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Temps de lecture estimé : 14 mn
19/07/19
Résumé:  La révélation du « cadeau » pour demain a été surprenante. En attendant le grand jour, il passe un samedi très intense, car Pola se lâche.
Critères:  fh fépilée campagne amour intermast anulingus pénétratio fsodo hdanus -couple
Auteur : BVT      Envoi mini-message

Série : Cinquante ans

Chapitre 05 / 08
Le jour d'avant

Résumé :


Après « Un réveil inattendu » et « Un moment très intime » le début de week-end de reprise en main a continué pour nos deux quinquagénaires avec le « Jeu des souvenirs ». Luc gagnera le jeu par roublardise. Ce qui amènera Pola à lui faire « L’annonce inattendue » pour le dimanche.




************




Après la révélation que m’a faite ma femme hier, j’ai bien eu du mal à trouver le sommeil. Des centaines de questions se bousculent dans ma tête. Il y a longtemps qu’elle réfléchit à cette journée de demain puisqu’il lui a fallu trouver les idées pour mettre en place son projet. Elle a organisé le jeu des vêtements et même fait des achats pour nous renvoyer dans nos souvenirs, mais surtout pour progressivement me préparer à son « cadeau ».

Jusqu’où est-elle prête à aller ?

Est-ce que je vais être capable de supporter qu’une autre personne, serait-ce une femme, la caresse, l’embrasse, la lèche et peut-être même la fasse jouir ?

Sera-t-elle capable qu’une autre femme me touche, acceptera-t-elle que je touche cette femme ?


Voilà ce qui bouillonne dans mon cerveau quand soudain je fais un bond. Il est presque 9 h et j’ai une énorme érection qui me fait mal. Je me lève, passe par le coin sanitaire de notre chambre. Ouf, ça fait du bien, je me rafraîchis rapidement.


J’allais sortir de la chambre, mais je vois son corps dans le lit grâce à la lumière qui passe à travers les volets. Cette vision m’attire et me retient. J’en veux. Elle est sur le dos, les bras derrière la tête. Le haut de son corps est à l’air jusqu’au nombril et aussi une jambe, du pied jusqu’au haut de la cuisse, dépasse de la couette. En y regardant de plus près, ses yeux me fixent joyeusement. J’ai le droit à un magnifique sourire coquin qui ne fait qu’amplifier mon envie. Pas encore complètement revenu à l’état repos, mon organe masculin repart de plus belle son ascension, il est maintenant à l’équerre directement pointé vers elle. Elle s’en amuse. La couette est repoussée au bout du lit d’un geste lent et sensuel du pied. Son corps se retrouve totalement découvert, une jambe droite et l’autre pliée sur le côté, les cuisses sont ouvertes, m’offrant à son tour son sexe.


Je me déplace au bout du lit, me penche et embrasse ses pieds, puis je remonte frottant mon visage et mes lèves sur sa peau en déposant ici et là quelques baisers plus ou moins baveux. Elle déplace ses jambes, les écarte encore plus pour me faciliter la tâche au mieux. J’arrive au niveau de son sexe, mais j’évite tout contact avec les zones les plus sensibles, je me contente d’inspirer fort ses odeurs que j’affectionne et d’expirer plusieurs fois de l’air chaud sorti de mes poumons juste sur ses lèvres.

Je continue les baisers de mes lèvres et les caresses de mon visage sur l’ensemble de son corps jusqu’à me retrouver totalement allongé sur son corps, mon sexe sur le sien.



Après une nouvelle descente suivie d’une lente remontée, je l’invite à se mettre sur le ventre et recommence le même traitement sur l’autre face de son corps, mais de haut vers le bas. Après être passé partout jusqu’aux pieds, je me concentre sur son cul. J’adore la zone juste en dessous de ses globes fessiers, mais je passe aussi beaucoup de temps juste sur leur sommet, car c’est ce qu’elle préfère. Elle soulève ses fesses en cambrant fortement les reins, jambes fortement écartées en appui sur les genoux. J’en profite pour reprendre mes baisers.



C’est très rare quand elle exprime verbalement ses envies, mais je me réjouis de cette demande que je prends pour un ordre. Je m’allonge entre ses jambes le visage au meilleur niveau possible, je passe mes mains sous son ventre pour l’aider à garder la position. Je déploie ma langue vers ses lèvres sexuelles, le nez planté dans son anus. Après avoir léché longuement son sexe et surtout son clitoris, je plante ma langue le plus profondément possible dans son puits et applique un mouvement de va-et-vient de mon appendice buccal.


