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Temps de lecture estimé : 18 mn
27/07/19
Résumé:  Tout a été préparé pour que cette aventure soit un succès. Les corps vont se rencontrer.
Critères:  fh ffh fbi cadeau campagne anniversai amour voir exhib noculotte massage cunnilingu init
Auteur : BVT      Envoi mini-message

Série : Cinquante ans

Chapitre 06 / 08
La rencontre

Résumé :


Après « Un réveil inattendu » et « Un moment très intime » le début de week-end de reprise en main a continué pour nos deux quinquagénaires avec le « Jeu des souvenirs ». Luc gagnera le jeu par roublardise, mais l’important étant « L’annonce inattendue » pour le dimanche. «Le jour d’avant » a été très chargé affectivement.




************




Je me réveille pour constater encore une fois qu’il est presque 9 h, même si je me suis déjà levé à mon heure habituelle, je suis surpris d’avoir redormi autant. Contrairement à hier matin où j’avais mille doutes, aujourd’hui, je suis bien dans ma tête et dans mon corps. Décidément, le cul devrait être remboursé par la sécurité sociale, c’est plus efficace qu’un somnifère et surtout, t’es en forme quand tu te lèves (je dis ça, je n’en sais rien, je n’ai jamais pris de ces produits). Discrètement, je m’assois sur le bord du lit afin de m’étirer longuement. Pola se déplace dans le lit pour venir dans mon dos, allongée sur le ventre. Je sens un bras passer d’un côté de mon corps et je vois une main entourer délicatement mon sexe déjà un peu en forme comme presque tous les matins encore.


Ces doigts qui m’encerclent la queue, pressent légèrement et se mettent en mouvement afin de la branler doucement. Elle pose ensuite sa tête sur ma cuisse de l’autre côté et ses lèvres bisoutent tendrement mon gland à chaque fois que celui est décalotté par les mouvements agréables qu’elle m’inflige. Quelles secondes de ce traitement font monter l’ambiance dans la chambre et pas que l’ambiance. Quelques minutes de ce traitement et une goutte perle sur le sommet du gland. Elle arrête sa main et récupère avec une infinie précaution le liquide visqueux. Elle ne raffole pas du sperme, mais ne résiste pas à ce miel transparent.


Le chien décide de gratter derrière la porte juste à ce moment-là pour réclamer une sortie qui semble urgente.



Le passage obligatoire du matin précède un bon rafraîchissement de la bête. J’enfile mon peignoir et descends dans la cuisine. Au moment où je sors le chien, j’entends du bruit dans la chambre, les parquets grincent. Certainement qu’elle passe elle aussi par la salle d’eau. Tout en buvant un bon thé, je vais cueillir des fraises et lui prépare un verre d’eau. Elle déteste manger dans le lit, mais avec ces baies rouges toutes fraîches, je suis certain de faire mouche. Quand je remonte, j’ai l’agréable surprise de me retrouver face à fesses avec un cul provoquant. Elle est nue sur la table de massage, allongée sur le ventre.



Je dispose devant elle sur le bord de la table le bol et le verre. Pendant mes préparatifs, je la vois déguster de façon un peu obscène les fruits et boire l’eau. Il y en a qui coule sur son menton, son cou, et jusqu’aux seins.


L’huile de calendula une fois prête, je lui fais signe de lever son bassin et glisse en dessous une grande serviette que j’ai roulée en boudin pour lui remonter les fesses et cambrer les reins. Je trempe mes doigts dans l’huile et commence par les pieds que je traite avec beaucoup d’énergie, puis je remonte le long des jambes qu’elle écarte jusqu’à avoir les orteils en dehors de la table. À chaque passage, je remonte de plus en plus haut et mes mains traînent vers les plis entre les jambes et les lèvres de son sexe. Cette manœuvre provoque les premiers gémissements. Pour autant, je ne m’attarde pas plus que ça, les fesses m’attendent avec impatience. Elles ont droit à toutes les techniques que je maîtrise, massages, palpations, roulages. Je constate que mon intervention laisse des traces rougeâtres sur les zones les plus sensibles. Son anus a maintenant lui aussi le droit à une visite, mais tout en délicatesse.


