Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 19125Fiche technique13488 caractères13488
Temps de lecture estimé : 8 mn
09/08/19
corrigé 06/06/21
Résumé:  Comme me l'avait avoué franchement un de mes bons amis, amateur de voitures : "ta femme, c'est plutôt ses pare-chocs qu'on admire en premier !"
Critères:  fh couple grosseins vacances plage voir exhib -couple
Auteur : Patrik  (Carpe Diem Diemque)            Envoi mini-message
Bringuebalements


Une petite histoire toute gentille, très soft.

Ne pas confondre narrateur et auteur.

Bonne lecture :)





Comme me l’avait avoué franchement un de mes bons amis, amateur de voitures :



Oh non, je ne m’ennuie pas avec ma femme. De plus, pour l’histoire des pare-chocs qu’on voit en priorité, honnêtement, je ne peux pas lui donner tort, car quand je l’ai rencontrée pour la première fois, j’avoue n’avoir pas toujours regardé les yeux ni le visage de ma future femme. Je sais pertinemment que les mâles cataloguent sans vergogne ma moitié dans la catégorie « gros nichons », et ce n’est pas faux. D’ailleurs, je n’ai jamais caché à ma douce et tendre que j’étais en adoration pour ses monts blancs…


Ai-je fait la bêtise de me marier avec elle uniquement parce que ses lourds lolos me fascinaient et me fascinent toujours autant ? Non, car ma femme a bien d’autres qualités, même si comme beaucoup de ses congénères, elle se trouve toujours quelque chose qui ne va pas sur elle ou en elle. Oui, il est vrai qu’elle avait un nez assez aquilin et, disons, dominateur. Mais un petit coup de bistouri a rapidement réglé le problème au début de notre mariage. Dans la foulée de cette opération, elle avait évoqué le fait de faire une réduction mamellaire, chose à laquelle j’étais fortement opposé, vous vous en doutez bien.


Diplomatiquement, je lui ai demandé d’attendre un peu, et qu’on en reparlerait sérieusement une fois notre dernier enfant né. L’alibi pseudo-médical des gros seins pour bien nourrir un bébé est très pratique. Nous en avons eu trois, deux garçons et une fille, et à ma plus grande joie, à chaque fois, son buste a pris un peu plus d’ampleur encore. Mais entre-temps, elle s’était habituée à mes divers hommages et aussi au fait d’être de temps à autre la cible des regards adipeux et envieux des autres hommes.


À prime vue, la maturité apporte chez les femmes une certaine confiance en elles. Ce qui simplifie la vie aux conjoints…


Les enfants sont maintenant majeurs et partis du nid. Cette année, ma femme et moi avons décidé de n’aller qu’à deux (en clair, sans enfants, ni petits-enfants) aux Baléares, à Majorque précisément, mais à l’est, du côté de la Cala Ferrera, au fond d’une crique. La plage proche de l’hôtel est petite, mais il y a nettement moins de monde que du côté de Palma. De plus, nous sommes partis mi-septembre, loin de la foule bruyante de juillet et d’août.



Ma femme adore faire trempette, puis revenir s’allonger sur son transat le temps de bien sécher, afin de repartir un peu plus tard dans la mer. Et ainsi de suite plusieurs fois. Si hier, elle a mis un maillot une-pièce, aujourd’hui, elle s’est mis au diapason des autres touristes, c’est-à-dire topless, ce qui arrange bien mes affaires !


Dommage qu’elle n’ait pas mis un string, mais ça viendra peut-être par la suite.


C’est main dans la main que nous nous acheminons vers l’eau qui clapote doucement. Depuis que je suis né, c’est à dire bientôt un demi-siècle, j’ai rarement vu des grosses vagues dans la Méditerranée, contrairement à l’Atlantique. Du coin de l’œil, j’admire les oscillations des deux belles masses encore blanches sous chacun des pas que ma femme imprime sur le sable. Et je ne suis pas le seul à suivre des yeux mon ondulante compagne…


Même s’il est vrai que nos voisines soient souvent des jeunes teutonnes à tétons turgescents, pas une ne rivalise avec les masses délicieusement lourdes et un zeste gélatineuses de ma femme. Aux alentours, je vois bien que certains hommes aimeraient bien être à ma place, mais hélas pour eux, ma femme et moi ne sommes pas particulièrement partageurs.


Qu’ils zieutent, oui. Qu’ils touchent ou plus, non.



Néanmoins, en frissonnant, elle arrive à s’enfoncer dans l’eau qui lui arrive maintenant au nombril. Ses tétons sont déjà raides et érigés sous le froid qu’elle ressent. J’ai une folle envie de les croquer ! Pour me changer les idées et masquer la colonne qui monte dans mon maillot de bain, je m’accroupis directement dans l’eau pour ne laisser émerger que ma tête. Puis, je fais quelques brasses avant de revenir vers Valérie. Je lui demande :



À son tour, elle s’accroupit dans l’eau. L’instant d’après, mes mains capturent par derrière les flancs de son abdomen, ma femme s’allonge dans l’eau, puis délicatement, elle se laisse à moitié flotter, entraînée par mes bons soins. La soutenant toujours par-dessous, je la balade lentement dans la crique, m’éloignant peu à peu du rivage, tout en prenant soin qu’elle ait toujours pied.


