n° 19100 | Fiche technique | 51615 caractères | 51615Temps de lecture estimé : 29 mn | 26/07/19 corrigé 06/06/21 |
Résumé: Debout et un peu gauche, la femme, qui me fait face, n'est pas d'une beauté renversante, mais est très agréable à contempler. La bonne quarantaine, Delphine est vêtue en noir du cou à la pointe des pieds. | ||||
Critères: fh fhh hplusag jeunes inconnu campagne caférestau cinéma voiture hdomine exhib fellation pénétratio fsodo sm -fsoumisah | ||||
Auteur : Patrik (Carpe Diem Diemque) Envoi mini-message |
Ce récit nage dans les eaux troubles de la Domination/soumission, domaine qui possède ses codes, ses rituels, sa façon d’être.
On aime ou on n’aime pas. Certaines personnes aiment, puisque parfois elles me réclament des textes ayant cette teneur.
Nota : l’histoire se déroule en 1978.
Bonne lecture :)
Debout et un peu gauche, la femme, qui me fait face, n’est pas d’une beauté renversante, mais est très agréable à contempler. La bonne quarantaine, Delphine est vêtue en noir du cou à la pointe des pieds, avec une robe d’été sombre, au décolleté en V barré par une petite chaînette en or, lui dégageant bien les bras et l’arrondi des épaules, des bas de la même couleur ainsi que de chaussures assorties à petits talons. Un beau petit lot, quand on y réfléchit bien.
Delphine possède un petit air de Jaclyn Smith (avec quinze-vingt ans de plus), l’une des drôles de Dames que diffuse Antenne 2 depuis le début de l’année. À ce propos, il faudra d’ailleurs que j’aille récupérer les cassettes VHS qu’a enregistrées Jean-Pierre qui est totalement fan et qui ne loupe aucun épisode.
Bien assis dans mon fauteuil directorial, je m’adresse à elle :
J’insiste, je préfère que les choses soient claires et nettes des deux côtés :
Elle obéit pour venir se figer devant mon siège. Je soulève le bas de sa robe pour y découvrir un pubis totalement lisse :
Je constate que la dame est effectivement docile. L’est-elle par nature, ou l’est-elle parce que son mari s’est mis dans une situation infernale, et qu’il faut bien s’en sortir ? Pour ma part, si j’étais une femme et que mon homme m’avait fait un coup pareil, je te l’aurais planté sur place et j’aurais demandé illico le divorce à ses torts. Mais tout le monde n’est pas pareil, et raisonne différemment. De plus, certaines femmes sont réellement soumises par nature. Je ne vais pas me plaindre puisque j’ai pour aujourd’hui un beau jouet sous la main.
J’ai demandé à Delphine qu’elle s’épile la chatte, car il y a une signification non négligeable à un pubis lisse. Sorti, il y a deux-trois ans, le film Histoire d’O a commencé à populariser une certaine vision des choses, vision que je ne déteste pas.
Nous prenons l’ascenseur, direction de second sous-sol. Quelques instants plus tard, je désigne un petit cabriolet rouge vif :
Je lui ouvre la portière :
Je vois bien que Delphine a un sourire un peu crispé, mais ce n’est pas moi qui lui ai mis le couteau sous la gorge pour qu’elle passe la journée avec moi. Si elle doit s’en prendre à quelqu’un, c’est à son mari. Pour ma part, je ne pensais pas qu’il aurait dit amen à mes diktats sans aucune résistance, et que sa femme aurait fait de même.
Mais je ne vais me plaindre, n’est-ce pas ?
Avant de démarrer, je regarde ma passagère, elle a bien retroussé sa robe comme demandé et offre à ma vue toute la partie sous le nombril de son anatomie. Malgré les années, elle a de beaux restes et même plus. J’aime le contraste entre la chair nue et blanche de ses cuisses et le noir des bas. Ça accentue le côté pute des dames. D’ailleurs, depuis que je suis ado, j’ai toujours eu une inclination pour les femmes qui avaient un peu mauvais genre, on a ainsi moins de remords à leur faire subir des tas de cochonneries !
