n° 19127 | Fiche technique | 30666 caractères | 30666Temps de lecture estimé : 18 mn | 10/08/19 |
Résumé: Des vacances paradisiaques, soudain le lâcher prise, le désir... carpe diem ! | ||||
Critères: fhh hbi couplus inconnu vacances amour fellation anulingus pénétratio double fdanus fsodo hdanus -couple+h | ||||
Auteur : Astephane543 Envoi mini-message |
L’improbable épisode que je vais décrire ici nous a surpris tous les deux il y a bientôt une année. Élise, ma femme, à l’orée de ses quarante ans, a toujours été désirable. Elle l’est encore plus à mes yeux aujourd’hui, avec cette expérience qui lui donne ce surplus d’assurance qui intrigue. Sportive accomplie, son corps est savamment entretenu, elle n’a pas pour habitude de laisser la moindre place au hasard. Dans son regard vert émeraude, il y a tout ce qu’elle est, sa malice, son énergie… Sa vie professionnelle est aussi très accomplie, mais ce n’est pas le sujet ici.
Pour ma part, je suis éperdument amoureux d’elle. Depuis notre rencontre, je suis comblé et je garderai conscience jusqu’à mon dernier souffle de l’incroyable chance que c’est d’avoir croisé sa route… Pour la séduire j’ai été aussi déterminé que patient. Honnêtement, j’ai très vite compris que c’était la femme de ma vie. Il nous suffit d’une étincelle pour envelopper notre atmosphère d’une douce volupté. Cependant, même si nous n’avons aucun tabou entre nous, nous parlons et nous agissons librement en matière de sexe, il y a une limite que nous nous sommes assez naturellement fixée : ne rien faire que nous ne nous sentirions capables individuellement ou à deux, d’assumer une fois l’acte passé.
La vulgarité crasse nous révulse. Nous aimons la simplicité, la justesse et, par-dessus tout, être bienveillant l’un envers l’autre.
Pour en finir avec cette présentation un peu longue, je précise que seuls quelques jouets, assez variés par ailleurs, sont venus égayer nos ébats au fil d’expériences partagées qui ont été souvent particulièrement jouissives.
Ce qui nous est arrivé l’été dernier sera peut-être une expérience unique dans notre couple. Nous en conservons un souvenir amusé et positif, mais nous ne chercherons sans doute pas à reproduire artificiellement l’expérience.
Permets-moi, mon amour, de décrire cette aventure érotique de mes yeux, de ma bouche, de ma plume.
Après une dure année de labeur, pendant laquelle tu t’es beaucoup investie après avoir enfin obtenu le poste de directrice commerciale pour lequel tu t’es si longtemps préparée, je me suis dit qu’il était temps de libérer un peu la pression. Et j’ai choisi de prendre un risque, de te surprendre. Exit les vacances en toute simplicité, la valse – appréciée – des invitations entre amis, ces soirées où le rosé frais se mélange aux échanges et aux rires. Cette année, nous partons dix jours aux Seychelles, toi, moi, et quelques tenues légères. Un hôtel luxueux, une paillote sur l’eau, terrasse de bois, mer cristalline, sable blanc… Tu es surprise mais heureuse de découvrir une autre ambiance, un autre territoire.
Là-bas, tout se déroule à merveille. Nous reprenons vite des forces, tout est luxe et volupté. Ce n’est pas notre univers, mais avouons que pour quelques jours, recharger nos batteries, c’est idéal, idyllique même !
Nous faisons l’amour souvent. Nous aimons ça. J’aime ton corps et tu le sais. D’un simple regard, d’un mouvement de hanche, une attitude lascive, tu m’offres une invitation à la luxure. Tu es si belle, avec ta peau désormais dorée des rayons de soleil qui veillent sur cette île, avec ton fessier ferme et rebondi, avec tes jolis seins qui trahissent tes envies, pointant fièrement les tétons que j’aime lécher et saisir en bouche… Je suis gourmand de toi, attentif à tes désirs, car ceux-ci nourrissent les miens et c’est une douce escalade que nous savons entretenir entre nous.
