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n° 19112Fiche technique22400 caractères22400
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Temps de lecture estimé : 16 mn
04/08/19
Résumé:  Simon est trop grand, trop gros, trop gentil peut-être. Mais il fait craquer Léa.
Critères:  fh jeunes grossexe fellation -coupfoudr -fétiche
Auteur : Gamahuche      Envoi mini-message
L'histoire de Simon et Léa

Chez Corine et Alysson, étudiantes en deuxième année de socio et colocataires d’un bel appartement non loin du campus, la soirée tirait à sa fin. Tout le petit monde était parti, à l’exception de Simon, qui s’était endormi dans un fauteuil près de la fenêtre, et de Léa qui avait mal supporté certains mélanges et s’était allongée très tôt dans la chambre de Corine. Alysson avait débarrassé le plancher assez vite, elle aussi, toute frémissante dans les bras de son nouveau copain, et Corine, passablement éméchée, errait désœuvrée, finissait des verres et tentait de ranger ici et là, perdue dans les brumes de l’alcool.


Corine posa, de nouveau, l’oreille sur la porte d’Alysson et soupira. Les gémissements avaient repris ainsi que les grincements du bois de lit. Corine avait envie, elle aussi, là maintenant tout de suite. Elle jeta un œil sur Simon. Pas très tentant, en fait, mais à défaut de grives…


Elle connaissait le garçon depuis le lycée, ce qui expliquait sa présence ce soir. C’était un de ces nerds, toujours fourré au club de JdR ou d’informatique, et maintenant, il faisait des maths dans une prépa quelconque. Simon n’était pas le genre de physique qu’on voulait exhiber à son bras, c’est sûr. Mais il était toujours gentil, serviable, disponible, à l’écoute. Pratique, quoi.


Simon tapait allégrement dans le mètre quatre-vingt-quinze, pour un peu plus de cent trente kilos. Il était rond de partout, massif. De larges épaules, des bras épais de Cro-Magnon, un ventre proéminent et des petites lunettes carrées perchées au milieu d’un visage lunaire encadré de mèches noires et tombantes. Commode pour les déménagements, les virées dans les boîtes louches, les épanchements de cœur à l’heure du thé et la discrétion résignée au moment de se faire belle. Il avait été l’éternel locataire de la Friend Zone de presque toutes les filles du lycée.


Elle se glissa jusqu’à lui en titubant légèrement et lui tapa sur l’épaule.



Simon, réveillé en sursaut, n’avait pas entendu le début de la demande, mais il sentit bien les mains de Corine lui agripper la ceinture et dégager sa braguette.



Simon, entraîné malgré lui par les évènements, mais pas totalement opposé à l’idée, souleva légèrement ses fesses et laissa Corine tirer le pantalon et le boxer.

Plop.



En fait de petite queue, Corine venait de mettre à jour une érection unique en son genre, qui achevait de se déployer rapidement. L’engin de Simon ressemblait à un missile intercontinental – extrêmement long, large et imposant à sa base, effilé et surmonté d’un petit gland rouge comme une fraise à son sommet, parcouru de veines saillantes et complété de bourses épaisses contenant deux lourdes grenades. Pour achever de filer l’analogie militaire, ajoutons qu’il pointait fièrement vers Moscou et qu’il était prêt à se sacrifier pour la patrie.


Corine avait vu son lot d’organes masculins depuis ses premières expériences adolescentes, mais rien qui ressemblait à ça. Ses doigts hésitants en évaluèrent la circonférence, ses mains jaugèrent de sa longueur, de sa fermeté et de sa souplesse. Restait à apprécier son goût : Corine emboucha l’engin sans beaucoup de délicatesse – à cette heure et dans son état, elle voulait juste sucer un mec, pas faire démonstration du catalogue complet de ses techniques les plus subtiles.


Simon soupira avec force, un peu estomaqué par la célérité de l’attaque portée. C’était inattendu et inespéré, pour lui qui n’avait jamais connu de fellation. Il ferma les yeux et se concentra sur les sensations – ça servirait plus tard quand il serait seul. Il s’était branlé juste avant de venir, histoire d’éviter autant que possible les gonflements intempestifs et gênants, qui ne manquaient guère quand il laissait son esprit vagabonder en regardant les filles, mais le plaisir montait rapidement.


