soir, du coup je l’ai laissée à la maison. J’espère que tu ne m’en veux pas… :) Petite consigne pour la soirée : ne réponds pas à ce message ni aux suivants. Si jamais je souhaite une réponse, je te le demanderai explicitement. Bon courage pour l’attente, mon cœur, ça passera vite. PS : ne te branle pas, tu pourras le faire quand je t’appellerai après. Je t’aime… »


Je suis resté sans voix. Là, elle me surprend vraiment de plus en plus… Comment veut-elle que j’attende comme ça ? Ça va être compliqué. Les minutes passent, elles sont interminables. À vingt-deux heures trente, mon téléphone sonne. Un appel de L. Je m’empresse de décrocher :



Je n’ai même pas eu le temps de terminer ma phrase qu’elle avait déjà raccroché !


Mon téléphone se mit à vibrer directement suite à son appel. Juste un petit SMS qui disait :


« Au fait, je suis trempée… Ça fait longtemps que je n’ai pas mouillé comme ça. J’espère ne pas avoir fait de tache sur ma jupe. Bonne soirée, mon amour, et n’oublie pas, pas de masturbation avant que tu ne sois autorisé à le faire :) ! »


Une fois de plus je reste muet devant l’assurance de ma femme. Elle qui d’habitude semble plutôt réservée sur le sujet, je ne la reconnais plus. Je l’aime comme un fou. Elle finira par me rendre dingue.


Environ quarante minutes plus tard, un nouveau message me ramena à la réalité :


« Je t’envoie la photo que tu m’as maintes fois réclamée. »


Elle y ajouta une photo de sa main gauche qui tenait le sexe de N. Pourquoi la main gauche ? Car on y voit son alliance et la bague de fiançailles. Pas de doute, ma femme est en train de branler la bite d’un autre. Cette photo a eu l’effet d’une bombe. De nombreuses fois, nous avions fantasmé sur cette situation. Cette fois ça y est… Elle me trompe ! En fait, non, elle ne me trompe pas, car je suis au courant, consentant. Elle est libre, elle est une femme avec ses envies, ses désirs et sa vie sexuelle. Plus de doute, je suis bien candauliste.


Nouveau SMS, juste une photo, cette fois sans légende. Je vois les lèvres de L. autour du gland de N. Encore un électrochoc ! Pas de doute, c’est bien elle, son visage souriant, ses yeux qui pétillent d’envie et ses lèvres. Malgré ce sexe entre ses mâchoires, je vois bien qu’elle sourit. Cette fois c’est sûr, ce n’est pas elle qui prend la photo, je peux voir ses mains sur les hanches de N. pendant qu’elle le suce. À de nombreuses reprises, j’ai eu l’occasion de la féliciter sur ses talents pour la fellation. Cette fois, ce n’est pas moi qui en profite. Elle suce le sexe d’un autre. Et quel sexe ! N. a un sexe plus imposant que le mien à en juger la photo. Franchement, tant qu’elle en profite, c’est le principal !


Je bande comme jamais. J’ai l’impression que tout mon être doit rougir, gonfler… Il va falloir que je libère ce trop-plein de désir et d’excitation. Je me retiens de me branler de toucher ce sexe qui me fait tant souffrir à cet instant. Je lui ai promis ! J’attends fébrilement le prochain message. Les minutes passent, interminables.


Dix minutes, quinze minutes…

Toujours rien.


Vingt-cinq minutes, trente…

Pas de nouvelles.

Je tourne en rond.

Je commence à m’inquiéter !


« Vrrrrrr, vrrrrrr… » Ça y est ! le message que j’attends depuis près de trente-cinq minutes maintenant vient d’arriver. Il contient ne contient que peu de mots, mais le message parvient à faire encore monter d’un cran l’excitation, chose que je ne pensais pas possible vu la tournure de la soirée :


« Où veux-tu que N. jouisse ? Tu as trente secondes pour répondre… Et ne me pose pas d’autres questions ! »


Aucun doute, la réponse je la connais :


« Sur ta poitrine, mon amour ! »


… Pas de réponse. Il ne se passe plus rien. Je ne sais plus quoi penser. Qu’ont-ils fait ? Il est près d’une heure du matin, maintenant… Elle a l’air d’avoir passé une bonne soirée. Et si je n’ai pas de nouvelles, c’est que ça doit continuer. Le téléphone vibre, encore un message. Cette nouvelle photo montre ma femme allongée sur le dos, sur le lit de cette chambre d’hôtel, et je distingue nettement une trace blanche sur sa poitrine. N. a bien joui sur elle, sur ses magnifiques seins et il vient de la prendre en photo.


Je n’en reviens pas. Moi qui suis actuellement en déplacement professionnel à plusieurs milliers de kilomètres de notre foyer, je reçois des photos et des SMS de ma femme qui prend du bon temps avec un amant. L’envie de me toucher, de me masturber, de me branler est intenable… Le portable me délivre et m’empêche de commencer la masturbation formellement interdite ! Cette fois c’est un appel visio :


Je vois son visage rouge, souriant et rayonnant apparaître dans ce décor inconnu.



Pas de problème, ayant résisté, je lui montre une belle érection avec fierté.



En disant ça, elle glisse un doigt sur sa poitrine pleine du sperme de N. et le porte à ses lèvres.



Elle vient de raccrocher. Ne tenant plus je m’apprête à me branler, je baisse mon boxer, saisis ma bite et… jouis instantanément !


Je l’aime…