Il est temps maintenant de s’attaquer à la partie la plus difficile, son dos. Je sais qu’elle a une faiblesse de ce côté-là. Je dois le solliciter parce qu’elle en a grand besoin, mais en même temps, je dois contrôler mes gestes pour éviter un blocage qui serait bien mal venu en ce moment, enfin, y a-t-il un bon moment ? Je ne suis pas certain.


Je m’applique donc au mieux, remontant plusieurs fois le long de la colonne vertébrale en appuyant fermement, redescendant sur les flancs ou sur les bras en relâchant la pression. Ensuite je change pour parcourir le dos sur la largeur. En me déplaçant du bas vers le haut. Je change de place pour me mettre à sa tête et je reprends mon activité en me concentrant sur la partie haute du dos.


Elle a la tête dans le trou de la table, mais j’entends quand même ses gémissements. Il m’est impossible de rester insensible à cette douce mélodie, mon organe masculin se remplit progressivement. En m’allongeant pratiquement sur elle, mes mains peuvent se poser sur ses fesses et mes doigts taquiner ses lèvres d’en bas. Je n’insiste pas trop, je remonte massant le dos, puis je me concentre sur les épaules, les omoplates et la naissance de ses seins sur les flancs. Une nouvelle fois, je repars vers son cul et son sexe que je recommence à taquiner et je continue mon massage, je reviens, je repars, j’insiste, je relâche, j’appuie, je frôle…


Le moment de la frustration arrive. Je lui demande de se retourner. Bien entendu, elle râle et proteste, demandant que le traitement continue, mais en même temps, elle se retourne, car la suite est aussi, voire plus, intéressante. Une fois bien installée, je retourne à ses pieds et reprends mon ouvrage, pieds, mollets, cuisses ont droit à un traitement approfondi et suffisamment long pour obtenir une bonne circulation sanguine. Je me mets d’un côté pour maintenant attaquer le ventre et le bas-ventre, la poitrine et les bras. Tous ont droit à un palpé-roulé des plus précis, une fois souple, une fois tonique, une fois tendre, une fois énergique. L’opération sera reprise plusieurs fois.


Je m’attaque à ses lèvres intimes toujours avec la même technique. Son corps répond à mes sollicitations, son souffle devient soupir. J’emprisonne la protection de son clitoris avec un pouce d’un côté et index et majeur de l’autre et je commence une nerveuse excitation. De mon autre main, deux doigts la pénètrent et la masturbent énergiquement. La jouissance arrive doucement, puis monte vite, très vite. Aux premiers signes d’explosion, je mets fin à son supplice.


Je reviens du côté de sa tête et je reprends mon massage sur les seins, ses épaules, son ventre en l’embrassant tendrement pour accompagner son retour à la normale. Plus sa respiration ralentit, plus mes gestes se font discrets. Elle finira par ouvrir ses jolis yeux et une fois de plus, m’offrir un beau sourire. Je l’aide lentement à se redresser et s’asseoir sur le bord de la table. Je la prends dans mes bras. Elle profite de la manœuvre pour ouvrir mon peignoir et se coller directement contre ma peau. Ses mains s’attaquent directement à mon sexe, une sur la tige, l’autre sur les boules…



Après une bonne remise en état de la zone de combat, et un petit rafraîchissement des corps, elle remet son kimono affriolant et de mon côté je n’ai pas eu le droit de rester couvert, ce qui m’arrange bien finalement. Nous descendons dans la cuisine, mais comme elle est passée devant moi, elle m’attrape par la queue dans les escaliers et me conduit ainsi jusque sur la terrasse. Un bon fou rire nous prend, l’ambiance est au beau fixe, aussi bien côté climat que dans nos têtes. Je me sens bien, totalement détendu, sauf un appendice qui fait de la résistance. Après le petit déjeuner, j’ai le droit de me couvrir pour faire le tour du jardin. À notre retour, la matinée est déjà bien avancée, elle me propose d’aller me préparer le premier et elle ira ensuite pendant que je prépare la bouffe.