Corine ne pouvait pas prendre en elle plus qu’une faible fraction de la terrible verge, branlant le reste de ses deux mains et jouant avec le gland comparativement modeste de l’engin. Elle voulut lui caresser les bourses, mais le fauteuil ne laissait guère de place pour que Simon puisse écarter ses cuisses herculéennes.



Sans allumer, elle se débarrassa de sa robe, fit tomber le géant sur son lit, acheva de lui enlever ses pantalons et reprit son ouvrage sans attendre. Elle était très excitée, mais aussi complètement décidée à aller au bout de sa tâche.


Sur le dos, Simon soupira de nouveau, puis sursauta en tournant la tête vers sa gauche. Deux grands yeux le fixaient dans la pénombre, au milieu d’une petite frimousse étonnée posée sur le même oreiller.



Plus bas, Corine lui dévorait toujours la queue, suçotant avec énergie son petit gland qui semblait grossir tant et plus. Une main malaxait ses testicules sans grande tendresse – Corine n’était plus vraiment en état de faire vraiment attention – et l’autre le branlait avec un rythme soutenu.


Sans se relever, souriante dans son demi-sommeil, Léa braqua son téléphone sur la scène et lança la caméra. Son autre main se fraya un chemin sous sa robe et vint pincer son petit clitoris au travers de la culotte, lui arrachant un adorable petit cri.


Simon haletait. Corine sentit les pulsations parcourir la verge un instant avant qu’il n’éjacule, mais accéléra simplement le mouvement, resserrant encore ses lèvres autour du membre. Le foutre était épais comme de la crème, abondant et légèrement salé. Des décharges agitèrent les reins de la jeune femme et elle jouit brutalement, relâchant une queue qui ne s’était pas encore totalement vidée. Quelques décharges jaillirent encore sur son visage et sur le ventre rond de Simon. Tremblante, Corine se hissa sur le lit et vint se glisser entre Simon et Léa, les repoussant légèrement de part et d’autre. L’instant d’après, elle dormait.

L’appartement resta silencieux un instant. Puis Léa se redressa sur son coude et regarda Simon qui reprenait encore son souffle.



Simon chercha son pantalon du regard. Maladroitement, il se rhabilla, manquant perdre l’équilibre en ratant une jambe. Léa le regardait amusée en tirant sur sa jolie robe, encore un peu de rouge aux joues.

Avec son tout petit mètre soixante, Léa semblait vraiment minuscule à côté du colosse. Elle était fine, mais doucement rebondie de partout, avec des attaches délicates et des muscles bien galbés, des fesses et des seins en forme de pommes. Son visage était un ovale de blondeur et d’espiègle innocence, avec de petits yeux bleus et rieurs.


Ils quittèrent l’appartement sans plus attendre, éteignant seulement les lumières du salon. Simon semblait embarrassé et marchait à grandes et lentes enjambées, tandis que Léa, le blouson serré contre la froideur de la nuit, trottait à ses côtés.



Simon indiqua à Léa une fourgonnette bleue garée à l’angle de la rue. L’arrière était encombré de caisses et de bâches, mais l’avant était soigneusement rangé et propre.



Simon démarra, gardant le silence pendant un moment, comme s’il cherchait quoi dire. Léa l’observait du coin de l’œil, un peu amusée par ce grand gaillard très surprenant.



Simon ricana un peu.



La conversation retomba un instant, chacun perdu dans ses pensées.



Léa explosa de rire. Elle ne connaissait pas l’expression, mais c’était très drôle. Simon, toujours un peu gêné, finit par se détendre et par rire lui aussi. Léa se lova contre la porte.



Et me voilà un soir, après que tout le monde soit monté se coucher, en train de dévorer l’un de ces bouquins, une main dans la culotte. J’étais bien dans mon monde, la tête chaude, quand j’entends un craquement derrière moi. Je sursaute, lâche le bouquin – j’étais persuadé que c’était ma tante. Mais c’était l’un de ses étudiants, un petit baraqué avec des cheveux tout frisés. Il avait sorti sa queue et il se branlait à deux mètres de moi, sans faire de bruit. Je suis resté à le regarder sans rien dire. Il est alors venu s’asseoir dans le fauteuil face à moi et a continué à se masturber. C’était trop bizarre. Mais j’avais pas envie de passer pour une gourde, alors j’ai remonté ma robe, écarté les jambes et j’ai commencé à me caresser moi aussi. J’ai même fini par virer la culotte pour être bien à mon aise. On se regardait l’un l’autre – un coup en train de mater nos mains en action et un coup les yeux dans les yeux. J’ai fini par craquer. J’ai joui d’un coup, en me tordant sur le sofa et en serrant les dents pour ne pas faire de bruit. Tout de suite après, j’ai vu sa queue lâcher tout son foutre sur son ventre. C’est une chose de le lire dans une nouvelle porno, mais autre chose de le voir en vrai. Je planais grave à ce moment-là.


