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Rachel devient l'amante de notre couple

Nous passons une agréable soirée chez nous, entre amis, Rachel et son mari en font partie. En fin de soirée, après le dîner, nous avons même fait quelques pas de danse, ce qui m’a permis de tenir Rachel dans mes bras et de lui faire sentir contre son giron, qu’elle me fait bander.

Nathalie, ma femme et Rachel, son amie de longue date, papotent dans un coin, Nathalie m’a raconté leur conversation.

• — Tu sais que ton mari bande quand il danse avec moi, cela me gêne un peu.
• — Tu sais, c’est normal, quand il a la chance de tenir dans ses bras une jolie femme comme toi. Je suis certaine qu’il aimerait faire l’amour avec toi.
• — C’est vrai que je suis en manque, mon mari ne me fait plus l’amour que trop rarement. Il argue de son âge pour se justifier.
• — Tu sais que François a le même âge, à quelques mois près. Lui, c’est moi qui dois le freiner. Il me ferait l’amour tous les jours !
• — Tu en a de la chance !
• — Ça t’a fait plaisir de sentir que François bandait en dansant avec toi ?
• — Je ne suis pas restée indifférente, c’est vrai, je t’avoue que j’ai peut-être un peu mouillé ma culotte.
• — Alors, la prochaine fois, laisse-toi aller et montre-lui que toi aussi tu as envie de lui !
• — Mais, c’est ton mari ! Tu n’es pas jalouse ?
• — Je ne suis pas jalouse et de toi, certainement pas. Tu dois te douter que nous sommes libertins.
• — C’est vrai que je me suis déjà posé la question, mais je ne réalise pas.
• — Tu vois, François, je l’ai déjà vu donner du plaisir à d’autres femmes que moi, et cela me plaît. J’ai pris moi aussi du plaisir en me faisant baiser par un autre homme devant lui.
• — Ça ne vous rend pas jaloux ?
• — Non cela nous fait plaisir de voir l’autre jouir et trouver du bonheur. Alors tu vois, si François te fait jouir, j’en serais très heureuse.

Leur conversation est interrompue, c’est Simon, son mari, qui s’adresse à sa femme :

• — Je ne me sens pas bien, je vais rentrer.
• — Je rentre avec toi.
• — Non, reste, je suis simplement très fatigué. Tu trouveras bien quelqu’un pour te raccompagner.

Nathalie qui réagit au quart de tour.

• — Sinon, elle peut rester dormir chez nous. Nous te la ramènerons demain.
• — Très bonne idée. Je pars discrètement, à demain.

Un autre couple est déjà en piste et j’invite Nathalie. Rachel, sa sœur est invitée par l’un de nos amis. En quelques mots Nathalie me narre la conversation qu’elle a eue avec sa sœur. Je bande même quand je danse avec ma moitié.

• — La prochaine danse, serre-la encore pour voir si elle réagit !
• — D’accord, viens, on se rapproche et…
• — Changement de cavalier, dit ma chérie.

Me voilà à nouveau avec Rachel dans mes bras. Dès les premiers pas, je lui colle mon érection contre son pubis, elle ne recule toujours pas. Je sens brusquement que c’est elle qui resserre la pression.

• — Tu aimes sentir que tu me fais bander ?
• — Ce n’est pas désagréable, mais je ne devrais pas !
• — Mets ta main entre nous et tâte ma braguette.

En même temps je me suis placé de manière à ce qu’on ne voie pas sa main ; la mienne a pris position le long du galbe d’un sein.

Je ne pensais pas qu’elle le ferait et pourtant… je sens sa main se saisir, au travers de mon jean, de mon phallus érigé.

• — Oh ! Qu’il est gros !
• — Ça te tente ?
• — Je ne sais pas, je ne sais plus. Peut-être !

Sur ce, malheureusement, la musique s’arrête. Il se fait tard. Petit à petit, nos amis s’éclipsent et quelques minutes plus tard, les derniers décident de lever la séance.