Avec mes pouces, j’emprisonne son clitoris dans ses lèvres protectrices et lui assène une suite de pressions et de relâchements réguliers. Le traitement appliqué sur les deux zones provoque un début de jouissance que je m’efforce de faire grandir au maximum. Son bassin entre en vibrations et je reçois sur la langue une giclée de sa cyprine. Elle s’écroule sur le matelas, la respiration est rapide. Je l’incite à remonter un genou sur le côté pour me faciliter l’accès et ouvrir en grand son sexe que je m’applique à nettoyer soigneusement.



Et elle se cambre à nouveau m’offrant tous ces secrets. Ce n’est pas la première fois que je vais faire ce geste sur elle, mais c’est la première fois qu’elle l’exprime de cette façon. Très occasionnellement, elle profite d’un soixante-neuf pour venir poser son anus sur ma langue quand l’envie la tiraille et devient trop forte.


N’ayant aucun doute sur son hygiène, ma langue remonte entre ses fesses. D’une main, elle écarte l’une d’elles pour s’offrir au maximum. Je m’applique, je suis au service de ses sensations. Je remonte de chaque côté de l’anus à plusieurs reprises, puis j’attaque le puits fripé. Pour la maintenir disponible, je plante un pouce dans son sexe détrempé. Elle me laisse faire très longtemps. Je sais qu’elle prend beaucoup de plaisir, car son cul est pris de mouvements d’avant en arrière qui accompagnent les miens. Je suis au bord des crampes quand elle se tend me rendant inaccessible la zone que j’étais en train de dévorer. Sa jouissance est profonde et longue. Il faut la laisser voyager dans son plaisir.

Je profite de son pseudo coma, pour aller me rincer le visage. À mon retour elle s’est remise dans la position de départ, recouverte de la couette, elle me tend les bras.



On se love encore quelque temps puis la séance doit se terminer, la faim nous tiraille. La journée est partie. Petit déjeuner, rangement, habillage, balade, jardinage… Ce n’est que vers treize heures qu’on se met à table.

À la fin du repas, j’ose lancer :



Alors, je me suis dit que j’allais t’en parler, mais comme l’ambiance était devenue plutôt moribonde entre nous, je n’ai jamais réussi à trouver le bon moment. C’est pour cela que j’ai décidé de provoquer une rencontre pour tout mettre à plat. Ton anniversaire m’a semblé être une bonne occasion, comme un cadeau pour toi.



La discussion continue sur les préparatifs. Elle m’explique qu’elle n’a jamais réussi à m’en parler et que plus l’ambiance entre nous se dégradait, moins elle arrivait à trouver une solution. Jusqu’au jour où je lui ai demandé si elle ne voulait pas faire un effort vestimentaire pour aller chez des amis, au moins pour me faire plaisir. Cette demande fut le déclic. À partir de là, elle a mis en place son stratagème avec les vêtements, le kimono, le jeu des tenues afin de pouvoir me parler de l’invitation surprise. Mais elle m’avouera qu’elle n’a rien programmé de plus pour demain.



La phrase fut difficile à sortir, j’essaie d’intervenir, mais elle m’en empêche d’un signe de la main.



Après un long silence, ponctué de profondes respirations, elle reprend son explication

:



Il ne pensait qu’à me faire un gosse. Je n’étais pas une femme à ses yeux, mais la mère de ses futurs enfants. Les rapports entre nous respectaient la charte de monsieur le curé et il n’a jamais voulu d’autre chose que ça. Une fois j’ai voulu prendre l’initiative en le caressant. Quand ma main est descendue vers son sexe, il m’a arrêtée brutalement me disant qu’il était hors de question que les mains qui vont s’occuper de ses enfants touchent son sexe. Je ne te parle même pas de la bouche. J’avais le droit au devoir conjugal une fois ou deux par mois. J’ai appris plus tard qu’il avait par contre moins de pudeur avec d’autres femmes.


J’ai donc voulu me venger. Par deux fois, je l’ai trompé avec un homme différent, mais à chaque fois c’était à la va-vite, dans les cartons d’une entreprise.

