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Temps de lecture estimé : 11 mn
02/07/19
Résumé:  Un dernier coup d'œil à ma femme. et notre vie a changé.
Critères:  fh hmast facial fellation -couple
Auteur : Caribonex2      Envoi mini-message
Un dernier coup d'oeil

Si tout est parti de ce dernier coup d’œil, c’est en fait une (énième) dispute qui est finalement à l’origine du changement de notre vie.


Je m’explique. Marié depuis six ans avec Lucille, j’étais heureux avec une femme superbe (c’est la mienne, j’ai le droit de l’écrire !), cheveux châtains coupés court, yeux bleus, bien proportionnée avec, comme on le dit parfois « ce qu’il faut où il faut ». Sportive, cultivée, un peu râleuse mais toujours encline à découvrir le monde avec moi.


Moi ? Alex, un gars normal avec un grand sens de l’humour. Et de l’humour, il m’en fallait pour lutter contre le point noir de notre couple, cette baisse lente, insidieuse mais si régulière de nos relations intimes. Je n’arrivais pas à m’y résoudre et ne comprenais rien ni pourquoi. Non, pas d’amant ni d’amante, juste un blocage mental qu’elle-même ne s’expliquait pas la seule fois où elle n’avait pas esquivé le débat et que rien ne parvenait à vraiment changer.


Ce jour-là, comme souvent une dispute avait éclaté pour un motif futile, une parole malheureuse et une remarque sur notre activité sexuelle. De mémoire, j’avais dû lui dire de rage que c’était trop « plan-plan » et elle m’avait traité d’obsédé, de menteur, crachant finalement un énorme : « Si t’en peux plus, t’as qu’à te branler ». J’étais tellement dans la rage et tellement excité depuis le réveil à cause de son petit short court et de son t-shirt bâillant et offrant une vue imprenable sur son 90D que j’ai craqué et répondu :



Tout en sortant mon sexe bien tendu et en quelques mouvements rapides, excité par son regard oscillant entre dégoût, tension et surprise, j’éjaculai sur la table de la cuisine avant de sortir rageusement de la pièce. C’est là que se situe l’épisode qui a changé nos vies. C’est là, qu’en tournant légèrement la tête, dans un dernier coup d’œil, j’ai vu, DISTINCTEMENT VU dans le miroir ma femme essayer le sperme du bout de ses doigts et, aussi sec, enfourner ses doigts maculés dans sa bouche avec un air hagard. Sur ma lancée, mon corps a continué son chemin vers la salle de bains, mais mon esprit lui est resté complètement ailleurs. Une seule certitude en tout cas, celle d’avoir vu ma femme déguster avec gourmandise ma semence. Quelque chose qui me semblait totalement inconcevable au vu de son comportement des dernières années.


Je pris une douche (tiède, pas froide, je ne suis pas maso !) et réfléchi à ce qui venait de se passer. Les idées se bousculaient dans ma tête mais je trouvai finalement un plan à mettre en œuvre. Nous fîmes les courses comme si rien ne s’était passé. Mais le soir, devant l’écran et un petit plateau-repas, je mis par hasard un porno à la télé. Elle s’offusqua rapidement et je jouai l’outragé quand elle m’accusa de l’avoir fait exprès, lui lançant « tu voulais de nouveau me provoquer ». Je sortis alors mon sexe qui tendait mon caleçon depuis plusieurs instants et tout en la fixant me masturbai devant elle qui regardait la télé en me fixant d’un air mi-ennuyé, mi-outragé. Excité depuis le matin, moi qui sais me retenir, je ne fus cette fois pas long à jouir sur un coin du plateau avant de partir en râlant.


Tout comme j’avais programmé la box, j’avais changé l’orientation du grand miroir, ce qui me permit de la voir tremper ses doigts dans mon sperme et le déguster avec empressement. Lucille visiblement adorait mon foutre mais était trop timide pour me l’avouer et je ne voulais pas la mettre trop tôt devant mes découvertes. Je repensais aussi à ces fois où elle se précipitait à la salle de bains après un rapport amoureux en comprenant maintenant que son appétit ne datait pas d’hier. J’avoue que plus tard, blotti contre Lucille, j’eus du mal à trouver le sommeil et son souffle parfois irrégulier me fit comprendre que, elle aussi était un peu tendue. Au matin, un bon footing s’imposait à nous. Au retour, je pris ma douche rapidement tout en l’observant se déshabiller, m’extasiant devant son corps magnifique dont la vision m’amena rapidement à une certaine tension…