Je me retrouve dans le divan entouré des deux amies. C’est ma chérie qui relance la conversation.

• — Alors, Rachel, tu as aimé sentir que mon chéri bande pour toi ?
• — Oui ! C’est agréable, mais je n’arrive pas à te croire quand tu dis ne pas être jalouse.
• — Tu as tort. Regarde, je suis certaine que tu l’as tellement excité qu’il bande encore.

Décidée à m’offrir à son amie, elle ouvre mon jean et libère mon phallus effectivement à l’étroit, il surgit fièrement dressé. Elle le prend en main… me masturbe doucement.

• — Tu n’as pas envie de le caresser ?
• — Tu es sûre ?

Nathalie prend la main de Rachel et la pose sur ma bite.

• — Si j’étais jalouse, je ne ferais pas ça. Elle est pour toi !

Je me tourne vers elle.

• — J’ai très envie de t’embrasser, et toi ?
• — Oh ! oui, puisque Nathalie est d’accord.

Je profite de notre baiser pour caresser un sein. Je sens sa main s’enhardir sur mon membre pour le branler. Je commence par ouvrir son chemisier… bientôt j’empaume un sein et poursuis mon cheminement, elle est torse nu. Avec l’aide de ma chérie, je suis moi-même déjà presque nu.

J’embrasse sa poitrine tout en ouvrant le zip de sa jupe, elle m’aide à la lui retirer en soulevant ses fesses, le slip suit.

• — Que tu es belle, nue ; comme je le pensais, pareille à Nathalie avec un corps plus mature. Je vais t’aimer comme tu le mérites.
• — Oui, François, j’en ai envie, même si je ne comprends pas ma sœur qui n’est pas jalouse.
• — Quand elle se fait baiser par un autre, je ne suis pas jaloux non plus. J’aime la voir jouir, prendre du plaisir. Comme elle, j’en suis sûr, sera heureuse doublement en me voyant prendre du plaisir en te baisant et te voir toi jouir.

Mais au diable les paroles, j’ai vraiment envie de lui donner le plaisir qu’elle ne prend plus avec son mari. Je quitte ses seins pour descendre le long de son corps, le couvrant de baisers avant d’atteindre son duvet sombre qui révèle un joli clito rose que je suce avec délectation.

Son corps vibre déjà, en manque, elle a une première jouissance. Ma langue maintenant se glisse entre ses lèvres intimes pour un cunnilingus. Son corps réagit à nouveau. Des soubresauts révèlent son plaisir.

• — François, prends-moi ! Je te veux en moi ! Je veux sentir ton gros mandrin me fouiller.
• — Oui, dit ma chérie, je veux vous voir jouir ensemble. Après, je te veux pour moi !

Elle s’est dévêtue elle aussi et c’est nue qu’elle guide mon sexe dans le vagin de son amie.

• — François est à toi, je veux qu’il te donne du plaisir.

C’est toujours un plaisir particulier de sentir son sexe pénétrer un con de femme. Là, depuis le temps que j’espérais baiser Rachel, c’est un bonheur décuplé. Je sens mon gland aspiré par les douces parois de sa chatte. J’attends un moment immobile profitant de l’instant.

• — Baise-moi, je te veux, je sens que je vais aimer ta bite.

Je l’ai prise en missionnaire, après un premier orgasme.

• — Oui François. Oh ! C’est bonnnnnnnnnnnnnn !

Je la fais basculer et la prends en levrette.

• — Ouiii ! Ouiiii ! Donne-moi ton foutre !
• — Ohhh ! Rachel, oui, tu es trop bonne, je viens.

Nathalie :

• — Oh ! Oui François, quel plaisir de te voir faire jouir mon amie.

Nous jouissons de concert.

• — Ahhh! Ohhh ! Ouiiiiiii !

Lorsque je me retire, je m’affale sur le dos, toujours en érection et ma chérie vient s’empaler sur ma bite.

