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n° 19039Fiche technique7968 caractères7968
Temps de lecture estimé : 6 mn
15/06/19
Résumé:  Que faire quand son mec n'a plus envie ?
Critères:  couple fsoumise sm attache baillon fouetfesse humour -humour
Auteur : Samuel            Envoi mini-message
Lucien n'a plus envie

Lucien — Tu sais, il faut que je te dise, je n’ai plus du tout envie de faire l’amour. Ça m’ennuie de t’annoncer cela aussi… brutalement. Ça ne va peut-être pas durer, mais pour le moment, je n’ai plus aucune envie de sexe.

Cynthia — Qu’est-ce qui te fait dire cela ?

Lucien — Mais personne.

Cynthia — Je veux dire, à quoi tu t’aperçois que tu n’as plus envie ?

Lucien — Un sentiment profond, intérieur.

Cynthia — Est-ce que tu me permets de mettre à l’épreuve ce sentiment si profond, si intérieur ?

Lucien — Oui… bien sûr, mais…

Cynthia — Déshabille-toi.

Lucien — Franchement, Cynthia, ça ne sert à rien. Même si tu me fais une fellation, tu verras… ça ne marchera pas.

Cynthia — Déshabille-toi, je ne te toucherai pas de toute façon. Ça sera comme chez le médecin.

Lucien — Je ne suis pas malade.

Cynthia — Voilà. C’est bien. Je vais me désaper moi aussi.

Lucien — Mais on a dit que…

Cynthia — Je t’ai dit qu’on ne se toucherait pas. C’est juste pour voir.

Lucien — Tu vois bien… Rien n’y fait.

Cynthia — Oui, c’est vrai. Pas la moindre érection.

Lucien — Pourtant, tu as un corps parfait, mais…

Cynthia — Pas si parfait que ça, mon cher. Mais c’est vrai que d’habitude, cela suffisait pour te mettre au garde-à-vous.

Lucien — Je peux me rhabiller ?

Cynthia — Si tu veux. Mais il semble alors que notre amour se barre en sucette… alors qu’avant il se suçait en barre…

Lucien — Pas du tout ! Je ne voudrais pas que tu penses ça… Je t’aime toujours autant. Rassure-toi.

Cynthia — Je ne sais pas si c’est rassurant d’être aimé d’un type qui n’a pas envie de toi.

Lucien — Essaie de me comprendre !

Cynthia — J’essaie. Est-il possible de faire une autre expérience ?

Lucien — Qu’est-ce que tu vas inventer encore ? Tu ne veux pas qu’on aille au cinéma ? Il y a un film mexicain qui…

Cynthia — Non. Tu m’as demandé d’essayer de te comprendre. Alors tu dois me donner toutes les chances de te comprendre, n’est-ce pas ? Tu me fais confiance ?

Lucien — La confiance, c’est ce qui a toujours existé entre nous.

Cynthia — Laisse-moi une heure.


………………………………………….



Cynthia — Tu peux venir, Lucien ?


Lucien entre dans le salon et là… il découvre une fille nue attachée, les yeux bandés, un bâillon sur la bouche. Elle ne porte que des bas qui montent au plus haut des cuisses. Elle baisse la tête en signe de soumission et ses cheveux recouvrent presque son visage. Son pubis est rasé, avec une seule ligne verticale de duvet, allant de son sexe vers son nombril.


Cynthia — Je te présente Marion. Une amie de longue date que tu connais pour l’avoir vue parfois à des concerts. C’est la fille la plus masochiste qu’on puisse imaginer. Je vais la fesser devant toi et tu me diras si cela suscite chez toi une émotion érotique.

Lucien — Ou pas.


Cynthia coucha Marion sur ses genoux et entreprit une bonne raclée, ponctuée par les halètements de la suppliciée. Les fesses rougirent rapidement. Mais Lucien, imperturbable, un petit sourire au coin des lèvres, restait de marbre. Cynthia se servit alors d’un martinet, elle maltraita les seins et corrigea le con de Marion. Rien ne pouvait ébranler la conviction de Lucien qu’il n’avait plus de désir sexuel. Il suivait les ébats des deux filles comme s’il était au théâtre. Dans un ultime essai pour le faire réagir, Cynthia posa une assiette de lait sur une chaise et demanda à sa soumise de s’asseoir. Quand les fesses de Marion entrèrent en contact avec le liquide, un frisson la parcourut. Le lait dégoulina sur son pubis et glissa le long de ses cuisses. La maîtresse de maison connaissait son Georges Bataille, mais cette fois cela n’eut aucun effet sur son homme. Aucun effet. Il se permit même de descendre slip et pantalon pour montrer un sexe indifférent, qui semblait regarder ailleurs.