Bonne répartie, en effet. Je le concède :
Elle m’adresse un pauvre sourire :
J’ouvre la boîte à gants, et j’en sors une paire de lunettes de soleil :
Elle les met, ça lui va bien ; on dirait presque une starlette un peu dépassée par l’âge. Je démarre la voiture, et sans attendre la sortie, je plonge un doigt baladeur dans une fente déjà un peu humide. Ce qui présage certaines facilités par la suite. Peut-être que cette femme a un tempérament un peu soumis, peut-être aime-t-elle être dominée, d’être dans des situations incongrues…
Comme je reste avec en sa compagnie jusqu’au soir, je me ferai d’elle une bonne idée d’ici là.
Comme mon entreprise n’est pas éloignée de l’autoroute, nous y sommes très vite. C’est très agréable de conduire d’une main, cheveux au vent, et de taquiner un clitoris humide de l’autre. Ma passagère ne dit rien, elle se contente de subir. Néanmoins, je crois comprendre que, finalement, ça ne la révulse pas.
Nous doublons un premier camion, je reste volontairement à la même hauteur quelques secondes pour ensuite le dépasser. Un coup de klaxon me confirme que l’objectif a été atteint. Ma passagère est un peu rouge, elle a compris que le routier avait bien tout vu.
Je recommence mon petit manège avec un nouveau camion : même réaction, et même rougissement de ma passagère. Je suis assez content de moi, je ne compte pas m’arrêter en si bon chemin. Je caresse sa cuisse, je replonge de temps à autre dans une délicate fente qui me semble de plus en plus humide.
Les minutes suivantes, j’arrive à exhiber l’entrecuisse de ma passagère neuf ou dix fois, je ne sais plus bien. C’est un peu puéril, mais je suis content de moi. Ma passagère rompt le silence :
Je désigne un petit boîtier situé sous l’autoradio :
J’allume la CB, et je tombe tout de suite sur une conversation qui nous concerne :
Ça m’amuse de savoir que je suis un gus qui exhibe sa salope. Nous doublons un camion qui nous klaxonne comme les autres. Je fais durer un peu le plaisir en restant quelques secondes à sa hauteur, puis je le dépasse. C’est alors que j’ai une petite idée :
J’extirpe mon sexe bien raide en dehors de la braguette de mon pantalon. Elle m’adresse un regard un peu blasé :
Et sa main capture ma verge toute chaude et commence un lent mouvement de masturbation. Durant ce temps, mon doigt s’excite son petit bouton. Échange de bons procédés… C’est dans cette posture que je dépasse à nouveau trois camions, avec toujours le même résultat positif.
Je ralentis un peu, j’ai envie d’autre chose. Alors j’annonce la couleur :
Je fais ainsi, elle s’allonge, fesses à l’air, puis elle commence par me lécher la tige et le gland. Après cette première approche, elle enfourne une bonne partie de ma verge afin de me sucer méthodiquement. Je dois reconnaître que c’est bon d’avoir sa bite au chaud de la sorte. Mais il ne convient pas de perdre de vue le but de notre balade.
Je double à nouveau un camion, je suis accueilli par deux coups de klaxon bien sentis. Je suis fier de moi. Je vois au lointain un autre camion, je le double lui aussi, mais aucune réaction. Ce n’est pas grave. Ou bien, le chauffeur n’a rien vu, ou bien il s’en fiche.
Sur la CB, on relate nos exploits, et on semble énormément apprécier les fesses à l’air de ma passagère. Sans compter que beaucoup d’hommes aimeraient bien se faire sucer tandis qu’ils sont au volant. Mais je parie que la plupart des routiers un peu âgés ont vécu ça, au moins une fois dans leur vie professionnelle.
Plus que quelques kilomètres avant le péage. Il va falloir songer à sortir de l’autoroute afin de faire demi-tour. Mais pour l’instant, je me laisse sucer, c’est si bon. Mais si Delphine continue, je vais finir par éjaculer, et je ne pense pas que ce soit très indiqué quand on conduit !