Ce soir-là, c’est la dernière nuit sur place. Un autre groupe viendra nous remplacer pour la prochaine nuit. Une soirée salsa est organisée en guise d’au revoir. Nous avons appris cette danse-là, lors de notre passage à Paris où nous avons travaillé quelques années. Une soirée arrosée, intense, joyeuse, remplie de belles émotions et nous avions découvert ce plaisir de danser ensemble. Tu attendais donc impatiemment cette soirée, comme une apothéose d’un séjour en tous points merveilleux jusqu’alors. Malheureusement, j’ai insisté ce matin pour m’initier au ski nautique, et pendant la session, je me suis bêtement tordu la cheville. Rien de grave, je t’accompagne pour quelques danses, mais c’est vraiment trop douloureux, je dois renoncer à nos envolées charnelles…
Je sais que tu aimes danser, c’est une façon pour toi de te libérer des tensions accumulées. Tu ne m’en veux pas, mais bien sûr, tu es déçue. Alors je profite de la présence d’un jeune homme, recruté ici, je pense, comme un guide, un appui pour toutes les personnes débutantes. Je lui demande s’il veut bien être ton cavalier pour cette soirée. J’ai un parfait souvenir de ta réaction, de l’immense sourire qui accompagnait ta surprise :
Et te voilà virevoltante sur la piste, rayonnante, dans les bras agiles d’un danseur aussi expert qu’esthète. Il n’y a pas d’équivoque dans tes attitudes, je le sais, tu t’amuses, tu prends du plaisir, et pour toi, à cet instant, il n’y a rien de plus.
La soirée se prolonge ainsi, entre danses, mojitos, et quelques baisers sur mes lèvres par lesquels tu exprimes ton bonheur. J’ai un peu trop bu, la tête qui tourne. L’envie, lorsque la musique s’arrête au bout de la nuit, de prolonger un peu. J’avoue, j’ai pris plaisir à te regarder danser, cette robe légère qui dévoile tes jambes galbées, j’ai même reconnu tes dessous, ceux que tu portes en signe d’invitation parce que si tous tes sous-vêtements sont beaux et choisis avec soin, ceux-ci ont quelque chose de particulier, ils sont différents, attirants, hypnotiques. Et mes pensées s’égarent. Tu m’avais fait il y a longtemps, la confidence d’un fantasme du moment. Et si c’était maintenant ? Et si je forçais un peu le destin ? En suis-je capable ? En ai-je vraiment envie ? Comment réagiras-tu ? Vas-tu participer « au jeu » ? Vas-tu sonner à ta façon la fin du bal ? La tête tourbillonnante autant des bulles du mojito que de ces dizaines de questions, je m’entends inviter ton cavalier du soir.
Yiandro ne sait pas trop quoi dire, je le sens un peu gêné, c’est clair pour moi que ces heures à danser, à sentir tes courbes, tous ces frottements au corps à corps lui ont donné envie de consommer plus qu’une simple coupe de champagne. Toi, naturelle, joyeuse et sans arrière-pensée, tu l’encourages ! Tu veux en savoir un peu plus sur cet homme grâce à qui tu conserveras un magnifique souvenir d’une soirée salsa enivrante, et un peu dingue.
Arrivée à la paillote, tu nous proposes de prendre quelques minutes pour nous rafraîchir un peu. C’est vrai que ce sera plus agréable de se sentir frais pour partager le champagne. Je prête un short et un T-shirt à Yiandro. Tu sors de la douche vêtue d’une tenue légère, sexy et classe. Ni provocante ni vulgaire. Et tu n’as pas encore décrypté son désir de toi, son envie de découvrir ton intimité, de te posséder.
