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n° 19045Fiche technique10324 caractères10324
Temps de lecture estimé : 7 mn
20/06/19
Résumé:  Toujours ses exigences que je satisfais avec un plaisir mélangé de scrupules et de provocations.
Critères:  ff 2couples hplusag inconnu campagne voiture fsoumise hdomine noculotte fellation cunnilingu pénétratio fsodo -entrecoup
Auteur : AmyLynn      Envoi mini-message
Celui qui a bousculé ma vie - Suite

La suite de mes aventures. Avec une dédicace pour « Coquin » qui se reconnaîtra.



C’est un beau début d’après-midi. J’ai mangé avec mon amie Karine, nous nous sommes fait des confidences. Mes rendez-vous sont fixés en fin d’après-midi. Il faut savoir se montrer disponible dans l’immobilier. Mon téléphone sonne. C’est lui ! Mon cœur s’emballe, mon ventre se tord.



Il raccroche sans plus de formalité. Toujours aussi délicat. Je continue un semblant de conversation, pour ma collaboratrice installée au bureau d’à côté.

Je me lève, informe ma collaboratrice que je me rends chez un client pour une estimation et qu’ensuite, j’enchaînerai sur les visites de fin d’après-midi.


Avant de sortir, je jette un regard dans le miroir. Je suis assez satisfaite de ce que je vois. Une femme épanouie vêtue d’une robe droite rouge, boutonnée sur le devant. Très printanière. Que me prévoit-il pour cette troisième rencontre ? Je pense à ce joli ensemble noir aux motifs blancs que j’ai mis ce matin. Il va aimer, ni trop provocant, ni trop sage. Je déboutonne quelques boutons du bas et approfondis mon décolleté en retirant un bouton. Parfait !


Je suis à peine arrivée au point de rendez-vous fixé qu’une berline allemande s’arrête à ma hauteur. Le conducteur se penche pour m’ouvrir la portière et un « grimpe ! » sans appel résonne. En m’asseyant, ma robe s’écarte. Je me penche pour l’embrasser. Sa main se pose sur mes cuisses, m’obligeant à écarter les jambes.



Après avoir mis la ceinture de sécurité, je me trémousse sur mon siège pour retirer mon string et l’accrocher au rétroviseur.



Un large sourire éclaire son visage. Sans un mot, il roule. Nous sortons rapidement de l’agglomération. Après quelques minutes, il engage la voiture sur un chemin qui se termine sur un parking bordé de buissons. Nous sommes garés à l’ombre d’un arbre, la garrigue chauffée par un doux soleil dégage son odeur si caractéristique.

Où m’a-t-il amenée ? Ce n’est pas la première fois que je me retrouve dans la nature pour une partie de jambes en l’air. Ce n’est pas que je sois inquiète, mon homme est là, mais côté tranquillité, j’ai connu mieux.

En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, je me retrouve la robe complètement déboutonnée. Les seins sortis de leur prison de dentelle. La chatte à l’air.



Sa bouche emprisonne la mienne, m’empêchant de protester un peu plus. Il s’amuse avec les tétons de mes seins. Il me triture, presse la poitrine. Il s’amuse de la lourdeur de mes seins. Je les sens se durcir, se gonfler sous les caresses. Sa main descend, caresse mon minou. Je ne peux m’empêcher de gémir lorsqu’il agace du bout des doigts mon petit bouton.



Une main autoritaire posée sur ma nuque m’oblige à me pencher sur lui. Je ne l’ai même pas vu se dégager. J’ai devant les yeux son sexe bandé que je m’empresse de prendre en bouche. Après quelques minutes, alertée par un bruit, je l’abandonne luisant de salive. Je ne vois rien. Pas le temps d’approfondir, qu’il m’oblige à replonger vers lui. De nouveau un bruit.

Il y a un vieux derrière les buissons. Il nous mate.



En me penchant de nouveau sur lui, je remarque une voiture garée un peu plus loin. Je ne l’ai même pas entendue arriver. Je reprends lentement, oserai-je dire amoureusement sa queue en bouche.



Les bruits mouillés de ma bouche, mes gémissements emplissent l’habitacle. Ses caresses dans mes cheveux m’encouragent à le prendre tout entier dans la bouche. Je me dégage, souffle coupé. Je reprends son chibre, soulève mon bassin pour aider ses doigts à me fouiller plus profondément. Je coule.

