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n° 19069Fiche technique8582 caractères8582
Temps de lecture estimé : 6 mn
07/07/19
Résumé:  Comment expliquer ce rêve ?
Critères:  fh inconnu toilettes revede sm yeuxbandés fouetfesse délire
Auteur : AmyLynn      Envoi mini-message
Rêve révélateur ou pertubateur

Je me suis réveillée dans un lit dévasté, par une nuit agitée, avec le souvenir très présent d’un rêve et surtout avec les doigts enfouis en moi et un sein très douloureux.

La lumière de la nuit finissante emplit ma chambre. Je me réveille doucement, douloureusement, prenant conscience du lieu familier. Mille pensées me traversent l’esprit, je retire mes doigts de mon entrejambe, j’ai pris du plaisir. Je caresse lentement ma poitrine, plus particulièrement mon sein martyrisé durant mon rêve. Je me souviens de tout.


La nuit noire déchirée par les phares puissants du 4x4 qui s’était arrêté alors que j’attendais la dépanneuse vite arrivée sur place. Le conducteur sympa m’a proposé de m’accompagner jusqu’au garage. À choisir entre ce vieux mécanicien bedonnant aux ongles maculé de graisse, sentant la sueur et l’essence et ce beau trentenaire sûr de lui, au regard déshabilleur et surtout les sièges moelleux de son véhicule. Mon choix est vite fait.


La fraîcheur de l’habitacle me fait frissonner, normal avec la tenue que je porte. Une courte jupe rouge, un top blanc à fines bretelles moulant et maintenant ma poitrine assez forte. Un blouson de toile et une paire d’escarpins complètent ma panoplie de femme fatale. Il n’y a que dans mes rêves que je puisse me permettre de sortir les seins libres. Pourquoi cette tenue putassière ?


On ne peut pas dire que la délicatesse soit la qualité première de mon sauveteur. Il me scrute des pieds à la tête. Je me sens nue sous son regard. Son sourire, ses yeux me disent que j’ai passé l’examen avec succès.


Nous roulons dans la nuit, une nuit noire sans lune, une route de campagne éclairée par les puissants phares du véhicule. Aucun bruit, ni celui du moteur ni celui de la musique sourde emplissant l’habitacle. Je suis certaine qu’il y a de la musique, pourquoi je ne l’entends pas ? J’ai l’impression de voyager sur un coussin d’air. Les objets pris dans le faisceau des phares semblent flotter dans l’air. Un arbre, un panneau de signalisation… Lentement, comme au ralenti, nous entrons sur la piste d’une station-service. Elle est fermée. Toujours cette nuit noire, cette ambiance lourde. Encore, toujours cette sensation d’être ailleurs, d’être hors du temps, sur une autre planète. Je me sais en danger, mais je n’ai pas peur. Détachée, hors de mon corps.


Je suis poussée fermement vers le bâtiment. Aucune résistance de ma part. Il est peut-être temps de payer le dépannage. Le bruit caractéristique des néons, une lumière froide éclaire la pièce. J’ai entendu le bruit, bizarre. Des urinoirs, des lavabos, des cabines. Il me tient, me force à me tenir tranquille en me tordant le bras. Il pose un foulard sur mes yeux. En accentuant sa clé sur mon bras, il me force à me cambrer en arrière. Ses doigts fouillent ma bouche. Avec des mots crus, il me promet mille tortures, mille souffrances. Il m’assène quelques claques sur mon fessier rebondi, je tente d’échapper à la brûlure de ses claques en gesticulant. Il remonte ma jupe, je sens la fraîcheur de la pièce caresser mes fesses. Sa fessée reprend. Je pleurniche, gémis sous ses coups. Pourquoi suis-je si passive ? La punition continue, il masse, claque mes fesses. Il me parle, mais je n’entends aucun son. Comme un film sans bande-son. Ses doigts reprennent l’exploration de ma bouche, m’obligeant à m’accroupir devant lui. Toujours des ordres sans son, j’obéis. Ai-je fait une faute ? Je reçois quelques gifles. Mais pourquoi suis-je si apathique ?


Tirée par les cheveux, je suis amenée vers une cabine. Je me vois marcher à quatre pattes, le cul bien cambré. Cette impression d’être actrice et spectatrice. Je me retrouve assise sur une cuvette de toilette, le froid de la faïence sur mes fesses, sur sa demande je passe mes doigts sous le fragile voile de mon string. Mes chairs fragiles s’ouvrent, se plient à mes caresses. L’odeur de sa queue à peine perçue, que ma bouche est envahie. Provoquant hauts de cœur et râles de femelle forcée. Sa main dans mes cheveux m’impose un rythme, me force à le prendre jusqu’à la garde. Je suffoque, j’étouffe. Quand il me laisse reprendre mon souffle, il tapote sa queue sur ma langue sortie. De nouveau forcée à le reprendre. Pourquoi j’entends mes râles ?