Simon gardait les deux mains sur le volant et le regard sur la route, mais il avait très chaud et sentait sa queue se réveiller une nouvelle fois dans ses pantalons. Léa avait les yeux perdus dans le vague, la tête contre la vitre et le regard braqué sur les lampes orange des lampadaires. Elle semblait revivre ses souvenirs.



Je me rappelle vraiment de trucs bizarres de cette soirée. Pas tout, mais des moments comme ça. Des instantanés. Je suis incapable de me souvenir si j’ai joui ou pas quand il était en moi. Je crois, mais je ne suis pas sûre – c’est trop dans le brouillard…


Léa laissa le silence s’installer une nouvelle fois, perdue dans ses pensées. Simon ouvrit sa fenêtre pour laisser entrer un peu d’air. Ça sembla réveiller Léa qui se redressa avec un grand sourire.



Simon avait suffisamment l’habitude de la friend zone pour n’en être pas plus frustré que ça. Depuis le collège, il supportait les confidences spontanées de ses amies. « Mon mec, c’est trop un nul. Mais je pourrais pas sortir avec toi qui es si gentil. Je suis trop une salope, je ne pourrais pas te faire ça. » Combien de fois avait-il voulu crier : « Mais si, fais-moi tout ça ! » pour s’entendre répondre « Je te ressers un peu de thé ? »


Il connaissait mal Léa. Seulement pour l’avoir croisée de temps en temps chez Corine et Alysson. Elle était inaccessible pour un type comme lui. Étudiante en lettres, vive, intelligence, super jolie. Lui, il portait les cartons dans les escaliers et il réparait les prises électriques. Le mec invisible dans le décor. En fait, il était tellement grand, tellement gros, qu’il avait appris à s’effacer de lui-même pour ne pas encombrer le chemin des gens normaux. Alors il n’allait pas refuser quelques minutes de plus en sa compagnie. Demain, ça serait fini. Il retournerait à ses équations et à ses propres bouquins de cul.


Il trouva à se garer non loin de l’immeuble de la jeune fille et la suivit tranquillement tandis qu’elle cherchait ses clefs dans son sac.


L’appartement était petit – un studio tout simple avec un grand lit qui paraissait servir aussi de bureau, une kitchenette et une porte vers les sanitaires. Et deux murs couverts de bouquins. Simon était stupéfait. Lui-même était un gros lecteur, mais il n’avait pas la place pour garder tout ça. Il empruntait en bibliothèque, achetait et revendait en bouquinerie et s’était offert une liseuse – qu’il n’aimait pas tellement en fait.


Pendant que Léa s’activait pour lancer la machine à café, Simon commença à parcourir les rayonnages. Plein de classiques – Proust, Madame de Sévigné, Camus, Hugo, Nerval, Baudelaire, Montaigne, Borges, Duras… Quelques trucs plus modernes au milieu, des étrangers aussi… Et puis, tout en haut, des poches de SF et de fantasy empilés en vrac et serrés les uns contre les autres. Et tout en bas, des polars, des Séries noires, des Rivages… Il n’avait pas tout lu, mais il repéra quelques trous, quelques auteurs absents qu’il avait appréciés.



Léa mit la machine en route et se tourna vers le géant, un peu interloquée.



Léa fut prise d’une soudaine impulsion. Elle traversa la pièce en trois pas, lança ses bras autour du cou de Simon et l’attira à elle pour l’embrasser sur la bouche. Elle sentit le colosse la soulever délicatement pour la hisser à sa hauteur et ils échangèrent un long baiser.



Léa se laissa glisser au sol et enleva sa robe.



Elle s’assit au bord du lit, tirant Simon pour le placer devant elle. Un peu nerveuse, mais très excitée, elle tenta de dégager sa ceinture, mais manquait visiblement de l’habileté de Corine. Simon vint à son secours. Le pantalon glissa au sol, rapidement suivi du boxer, révélant le long sexe du jeune homme. Il prenait rapidement des proportions un peu terrifiantes pour Léa. Elle n’hésita pourtant pas et commença à le branler doucement, passant sa langue sous le frein, titillant le gland tout rouge et le prenant finalement dans sa bouche avec un appétit non feint.