Je ne voulais plus entendre parler d’hommes jusqu’à ton arrivée. Je ne sais pas ce qui m’a poussée, mais j’ai voulu une dernière fois me donner une chance de trouver le bonheur. Quand tes mains se sont posées sur moi, j’ai ressenti des choses inconnues pour moi, quand ta langue s’est posée sur mon sexe, j’ai tout de suite compris que tu étais celui que je cherchais. Quand tu m’as pénétrée, je te voulais encore et encore…


Tu connais la suite. Donc, même si j’ai connu d’autres hommes avant toi, ce n’était que superficiel. C’est avec toi que j’ai connu l’amour et le sexe entre personnes amoureuses. À part me faire baiser vite fait, je ne connaissais rien, je n’avais jamais touché une queue avant la tienne, jamais sucé… Tu m’as tout fait découvrir…



Elle se lève, me tourne face à elle, toujours assit sur ma chaise et me pose la tête sur ses seins en me caressant le crâne. Mes mains voltigent rapidement sur ces fesses. Malheureusement elle est en pantalon, l’accès est très limité, mais je profite au maximum de la situation. Il s’en suit un énorme baiser plein d’émotions, mes mains courent sur ses seins, mais encore une fois, ses vêtements me gênent.

Elle se recule d’un pas et commence un déshabillage express avec un sourire magnifique.



Je m’exécute et on se retrouve tous les deux dans la même tenue. Elle revient vers moi, m’oblige à reprendre ma place sur la chaise et s’assoit sur moi de face, les jambes écartées de chaque côté des miennes mettant un bras derrière ma tête et ses lèvres sur les miennes. Elle utilise son autre main pour placer mon sexe entre nous deux. Mon gland est coincé entre mon pubis et son clitoris. Je plaque mes mains sous ses fesses et j’écarte un peu mes jambes augmentant l’ouverture des siennes. Elle recroise ses mains derrière ma tête et commence une douce pression de son bassin sur mon sexe, puis un relâchement. Elle me fait grossir rapidement en s’échauffant en même temps. Je la laisse faire de longues minutes puis je passe une de mes mains de son cul vers son sexe que je trouve, ouvert et très humide.


À cinquante ans, un sexe de femme très humide prouve une très forte excitation. Je tente d’aller le plus loin possible, mais mon bras a ses limites. Je récupère un peu de ses fluides que j’étale sur son anus. Elle continue ses mouvements, je continue mes caresses. J’insiste de plus en plus juste sur son trou, mais je ne la pénètre pas, je sais qu’elle n’est pas friande de cette pénétration sauf dans des cas particuliers. Elle se cambre m’offrant sa poitrine que j’honore au mieux. Ses pointes de seins ne résistent pas à ma bouche, ils se gonflent de sang et s’érigent fièrement.


Elle remonte encore un peu et place délicatement mon gland à l’endroit exact où elle le veut, puis descend tout doucement en me provoquant du regard. Une fois totalement empalée, elle reprend ses mouvements de bassin. Je continue le traitement infligé à ses seins et mes mains reprennent leurs voyages entre son sexe et son cul, j’adore cette petite bande de peau entre les deux orifices. Je finis par laisser un doigt en appui sur son trou fripé bien que la position tende bien la peau. Je sens que ses muscles sont contractés, mais j’ai aussi l’impression qu’ils se relâchent progressivement.


Elle vient plaquer une main sur la mienne qui taquine son cul. Je me dis qu’elle en a assez de ces caresses, et qu’elle va m’arrêter. Mais, non, elle accentue les mouvements de son corps et appuie sur mon doigt inquisiteur. Son relâchement est total et la première phalange de mon doigt franchit la ligne rouge. De sa main, elle me fait comprendre ce qu’elle veut. Quand elle enfonce ma queue au plus profond de son vagin, elle veut que mon doigt rentre légèrement, quand elle se relâche elle veut que la pression de mon doigt s’arrête. Une fois bien synchronisés, elle lâche ma main, s’accroche de nouveau à mes épaules et se fait jouir en quelques minutes. Son corps se crispe, les mouvements cessent, elle s’effondre sur moi. Revenant à elle, après quelques minutes, elle se redresse.



Elle se lève, regarde mon sexe luisant de ses sécrétions, me sourit tout en se mettant à genoux. Elle nettoie ma queue avec énormément d’applications. Étonnamment, elle a refusé une fois de lécher mes doigts qui sortaient de son vagin, autant elle me dévore goulûment la bouche qui vient de la lécher ou elle embouche facilement mon engin quand il sort d’elle sans avoir éjaculé. Paradoxe féminin, qu’il ne faut surtout pas chercher à comprendre et encore moins à contredire.