Je monte rapidement prendre une douche rapide et fraîche. J’opte pour un short en jean un peu élastique qui me va à ravir et une chemise hawaïenne orange avec d’énormes fleurs. Je ne mets pratiquement jamais de sous-vêtement, encore moins sous un jean et à la maison. C’est donc uniquement recouvert de ses deux pièces de tissu et pieds nus, que je rejoins ma douce dans la cuisine. Elle a les mains dans un plat pour terminer une pâte à crumble. Comme elle a les mains bien grasses, j’en profite en me mettant dans son dos pour la peloter un sein et lui caresser une fesse.



Elle bascule la tête en arrière pour m’embrasser, un de ces baisers très chauds qui me ne laissent jamais sans réaction. Je plaque une main sur son sexe, malaxant le clitoris et l’autre empoigne sérieusement ses seins l’un après l’autre.



Une fois de plus, elle ne me laisse pas le temps de répliquer et en même temps, inutile, elle fera bien comme elle a décidé. Je prépare la viande pour la plancha, je blanchis croquants des petits légumes que je grillerai rapidement au moment de manger. L’apéro sera agrémenté de légumes en bâtons avec une sauce et des amandes. Pour les boissons, il y a tout ce qu’il faut, mais je pense que le rosé sera certainement bien apprécié. En vérifiant dans le frigo, je trouve deux bouteilles de pétillant rosé local que nous apprécions beaucoup pour les bonnes occasions. Encore une préméditation de ma femme, décidément, je vais de surprise en surprise.


Mais la plus grosse arrive, puisque la sonnette retentit. Je monte et ouvre la porte d’entrée. Je me suis trompé, elle n’est pas bien grosse la surprise, car je me retrouve face d’un tout petit bout de bonne femme de presque une tête de moins que moi, vêtue d’une robe blanche qui lui arrive aux genoux, presque moulante avec un boutonnage devant. L’ensemble lui va à ravir. Son visage semble jeune, mais certaines petites rides précisent son âge. Le maquillage est tout à fait à mon goût, mais pas le parfum.


Avant même de finir les présentations et de m’approcher d’elle, une forte odeur de parfum venue avec un courant d’air me prend la gorge et me pique les yeux. J’arrive à lui faire la bise en apnée. Je lui propose de rentrer, mais quand elle passe devant moi, je n’en peux plus de retenir mon éternuement. Je ne supporte pas les parfums et les déodorants, une véritable allergie.


J’arrive à apprécier quand même les courbes que j’ai maintenant sous les yeux. Je fais une rapide présentation de la maison, mais sans ouvrir la porte de notre chambre pour ne pas déranger Pola et respecter son souhait. Nous arrivons enfin sur la terrasse où je me mets de façon à ne plus avoir ce parfum dans les narines, mais je n’ai pas réussi à contenir une petite dizaine d’éternuements. Pola arrive en peignoir et comprend mon problème en faisant une bise à son amie. Elle lui explique avec un naturel déconcertant, le pourquoi de mes éternuements. Ce qui fait bien rire les deux donzelles.


Elles partent à l’étage et ne reviennent qu’une bonne dizaine de minutes après me rejoindre dans la cuisine. Elles portent la presque même tenue maintenant, à savoir une simple robe chemise en lin très légère, blanche pour ma femme et jaune très pâle pour sa copine. Deux robes qui nous appartiennent et que ma femme ne porte pas souvent, parce qu’elles sont trop transparentes à son goût, pas au mien bien entendu. Je peux deviner qu’elles ne portent rien en dessous, au moins pour le haut, et après les deux derniers jours coquins que m’a offerts ma femme, je me dis que cela ne doit pas être grand-chose, voire rien du tout pour le bas. Je me rends compte qu’elles ont toutes les deux les cheveux mouillés. Ont-elles pris une douche ensemble? Je ne me souviens pas si Pola avait les cheveux mouillés quand elle est venue en peignoir tout à l’heure.