À la vue de ma queue tendue, elle me traita d’insatiable. Comme elle était assise dans le fauteuil en osier, je me mis devant elle, le sexe au garde-à-vous, fixant son corps nu, si attirant et me caressai en jouant le gars piqué au vif par sa remarque. Elle prit un air ennuyé et je fis semblant de ne pas remarquer ses tétons durcis et pointés sans parler de ses cuisses pressées l’une contre l’autre. Je fis durer la chose, me caressant lentement, fixant aussi la veine solitaire qui battait la chamade sur le côté de son cou. Elle marmonna un « bon allez, dépêche-toi « d’une voix un peu trop rauque pour être naturelle.


Quand j’éjaculai j’eus l’impression d’exploser de partout tant j’étais excité. De gros jets de sperme vinrent s’écraser sur ses seins lourds, laissant des traînées blanches épaisses, rehaussant encore sa beauté. Je lâchai un "ton pervers te salue" avant de m’éclipser, espérant que la petite caméra que j’avais mise en place avait bien tout filmé. J’étais tendu (d’impatience cette fois) d’avoir les images, et une fois qu’elle eut quitté la douche, me transformai en flash pour récupérer la mini-caméra. Pendant qu’elle s’affairait à la cave, je visionnais les longs instants du film.


Tout avait parfaitement fonctionné et les images dépassaient même mes plus folles espérances. Je me vis jouir par soubresauts sur sa poitrine, le corps tendu d’excitation et surtout, la vis tendue elle aussi, attendre que je sorte, s’en assurer une seconde puis s’enduire les seins de mon sperme et se titiller ses pointes brûlantes, se caresser les seins, écarter les cuisses et se masturber furieusement avant de jouir dans un long cri silencieux.

Dieu qu’elle était belle, ivre de plaisir, pantelante, vaincue par la jouissance. Le petit film se terminait par une vue de son charmant fessier quand elle entra dans la douche. OK, l’image était un peu brumeuse à cause de la buée, la qualité n’était pas topissime, mais jamais je n’avais vu un film aussi excitant, aussi érotique.


Je pouvais maintenant passer à l’étape suivante. Le lendemain, batteries rechargées, je l’entrepris donc dès le matin. Comme souvent le week-end, elle était en peignoir, attablée dans la cuisine et s’apprêtant à attaquer une tartine de Nutella. Je fis mine d’écarter les pans de son peignoir, mais elle râla immédiatement. Si, par le passé, j’avais lâché prise, cette fois il n’en alla pas de même et je lâchai un :



Avant d’ouvrir mon peignoir et d’exhiber mon sexe tendu, gorgé de sang et de sève. Elle lâcha un "Tu vas pas recommencer ?" moins virulent qu’à son habitude pendant que je commençai à me caresser rapidement. La même petite veine pulsait au même endroit de son joli cou et son peignoir s’était défait à cause de sa respiration saccadée. Je remarquai que, consciemment ou non, sa tartine était toujours dans sa main, quasiment sous ma queue que je manipulais avec vigueur tant la scène était excitante. Je sentis encore une fois, une houle puissante monter en moi, un torrent de sensations qui allait déferler bientôt. Dans un coin de mon esprit, je me demandais si elle allait oser se révéler à moi ou si elle n’oserait pas encore. Ce qu’elle osa dire ce fut :



Je vins jouir sur sa tartine, arrivant à la recouvrir quasi totalement de foutre tant je me sentais ivre de plaisir, puis quelques gouttes atteignirent son peignoir ou tombèrent sur ses cuisses. On se regarda et l’espace d’une seconde je la sentis prête à basculer et moi-même j’en étais proche quand son regard se troubla, mais elle se reprit et je me reculai, sortant de la pièce non sans l’avoir tendrement embrassée.