Rachel :

• — Oui ! Nathalie, moi aussi maintenant je veux te voir jouir.

Pendant que ma chérie monte et descend sur ma queue, j’attire Rachel au-dessus de mon visage. Ma langue fouille sa vulve dont s’écoule mon sperme mélangé à sa cyprine.

Quel bonheur lorsque j’entends les deux amies jouir simultanément, l’une sur ma verge, l’autre investie par ma langue.

Elles jouissent de concert.

• — Ahhh! Ohhh ! Ouiiiiiii !

Et s’embrassent.

Et s’allongent à mes côtés.

• — À nous de le faire jouir encore une fois, dit Nathalie.

Elle bascule pour me prendre entre ses lèvres. Rachel a basculé aussi et alors que Nathalie lui tend mon phallus.

• — Je n’ai pas l’habitude, mais aujourd’hui, j’en ai envie.

Ce sont deux bouches gourmandes qui me font une fellation divine, l’une léchant mon gland tandis que l’autre me branle ou joue avec mes couilles.

• — Oh ! Les filles c’est trop bon, je vais éjaculer.
• — Oui, donne-nous ton foutre, dit ma chérie.

Effectivement il est là et c’est Rachel qui reçoit une première giclée, elle s’écarte et Nathalie prend le reste de ma jouissance. Dans un baiser, elles s’échangent mon foutre.

• — Oh ! dit Rachel, j’ai avalé. C’est la première fois. C’est aussi la première fois que j’embrasse une femme à pleine bouche. En plus, pour y goûter le sperme de son mari !

Le repos du guerrier, je suis allongé entre les deux amies. Quel bonheur !

• — Je crois que je commence à comprendre votre plaisir de voir jouir ; pour toi, François, Nathalie baisée par un ami ; pour toi, Nathalie, François baisant une belle femme. Je l’ai lu sur ton visage, lorsque tu me voyais jouir de la queue de ton homme. Et je l’ai aussi compris lorsque j’ai été heureuse de voir ton orgasme alors que tu baisais « mon amant » (cela dit avec un large sourire).
• — Je crois, dit ma chérie, que tu es prête à recommencer.
• — Oui, c’est vrai. Dommage que mon homme n’est pas partant pour ce genre de relation. Maintenant je réalise que je verrais avec plaisir Simon te baiser pendant que François me ferrait l’amour !
• — Peut-être qu’un jour les circonstances seront propices pour le dévergonder et que baiser Nathalie réveillerait sa libido.
• — J’en rêve !

Nous finissons par nous endormir enlacés.

Nous avons revu Rachel, lorsque l’occasion s’est présentée, et avons refait l’amour avec elle. Après les premiers baisers sensuels lesbiens échangés avec Nathalie, lors de nos premiers ébats, elle y a pris goût. Depuis, c’est moi ou Nat qui faisons jouir notre amie qui a aussi appris à faire jouir ma chérie. Elle a aussi accepté que je l’encule, pour mon plus grand plaisir.

Elles ont fait l’acquisition d’un gode double, ce qui leur permet de se faire jouir en mon absence, c’est parfois l’une qui baise l’autre ou l’encule tout en se faisant jouir par l’autre extrémité de l’engin.

Nos échanges sont donc de plus en plus érotiques et chacun y trouve du plaisir.

Dernièrement, je suis survenu dans leurs ébats commencés en mon absence, avec le gode double. Dès que je les ai rejointes, alors que je sodomisais Rachel, Nathalie toujours équipée de son gode est venue m’enculer. C’était inattendu et c’est dans des cris de jouissance simultanés que j’ai éjaculé dans le cul de Rachel jouissant au même moment suivie par ma chérie, ravie de m’avoir enculé.

Rachel rêve cependant toujours d’entraîner son mari dans nos délires sexuels.

Rachel rêve de voir la bite de Simon pénétrer la chatte de Nathalie