D’après le panneau, la sortie est dans deux kilomètres. Je sais qu’il y a un parking sur le côté, et que celui-ci est assez profond, avec souvent des coins tranquilles au fond. Je vais faire comme ça, ce sera une bonne occasion de mieux profiter de Delphine. Quelques instants plus tard, je me gare à l’endroit auquel je pensais. Ma suceuse lève la tête :
Elle obéit, sa langue se faisant encore plus câline. Je me dis qu’elle est dommage que la CB ne puisse pas diffuser des images. Peut-être que ça viendra un jour, qui sait… Il ne me faut pas longtemps pour que la sève monte irrésistiblement en moi, et peu après, un premier jet fuse dans la bouche chaude de ma pipeuse. Avant de me laisser totalement aller, j’ai le temps de lancer :
Puis, je sombre dans une moite béatitude, une douce brise caressant mon visage.
Après avoir récupéré de mon extase, je me dirige vers un restaurant campagnard, situé pas très loin de la sortie d’autoroute. Durant le court trajet, je félicite ma passagère :
J’éclate de rire :
Quelques minutes plus tard, je m’arrête le long d’une ancienne ferme récemment rénovée, dont l’enseigne est très visible. Je demande à ma passagère :
Elle me sourit :
Nous sommes à présent installés dans un coin de la vaste terrasse qui donne sur la verte campagne avoisinante. La commande vient juste d’être prise par un jeune serveur.
Puis la conversation roule sur divers sujets, presque comme si nous étions un couple parmi tant d’autres, mis à part qu’elle me dit « vous » et que je lui dis « tu ». Peut-être que nous pourrions passer pour une secrétaire, peut-être de direction, et son supérieur hiérarchique.
Quand il vient nous apporter la boisson et les entrées, je constate que le jeune serveur semble être attiré par ma voisine de table. Il a quelques difficultés à détacher son regard. Une fois qu’il a le dos tourné, je demande à Delphine :
Delphine ne répond rien, préférant boire une gorgée de son verre. Moi-même, j’avoue que dans mon adolescence, j’ai eu le béguin pour une femme mature, dont j’aurais aimé qu’elle fût mon initiatrice. Mais ça ne s’est pas passé ainsi, et je le regrette bien. Quoique… si j’avais été initié de la sorte, peut-être que la plupart des jeunes-filles m’auraient semblé bien fades en comparaison.
Elle s’exécute. Quelques secondes plus tard, j’ai le plaisir de zieuter une belle naissance de seins, ainsi que deux beaux arrondis latéraux. Mais ce n’est pas encore assez, alors j’ordonne :
Obéissante, elle s’emploie à me satisfaire, et l’instant d’après, en effet, son décolleté est encore plus plongeant, ses bandes de tissu sont maintenant ténues, ce qui révèlent une quantité non négligeable de chair fraîche fort appétissante !
C’est alors qu’arrive le serveur. À sa mine, je remarque qu’il est subjugué ; il y a de quoi, je le comprends. Profites-en mon gars, c’est un petit cadeau issu de ma propre adolescence. Tu auras de quoi te souvenir plus tard !
Quand il repart, Delphine me questionne :
Puis nous continuons à manger. Avec un certain amusement, je constate que le serveur vient souvent nous demander si tout va bien. Vas-y, mon petit, rince-toi l’œil ! Alors qu’il s’éloigne, je fais remarquer à ma voisine :
Elle se contente de sourire. Il me vient à l’esprit de voir Delphine être baisée bestialement sur la table, par ce jeune étalon, là sous mes yeux. Mais je ne pense pas que ce soit facile à concrétiser, surtout dans un restau où il y a d’autres clients, même si nous sommes dans un coin. Dommage, mon jeunot, t’as loupé quelque chose !