Simon soupira. Pour la deuxième fois de sa vie, et au cours de la même soirée, une fille le suçait. Cette fois pourtant, les sensations étaient différentes. Avec Corine, ça avait été un peu brutal, mécanique. Avec Léa, c’était autre chose – du moins, il le percevait comme tel, parce que lui-même était différent. Il était amoureux.


Repoussant la jolie frimousse de la jeune femme, il se mit à genoux entre ses jambes et l’embrassa tendrement tout en faisant glisser sa petite culotte de coton jusqu’au sol. Léa s’allongea, les fesses au bord du matelas, le long membre de Simon posé sur son ventre. Elle le caressa encore un peu, le faisant glisser le long de ses lèvres délicates, se demandant si elle pourrait accueillir toute cette puissance en elle, puis, redressant le bassin, elle vint le présenter au bord de son sexe humide.


Simon s’enfonça doucement. C’était un baobab, relativement fin à son sommet, mais épais et large à la base et Léa sentit son petit conin s’ouvrir sans effort, sans douleur. Simon s’arrêta, se retira un peu, revint, laissant la jeune femme s’habituer. Léa percevait la puissance physique du géant, qu’il paraissait contrôler pour l’heure, dans chacun de ses mouvements. Elle se demanda un instant ce qu’il en serait quand il se lâcherait plus tard, puis poussa un petit cri comme il se plantait un peu plus loin encore.


Simon allait et venait maintenant, tandis que Léa, les yeux fermés et la bouche ouverte, découvrait de nouvelles sensations tout au fond d’elle. Simon enleva sa chemise, son ventre rebondi vint se poser sur celui de son amante – il en eut un peu honte et tendit la main pour éteindre la lumière.



Elle attrapa sa main et vint la poser sur sa poitrine, l’invitant à la caresser. Simon sentait le bassin de la jeune femme se raidir progressivement et se soulever, appuyant sur la verge, la coinçant en elle. Il était un peu à l’étroit, son gland venant taper tout au fond à chaque mouvement.


Elle posa ses pieds sur ses cuisses et jouit d’un coup, tétanisée, les cuisses tremblantes, se dégageant d’un mouvement brusque pour retomber sur le lit. Surpris, Simon faillit glisser en arrière. Il saisit sa queue pour la branler un peu et lui conserver sa vigueur, ne sachant pas tellement ce qu’il devait faire. Il avait déjà joui deux fois ce jour et s’il avait certainement des réserves, il n’était pas encore prêt à venir.

Léa se redressa les yeux brillants. Elle se retourna et lui présenta sa croupe rebondie.



Simon se planta d’un coup en Léa, lui arrachant un hoquet de plaisir. Il sentait à son tour la force et la détermination de la jeune femme et sut qu’il pouvait se lâcher. Ses mouvements se firent plus amples, plus rapides, moins timides et attentifs. Il baisait Léa comme elle semblait le vouloir, les mains fermement accrochées à ses hanches fines, à grands coups de fessiers impérieux. Elle haletait et lâchait des plaintes étranglées, rauques, chaotiques. Simon sentit le plaisir monter en lui, lui arrachant un rugissement étouffé. Il serrait les hanches de sa partenaire avec encore plus de vigueur.


Léa se dégagea et se retourna de nouveau, attrapant la queue de Simon, désormais turgescente, rubiconde et couverte d’une liqueur poisseuse. Elle le branla deux ou trois fois et il se lâcha avec un grognement. Trois, quatre, cinq explosions couvrirent Léa d’un foutre épais, qui maculait son menton, ses seins, son ventre, son pubis broussailleux. Simon retomba tandis que la jeune femme glissait en arrière, un grand sourire aux lèvres, du foutre plein les doigts, le con abruti de plaisir. Machinalement, elle se lécha les phalanges pour en recueillir les fluides. Elle sentit la fatigue la saisir d’un coup et lutta un instant avec l’idée d’aller se passer rapidement sous l’eau.


Puis elle sentit les mains de son colosse se poser sur elle et commencer à la nettoyer délicatement, avec un peu de sopalin récupéré dans la cuisinette. Elle dormait déjà quand il la souleva pour la glisser sous les draps et, après lui avoir embrassé le front et éteint la lumière, quand il se glissa à ses côtés, tout contre, tout amoureux.