Une seule idée trottait désormais dans mon esprit obnubilé par Lucille, qu’allait-elle faire, pourrais-je avancer, aller plus loin ou étais-je allé trop loin ? Ce ne fut que bien plus tard, une fois Lucille couchée après s’être plainte d’un douloureux mal de dos que je pus enfin examiner l’enregistrement de la caméra que j’avais stratégiquement placée dans la cuisine. Toute la journée, j’avais été sur des charbons ardents. Bon, l’image était plus claire que le film de la salle de bains et on voyait bien mes gestes. Trop impatient, je fis avancer rapidement la séquence jusqu’à ma sortie de la pièce et là…


Lucille n’attendit quasiment pas avant de mordre avec une délectation visible dans sa tartine couverte de mon essence. Les yeux clos, elle enfourna ce petit-déjeuner très inhabituel, si pervers. Je me repassai plusieurs fois la scène au ralenti. J’avais cru que le film précédent était le top, mais là, c’était bien au-delà. La voir déguster la tartine de Nutella sur laquelle je venais de jouir… Y a pas de mot ! Je me couchai, l’esprit enfiévré et toujours plus amoureux de ma femme. Sachant que je n’allais plus longtemps attendre avant de tout dévoiler, je passai une nuit à faire des rêves bizarres et oniriques.


Le lendemain matin, nous avions tous deux les traits tirés, je n’étais visiblement pas le seul à avoir eu une drôle de nuit. Le travail de la journée dissipa lentement ma tension mais ce fut la promenade en forêt que nous fîmes tous les deux quand elle arriva peu après moi à la maison qui nous fit beaucoup de bien et nous rechargea en énergie. Nous marchions main dans la main, tout me semblait si naturel, elle était si détendue en rentrant que je commençai doucement à la serrer contre moi, la câliner, moment délicieux ininterrompu par la sonnerie du téléphone. Aargh, j’étais donc maudit !


Surtout quand je reconnus le timbre de voix de son amie Sophie, incorrigible bavarde, OK c’était parti pour une plombe. Lucille parut un peu désolée et, collé contre elle qui s’était allongée sur le canapé pour parler à l’aise, je commençais à laisser aller mes mains mais elle me tapa sur les doigts et je lâchai prise. Momentanément… Car elle avait oublié qu’elle était en jupe ample et que cela dévoilait ses longues jambes fuselées… Erreur ou était-ce inconscient ? En tout cas, je me mis à califourchon sur elle, l’enserrant et l’empêchant de se débattre. Elle comprit qu’elle aurait du mal à se débattre sans alerter son amie et puis après tout, je ne faisais pas de mal, je remontais juste un peu sa jupe.


Bon d’accord, je la remontais de plus en plus tout en la caressant délicatement, comme une caresse de papillon dévoilant doucement sa petite culotte. Culotte qu’après quelques velléités, je réussis à lui enlever sans trop de difficultés et malgré quelques regards un peu courroucés. Ce "un peu" m’encouragea et je restai un long moment à la laisser s’habituer à sa semi-nudité. Je fixais le joli triangle foncé, si sensuel, si attirant. Je caressais ses jambes du bout des doigts, effleurant sa peau satinée, parcourant la périphérie de sa toison, le haut de ses cuisses. Elle voulut me parler mais je fis un gros bruit qui l’obligea à sortir une excuse rapide à Sophie qui devait lui demander ce qui se passait. Elle dut revenir à la conversation et j’en profitai pour continuer et glisser de ses orteils au haut de ses cuisses à plusieurs reprises, lentement, très lentement, jouant avec ses boucles soyeuses. Son regard était toujours colérique mais à mon sens seulement à 97, 98 % donc bon pour la continuation…


Après de longues caresses, là, juste là où la peau à l’intérieur des cuisses est la plus douce, je vis comme un voile de rosée sur le bas de son joli triangle. Elle tentait encore vaguement de me repousser mais bien plus faiblement. Je picorais son corps de mes baisers, parcourant avec mes lèvres le même circuit que j’avais parcouru avec mes doigts. Quand je posai enfin ma bouche sur sa petite chatte, celle-ci, entrebâillée, laissait voir le coquillage nacré et luisant de sa féminité. Je humai l’odeur de sa sensualité, enivrante, affolante pour mes sens avant de plonger ma langue en elle.