Mais je peux t’offrir un petit cadeau de consolation…
Après avoir cogité un peu pour bien mettre mon idée en place, tout en vérifiant mentalement sa faisabilité, je me penche vers ma voisine :
Je lui murmure mes instructions qui sont fort courtes. Celles-ci finies, elle s’en étonne avec un petit sourire amusé :
Peu après, nous passons commande des desserts. Une fois de plus, le jeune serveur n’en peut plus de contempler le décolleté torride de ma compagne de jeu. Quelques minutes plus tard, il revient avec nos deux desserts. Delphine lui fait remarquer :
Quand il revient avec le verre d’eau, une noisette de chantilly est lovée en plein beau milieu du décolleté de ma voisine. Accomplissant le scénario que je lui ai soufflé, elle minaude :
Le garçon rougit :
Totalement hébété, il rougit encore plus, bafouillant :
Un brin paternaliste, j’interviens :
C’est en tremblant qu’il s’approche de Delphine, il jette un furtif coup d’œil pour vérifier si personne d’autre ne l’observe. Il est vrai qu’il risque sa place, même si nous sommes d’accord. D’une voix peu assurée, il demande :
Alors, du bout de la langue, il commence à lécher la noisette de chantilly. Je constate avec satisfaction qu’il s’applique et qu’il fait durer le plaisir. Puis une bonne minute plus tard, il relève la tête pour s’adresse à Delphine qui lui sourit :
Elle laisse choir à nouveau de la chantilly dans son décolleté, déposant un petit monticule entre ses seins, tandis qu’un peu de crème dégouline encore plus bas pour se perdre dans les méandres de son décolleté.
Aussitôt, le jeune serveur se fait un plaisir de lécher ce qu’on lui offre. En le voyant à l’œuvre, je suis un peu songeur, j’aurais bien aimé faire ce genre de chose à son âge. Je pense qu’il se souviendra longtemps de cette journée, peut-être la seule et unique de sa vie, qui sait. À moins qu’il ne sache déclencher par la suite les bonnes occasions. Il suffit souvent d’un petit déclic pour aller loin…
En parlant de déclic, je crois que ce jeune homme vient de l’avoir, puisqu’il s’enhardit en saisissant posément un sein dans sa main, tandis que ses lèvres descendent plus bas pour nettoyer la longue traînée blanchâtre. Il est en train de peloter mon jouet favori, tripotant un peu maladroitement la masse blanche qu’il possède entre ses doigts rapaces. Peut-être serait-il capable de baiser ma compagne de jeu sur la table, comme je le fantasmais tout à l’heure.
En effet, le gérant du restaurant est planté au milieu de la terrasse, semblant chercher quelque chose ou quelqu’un. Avec regret, le serveur ôté son nez du décolleté de Delphine pour venir parler à l’homme qui le cherchait. Notre petit manège a tourné court, mais ce fut néanmoins une belle petite réussite dans son genre.
Je me demande si cette femme n’a pas déjà accompli ce genre de choses, ou bien si c’est une disposition naturelle chez elle. En tout cas, je remercie le ciel que son andouille de mari soit si con, ce qui me permet de m’amuser avec sa femme…
En effet, le gérant s’approche de nous. Nous le félicitons pour le repas, et le remercions pour la diligence de son serveur. Il semble soulagé :
En nous quittant, il ne peut s’empêcher de glisser un regard appuyé dans le décolleté de ma voisine, échancrure qui est pourtant redevenue bien sage…
Après quinze minutes de route, je dirige à présent la voiture sur un petit chemin de campagne que je connais plutôt bien. Quelques minutes plus tard, je m’arrête dans l’herbe. Je demande à ma passagère de me suivre. Nous nous engageons dans un petit sentier qui débouche peu après au sommet verdoyant d’une petite colline qui domine la plaine locale.
Contemplant le paysage avoisinant, Delphine dit :
Elle me regarde en souriant, attendant la suite. Celle-ci arrive :
Abandonnant la vue du paysage, je tourne la tête vers ma voisine, je lui souris :
Quelques secondes plus tard, je suis en elle, en train de la ramoner comme il se doit, mes mains rivées sur ses hanches. La levrette est une position qui a du bon. Cette pratique a un côté domination très excitant, sans parler du fait que je peux plonger allègrement dans ma soumise avec délectation ! J’adore la prendre ainsi, telle une petite chienne, livrée à mon seul plaisir.
Il ne me faut pas longtemps pour que je cède, j’en avais trop envie ! Trop envie de la pénétrer, de la remplir, de la faire déborder de partout. Normalement, je suis moins macho avec une femme, mais là, j’ai franchement envie de la posséder, de la traiter en objet sexuel. Et tant pis pour le respect naturellement dû aux dames, même de petite vertu…
Quelques instants plus tard, toujours à quatre pattes, mon foutre lui dégoulinant à présent le long des cuisses, elle me suce, afin de goûter au mélange de mon sperme et de sa cyprine.