La bouteille est débouchée et le clapotis du champagne coulant dans nos verres se mêle à celui de la mer. Comme à ton habitude, tu t’intéresses sincèrement à Yiandro, tu le questionnes et découvres au travers de ses réponses une vie tellement différente de nos existences stressées et pressurisées. Je me suis rapproché de toi et je démarre une discrète mais efficace parade amoureuse. Tu me connais par cœur et tu sais que ces gestes, ces regards, sont les prémices d’une belle jouissance. Tu me laisses jouer, mais tu restes concentrée sur ce que t’explique Yiandro. Je comprends vaguement qu’il te parle d’un don familial, qu’il est une sorte de magnétiseur, capable de guérir les douleurs articulaires ou d’ôter le feu d’un coup de soleil.
Et voilà notre hôte qui m’invite à me détendre, et qui m’avertit que sa main sur ma cheville va dégager une forte chaleur. La sensation est incroyable, c’est vrai, c’est étonnamment chaud. Je suis bouche bée, je n’en reviens pas, la douleur semble comme s’extraire de mon corps. Je te dis que c’est incroyable, et je saisis l’occasion de générer un contact plus avancé entre toi et lui :
Je te dis, avec un brin de malice. Et te voilà allongée, la tête posée sur ma cuisse, Yiandro se préparant à poser ses mains sur ton genou. Le contact t’électrise, tu écarquilles les yeux d’étonnement. Tu me dis :
Je me penche vers toi, et je te murmure :
Je le vois s’appliquer du mieux qu’il peut, il lui tient à cœur de t’impressionner, c’est en tout cas ce que j’en déduis de sa concentration extrême. Tu as fermé les yeux et je te sens relâcher progressivement tes tensions.
Je me baisse alors pour poser un délicat baiser sur tes lèvres. Je teste ta réaction. Tu y réponds de façon lascive, c’est délicieux. Je reviens, je te picore. Yiandro désormais semble masser ton genou, son regard est attiré dans l’échancrure de ta tenue qui s’est écartée et laisse apparaître des dessous acidulés. Nos langues désormais se mêlent, nos baisers se font ardents. Ton cavalier du soir s’enhardit, ses mains remontent avec douceur le long de tes cuisses. Je te sens te refermer, tu frémis autant du plaisir que de la crainte de ce qui se passe. Je t’embrasse de plus belle. Tout est doux, lent, voluptueux. Je descends doucement vers ton oreille en déposant des baisers le long de ta joue. Là, dans le creux, je te murmure :
Tu me réponds que tu en as envie, mais que tu as peur aussi.
Tu te retournes alors soudainement vers moi, et ton baiser puissant et profond lance plus loin nos ébats. Désormais, tu t’offres à lui, par tes mouvements de hanche tu l’invites à aller plus loin, plus haut. J’ai posé ta tête sur le sofa pour venir doucement te dévêtir. Te voilà en sous-vêtements, jambes légèrement écartées, pas encore totalement offerte. De ma main glissée dans ton dos, je libère l’attache de ton soutien-gorge pendant que l’autre caresse ta joue, nous nous embrassons avec la même fougue que notre premier baiser. Puis, pour montrer mon aussi mon consentement à Yiandro, je baisse doucement ton tanga, il finit délicatement de te le retirer.
Ton sexe doux et lisse l’attire, il vient poser sa bouche sur tes lèvres déjà trempées de ton désir. Je caresse et j’embrasse tes seins. Tu halètes et tu t’abandonnes progressivement à ton plaisir. Ton danseur s’active goulûment là-dessous, mais tu veux maintenant le sentir au fond de toi, dans ton sexe chaud, humide et accueillant. Par tes mouvements de jambes, tu le lui fais comprendre. Il enfile adroitement une protection et vient poser son gland à l’entrée de ton vagin. Tu me regardes, tu sembles à nouveau être dominée par la peur. J’essaie d’exprimer tout l’amour que je peux dans mes yeux, et mon sourire est là comme une invitation à choisir le plaisir. Tu entraînes Yiandro vers toi, son sexe te pénètre lentement et profondément. Je me souviendrai à jamais de ton râle de plaisir, quand tu as laissé ta tête basculer en arrière et que tes lèvres se sont ouvertes du plaisir ressenti.
