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n° 19114Fiche technique18930 caractères18930
Temps de lecture estimé : 11 mn
05/08/19
Résumé:  Aline et Axel poursuivent l'initiation de leur soubrette si avide d'apprendre...
Critères:  ff ffh jeunes soubrette pénétratio fdanus fsodo init -totalsexe
Auteur : Caribonex2            Envoi mini-message

Série : Aline et Axel : La soubrette

Chapitre 03
C'est le moment du dessert... et de la leçon

Résumé des épisodes précédents :

Aline et Axel ont embauché une nouvelle employée ; jeune délurée et avide d’apprendre. Après un repas animé avec Charlotte leur soubrette, ils poursuivent l’initiation de la jeune femme. Aline est toujours la narratrice.






Après ce dessert fort goûteux, nous gagnons tous trois notre chambre et son grand lit. Axel et moi sommes déjà nus et, ensemble, nous finissons d’enlever ses atours à Charlotte. Elle est encore dans les brumes du plaisir – tout comme mon mari d’ailleurs – et nous prenons tout notre temps pour la dévoiler. Son corps mince, ses petits seins, son regard brillant de jouissance qu’elle fixe avec confiance sur nous. Le temps semble comme suspendu.


Nous nous caressons les uns les autres, profitant de la douceur de nos corps, des sensations différentes de chaque texture de peau, de la chaleur de ceux-ci. C’est langoureux, excitant, délicat et sauvage à la fois.


Ce sont des instants un peu en dehors du temps, on s’embrasse les uns les autres, une avec une, un avec une, les trois ensembles, ballet de langue excitant qui doucement les réveille. Axel lèche la jeune femme pendant que je l’embrasse, puis je prends le relais pendant qu’il goûte ses sucs. Puis c’est eux qui me lèchent, s’embrassant tout contre ma chatte qui bénéficie de coups de langue qui s’égarent. C’est délicieux, léger, plein de petits soupirs et de gémissements.


Charlotte s’approche d’elle-même du sexe tendu d’Axel comme si elle avait senti que c’était là ce que nous attendions. Si elle a fait jouir mon mari avant, sa technique n’est de loin pas au point et je lui indique qu’elle va avoir droit à une bonne leçon. Une bonne leçon pour tout le monde, puisque basée sur l’exemple.



Axel est un peu affalé, dos sur les coussins, jambes largement écartées.



Axel part dans un petit rire franc et je souris à mon élève avant de lui rouler une grosse pelle.



Je la regarde caresser délicatement, la queue de mon mec. Ça m’excite, ce rôle d’initiatrice, de guide.



J’embouche la belle queue d’Axel et doucement, lentement, en le regardant dans les yeux, je pompe toujours plus profondément, finissant par l’avaler entièrement. Je le garde au fond de ma gorge quelques secondes puis remonte prendre une goulée d’air et lâchant :



Je lui remontre encore une fois, puis lui explique qu’il y a un cap à passer, celui où on a envie de régurgiter, ou on a peur de s’étouffer.



Je lui bloque un peu la tête et Axel pousse sa queue.



Et après deux essais, elle réussit presque à l’avaler.



Et de donner un petit bisou à mon mari qui n’a pas de problème d’ego et a compris depuis longtemps qu’il faut juste en profiter en complices.



Elle l’embouche à nouveau, descend, respire fort par le nez. Je lui souris. Elle croche les hanches d’Axel et enfin, se retrouve le nez dans ses poils. Elle ressort, la bouche ornée de salive, un sourire fier sur le visage :



Elle le suce profondément à plusieurs reprises puis reprend les flatteries délicates.



Axel s’exclame :



Nous rions tous trois.



Et comme elle regarde mes cheveux courts en souriant :



Mon mec reprend les rênes et me fait mettre à quatre pattes, fesses tournées vers lui. Je suis trempée d’avoir guidé Charlotte et surtout à l’idée de ce qui va se passer.



Je sens immédiatement la langue de la jeune femme sur mon sillon rose, lapant de bas en haut.



Axel s’est positionné derrière moi, j’imagine le spectacle qu’il contemple. Moi, ouverte, totalement offerte et Charlotte qui me lèche sans discontinuer. Oh, que c’est bon ! Elle me caresse en même temps. J’ai le haut du corps affalé sur l’oreiller et je savoure, simplement je savoure.



J’en rajoute en disant :



Puisque je le pense, autant le dire non ?



Je visualise la main de Charlotte qui se saisit du gros jouet de mon Axel. Je sens le gland se poser sur mon anneau culier. Je sens ses doigts qui tiennent la verge, je m’ouvre. Et ces deux salauds qui en rajoutent.



Je sens sa queue qui s’ouvre doucement un chemin dans mon anus, c’est délicieux. Que n’ai-je commencé plus tôt avec lui ? Et ils continuent à commenter.



Charlotte s’empresse de se glisser sous Axel, se mettant sur le dos pour, de la langue, déguster ma chatte qui dégouline. Elle marmonne des mots entre deux coups de langue, je distingue : « beau, excitants, coule », avant que mon enculeur ne lui lance un : « tais-toi et bouffe sa moule » ordurier qui rajoute encore à mon excitation.


Je le sens qui me pistonne profondément. Son dard qui est entré facilement tant j’étais trempée et préparée me remplit totalement. Son rythme régulier, couplé à celui irrégulier des coups de langue de notre soubrette de charme, me donne de plus en plus de sensations. Je sens monter en moi une jouissance terrible, l’excitation d’être offerte, d’être vue par Charlotte, son abandon à nous, la soumission à cet instant à mon mari, les bruits, ces clapotements, halètements… ces cris, mes cris en fait…



« Aaaah », j’explose dans un cri terrible avant de m’affaler, vaincue, tétanisée de plaisir tant ce fut puissant.


