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n° 19129Fiche technique21623 caractères21623
Temps de lecture estimé : 12 mn
11/08/19
Résumé:  Pierre s'offre quelques semaines de vacances bien méritées sur une plage paradisiaque. Il n'avait pas prévu de découvrir les charmes du tourisme local de cette façon.
Critères:  fh vacances fdomine voir cunnilingu pénétratio fdanus hgode attache yeuxbandés -hsoumisaf
Auteur : Oscar Cemeliasis  (Auteur amateur et éclectique)      Envoi mini-message
Voyage exotique

Pierre savourait plus que jamais ces vacances tant méritées en République Dominicaine. Une année d’économies lui avait permis de s’offrir trois semaines dans la plus grande suite d’un des hôtels de luxe comme l’île en compte beaucoup. Il n’avait fallu que quelques jours pour s’acclimater tout autant au décalage horaire qu’à la chaleur tropicale. Pierre avait passé tout l’après-midi à la plage à savourer le farniente tout autant que les corps bronzés à peine dissimulés par des maillots de bain parfois pas plus larges qu’une pièce de monnaie. Le soleil commençait à décliner, assez tôt sous les tropiques, et Pierre décida qu’il était temps de migrer vers le bar en plein air de la plage réservé aux touristes.


D’apparence rustique, la paillote de bois blanc abritait une sorte d’îlot-bar carré surmonté d’une multitude de bouteilles d’alcools forts aux couleurs chamarrées. Pierre acheva de parcourir les derniers mètres qui le séparaient du comptoir et vint se poser sur un des tabourets hauts qui trônaient tout autour.


Une fois assis, son regard se porta sur la serveuse affairée avec un autre client. Elle était l’incarnation typique des femmes métissées, aux formes voluptueuses allongées sur un corps de liane. La belle ne portait qu’un mini short blanc et un tee-shirt noué sous ses seins tranchant avec sa peau mate. Sa tête totalement rasée lui conférait une attitude presque prédatrice.



N’obtenant pas de réaction, Pierre du réitérer son appel.



La barmaid se retourna brusquement et planta ses yeux noirs dans ceux de Pierre qui marqua un temps d’arrêt, comme crucifié par autant d’aplomb. Elle garda le silence, le toisant du haut de son bon mètre quatre-vingt.



La belle créature continuait de le regarder sans bouger.



L’autorité avec laquelle elle lui répondit le cloua sur place. Il profita qu’elle lui tourne le dos pour parcourir son corps du regard. La belle était droite comme un I, et présentait une carrure presque athlétique. Pierre lorgnait sans retenue sur ses fesses proéminentes lorsqu’elle se retourna brusquement.



Pierre resta interdit. D’un coup, l’homme de quarante ans, sûr de lui et plutôt conquérant avec les femmes, se retrouvait dans la peau d’un petit garçon de dix ans pris la main dans le pot de confiture.



Et de se retourner pour saisir une bouteille à moitié pleine d’un nectar translucide à la couleur brune. Elle défit le bouchon et versa une généreuse rasade du breuvage dans un verre préalablement rempli de glace pilée, de menthe et de citron.



Stupéfait, Pierre avala son verre d’un trait, laissa s’échapper une violente quinte de toux sous l’effet de la brûlure de la liqueur et déposa un billet de dix dollars sur le comptoir. La lionne le saisit et le rangea aussitôt dans la caisse.



Elle ferma les poings qu’elle posa sur ses hanches.



Elle était magnifique par cette chaleur qui rendait sa peau luisante de sueur. L’étoffe de son tee-shirt détrempé laissait deviner les reliefs de sa poitrine nue. Son ventre délicieux marquait un petit bourrelet sublime à la ceinture de son short. Son attitude autoritaire la rendait incroyablement désirable. Mais cette fois, Pierre devait bien admettre qu’il ne jouait pas dans sa catégorie. Il imaginait la belle ne s’abandonnant qu’aux charmes de quelques dieux grecs d’ébène, haut comme une armoire normande, tout en muscles et à la queue monumentale, seule capable de satisfaire l’appétit insatiable et vorace de cette panthère.



Pierre retrouvait un peu d’assurance.



Cette fois, c’est lui qui la défiait.



Engaillardi par l’alcool, il se sentait prêt à toutes les aventures.



Pierre passa les quelques heures d’attente assis sur le sable à regarder la mer, une boule de désir étrange grandissant de minute en minute. L’heure fatidique arriva enfin et il se rendit au bout du large ponton de bois auquel étaient arrimés les navires de pêche et de plongée. La belle était là, dans la clarté lunaire, accoudée à la rambarde.