Yiandro commence de lents va-et-vient, sa queue est puissante, il la manie avec expertise. Ton sexe l’accueille avec ces bruits humides révélateurs de ton plaisir. Je suis heureux de te voir ainsi, tu te libères progressivement et tes sonorités se font plus fréquentes, plus fortes aussi. Alors, je te présente à mon tour mon sexe à tes lèvres. Tu ouvres la bouche, et pendant que Yiandro s’affaire entre tes reins, tu le gobes avec avidité. Tu serres tes lèvres sur ma hampe, je te sens saliver comme jamais, cela accentue les sensations ressenties et au bruit de ton humidité vaginale s’ajoute celui de ta bouche qui aspire mon sexe jusqu’au fond de la gorge.
Te voilà prise par deux hommes qui s’allient pour s’occuper de toi. Ton bassin s’active pendant que tes succions s’accélèrent. Tu retires parfois ma queue de ta bouche pour exprimer ton désir, par des râles rauques et aigus, les yeux plissés, le front tendu par les sensations intenses que tu ressens. Tu attrapes Yiandro par les fesses et le forces a venir plus loin en toi. Je suis au bord de l’explosion et j’essaie de me retirer de ta bouche pour une pause de quelques secondes. Tu m’en empêches et m’obliges à rester. Tu accélères, tes lèvres serrent plus fort encore ma queue délicieusement lubrifiée de ta salive et de mes sécrétions qui se font plus abondantes et annoncent l’imminence de ma jouissance. Lui a accéléré le mouvement, il semble également proche de la rupture pour ce premier acte, car il y en aura d’autres, surprenants. C’est moi qui n’y tiens plus, ta bouche savante a raison de mes dernières résistances, j’explose au fond de ta gorge, tu accueilles ma semence avec délectation, je crie, je suis pris de tremblement, des mouvements de convulsion font basculer mon bassin. Cela déclenche instantanément la longue et abondante jouissance de Yiandro. Tu sens sa semence bouillante au travers du latex. Je suis excité de te voir ainsi. Tu jouis de toutes ces sensations, c’est magistral, c’est sonore, c’est extatique. Je prends tes lèvres, je veux un baiser, tu partages avec moi quelques résidus de ma jouissance. Yiandro se retire, petite pause qui ne durera pas très longtemps…
Nous reprenons nos esprits dans la jovialité. Tu es désormais fermement décidée à profiter pleinement du moment, et tu nous le fais savoir.
À cette phase, je me demande comment sera le prolongement de nos ébats, quelle option, puisque tu es décidée à prendre les commandes pour l’acte suivant, vas-tu déterminer ?
Option 1 — Torride
Option 2 — Torride ++
Option 3 — Torride et totalement indécent
Bien sûr il n’est pas question de casser la magie qui nous lie tous les trois ce soir, en te posant bêtement la question. Il suffit de vivre l’instant présent, de se laisser transporter vers de nouveaux plaisirs.
Une douche nous a remis sur pied et rafraîchis. Tu fais signe à Yiandro de s’approcher, tu es assise sur le sofa, son sexe que je trouve assez volumineux est là devant toi, à quelques centimètres de ta bouche.
En joignant le geste à la parole, ta main me ramène à toi par mon sexe qui a déjà repris une belle vigueur en te voyant ainsi, offerte, et maîtresse du jeu désormais. C’est la queue de ton cavalier que tu prends la première en bouche, après avoir doucement parcouru son membre de la base vers le sommet avec ta langue, et en y enroulant plusieurs fois son gland avant de la gober. Tu t’appliques autant que tu peux, cette découverte d’une nouvelle queue après toutes ses années où tu n’as connu que la mienne t’excite particulièrement. Je le sais à cet instant par les doigts que j’ai glissés sur et dans ton sexe. C’est incroyablement humide. Tu t’abandonnes pleinement à tes désirs, tu as enclenché le mode jouissance. Tu bascules à cet instant sur moi, et tu avales mon membre bandé le plus profondément possible, tes lèvres sont à la base de mes testicules. Tu restes ainsi un moment, avec ta main droite tu continues de durcir le membre de Yiandro. Tu vas et tu viens entre nous deux, doucement mais avec fermeté, pendant de longues et délicieuses minutes.