Elle ne répond rien. Je me laisse sucer, c’est si bon. Mais je souhaite ne pas m’arrêter en si bon chemin, j’ai autre chose en tête et comme j’ai une soumise sous la main, autant en profiter.
Je la contourne pour faire face à ses fesses. Je plonge deux doigts dans sa chatte détrempée puis je me barbouille copieusement le gland et ensuite la verge de ce lubrifiant naturel. Après avoir recueilli à nouveau ce mélange blanchâtre, j’en dépose contre sa petite cuvette, lui expliquant la suite des événements. Elle ne proteste pas, elle écarte simplement un peu plus les jambes.
Encadrant ses hanches de mes jambes, je dirige mon sexe bien raide vers son entrée des artistes. Je cogne contre sa cuvette, mon gland épouse bien l’arrondi, puis je me décide à forcer le passage. Elle réprime un petit cri, ma tige disparaît déjà à moitié sous la forte poussée. Son cul est aussi bon que sa chatte, j’apprécie !
Je plonge en elle avec une certaine facilité, comme si c’était un tunnel fort fréquenté. Je m’attendais à un peu plus de friction et de résistance. Intrigué, je lui demande :
Ah bon ? Je pensais que cette entrée était élastique, et que tout revenait à sa place ensuite. Mais peut-être que ça dépend des anatomies, et comme je ne suis pas médecin, je ne peux pas dire si c’est plausible ou pas. Mais quelque part, ça ne m’étonnerait pas.
Toujours est-il que je me délecte de la pistonner. Et même si j’ai déjà éjaculé plein de fois, je sens que je ne vais pas tarder à mettre le couvert ! Je me souviens de certaines de mes soirées d’étudiant, le foutre coulait à flots, et je n’étais pas le dernier dans ce genre d’exploit. Mais on évitait de pénétrer dans la chatte les gentilles étudiantes qui se prêtaient de bonne grâce à nos performances liquides…
Je me demande si Delphine n’aurait pas participé à ce genre de soirée. Autant le lui demander :
Il aurait été amusant d’avoir eu le plaisir de la baiser, il y a vingt ans environ. En attendant de me vider, je profite éhontément de ce cul qui s’offre à moi, et je sens que j’arrive doucement, mais sûrement au bout de ma résistance. Pourquoi diable un homme ne peut pas résister longtemps quand il est dans une femme ? Parfois, en moins d’une minute, nous les hommes, on lâche la purée, alors qu’il faut des plombes et des plombes à une femme pour jouir !
La nature est mal faite !
Une irrésistible vague monte en moi, et l’instant d’après, j’ai l’immense plaisir de me vider dans ma soumise qui accueille docilement mon sperme en elle ! Que ça fait du bien de la remplir ! La nature est peut-être mal faite, mais elle n’a pas oublié de créer le plaisir de jouir comme un fou quand on éjacule ! C’est trop, trop, bon !
Après m’être reposé de toutes ces turpitudes, j’ai à présent un autre fantasme à concrétiser. Je l’annonce à Delphine :
Bonne question en effet. Depuis les événements de « Mai soixante-huit », en plus des films de karaté, un nouveau type de ciné a déferlé dans nos belles contrées, à la grande fureur des bigots et autres amateurs du « bon vieux temps » d’avant. Mais la marche du temps revient rarement sur ses pas, du moins, je le souhaite. Ma jeunesse a quand même été bercée dans un climat d’interdits et d’hypocrisies. Il ne fallait pas le dire, pas le faire, ou du moins, pas se faire pincer. Mais ça ajoutait du sel à l’aventure…
Bien sûr, parfois, il se passe bien des choses dans un ciné porno, d’ailleurs, souvent le spectacle est dans la salle et pas sur l’écran… Plusieurs fois, on m’a relaté que, parfois, il arrivait que la séance dégénère en partouze. Mais, à bien y réfléchir, c’est plus pervers dans un ciné classique, puisqu’on ne s’y attend pas.