Tout en faisant ça, j’ai tout le loisir d’admirer ses beaux boobs qui flottent et qui ballottent au gré des faibles vagues. Oh oui, qu’ils flottent bien, c’est un régal à voir !



J’en profite pour capturer la base de ses seins et commencer à jouer avec ses belles masses molles. Habituée depuis de nombreuses années à ce que je la tripatouille de la sorte, Valérie me demande flegmatiquement :



Elle ne répond rien, s’allongeant un peu plus dans l’eau pour mieux flotter et prendre le soleil. Moi, je continue de jouer avec ses roberts ruisselants si voluptueux, ses si belles mamelles charnelles. Je songe à tout ce que j’ai pu déjà faire avec ces mignonnes miches, et Dieu seul sait combien j’ai pu en faire ! Que ne les ai-je léchées, sucées, mordillées, gobées ? Combien de fois mes doigts ont capturé ces magnifiques melons mous, cette chair débordante ? Combien de fois me suis-je amusé à ces privautés dites espagnoles en me laissant aller jusqu’au bout, afin de les maculer, de les souiller de mon sperme chaud et gluant ? De voir ensuite ma semence dégouliner le long de ses courbes, s’accrocher parfois aux tétons, les enrober, pour venir ensuite s’écraser plus bas sur son ventre ou son pubis ?


Tout ceci me donne le vertige ! C’est la voix suave de ma femme qui me tire de ma rêverie :



Je la relâche lentement, attendant qu’elle soit debout sur le fond. Puis Valérie se décide, et commence à avancer en nageant. Je l’accompagne, faisant souvent de larges cercles autour d’elle. Comme l’eau est assez claire et transparente, c’est un plaisir de voir s’agiter ses lolos quand elle nageouille de la sorte. Bien sûr, fidèle à mon habitude, je ne perds aucune miette du spectacle qu’elle m’offre, surtout ses flotteurs bien en chair.


Nous restons ainsi dans l’eau durant de longues minutes. Puis, visiblement en marchant, elle se rapproche de moi :



Je la saisis prestement par la taille afin de la coller contre moi. Il est indéniable qu’elle sent à présent contre son ventre l’effet bien raide qu’elle me fait. Elle ne s’offusque pas, elle me connaît depuis des années. À présent, j’ai le plaisir de sentir ses douces mamelles lourdes et volumineuses s’écraser contre mon torse mouillé. Puis nous nous embrassons.


Avide, j’en profite pour lui saisir les fesses sous l’eau et pour les peloter comme il se doit. Quand nos lèvres se séparent, elle se moque gentiment de moi :



Elle me repousse un peu, ses seins libérés en profitent pour flotter mollement :



Puis elle s’éloigne de moi pour regagner lentement la plage. Ce faisant, tandis que je peux contempler son dos et surtout son mignon popotin qui s’agite, elle me lance :



Dans un premier temps, je la suis, histoire de bien contempler ses fesses délicatement dodues, puis arrivé à mi-chemin, j’en profite pour la dépasser et mettre le pied sur le sable sec de la plage bien avant elle, afin d’avoir le plaisir de la voir venir vers moi, ses pare-chocs bien en avant et mouillés qui accrochent le soleil.


Une vision ondulante que je trouve très érotique ! Et que j’ai souvent eu le plaisir de capturer en photo ou en vidéo ! Non, je ne me lasse pas de voir et revoir, encore et toujours, ces diverses scènes de mon actrice préférée !


Lentement, ma femme sort de l’eau, ses deux seins qui oscillent joyeusement sous chacun de ses pas. Puis, les derniers mètres, elle rejoint son transat en trottinant, ce qui accentue encore plus l’effet de brimbalement de ses appas ! De quoi avoir des suées chaudes et une envie irrésistible de capturer ses doudounes à pleine main et à pleine bouche !


Un bien beau spectacle qu’elle m’offre, ainsi qu’aux hommes présents autour de nous. Non, je ne me lasse pas de la voir et revoir, si désirable et tellement aguichante !


Presque lascivement, elle s’essuie, prenant bien soin de passer sa serviette par-dessous ses seins afin d’enlever la moindre goutte d’eau. Elle s’y emploie lentement, sensuellement, frôlant ses tétons érigés, caressant doucement sa peau fragile, soupesant délicatement ses masses. Je suis presque certain qu’elle en rajoute, mais je ne vais certainement pas me plaindre du spectacle qu’elle m’offre, et je constate du coin de l’œil que je ne suis pas le seul spectateur assidu.


Puis, ceci fait, elle s’allonge sur le dos sur le transat, ses seins bien en évidence, protégés du soleil mordant par l’ombre du parasol. Même si j’ai emporté quelques livres, le simple fait de la regarder suffit largement pour combler les minutes qui s’écoulent. Au gré de mon voyeurisme, je découvre toujours un petit détail, une fine courbe, un délié dans ses paysages.


Il ne me reste plus qu’à attendre qu’elle daigne retourner dans l’eau afin de pouvoir contempler à nouveau le balancement impudique de ses lascives loches dégoulinantes et ruisselantes, sans oublier toutes les joies de nos nuits torrides…