Puis tu nous dis, sans détour, ce qui a le don à chaque fois de décupler mon excitation :
Tu vas expérimenter une double pénétration, tu es maintenant totalement focalisée sur la recherche de plaisir, tu crées les conditions d’une jouissance maximale. Tu fais signe à Yiandro de s’allonger sur le dos et tu enfourches son sexe à califourchon, pour une pénétration indécente, les reins cambrés d’une courbe audacieuse qui montre que toute limite pudique inutile est retirée.
Et me voilà, la bouche ventousée sur ton délicat petit anus, à lécher ta rosette délicate, à tournoyer ma langue, l’insérant progressivement à chaque fois plus loin. C’est étrange et captivant, cette sensation de te sentir t’ouvrir ici, alors que son membre gonfle à chacune de ses avancées ton sexe et ton périnée. Je le sens aussi sous ma langue, à l’excitation ressentie s’ajoute celle de tes râles, qui se font plus longs, plus forts. Je lubrifie abondamment et c’est maintenant avec un doigt, puis deux que je te prépare à recevoir ma queue. Je sens la sienne qui vient se frotter à mes doigts au travers du mince espace qui sépare ton vagin de ton rectum. Il est dur, il est imposant, il est puissant.
Ton impatience durcit encore plus mon membre que je présente doucement à l’entrée…Yiandro se fait plus lent jusqu’à stopper ses mouvements le temps que je te pénètre, avec douceur pour laisser le temps à ton corps de s’habituer. Tu ne censures plus tes réactions, tu nous offres ton plaisir dans des sonorités excitantes. Ça y est, je suis en toi, ta jolie rondelle serre mon membre et le lubrifiant aide à glisser dans de délicieux mouvements. Tu bascules ton bassin, tantôt pour prendre Yiandro au plus profond de ton vagin, tantôt pour que je vienne à mon tour descendre le plus loin possible. Nous entrons en transe, c’est une osmose parfaite des corps, une symphonie où chacun joue sa partition sans fausse note.
Je ne sais plus dire aujourd’hui combien de temps cela a duré. Je t’entendais, je sentais tes oscillations, et les pénétrations de Yiandro qui venaient serrer un peu plus à chaque fois tes chairs contre mon sexe. Par contre, je me rappelle de ta jouissance, profonde, intérieure, incontrôlable, hurlante ! C’est lui qui a déchargé le premier, pris également dans des râles trahissant l’extrême jouissance que tu lui as offerte. J’ai suivi quasiment au même instant, libérant mes tensions au plus profond de ton intimité. Une triple jouissance, intense et quasiment simultanée. Après quelques instants de répit, tu nous dis, empreinte d’envie et de gourmandise :
À cet instant je suis intrigué. Que va-t-il se passer de plus que ce que nous venons de faire ? Qu’as-tu à l’esprit ? La soirée est décidément très excitante, j’ai hâte de retrouver ma vigueur !
Après quelques minutes, entrecroisés sur le sofa dans un demi-sommeil, ton regard tout à coup s’illumine.
Empoignant la main de Yiandro tu le redresses devant toi et tu t’agenouilles devant lui. Tout en lui massant doucement les testicules et son membre, tu plaisantes avec lui.
Et tout de suite ta bouche mordille, ta langue s’affaire sur le frein, autour du gland. Tu te donnes en spectacle devant moi, pour moi, je le ressens comme ça et je suis terriblement excité, le sexe déjà dressé. Tu me regardes intensément, je ne perds pas une miette du spectacle, fasciné par cette queue de belle taille qui remplit ta bouche au rythme de tes mouvements. Tu as pris le contrôle sur nous, tu mènes le jeu, ton jeu.
Et me voilà debout aux côtés du beau brun qui a retrouvé tout son tonus. Tu alternes à nouveau caresses buccales et manuelles, d’un sexe à l’autre.
