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n° 19064Fiche technique33408 caractères33408
Temps de lecture estimé : 19 mn
05/07/19
Résumé:  Deux amant jouent une semaine de soumission au poker. Le gage sera-t-il assumé jusqu'au bout ?
Critères:  fh couple amour hsoumis fdomine ffontaine massage cunnilingu hdanus hgode jeu -couple
Auteur : Oscar Cemeliasis  (Auteur amateur et éclectique)      Envoi mini-message
Une cuisante défaite

La tension était à son comble et pour cause : l’enjeu de la partie en valait la chandelle. Marc et Laure se regardaient avec intensité. Chacun avait longuement analysé les cartes en main. Le dénouement qui s’annonçait serait quitte ou double et les dés étaient jetés.



Qui bluffait ? Qui était sérieux ? Tout avait commencé quelques heures plus tôt lors d’une banale discussion. De sujet en sujet, la conversation avait fini par aborder les frustrations et récriminations réciproques sur la fréquence, les pratiques et les sentiments portant leur vie sexuelle. Et les quinze années de mariage qu’ils partageaient avaient largement alimenté l’échange vigoureux qui n’avait pas manqué d’arriver. Comme souvent, c’est Laure qui avait tranché le débat.



Sûr de lui, trop peut-être, Marc avait relevé le gant. La partie s’était révélée serrée, et main après main, les deux amants étaient restés au coude à coude. Sauf que, pour cette ultime et dernière main qui intervenait dans le cadre d’une égalité parfaite, Marc avait perdu la baraka. Avec une paire de valets, le bluff restait sa seule et dernière option. Et pourtant, il voulait y croire. L’idée de vivre une semaine entière avec Laure totalement soumise à ses désirs l’avait rendu incapable de discerner la bonne stratégie vers la victoire.


Combien de mains solides n’avait-il pas gaspillées, trop espiègle à la pensée de toutes ces choses dont il rêvait secrètement. Laure, elle, avait su rester solide et avait évité la catastrophe plus d’une fois. Peut-être l’idée de se faire prendre en sandwich dans un club échangiste avait-elle suffi à booster son ardeur à la combativité.



Et sans plus attendre, Laure étendit le bras et abattit les cartes devant elle.



Le temps s’arrêta brusquement. Marc regarda le maigre jeu en éventail sous son regard comme si la providence allait subitement substituer ses cartes et lui donner une main gagnante.



Marc avait du mal à masquer son malaise devant la débâcle et Laure savourait la sensation de la victoire certaine autant que le fait de savoir que son fier Marc allait devoir se plier à ses volontés à elle. Connaissant le caractère un brin macho et sexiste de son mari, l’expérience n’en serait que plus jouissive, du moins pour elle.



Était-ce la colère ou la crainte qui le submergeait ? Difficile à dire, mais dans tous les cas, Marc suait à grosses gouttes et ne pouvait plus reculer sans se couvrir de honte.



Laure planta ses yeux félins dans ceux de Marc.



Marc se leva, énervé, et s’affaira à tout ranger. Laure quitta la table et fila dans la chambre.



Quand il pénétra dans la chambre, Laure était debout habillée à côté du lit. Marc se sentit soudain habité d’une étrange sensation. Lui le mâle alpha séducteur, l’homme qui possède, qui pénètre, éprouvait une étrange sensation d’excitation de se sentir soumis à la volonté de sa femme. Debout dans l’embrasure de la porte, il regardait Laure et avait une pulsion forte battant ses tempes et sa queue. Il regardait ses hanches généreuses moulées par l’étoffe légère de la robe d’été rouge sang qu’elle portait ce soir. Il n’avait même pas pris le temps de regarder ce qu’elle portait en dessous en s’habillant ce matin. Peut-être n’avait-elle rien mis par cette chaleur en fait. L’air chaud et sirupeux faisait perler sa peau laiteuse et il devinait la pointe de ses seins lourds et nus sous la robe.