On a une visite.

Je me relève, j’aperçois une femme perchée sur des talons de belle taille, venant vers nous. Vêtue d’une jupe à volants en jean très courte. Un tee-shirt blanc tout simple lui moule le haut du corps. J’ouvre ma portière, dépoitraillée, jambes ouvertes.



Pour seule réponse, elle se penche vers moi, m’embrasse délicatement, sa langue fouille ma bouche. Ses mains se font douces sur mes seins. Ses doigts se font délicats sur ma chatte. Je ne suis pas en reste, je la caresse. Je sens la moiteur de son intimité sur le bout de mes doigts. Elle ne porte pas de culotte.



Soulevant son t-shirt, elle dévoile ses mignons seins. Des seins de jeune femme, fermes, aux bouts foncés. Je m’empresse de les embrasser. Les pointes réagissent à l’agacement de ma langue, à la morsure légère de ma bouche. Nous nous embrassons de façon gourmande, prises au jeu.

Nous sommes surprises par l’arrivée de son compagnon et du vieil homme. Tous deux la queue à la main.

Lucile fait les présentations :



Sans plus de fioritures, il me caresse les seins, sa queue à la hauteur de mon visage.



J’embouche son compagnon. Du coin de l’œil, je me rends compte que le vieux a plongé sa main entre les cuisses de Lucile. Les coups de reins de Julien font que sa queue s’enfonce très profondément dans la bouche. Comme toujours dans ce cas, je cherche ma respiration bruyamment, cela semble lui plaire, il me force à le prendre encore plus profondément. Cette queue dans la bouche, cette bouche, ces mains féminines sur moi m’excitent. Lucile me propose d’aller à l’arrière.


Je me retrouve allongée sur la banquette arrière. Lucile me mange, Sa bouche chaude et humide se fait gourmande, sa langue très agile. Mon intimité est fouillée avec une énorme délicatesse. La bougresse est douée. Son souffle sur ma chatte est une caresse. La tête dans le vide à l’autre bout de la banquette, je prends en bouche Franck qui a ouvert l’autre portière. Sentant Lucille moins attentionnée, j’aperçois Julien derrière elle, la besognant avec beaucoup de vigueur. Ses gémissements disent qu’elle aime ça. Les coups de boutoir font que sa bouche s’écrase sur ma chatte de façon plus maladroite. Un doigt caresse ma rondelle. C’est loin de me déplaire. Le bâillon de chair dans ma bouche m’empêche d’exprimer pleinement mon plaisir. Mais je coule sous ses doigts et sa bouche. Franck m’abandonne pour remplacer Julien qui proteste. Je vois Franck, le vieux et Lucile s’éloigner. Le vieux adossé à un arbre est sucé par Lucile embrochée par mon mec. Julien me tire au dehors, juste ce qu’il faut pour me posséder. Décidément, je ne suis qu’un paquet que ces messieurs font glisser le long de cette banquette, pour s’en servir selon leur bon vouloir. Je subis avec délice cet assaut. Il y va fort, l’animal. Il est déchaîné. Mes cris l’encouragent. Quelle fureur. Le plaisir me fait crier.


Je ne sais comment, je me retrouve à sucer la queue de Julien assis sur la banquette arrière. Lucile besognée par le vieux sur la banquette avant passe le bras entre les sièges pour masser les couilles de son mec. Mes doigts se joignent aux siens. Je sens Franck derrière moi. Je sais ce qu’il veut. Ma rondelle cède. Il me défonce. Nous jouissons presqu’en même temps.


J’ai beaucoup de mal à reprendre mes esprits. Je me réveille devant l’agence. Je me suis endormie durant le retour. Avec un sourire satisfait, mon homme m’ouvre la portière. Un rapide baiser pour lui dire au revoir.



Fouettée par sa remarque, je l’embrasse fougueusement. Me frottant contre lui.



Je lui demande avec un sourire en m’éloignant. En ajoutant :



Je suis certaine qu’il va m’appeler très bientôt.

Mais… le coquin du parking, a-t-il trouvé la carte de visite que j’ai laissée tomber sur le sol ?