La journée reprend, égaillée par des petits attouchements réguliers entre nous. Nous sommes maintenant en phase pour demain et c’est complètement détendu que j’attends la suite de l’aventure.


Après le repas du soir, je vais prendre ma douche. Pola me rejoint très rapidement. En se glissant sous l’eau, un grand jeu de mains et de lèvres commence. On se lave mutuellement, elle vient dans mon dos, traînant ses mains pleines de mousse dans tous les recoins de mon corps, puis c’est à mon tour de me retrouver derrière elle. Je la prends dans mes bras et nous commençons lentement un jeu de caresses. J’empoigne ses seins et les maltraite avec grand soin, pendant qu’elle passe les mains derrière ses fesses pour jouer avec ma queue et les boules qui l’accompagnent. Quand elle est satisfaite de ma raideur, elle frotte mon gland contre sa raie des fesses.


Mes mains descendent sur son sexe, l’une un peu plus basse que l’autre. Une paire de doigts jouent avec son clitoris et une autre avec son orifice vaginal. Je ne la lâcherai plus jusqu’à sa jouissance. Je profite de ce moment d’agonie pour la déplacer autoritairement dans un angle de la douche où se trouve un tabouret en bois. Je lui fais mettre un pied dessus et toujours dans son dos, je glisse mon sexe contre le sien. Elle se cambre pour m’offrir encore plus de facilité dans ma manœuvre. Je la tiens bien par les hanches, elle plaque mon gland sur son clitoris. Elle augmente l’amplitude de ses mouvements et finit par planter mon sexe dans le sien. La pénétration est accompagnée d’un fort gémissement libérateur. Je prends les choses en main et lui inflige des bons coups de bite, profonds et puissants auxquels elle répond par des petits cris aigus. Je veux la faire jouir, mais elle me résiste, pour réussir mon épreuve, une main écrase un de ses tétons et de l’autre son clitoris. Le mouvement de mes doigts combiné avec celui de mon engin a raison de sa résistance. Elle entre en vibration et jouit bruyamment les mains posées sur les murs de la douche.


Je profite de ce retour au calme pour sortir de son antre et frotter mon gland entre ses fesses afin de garder mon érection au plus fort. Elle change ses appuis sur les murs de façon à libérer une de ses mains qu’elle utilise pour écarter ses fesses et m’ouvrir son cul. Je coupe l’eau de la douche et mets du savon sur mon sexe. Je positionne mon gland sur son œillet et applique une pression pour lui faire comprendre mon intention.

J’attends. Cela ne durera pas longtemps, elle attrape au mieux ma hanche et m’attire pour que je m’avance en même temps elle se cambre pour se pénétrer. Les muscles s’écartent et me laissent rentrer. J’y vais tout doucement, très lentement parce que c’est ce qu’elle aime et je suis obligé de me contrôler pour ne pas éjaculer tout de suite.


J’alterne entre poussées et relâchements. Après un long moment, je ne peux pas rentrer plus, mon pubis est contre ses fesses. Je suis ravi de la sentir totalement relaxée, elle profite de ce moment particulier. Il est temps de ressortir un peu et de revenir.

Mes mouvements sont lents, sans brutalité, amples. Mon sexe grossit encore et encore. Il se retrouve donc de plus en plus serré. Ma jouissance arrive, j’inonde son intérieur de mon sperme gras et épais. Je sais qu’elle n’a pas joui, elle ne jouit jamais quand je la sodomise, mais je sens qu’elle a pris beaucoup de plaisir à m’offrir son cul. C’est plus cérébral que physique, c’est pour cela que je dois la faire jouir avant de l’enculer, autrement la manœuvre est totalement impossible, elle n’arrive pas à se relâcher.


Il est temps pour moi de sortir et de laisser naturellement ses chairs reprendre leurs formes originales. J’ouvre l’eau, elle se tourne pour me faire face et m’embrasse avec beaucoup d’amour. Nous reprenons notre lavage réciproque. Après le séchage des corps et le lavage des dents, nous nous retrouvons nus dans le lit, allongés sur le même côté, de dos contre moi, ma queue dans sa raie. La fameuse position de la petite cuillère que nous aimons particulièrement. Presque impossible de bien s’endormir rapidement sans ça.



À suivre !