Marc s’approcha et passa derrière Laure. Il défit un à un les boutons depuis la base de la nuque. À mesure que la robe s’entrebâillait, il pouvait voir apparaître la courbe cambrée de son dos, constellée des grains de beauté qu’il connaissait tant. Était-ce l’interdit ou pas, mais Marc les apprécia différemment ce soir-là.


Le dernier bouton céda, offrant une vue imprenable sur la croupe rebondie de Laure, fendue d’un sillon fessier qui exerçait d’un coup un magnétisme insoutenable sur Marc à tel point qu’il laissa insidieusement courir un doigt le long de ce précipice.



La robe glissa le long des jambes et vint terminer sa course sur le parquet. Laure fit une moue moqueuse en montant les mains au-dessus de sa tête et entama une sorte de danse ondulante dans laquelle ses hanches et sa poitrine opulente vibraient en résonnance. La vue narguante de ce corps voluptueux incendia le bas-ventre de Marc immédiatement. Il avait envie de la saisir, d’agripper ses seins lourds, de les pétrir puis de presser ses doigts sur chacune de ses fesses pour la plaquer contre son sexe qui enrageait dans la cage de ses vêtements.



Marc se dirigea vers la penderie, le pantalon largement déformé par une érection tonitruante. Laure jubilait de voir son homme ainsi frustré et tendu d’excitation. Elle jubilait à l’idée de cette tension qu’elle induisait en le tenant à distance tout en faisant monter son désir. Elle se jouait de lui comme un chat d’une souris. Dans la penderie, Marc ouvrir le tiroir à sous-vêtements. Il saliva devant la vaste collection de lingerie qui s’étalait sous ses yeux. La dentelle la plus fine côtoyait le cuir, le latex et le coton le plus banal. Chaque ensemble lui rappelait immédiatement de délicieux et torrides souvenirs de leurs jeux et ébats.

Mon Dieu, ce string de soie bleue a été le témoin de quelques levrettes dantesques, pensa-t-il. Et cette fois où je l’ai abîmé et l’enlevant avec les dents afin de pouvoir la sodomiser.



Marc allait attraper un micro-string de dentelle blanche lorsque le son de la voix de Laure troubla à nouveau le silence.



Il tourna les yeux pour découvrir la pièce de tissu terne à l’aspect rustique.



Une fois revenu, la culotte fendit l’air pour venir s’écraser sur le lit.



Allongée, elle étendit immédiatement ses jambes en pointant ses orteils. Marc reprit la culotte et entreprit de l’enfiler à sa femme. Une fois les pieds passés, la maîtresse de cérémonie souleva les fesses dans une posture frisant l’obscénité, les cuisses largement ouvertes sous le nez de son mari.



En représailles, il décida de prendre tout son temps. Le sous-vêtement était étiré entre ses deux mains et remontait le long des mollets soyeux. Il en profita pour laisser traîner la pulpe de ses doigts sur le côté, puis derrière les genoux, sachant parfaitement dans quel état ces lentes caresses allaient mettre son épouse.


L’effet ne tarda pas et électrisa la peau tout entière de Laure. Sa toison taillée au cordeau peinait à masquer l’excitation grandissante de sa propriétaire. La remontée le long des cuisses prit bien quelques minutes qui parurent interminables aux deux amants. La chaleur aidant, des milliers de perles de sueur se mirent à consteller l’épiderme de lait de la quadragénaire dont la respiration s’était brusquement saccadée.


Les vêtements de Marc étaient trempés par la tension grandissante et la dureté de sa queue en devenait presque douloureuse. Le bras de fer entamé quelques heures auparavant au poker se poursuivait sur le terrain de la volupté, chacun jouant avec la tension et l’excitation de l’autre. Sauf que cette fois, c’était Laure qui menait la danse.



Les mains de Marc s’affairèrent à enduire les épaules, les bras, le dos et la dernière frontière encore accessible de la naissance du fessier rebondi de sa tortionnaire.