Elles discutent, rigolent, visitent, s’amusent donc et ne prêtent pas attention à mes yeux fureteurs. Ma femme vient vers moi, m’embrasse en ouvrant la plupart des boutons de ma chemise ne me laissant que le dernier en bas. Elle écarte les pans et me bise les deux tétons tour à tour avec un sourire qui respire la bonne humeur.



Elles sortent de la cuisine sans me laisser le temps de répondre. Euh, faut-il que je reboutonne ma chemise, ou pas ? Je décide de rester comme ça, c’est elle qui m’exhibe, pas moi !


Je les retrouve assises à l’ombre chacune dans un fauteuil de notre salon extérieur. Elles m’ont laissé le canapé. Je dépose le plateau sur la table, et leur tends chacune leur verre, qu’elles prennent avec juste un petit merci. Elles trinquent sans même me porter la moindre attention et boivent les yeux dans les yeux. Ce n’est qu’après, qu’elles me tendent leur verre dans un geste synchronisé et s’intéressent à moi. Je clique les deux verres simultanément, et me désaltère à mon tour. Elles finissent leurs verres et me réclament un deuxième service déjà. J’ai peur qu’elles boivent trop, ma femme a l’alcool très amusant, mais en petite quantité, après, elle est vite pas bien, voire malade. Mais, non, je me rassure tout de suite, les verres sont posés à table et elles grignotent en reprenant leur conversation.


Je profite de ce moment d’inattention pour regarder de plus près les formes de notre invitée. Elle semble être exactement du même gabarit que ma femme, mais en plus petit, sauf des seins peut-être, mais il n’y a pas deux tailles de différence, par contre, ma femme à plus de hanches, grossesses obligent certainement. Leur différence d’âge n’est pas flagrante. Les filles veulent manger, mais pas à table, elles désirent se faire servir ici, au salon de jardin. Je n’y vois rien à redire, car on est plus dans le grignotage que dans un vrai repas et de toute façon, je ne suis pas certain que mon avis les intéresse. Derrière la plancha, à cuire nos denrées, je constate que ces dames me zieutent régulièrement et j’ai le sentiment que l’on parle de moi. Pola rentre dans la cuisine et m’appelle. Quand je la rejoins, elle me tend mon tablier de cuisine.



Elle a repris son ton très ferme et autoritaire qui ne laisse aucune place à la contestation. Donc je m’exécute. Une fois fait, elle s’approche de moi, m’embrasse, lève le tablier, ouvre mon short et me l’enlève en fléchissant. Elle profite de sa position et de mon manque de réaction pour me prendre le sexe en bouche quelques secondes. Elle se redresse brusquement, baisse le tablier qui ne peut pas reprendre sa place normalement.



Et elle ressort rapidement emportant mes vêtements.


Je me retrouve donc, débandant sous un tablier, les fesses à l’air en train de faire griller mes légumes sur ma plancha avec deux femmes à moins de dix mètres qui n’en perdent pas une miette. Quand j’apporte le premier plat, je constate que leurs décolletés sont plus généreux. Le repas se déroule comme si de rien n’était, je fais surtout très attention à ne pas leur montrer mon dos donc mon cul trop souvent.


À chaque fois que je m’éloigne d’elles, j’ai le sentiment que l’on parle dans mon dos et quand je reviens, il me semble qu’elles ont un bouton de moins, soit en haut, soit en bas de leur robe.


Alors que je pensais qu’une certaine tension régnerait, bizarrement, il n’en est rien, l’ambiance est très joyeuse, je ne reconnais pas ma femme qui est souvent sur la réserve. Là, elle profite à fond du moment. Donc je me sens bien moi aussi et les quelques verres de rosé sont aussi très libérateurs.