J’ai un sentiment de vide quand Axel se retire. Je sens Charlotte qui se colle à moi, sa main distraitement (ou pas) posée sur mon coquillage gonflé et humide. Je sens vaguement qu’elle se touche aux mouvements de son corps.


Axel revient après un instant, lui enjoint de stopper avant de jouir. Je roule sur le dos et le regarde lécher les doigts gluants de mouille de Charlotte. Je le happe vers moi et on se roule une pelle d’amoureux rehaussée par le goût subtil de notre jolie soubrette.


Je la vois jeter un œil au sexe à moitié dressé et Axel qui a vu mon regard acquiesce d’un hochement de tête.



Charlotte si confiante, si pleine de désir et d’envie qui n’a pas demandé comment, mais pour le moment nous lui faisons découvrir au fur et à mesure.


Axel s’allonge sur le dos dans le grand lit et nous demande de venir le sucer.



Encore une fois, il montre qu’il peut rester dur très longtemps, surtout après une première jouissance. Nous nous jetons comme des affamées sur sa belle verge qui se dresse juste à portée.


Ballet de langue, dispute de baisers sur son gland. Gorges profondes, je m’amuse à prendre la tête de Charlotte entre mes mains pour branler mon mari, en la guidant, elle se laisse faire, excitée sous le charme, sous la domination soft et tendre.


Elle se redresse tout sourire et, au-dessus du sexe dressé, on se roule une galoche monumentale. Comme deux assoiffées, on se recule, on se regarde l’une l’autre, la bouche gonflée, les lèvres frémissantes, le souffle rapide, les yeux brillants d’excitation, on regarde Axel qui est dans le même état, un petit sourire…


Je donne un bon coup de langue sur son gland, puis la regarde, en attente, et lui crache en plein visage. Elle semble défaillir, se passe les doigts sur le visage, se les lèche, en plein trip et ose ce que j’attendais, partie dans un délire un peu trash en me crachant à son tour sur le visage. Je sens sa salive sur ma bouche, je mouille, vais me toucher, remets mes doigts humides en bouche et lui crache à nouveau. Rien de sale, d’humiliant, juste un partage de sensations, osons le dire d’amour, de folie amoureuse. On se lèche carrément le visage à grands coups de langue, deux salopes excitées, on halète, on coule, une odeur de mouille monte à mes narines et puis je suis en recherche d’air.


On regarde Axel qui a un regard halluciné devant notre état, cheveux emmêlés, visages luisants, bouches bavantes. Mes seins me font mal tant ils sont tendus et les petits seins de Charlotte sont dans le même état. La disproportion entre leur petite taille et la taille de ses tétons totalement érigés est dingue et témoigne de son excitation. On a failli partir, là, à se laper, se baver dessus comme deux chiennes en rut.


Je reviens au présent, relève Charlotte et la fais s’asseoir doucement sur le sexe prêt comme jamais d’Axel. Dans un soupir, elle se laisse aller sur sa queue, l’accueillant en une seule fois, je n’avais pas vu son état d’excitation, pas vraiment besoin de faire doucement.



Je me positionne derrière elle et lui empoigne ses petits seins, tirant sur les mûres rougies que sont ses tétons durs tout en lui embrassant le cou, respirant son odeur de femelle en chaleur. Axel donne de grands coups de hanches qu’elle reçoit avec force soupirs de plaisir. Elle ahane, monte et descend de plus en plus vite. Je serre ses seins, l’embrasse devant Axel qui n’en perd pas une miette. J’en rajoute en faisant lécher mon majeur à Charlotte, lui enjoignant de bien sucer, lubrifier. Elle a tout de suite compris (la scène est encore toute fraîche dans sa mémoire) et je la regarde avaler mon doigt avec des yeux de petite salope en devenir.


Évidemment, je ne tarde pas à lui mettre ensuite mon majeur dans son mignon petit trou tout en continuant à lui peloter les seins avec l’autre main, sans oublier de lui raconter mes envies et ce que je vois.



Axel me regarde avec amour, complicité et beaucoup de lubricité évidemment !



Elle perd le rythme, tressaute, bouge de façon de plus en plus désordonnée, totalement empalée sur le sexe d’Axel et mon doigt, les seins tendus, la bouche ouverte pour happer l’air entre deux gémissements fous.



Axel donne de furieux coups de hanches, Charlotte les accueille par des cris de plus en plus forts, cette fille est faite pour l’amour, elle crie des mots sans suite. Je me suis positionnée sur la cuisse d’Axel et me frotte dessus, ma moule bave sur sa cuisse, je frotte mon sexe et mon clito sur sa peau. J’ai une pensée pour mon gode qui serait bien en moi maintenant, mais l’amour est aussi dans le fait de donner et je la sens monter, monter, elle a bien mérité de jouir sur le sexe de mon mec.


Elle se lâche et crie : « crache, crache », reprise d’une envie trash et mon premier jet de salive sur son visage offert la fait partir dans un hurlement extatique tout comme Axel et moi qui jouissons dans le même mouvement, dans le même délire.


Je ne sais plus comment on s’affale, vaincu par tant d’heures de jeux, je me souviens juste qu’avant de m’endormir, j’entends Charlotte me dire d’une voix chargée de désirs