Ton appel est ferme, il ne peut souffrir d’aucune contestation. Je me penche et tu me donnes un baiser intense, humide, chargé des saveurs de l’autre sexe. Tu passes ton coude derrière mon cou, et tu me dis avec beaucoup de tendresse mais fermement :
Avec ton bras, tu m’obliges à la fois à m’agenouiller et à approcher du sexe dur et tendu de Yiandro. Tout en m’embrassant langoureusement, tu approches nos bouches de son gland. Je suis hésitant, je peine à basculer du fantasme à la réalité. C’est vrai que je t’ai souvent dit que ça m’intriguait, que je me demandais quelles étaient les sensations ressenties d’un sexe chaud et palpitant en bouche. L’épisode de la double pénétration avec ce sexe bandé si près de ma bouche m’avait déjà fortement fasciné tout à l’heure. De le sentir à travers ton intimité sous mes doigts et contre mon sexe avait décuplé mon plaisir. Mais là, ce gland en contact avec mes lèvres.
Tu m’as laissé seul sur le membre et de ton bras pris autour de mon cou tu me pousses vers cette hampe frissonnante qui semble désirer ma bouche. J’ouvre timidement, le gland s’enfonce dans ma bouche, et tout le membre coulisse progressivement. Voilà, ça y est, je me retrouve à mon tour dans une situation que je croyais impossible, tellement improbable. Je reste immobile quelques secondes puis, encouragé par ton attitude et ta tendresse, je commence des translations de plus en plus profondes, de plus en plus suggestives. Ce sexe en bouche, je suis étonné des sensations que je ressens. Tu pousses Yiandro pour qu’il s’allonge, tu me laisses à genoux m’occuper de lui et tu viens à la rencontre de mon sexe. Ta bouche est avide, tu te caresses tout en aspirant bruyamment mon sexe. La situation t’excite, d’avoir dominé ces 2 mâles que nous sommes t’a électrisée.
Bientôt, tu pousses le jeu un peu plus loin…tu es penchée sous moi et tu aspires littéralement mon sexe dans ta bouche. Ta gourmandise m’incite à lâcher prise, je reproduis sur la bite de Yiandro les traitements que tu m’infliges. Soudain, ta langue remonte le long de mon périnée jusqu’à ma rondelle. Tu sais que j’aime ça, mais je n’aurais jamais pu imaginer être comme à cet instant, complètement abandonné à tes caresses et à ta bouche, suçant moi-même une belle queue d’un inconnu que nous connaissons à peine. Je rugis de plaisir au contact de ta langue sur mon anus, que tu viens par des mouvements lents mais fermes, plonger chaque fois plus loin. Je me sens libérer les tensions, inconsciemment je cambre mon dos, je viens à la rencontre de ta bouche.
J’en veux plus et tu le sais. Tu me lubrifies abondamment de ta salive, et tu ajoutes aussi du gel intime que nous avions laissé sur le côté. Je sais ce que tu vas faire et cette perspective m’excite. C’est quoi, une gorge profonde ? Je crois bien que de la façon dont j’avale son sexe il n’y a pas d’ambiguïté. Je suis débutant mais je maîtrise la gorge profonde. Et d’un premier doigt, tu pénètres mon intimité. Par de lents mouvements circulaires, tu permets à mon sphincter de s’habituer à ta présence. C’est magique, mes muscles se relâchent, mon intimité accueille ton doigt, puis un autre, cette sensation est incroyable.
J’oscille mon bassin, je viens allègrement à la rencontre de tes doigts. Tu viens maintenant masser ma prostate, c’est rare et j’en oublie la queue de Yiandro tellement tu maîtrises tes pressions. Je souffle, je râle, tu as pris le contrôle de mes pulsions, mon corps est à toi, je n’ai plus la force de lutter. Ce traitement m’amène plusieurs fois au bord de la jouissance, mais tu me connais par cœur et tu sais pousser les limites sans jamais les dépasser. Tu as une idée en tête et la suite ne sera pas moins délicieuse. Subitement, tu te relèves.