À la fin du repas, les filles se lèvent pour m’aider à débarrasser, elles n’ont plus que deux boutons chacune. Je fais mon possible pour ne pas me faire griller à loucher sur leurs corps. Elles ressortent rapidement réclamant une glace en dessert. Je les retrouve allongées sur les bains de soleil. Comme j’arrive par l’arrière, j’ai tout le loisir de profiter du tableau sans risque. En passant devant, j’ai la surprise de voir deux sexes nus sous les voilages de lin. Là, c’en est trop, mon sexe gonfle de plus en plus et je ne peux plus cacher mon émotion. Elles sont ravies du tour qu’elles sont en train de me jouer.



Je leur donne leur glace et je mange la mienne debout en les regardant, cette fois-ci sans plus aucune retenue, ce qui n’arrange pas mon problème. Finalement, est-ce un problème ? Je ne sais toujours pas où tout cela va nous mener, mais ma femme profitant pleinement, je ne vois pas pourquoi je vais me priver.



Je sors de mes pensées pour constater qu’elles me tendent toutes les deux leur bol vide. Je tente de baragouiner quelques mots, mais ma phrase est incompréhensible. En plus avec mon tablier déformé le fou rire général est inévitable. Je récupère les bols, file dans la cuisine pour débarrasser et tout remettre en ordre, ce qui a pour avantage de me calmer fortement. Je passe même un peu d’eau sur mon gland pour nettoyer la goutte qui perlait à son extrémité.


Je retrouve les belles, nues, allongées sur le ventre, les bains de soleil ont été rapprochés. Il y a juste un petit passage entre elles. Bien qu’elle soit à l’ombre, ma femme me tend son tube de crème solaire.



Je me retrouve donc à poil de nouveau, passant de la crème sur toute la face arrière de ma femme, mais sous le regard d’une autre dont les yeux passent d’un corps à l’autre. Quand j’ai fini, je reçois l’ordre d’appliquer le même traitement à Violaine. Je suis bien en peine, mais les sourires sur les visages des deux sorcières finiront par me convaincre de céder. Alors que j’ai passé beaucoup de soins sur les zones sensibles du corps que je connais bien, je suis beaucoup plus expéditif sur ceux qui me sont inconnus, ce qui me vaut une remontrance de ma femme, m’imposant de bien soigner son amie. Une fois satisfaite de mon travail, Pola se retourne.



C’est donc comme ça que je me retrouve à genoux entre les deux femmes à les couvrir de crème. Je synchronise mes gestes. Après les épaules, je m’attaque aux seins. Je m’applique de mon mieux, tout en évident de réfléchir avec ma queue, mais impossible de contenir le flux de sang.



La conversation continue entre elles comme si je n’étais pas là, elles décrivent mon corps, parlent de ce que j’aime, ce que je peux leur faire, ce qu’elles voudraient. C’est surréaliste. Je ne comprends pas l’énorme changement de ma femme. Il va falloir qu’on en parle.


Après les ventres, je m’attaque aux hanches et aux jambes. Arrivé aux pieds, je remonte à l’intérieur des cuisses, mais j’évite les sexes. Je pense avoir terminé, j’allais me relever, quand :



Je reprends donc sur les zones que j’avais honnêtement évitées. Les cuisses s’ouvrent entraînant avec elles l’ouverture des sexes. Les deux sont brillants de cyprine. Je les soigne au mieux. Des gémissements se font entendre de part et d’autre des transats. Je ne peux plus me contrôler et maintenant je branle énergiquement les deux clitoris. Ma femme réagit bruyamment, Violaine est beaucoup plus discrète. Mais quand mes deux doigts de chaque main pénètrent les deux sexes, elles jouissent toutes les deux. J’arrive à les faire crier quand en plus, deux pouces viennent astiquer les clitoris en même temps.