Dès que je me dégage pour reprendre ma respiration, je suis giflée. Il me baise la bouche en imposant son rythme, en me maintenant la tête. Mes doigts sont trempés de mon plaisir. Je suis torturée par sa queue durant de longues minutes. Mais pourquoi je prends tant de plaisir à me faire violenter ?


Il change de style de punition si je me dégage trop tôt. Il me frappe un sein, j’ai la sensation qu’il me le malaxe plus qu’il le frappe. Je proteste, une gifle m’oblige à le reprendre en bouche. Je vois la scène comme si je flottais au-dessus de la cabine. Toujours cette sensation de subir sans souffrir comme si c’était quelqu’un d’autre. J’étouffe, je suffoque, je maîtrise avec difficultés mes haut-le-cœur. Sa main fouille ma bouche, je salive, bave. Ses doigts s’imposent à la place des miens. Rapidement, il déclenche mon plaisir en jouant avec mes chairs les plus sensibles. Je me vois crier la tête en arrière, mais toujours aucun son.


Il m’oblige à glisser au bord de la cuvette, à me renverser en arrière. Il me possède, m’envahit, me comble, je flotte, je me déconnecte. Il me laboure, me besogne. Il me prend profondément, se retire, m’envahit, me délaisse, me remplit. Il s’amuse à tapoter mon petit bouton avec sa queue avant de me reprendre de toute sa longueur.

Je me retrouve nue dans la pièce, lui les fesses appuyées à un urinoir, je suis à genoux la bouche toujours pleine de sa queue. Un flash, je suis penchée sur un urinoir, il me prend lentement, mais fermement. Le plaisir me surprend, il se retire, je pisse, Je suis immédiatement fessée. Je me vois crier, mais toujours aucun son. Je subis la punition en criant en essayant de m’y dérober. Cette brute me prend, je subis son assaut la tête dans l’urinoir. Pourquoi cette image ? Il s’arrête de me limer, seulement pour me fesser, je hurle quand il frappe mon sexe. Je deviens folle. J’ai l’impression que le plaisir m’amène dans un puits sans fond.


Où suis-je ? Je suis nue, penchée en avant comme pas possible, la tête à côté d’un urinoir, l’autre jambe posée sur un urinoir, je suis écartelée. Ma chatte, ma rondelle offerte à son regard. Offerte impudiquement. Deux doigts massent ma rondelle. Sa bouche, sa langue me fouille cette partie la plus intime de ma personne. La jambe qui me porte plie, il me maintient, me soutient. Sa caresse me procure un grand plaisir. Je frissonne, mon corps tremble, j’essaie d’échapper à l’emprise de sa bouche. Pourquoi je prends autant de plaisir à me faire bousculer ?


Le cou tordu, la joue contre le froid carrelage du mur, je m’agrippe à ce que je peux, la tuyauterie, la cuvette de l’urinoir. Ma jambe tendue appuyée sur l’urinoir me fait souffrir. Je suis écartelée. Position inconfortable, mais quel spectacle je donne à mon tortionnaire ! Une fessée donne le signal à ma sodomie. Il pousse, appuie sa queue sur ma rondelle. Tenant sa queue d’une main, l’autre pesant au creux de mes reins, il me pénètre. Il entre en moi facilement. Il s’amuse de moi. Me pénètre un peu, ressort. Me reprend, il me rend folle. Je suis enculée comme jamais. Qu’est-ce qui me prend à être ainsi considérée ? Mon esprit me demande de réagir, de ne pas subir. Mon corps demande de jouir encore plus de ce pieu qui me déchire. Toujours comme dans de la ouate, je m’enfonce dans un profond plaisir. Je le supplie d’arrêter, de continuer. Il me fouille le sexe d’un doigt autoritaire. Un jet de pisse s’échappe. Je me soulage sur ses doigts. Il prend son plaisir dans mon cul. Puissant. Toujours avachie, accrochée à la faïence de l’urinoir, le corps agité de soubresauts, je tente de reprendre mes esprits. Secouée par la jouissance. Il s’essuie le sexe dans mes cheveux.


Il décide de me ramener chez le garagiste. Et c’est en même temps, que le jour naissant pénètre dans ma chambre que cette question pénètre mon esprit : pourquoi ce rêve au fantasme si masculin.