Marc s’assit sur le côté et posa ses paumes largement ouvertes sous la nuque de sa femme. Son expertise du sujet fit effet et Laure savourait les profonds et puissants mouvements des mains de son mari sur elle. Ce massage fit un peu redescendre la tension sexuelle, jusqu’à ce qu’il recommença à flirter avec les limites du périmètre qui lui avait été autorisé. Il dut déployer toute son imagination pour trouver, deviner et exploiter des zones érogènes qu’il avait longtemps ignorées, trop concentré sur les victimes faciles de ses caresses qu’étaient les seins et le sexe de sa partenaire.


Les mouvements se firent plus légers, effleurés, jouant à chatouiller la base de la nuque, la peau fine à la naissance des bras, les flancs. Laure se remit à mouiller. Elle avait ce qu’elle voulait. Rebattre les cartes, l’obliger à sortir des sentiers battus, explorer les chemins de son désir et de son plaisir à elle. Elle laissa échapper un gémissement en signe d’encouragement, ce qui eut l’effet escompté. Cette fois, les paumes des mains avaient définitivement abandonné le terrain au profit de la pulpe des doigts laissaient à intervalles réguliers les ongles venir subrepticement donner un coup de fouet sensoriel.


Laure tressaillit à la première morsure de ces griffes sur son flanc. En signe d’acquiescement, elle écarta les cuisses et s’étendit plus largement. Ce détail n’échappa pas à l’œil gourmand et avide de Marc qui peina à contenir son envie de se jeter sur elle. Il connaissait le corps de sa femme par cœur, mais cette retenue qui lui était imposée changeait la donne. Il éprouvait un désir jusque-là inconnu pour chaque centimètre de sa peau. Le con de sa tigresse le narguait, moulé et caché derrière le tissu de cette horrible culotte dont le coton imbibé de mouille trahissait largement l’état de sa propriétaire.



Marc ne se fit pas prier. En un temps record, il était debout devant elle, la queue au garde-à-vous.



Sur ces mots, elle se tourna et attrapa quelque chose dans le tiroir de la table de nuit.



Il s’exécuta sans discuter. La morsure du métal sur ses poignets le renseigna immédiatement sur ce qui se passait.



En tous les cas, la douleur n’avait pas altéré la qualité de son érection. Elle s’assit au bord du lit et commença à faire courir ses doigts et ses mains par effleurement le long des jambes, en prenant bien soin d’éviter la zone sensible de la bite dressée devant son visage ou encore des couilles lourdes qui pendaient dessous.



À la vérité, il commençait à prendre conscience du plaisir se diffusant de cette frustration qui naissait de ces rapprochement/évitement des zones sensibles. Chaque fois que ses doigts approchaient de son aine, caressaient la toison courte de son pubis ou flirtaient en haut de ses cuisses, la tension explosait dans sa tête et dans son ventre. Sans s’en rendre compte, son corps se tendait immédiatement comme pour tenter de gagner les derniers centimètres qui séparaient sa queue des mains de sa femme.



Elle approcha alors sa bouche du gland écarlate de son mari en s’arrêtant à quelques centimètres.



Sa main droite remonta et enserra doucement les deux testicules qu’elle se mit à malaxer finement comme une petite créature fragile. Son autre main s’immisça délicatement entre ses fesses et vint poser un doigt sur la corolle endormie.



Laure reprit ses caresses. Marc sentait les doigts pétrir, serrer, relâcher, palper ses couilles. Ses sensations se mélangeaient avec cette sensation étrange de ce doigt qui pressait doucement son fondement et le pénétrait centimètre après centimètre. Laure achevait de le perdre en soufflant sur l’extrémité de son gland au bout duquel perlaient les premières gouttes de lubrification, annonce d’une éjaculation imminente.