J’abandonne sans regret le sexe de notre hôte, j’ai testé, j’ai profité et ça me suffit. Avec en plus la perspective de ton traitement à venir, sur fond de levrette, ça va être une apothéose ! Déjà tu guides ton esthète d’un soir le long de tes lèvres dégoulinantes de ta mouille, tu ajoutes ce lubrifiant naturel sur sa queue avant de le recevoir en toi. Il s’active instantanément, je sens bien que pour lui aussi, la pression est maximale. Il te tient fermement par les hanches et vient te donner dans une force certaine mais maîtrisée des coups de boutoir au fond de ton vagin. Tu translates ton bassin au rythme de ses mouvements. Je distingue sa queue qui s’enfonce au fond de ton sexe ouvert et j’entends les fluides de ton sexe qui coulent à flots. Tu as pris mon sexe en bouche et tes doigts ont repris possession de mon petit trou. Lui s’applique à te mener à la jouissance pendant que tu poursuis tes succions gourmandes. Tu mouilles abondamment, la pénétration est facile, tu en veux plus. Alors, tu fais glisser avec tes doigts un peu de tes sécrétions sur ton anus, à plusieurs reprises pour bien le lubrifier.
À nouveau, tu guides son sexe imposant mais cette fois c’est par-derrière qu’il va te prendre. Je n’en reviens pas et je suis affreusement excité ! Tu positionnes le gland à l’entrée de ton sphincter, tu sais que pour accueillir un aussi bel engin, tu dois te relâcher et la première entrée doit se faire en douceur. Yiandro te laisse à la manœuvre, c’est toi qui vas à sa rencontre, tu pousses ton orifice sur son gland qui pénètre doucement. Tu ressens comme un blocage, tu réalises quelques va-et-vient poussant toujours plus fort tes fesses sur ce gland turgescent. Je me suis relevé sur mes coudes et je ne perds pas une miette de ce moment. Quand tu te sens prête, tu pousses un peu plus fort, un peu plus longtemps. Les dernières résistances cèdent doucement, la première pénétration est un peu douloureuse je le vois à l’expression de ton visage. Mais rapidement, le plaisir reprend le dessus. Tu ordonnes à Yiandro en lui tendant le flacon :
Il n’y a plus de résistance et ce sexe de belle taille te ramone délicieusement le cul. Tu reviens à ma prostate, la tension est palpable, le point de non-retour très proche pour lui et moi. Tu ralentis tes gestes et tes succions chaque fois que tu me sens proche de l’explosion. Lui râle de plus en plus profondément, tu l’encourages.
Il se penche tout à coup, cambré sur ton dos, puis se relève brusquement en laissant son sexe décharger en toi. Malgré le préservatif, tu ressens les palpitations de sa queue, chaque éjection de sa semence t’arrache un cri de jouissance. Tu serres plus fort et tu suces plus vite ma queue. Rapidement je cède à mon tour et tu reçois mon sperme dans ta bouche jusqu’à la dernière goutte. Tu me souris. Yiandro s’est retiré, il est étendu sur le dos, bras en croix et sourire béat. Tu t’approches et d’un baiser sauvage tu éjectes ma semence dans ma bouche. Nous nous embrassons langoureusement. Je te la rends puis à nouveau tu remets mon sperme sur ma langue. Ta main sur ma joue ferme ma bouche et secoue ma tête.
Je te regarde intensément et j’avale doucement ma semence.
Nous avons alors pris congé de Yiandro, prétextant, mais c’était quand même assez vrai, la nécessité de dormir un peu avant le voyage retour. Nous avons chacun pris le temps d’une bonne douche. À nouveau réunis dans le lit, nous avons fait l’amour. Avec cette fois, une tendresse infinie, des caresses pleines de bienveillance, beaucoup d’attention et le retour d’un acte simple, mais rempli d’amour. Un atterrissage nécessaire et réussi.
Je t’aime ma chérie !