C’est alors que la porte s’ouvrit et Caroline, une amie d’enfance, entra en trombe comme elle le faisait régulièrement sous un prétexte quelconque ; sauf que là elle avait oublié le prétexte.


Caroline — Eh bien, on s’amuse bien ici ! Ton mec le pantalon aux chevilles, une fille à poil, les fesses dégoulinantes de lait ou de je ne sais quoi, et toi le martinet à la main. Et on ne m’invite pas ?

Cynthia — Caroline, ce n’est pas ce que tu crois. C’est même tout le contraire. Tu n’as rien remarqué de bizarre dans cette scène ?

Caroline — Je n’ai surtout rien remarqué qui ne soit bizarre.

Cynthia — Mets-toi une seconde dans la tête d’un mec. Tu ne trouves pas la situation bandante ?

Caroline — Si !

Cynthia — Eh bien, justement, il ne bande pas, comme tu peux le voir.

Caroline — Ah oui, c’est vrai ! Mais comment ça se fait ?

Cynthia — Lucien n’a plus de projet sexuel. Il n’a plus du tout envie de faire l’amour.

Caroline — Mais c’est fantastique, ça !

Cynthia — Comment ça, fantastique ?

Caroline — Je vais te dire. Moi, Charles, je n’en peux plus. Il a toujours une envie pressante. À tout moment, il me bascule sur la table de la cuisine, sur la poubelle du jardin, sur le capot de la BMW, sur le téléviseur à la mi-temps du match PSG-Dijon. Je n’en peux plus. Alors là, voir un petit gars, sa queue toute petite, toute mignonne, ne témoignant d’aucune agressivité, et pas la moindre goutte qui perle au bout, je t’assure que cela m’émeut à un point…

Lucien — Moi aussi, vous m’émouvez, Caroline. Enfin quelqu’un qui me comprend…

Cynthia — Tu vouvoies Caro, maintenant ?

Lucien — C’est l’émotion.

Cynthia — Je vais m’occuper de Marion. Elle a besoin d’une crème réparatrice après ce qu’elle a subi. Je l’emmène à la salle de bain. Je vous laisse vous émouvoir.

Marion — Cynthia, tu viens ? J’ai envie de pisser et j’aime l’humiliation d’uriner devant une femme qui me regarde avec des yeux sévères.

Cynthia — J’arrive ! Elle n’en a jamais assez, celle-là.



………………………………………….



Caroline — C’est vraiment une expérience magnifique pour moi. J’étais avec ton mec ; nous étions nus tous les deux dans ton lit. Je lui parlais doucement, il me répondait si gentiment. Je lui touchais le pénis, un vrai jouet, si malléable, un petit Jésus en culotte de velours. On peut le mettre dans toutes les positions. Ce n’est pas comme ce bâton rigide que je me farcis tous les jours, qui m’étrangle tant Charles veut me le pousser dans la gorge. Là vraiment, je suis tombée en adoration devant cette verge au point de la prendre dans ma bouche pour la mâchonner, la mordiller, la caresser de ma langue. Un vrai bonbon. Lucien a apprécié aussi, je crois, cette envie que j’avais de ne pas faire l’amour. Lui, de son côté, glissait un doigt délicat dans mon vagin pour constater qu’il était si peu humide que c’en était bouleversant, m’a-t-il avoué.

Cynthia — Oui, oui, c’est très beau, mais… nous sommes encore jeunes. Si on commence à ne plus baiser à vingt-cinq ans, ça promet de longues soirées d’hiver un peu emmerdantes.

Caroline — Prends un amant deux fois par semaine. Charles, par exemple.

Cynthia — Mais je ne peux pas te faire ça : tu es ma meilleure amie.

Caroline — C’est vrai ; je n’y pensais plus. Je disais ça, parce que si je pouvais sauter l’étape de la poubelle dans le jardin…