Je déroule mon scénario :
Le temps de sortir du chemin de campagne et de revenir vers la ville, nous arrivons au cinéma. Je trouve tout de suite une place pour me garer. Mon choix est vite fait parmi les films, je prends la projection dont je me doute qu’il n’y aura pas foule dans les rangées, un ancien film d’Ingmar Bergman, Sourires d’une nuit d’été, dont je me souviens vaguement que la morale est très hédoniste, le tout conté en costumes d’époque.
Quand j’arrive dans la petite salle de projection, on ne peut pas dire qu’il y a foule ! Delphine et moi représentons un tiers du public, c’est dire ! Puis quand le film commence quelques minutes plus tard, elle et moi comptons pour le quart des spectateurs. Pas très rentable, à moins que le propriétaire des lieux soit un cinéphile à l’ancienne.
Sitôt la salle plongée dans le noir, Delphine se met à genoux et commence une longue sucette entre mes jambes largement écartées. Alors que je sens que je ne vais plus résister longtemps, j’ordonne :
Trop occupée par mon sexe en bouche, elle ne répond rien, mais s’exécute aussitôt, révélant ses mignons lolos. Quelques instants plus tard, j’éjacule une première fois. J’ai la grande joie de la voir baver mon sperme sur ses belles miches. Ce qui est un spectacle plus intéressant que le film sur le grand écran.
Je remercie ma chère maman de m’avoir conçu avec des testicules si pleins et si productifs ! Sans oublier une verge qui reprend vite du service… J’ai déjà fait dans ma vie des tas de choses peu recommandées par la morale, mais aujourd’hui, je dois reconnaître que je pousse mon appareil reproducteur dans ses retranchements !
Que ça fait du bien d’être soulagé d’un trop-plein, surtout dans la bouche d’une femme docile ! Dommage que je ne puisse pas m’offrir plus souvent ce genre de petit plaisir bien macho ! Après une petite pause bien méritée pour nous deux, nous recommençons : elle qui me suce et moi qui me fais sucer, tout en regardant distraitement le film. Puis l’éjaculation et mon foutre sur ses beaux lolos luisants !
Petit à petit, mes réserves s’épuisent, même si la situation est très excitante, et qu’il y a de quoi faire bander un mort. Bien que je ne sois pas certain de réussir à expulser encore un peu de bon jus, je me laisse sucer par cette bouche bien chaude. Je me sens très bien, il faudra que j’expérimente prochainement la chose dans mon bureau. Je me plais à rêver à une secrétaire très particulière qui serait souvent agenouillée sous mon bureau…
Tiré en sursaut de mon fantasme éveillé, je sursaute, puis je découvre juste à côté de moi un inconnu assez âgé, à barbe blanche. Surprise elle aussi, Delphine interrompt sa sucette, je lui fais signe de continuer comme si de rien n’était. Le senior demande avec une pointe d’ironie :
L’homme sourit :
Je suis un peu étonné :
Il me répond avec un large sourire, tout en zieutant ma suceuse en action :
Pour diverses raisons et en diverses circonstances, je me suis déjà senti con, même très con dans ma vie, mais aujourd’hui, ça frôle des sommets himalayesques ! Pour une fois que je vais au ciné, il fallait que je tombe sur le propriétaire ! J’essaye de rattraper le coup :
Sans détacher ses yeux de Delphine toujours agenouillée, il répond goguenard :
Il me sourit d’un air entendu :
C’est alors que me vient une idée :
Je désigne Delphine :
Le propriétaire écarquille fugacement les yeux, puis il enchaîne, l’air de rien :
Je m’adresse à Delphine qui n’a pas cessé de me sucer depuis la venue du barbu :
Lentement, elle ôte ma verge toujours bien raide de ses lèvres pour répondre quelque chose que j’ai déjà entendu :
Je me tourne vers le propriétaire :
Puis il se décide, il abaisse carrément son pantalon et son slip avant de s’asseoir sur le fauteuil voisin du mien. Delphine me consulte du regard, je cligne des yeux. Elle se glisse alors entre les jambes du nouveau venu, et sans effort apparent, elle commence à le léchouiller.