Tout se synchronisa doucement. Chacune des mains se cala sur l’autre. Les fins doigts de Laure progressaient entre les fesses de son homme au rythme croissant des couilles qui s’agitaient comme deux grelots fous au creux de sa paume. Mais ce jeu ne la laissait pas indifférente. Son ventre était en feu d’avoir sa jouissance soumise à sa volonté. Elle pouvait le faire basculer à tout instant ou décider de ralentir et redescendre pour mieux remonter l’instant d’après. Elle mouillait à flot. Elle sentait la mouille détremper les draps après avoir fini d’imbiber sa culotte.


À cet instant, elle aurait voulu sentir une langue chaude venir la fouiller pendant qu’elle propulsait son homme au septième ciel. D’un coup, la proximité de cette belle bite dressée la fit basculer et elle l’avala d’un coup. Marc se cambra violemment lorsqu’il sentit ses lèvres se poser sur l’épiderme chauffé à blanc de sa queue et coulisser jusqu’à sa base. Happé par le plaisir, il ne réalisa même pas que Laure avait totalement enfoncé ses doigts dans son cul et que ces derniers avaient entamé les subtiles caresses de sa prostate encore endormie.



La cadence s’accéléra. En tant d’années de vie de couple, Laure ne se rappelait pas avoir vu Marc aussi imposant. Sa bouche coulissait avec frénésie sur sa hampe, ne libérant son étreinte que pour donner l’occasion à sa langue de se déchaîner, concentrant le feu de ses caresses à la naissance du frein, zone ô combien explosive.


La première salve fusa sans prévenir et surprit Laure qui dut l’avaler d’un trait pour ne pas s’étouffer. Les autres se suivirent en rafales sans que Marc ne calcule plus rien. Le plaisir avait explosé dans tout son corps et semblait s’écouler en un flot de jouissance continu dans la bouche de son amante. Cette dernière en recueillit jusqu’à la dernière goutte et conserva la queue enserrée entre ses lèvres de longues minutes jusqu’à ce qu’elle soit totalement ramollie.



Laure releva les yeux et sourit. Au moment où son mari voulut s’affaler, repu, elle se redressa, passa une main dernière sa nuque et l’autre sur ses fesses et vint plaquer sa bouche sur la sienne.



Avant qu’il ait pu réagir, elle avait forcé sa bouche et lui rendait sa semence chaude et épaisse dans un interminable baiser. La première sensation du goût de son foutre le surprit. Puis une fois la surprise passée, il se sentit se détendre et étonnamment se laissa entraîner dans la danse qui lui était imposée. Tous deux étaient électrisés par la fusion qui naissait de ce baiser noyé de leur jouissance partagée. Elle s’écarta la première.



Laure éclata de rire.



Elle partit dans la penderie et revint un instant plus tard avec un petit sac noir en velours.



Elle ôta prestement sa petite culotte détrempée et s’avança sur le lit jusqu’à se mettre à califourchon sur le visage de son homme.



Elle plongea la main dans le sac et en sortit un objet argenté.



Avant même qu’il réplique, elle avait déjà tartiné la raie de ses fesses d’une épaisse couche de lubrifiant visqueux dans lesquelles elle plongea l’imposante ogive.



Il voulut ajouter quelque chose, mais la vulve luisante de Laure lui tomba sur la bouche telle une ventouse insatiable. La garce était déjà trempée. Il commença à jouer avec ses lèvres gorgées, les pressant entre les siennes, les lapant et les suçant. Il évitait soigneusement son clitoris, se concentrant sur la peau fine autour de son sexe, léchant l’orée de sa toison, le pli entre son pubis et ses cuisses. Il tournait autour du pot, s’approchant chaque fois un peu plus du Saint des Saints.


La sensation de ses baisers, léchouilles et caresses la propulsa dans un tourbillon de plaisir qui prenait petit à petit possession de son corps. La boule de feu au creux de ses reins colonisait son ventre, ses seins, ses membres pour inonder son esprit. Chaque coup de langue l’électrisait un peu plus. Elle se mit à onduler du bassin sur le visage du « malheureux », totalement maculé de mouille.