Et en réponse à une question de Sophie :



Cette fois, sa main me tenait. Oui, elle tenait ma tête contre elle, caressant mes cheveux, abdiquant face au plaisir que je lui procurais. Qu’est-ce que c’était bon, j’adorais, j’adore lécher, suçoter, déguster la petite chatte de ma femme et là, je me régalais. Ma langue furetait dans son intimité, explorant entre ses grandes lèvres, titillant la perle brûlante de la pointe de ma langue, je la sentais couler, languissante et désormais abandonnée. J’entendis plusieurs fois qu’elle perdait le fil, qu’elle bafouillait un peu, devait se concentrer sur la conversation. Sa main quitta mes cheveux un long moment et soudain, mes mains que j’avais tendues vers le haut pour caresser ses seins, furent saisies, écartées puis remises sur sa poitrine désormais accessible. Je jetai un coup d’œil et vis qu’elle avait réussi à ouvrir les boutons de son chemisier et sortir ses seins des bonnets du soutien-gorge. Vision excitante, renforcée par son regard halluciné, fixé sur moi. Une main crispée sur le combiné, l’autre revenue sur ma tête me replongea sur son entrejambe trempé. Je lapais, produisant des bruits obscènes, des clapotis signalant son état. Ses cuisses devenaient doucement un étau pour ma tête et sa main me pressait le visage encore et encore au rythme des soubresauts qui commençaient à l’animer.


Je léchai, lapai, dégustant sa mouille et entendis enfin qu’elle allait craquer, ne parvenant plus à garder plus longtemps pour elle ses gémissements et frottant le téléphone sur son chemisier en criant "allo, allo" avant de raccrocher brutalement sur un dernier "Fichue ligne qui ne fonctionne jamais !" avant de se laisser enfin aller à gémir sans retenue une suite de "Oui, Oui" et autres "C’est boon, encore, salaud tu me bouffes…" Partie dans un délire verbal excitant, ses deux mains crispées sur ma tête, mes mains lui caressant ses seins opulents, durs comme jamais. Je sentis à la tension de son corps qu’elle allait jouir, c’était si bon de la faire jouir avec juste ma langue et mes caresses. Les oreilles coincées contre ses cuisses, je crus entendre un "Bouffe ma mouille, salaud" sans en être vraiment sûr. Ce qui était sûr c’est que j’étais excité comme pas permis. Une goulée d’air avant de remonter vers son visage en sueur, ses yeux brillants et de lui rouler enfin, une pelle énorme en partageant ses sucs délicieux.


On resta blottis l’un contre l’autre et, au moment où elle émergea un peu, sentant contre sa cuisse ma barre de chair, le téléphone sonna de nouveau. Je reconnus la sonnerie de sa mère et ne pus l’empêcher de décrocher, comme d’habitude, ça allait être le bla-bla d’une fausse malade et ma femme répondrait juste par "mm, ok, ah" pour relancer de temps en temps la conversation. Bah, c’est toujours difficile de se détacher de certaines choses. Mais attends ! Je pouvais profiter de cela et transformer cela en point d’orgue sensuel. Je la bloquai à nouveau et présentai ma queue devant sa bouche, elle me regarda un peu furibonde mais comme elle ouvrit la bouche, je poussai mon gland en avant, je le ressortis juste pour la laisser répondre et hop, avançai de nouveau. Je vis qu’elle était en mode automatique, concentrée sur ma queue tendue où luisait déjà un mélange de salive et de sécrétions. La tension sexuelle n’avait pas eu le temps de baisser et j’en profitai. Le rythme fut trouvé naturellement et je me servis de sa bouche pour me faire sucer, au bout de quelques allers retours, j’enlevai ma main de derrière sa tête et je ne fis que des mouvements amples d’avant en arrière, plongeant dans sa bouche chaude, accueillante. Je me branlais carrément avec sa bouche aux lèvres gonflées. Elle avait de plus en plus de mal à parler, même pour sortir des petites relances car je plongeais profondément mon sexe tendu dans sa bouche ouverte, langue tendue.


Me sentant crispé à mon tour, elle sortit une connerie sur un four allumé et raccrocha le combiné avant de lever les yeux pour me regarder, fixée sur moi comme une folle. Ces yeux brillants, son sourire, sa langue… J’explosai comme jamais et maculai son visage de foutre en plusieurs jets, le front, les joues, le nez, énormes traces blanches, avant de parvenir à viser un peu sa bouche ouverte sur un appel au sexe. Elle me regarda, complice, et je rassemblai le sperme avec mes doigts pour l’introduire dans sa bouche, ce qu’elle attendait avec plaisir au vu des gémissements qu’elle émit. Enfin, je lui présentai une dernière goutte translucide au bout de mon doigt et elle sortit sa langue pour déguster ce nectar et sucer mon doigt en me regardant avec un air de salope intégrale que je ne lui avais encore jamais vu.


C’était le début de notre nouvelle vie.