Très fier du résultat, je laisse la pression redescendre et contemple les corps qui retrouvent une forme de calme. Mais Pola ne veut pas en rester là, elle se lève, remonte le dossier du siège en position semi-assise et m’oblige à m’asseoir à sa place. Elle s’installe de dos sur moi et se caresse avec mon sexe tout en tournant le regard vers son amie qui reste les yeux grands ouverts. Elle s’embroche sur ma queue avec un râle de plaisir. À chaque mouvement de son corps sur moi, elle ne peut contenir un gémissement.


Je pense qu’il faut que je prenne les choses en mains. C’est maintenant ou jamais, alors je tends la main vers Violaine et l’invite à se mettre entre nos jambes sans un mot. Elle a bien compris mon message. Une fois en place, je serre les seins de ma femme et les tends vers la bouche devant eux. Violaine se penche commençant à lécher et sucer les seins qui s’offrent à elle. Comme elle joint les mains à sa bouche, je lui laisse la place et j’en profite pour mettre une main sur sa tête et la diriger selon ma convenance d’un sein à l’autre et inversement, au-dessus, au-dessous et je finis par la diriger vers le ventre de ma femme.


Nous en faisons plusieurs fois le tour avant que j’appuie sur son crâne. Aucune résistance ne s’oppose à mon mouvement, au contraire. Nous y voici enfin, je vais vivre mon fantasme ! Comment va réagir Pola ?


La réponse ne tardera pas, non seulement elle gémit, mais elle joint une main à la mienne pour diriger la bouche de son amie. Je sens une langue entrer en contact avec ma queue et tenter d’entrer dans le vagin avec moi. J’accélère mes coups de boutoir pendant que la bouche de Violaine massacre affectueusement le clitoris de Pola. Je choppe les hanches de ma femme et je vois deux mains sur ses seins, les deux dernières mains sont sur le crâne qui va-et-vient entre ses jambes. La jouissance est monstrueuse, un cri que je n’ai jamais entendu fait taire les oiseaux. Le corps, qui est au centre du trio, se raidit comme jamais, même sa respiration se bloque quelques secondes et tout d’un coup, tout se relâche.


Son orgasme a été fantastique, je me demande si elle a déjà atteint ce point avec moi. Je n’ai pas le temps de débander que le corps, qui était sur moi, bouge, se lève et est remplacé rapidement par l’autre. Pola se saisit de mon sexe et caresse celui de sa copine avec mon gland. Violaine attrape la tête de ma femme et l’attire vers elle. Elles s’embrassent tendrement et très longuement. Je sens mon gland frotter contre un clitoris. Les deux visages se séparent et j’entends un :



Ma queue entre dans un nouvel écrin inconnu et surtout un écrin différent de celui qu’elle a l’habitude de visiter depuis presque trente ans.


Pour la première fois, Violaine est pénétrée par un sexe d’homme. Je commence mes va-et-vient et je tente d’attraper la tête de ma femme pour qu’elle fasse subir à son amie, ce qu’elle a reçu comme supplice. Elle me laisse faire, donc après un long passage sur les seins, au bout de quelques minutes, elle dévore un clitoris pour la première fois de sa vie. Violaine jouira très violemment. Différent de ma femme, mais je pense que c’est tout aussi fort et profond. Je n’en peux plus, je sens que je vais décharger et je le dis aux femmes.



Face à un tel ordre, il m’est totalement impossible de me contrôler, je lâche tout, accompagné d’un gros râle de plaisir. Un silence tombe sur la zone d’action. Je reprends mon souffle puis mes esprits. Je sens qu’une main attrape ma queue. Je regarde ce qui se passe entre mes jambes et je vois ma femme tout sourire frotter mon gland contre le sexe de notre nouvelle amante. Violaine revient à son tour à elle et une de ses mains rejoint celle qui s’occupe déjà de moi. Elle étale ainsi les sécrétions qui sortent d’elle. Elle regarde ses doigts et goûte le mélange. Elle replonge ses doigts et en propose à ma femme qui ne refuse pas le mélange à son tour.




À suivre.