Son clitoris dardait fièrement entre les chairs roses et le feu d’artifice grimpa d’un cran lorsque Marc fit jouer sa langue dessus. Avec une maîtrise infinie, il aspira le petit bouton gorgé de sang entre ses lèvres et entama un puissant mouvement du plat de la langue. Cette caresse rythmée ininterrompue arracha un premier orgasme à Laure qui ne lâcha rien.



Peinant à reprendre sa respiration, Marc redoubla d’efforts et obtint un deuxième, puis un troisième orgasme encore plus fulgurant. Elle chevauchait la bouche folle de son mari comme si elle voulait l’aspirer au fond de son sexe.



Elle attrapa un énorme vibromasseur qu’elle vint plaquer sur son clitoris, tout en gardant la bouche de Marc prisonnière de ses lèvres. Aussitôt en marche, l’engin la rendit folle. Les vibrations puissantes secouèrent tout son bas-ventre et provoquèrent un tsunami de plaisir, aussi bien sensoriel que physique. Une longue et puissante vague liquide jaillit de sa chatte et vint maculer totalement le visage et le corps de son amant pour finir de détremper les draps.



Sans rien comprendre, Marc léchait avec avidité la chatte de sa femme ouverte et inondée et recueillit jusqu’à la dernière goutte qui sortit d’elle.

Tous deux s’affalèrent.



Une fois installé ; il sentit une main lui écarter les fesses et ôter l’imposant objet qui les occupait. Elle se releva du lit un instant. Lorsqu’il tourna la tête pour voir ce qui se passait, il se figea. Laure était debout, nue, avec une espèce de harnais autour de la taille et un imposant gode noir en silicone qui se dressait entre ses jambes.



Elle vint s’allonger sur lui, et après avoir ajouté une copieuse dose de lubrifiant pressa doucement l’embout sur la corolle velue qui l’attendait. Heureusement, elle avait bien fait les choses et le rosebud avait préparé le terrain. Marc sentit tout d’abord ses chairs s’étirer à la limite de la douleur à mesure que l’engin de bonne taille se frayait un chemin dans son fondement.



Petit à petit, le gland synthétique passa le barrage et le reste de la verge lisse suivit sans problème. Marc sentait le corps chaud et nu de sa femme contre son dos. La sensation la plus troublante était la sensation de son pubis contre ses fesses. Elle était en train de le prendre. Il commença à se détendre et à savourer cette sensation d’abandon. Il était à elle. Il se mit à écarter les fesses et à se cambrer pour lui permettre de s’enfoncer davantage.



Elle commença à entamer un lent mouvement de va-et-vient qu’elle accéléra au fur et à mesure des grognements de plaisir qu’il lâchait en cadence. Après tous les orgasmes qu’elle avait eus, la chaleur ne mit pas longtemps à la regagner. Chaque coup de reins qu’elle infligeait à son mari faisait délicieusement bouger la protubérance qui logeait au fond de son sexe. Le plaisir montait en chacun d’eux.


Marc sentit quelque chose d’étrange se passer en lui. Il lui semblait que la caresse intérieure que lui procurait le membre éveillait un organe qui ne s’était jusque-là jamais manifesté. Une boule de chaleur se répandit dans tout son bas-ventre et se mit à le faire convulser, doucement d’abord puis de manière incontrôlable. C’est comme si son cul se mettait de son propre chef à aspirer l’énorme bite de plastique en lui en cadence, lui procurant une forme de plaisir qu’il n’avait jamais connu encore. Les deux amants ondulaient en un ballet synchronisé, au rythme des coups de reins. Les orgasmes se succédaient, chaque fois plus fort, sans jamais s’arrêter. Pas d’éjaculation, juste des ondes de plaisir qui se répandaient dans le corps, dans chacun de leurs corps.

L’épuisement vint à bout d’eux.