Avec un grand soupir d’aise, le nouveau sucé dit :
Les yeux momentanément fermés, le barbu profite de la douceur que Delphine lui offre de sa langue et de ses lèvres. Soudain, il s’adresse à moi :
Je suis un peu coincé pour répondre. Je biaise en affirmant d’un ton léger :
Il ne répond rien, il préfère se laisser faire. Sa respiration s’accélère. Soudain, il demande :
Il ricane étrangement :
Puis il s’adresse à Delphine :
Elle ôte la verge bien raide de sa bouche pour répondre :
Elle ne répond rien, elle s’applique. J’en viens à me demander si Delphine n’est pas une soumise confirmée. Elle m’obéit depuis ce matin, peut-être parce que je lui en impose et que je lui plais un peu. Mais dans le cas de ce senior, j’ai des doutes. Il n’est pas moche, il semble propre sur lui, mais lui et moi sommes assez différents.
Je sens confusément qu’il y a quelque chose qui m’échappe. D’ici là que d’être traitée en chose plaise à Delphine, et que les conneries de son mari lui permettent d’assouvir ce besoin, je ne serais pas si étonné que ça. Je reconnais que je prends plaisir à jouer avec elle, il va falloir que je m’arrange à ce que son mari refasse d’autres écarts, pour que je puisse bénéficier de la docilité de sa femme. Il faudra que je cogite à la chose dès ce soir. Mais en attendant, il s’agit de profiter. Et celui qui profite est le propriétaire du ciné, enfin, il dit être le propriétaire, mais j’aurais tendance à le croire, vus ses habits et sa façon de parler.
J’entends un faible gémissement, mon voisin est en train de jouir. Les lèvres de Delphine débordent, un premier long filet de sperme et de salive vient s’aplatir entre ses seins. Elle tourne légèrement son torse pour permettre au filet suivant de s’écraser sur un sein. Je suis avec intérêt le cheminement de cette traînée blanchâtre le long de la courbe de sa poitrine. D’autres filets viennent maculer son sein, puis l’autre quand Delphine bouge un peu. Ses miches sont devenues toutes luisantes, chose que je n’avais pas bien vue quand c’est moi qui l’arrosais.
Elle a ôté la verge molle de sa bouche. Puis visiblement elle ingurgite quelque chose. Ensuite, elle respire un grand coup. Elle récupère un peu, puis me lance un regard interrogateur. Je lui réponds :
Nous restons là, immobiles, à savourer cet instant suspendu.
Hélas, toutes les bonnes choses ont une fin. Le propriétaire me remercie, et me propose de revenir quand je le souhaite, et ceci gratuitement, à condition néanmoins que Delphine soit présente. Nous échangeons nos numéros de téléphone, puis ma soumise et moi sortons revoir le soleil.
À cette réponse, je rigole :
Pour toute réponse, elle rit doucement, tandis que nous nous acheminons vers la voiture. Nous croisons au passage un jeune couple qui nous dévisage, assez interloqué. Il faut dire que le décolleté de Delphine est fort luisant, et qu’il est facile de deviner pourquoi…
Il est l’heure, je raccompagne ma passagère chez elle. Je me stationne devant l’adresse indiquée, un pavillon de banlieue comme il en existe tant.
Je m’énerve un peu :
Je me penche sur elle, lui saisissant délicatement le menton :
Lui tenant toujours le menton, je réponds en me calmant un peu :
Au son de sa voix curieusement calme, j’ai l’impression d’être à nouveau parachuté sur une pente glissante :
Elle me répond avec un sourire étrangement lumineux :
Gracilement, elle sort de la voiture :
Elle se penche vers moi, me montrant son décolleté poisseux de sperme. Ceci fait, elle continue :
Puis, dandinant ostensiblement des fesses, elle s’éloigne petit à petit de ma voiture pour aller rejoindre son mari. Non, définitivement, ça me dépasse, et je sens que je ne comprendrai jamais…
Mais je suis heureux d’avoir pu côtoyer cette femme, même si elle m’échappe dans tous les sens du terme…