Elle lui plaqua un tissu assez rêche sur le visage qu’elle noua grossièrement derrière sa tête. Elle prit sa main et le guida dans l’obscurité. Il sentit les planches de bois grincer sous ses pas.



Il parcourut quelques mètres et sentit immédiatement le roulis caractéristique d’une embarcation.



Il déambula dans l’étroitesse des couloirs où la moiteur paraissait noyer l’espace.



Pierre s’exécuta, toujours privé de la vue.



Il eut un moment d’anxiété, se demandant s’il ne faisait pas une erreur en s’offrant ainsi à une inconnue, aussi désirable soit-elle. Mais il obtempéra. Elle s’approcha et lui noua fermement les mains ensemble. Puis elle lui ôta son bandeau, se redressa et se campa debout en face de lui, les mains sur les hanches.



Pierre se sentait partagé. Il était d’une part très excité à l’idée de goûter à cette femme sublime, d’un autre, il redoutait le côté dominateur de la belle qui paraissait prendre un réel plaisir à « dompter » les hommes.



Elle s’accroupit devant lui et saisit sa verge encore flasque, mais déjà luisante de sueur dans sa main avant de la masser avec régularité et fermeté. L’effet ne se fit pas attendre.



Pierre sentait ses veines battre dans sa verge surtendue entre ses cuisses. La belle se dirigea vers sa droite et dénoua une cordelette qui semblait descendre du plafond. Elle tira dessus fermement, ce qui fit aussitôt jouer les liens qui enserraient les poignets de Pierre, l’attirant inextricablement vers le plafond, lui aussi. Le jeu de poulies fit son effet, et il se retrouva en quelques secondes debout, les mains largement hissées au-dessus de sa tête, son membre dressé comme un portemanteau.



Elle lui caressa doucement la joue de son autre main, tout en serrant davantage son membre qui palpitait sous ses doigts.



Elle se redressa, lui tourna le dos et défit le nœud de son tee-shirt qu’elle fit choir au sol. Sans attendre, elle ouvrir le bouton de son short et entama une admirable danse des hanches pour faire descendre le vêtement le long de la peau collante de ses cuisses. Pierre n’en perdait pas une miette. La belle était nue dessous et ce qu’elle avait caché jusqu’à présent valait bien ce qu’il avait déjà copieusement admiré au bar.



Elle était sculpturale. Ses reins dessinaient une courbe parfaite qui appelait à être saisie fermement. Elle se retourna d’un coup. Ses seins ainsi libérés dardaient fièrement sur son buste. Ses tétons pointaient déjà largement au centre des larges aréoles sombres et trahissaient l’excitation de la tigresse. Ses cuisses ouvertes avec une totale insolence se rejoignaient au centre d’une épaisse et luxuriante toison noire frisée.



Pierre était sur la pointe des pieds, les poignets serrés par les cordages qui le maintenaient suspendu au plafond. Elle s’approcha de lui et vint coller son corps luisant de sueur contre le sien. Pierre sentit d’abord sa queue comprimée entre son ventre et le pubis fourni, puis sentit la masse ferme des seins s’écraser contre son torse. Les deux corps glissaient lentement l’un contre l’autre dans la moiteur de la cale. Elle passa une main dans son dos et de l’autre agrippa fermement ses fesses pour renforcer l’étreinte entre leurs deux corps. Elle se mit à onduler du bassin pour faire rouler le sexe tendu de Pierre comprimé entre leurs deux corps.



Pierre restait silencieux, ainsi immobilisé, perché sur la pointe des pieds et les talons relevés à quelques centimètres du sol. La belle conduisait la danse. Elle plongea sa main entre les ventres et saisit la queue qu’elle vint glisser entre ses cuisses. Puis elle commença un lent massage de ses seins contre le torse velu de Pierre. Leurs ventres glissaient l’un sur l’autre en petits cercles tandis que la toison drue de son torse venait délicatement griffer les tétons agressifs de la tortionnaire.


Pierre faillit jouir de cette danse. Elle le sentit immédiatement et empoigna fermement le gland turgescent qu’elle serra dans sa main en pressant la pointe de son pouce à la base du frein. Pierre sentit sont cœur se serrer d’un coup et son excitation retomber un peu.



Elle prit ses testicules dans sa paume qu’elle serra doucement.



Elle s’écarta et se dirigea vers un petit coffre de bois dans un coin de la pièce. Elle en sortit une sorte de crochet chromé doté d’une boule de petite taille à la place de la pointe. Sans attendre, elle vint se placer derrière lui et lui enfonça l’extrémité arrondie entre les fesses et la pressa contre son anus qui la reçut sans encombre. Elle y attacha une mince cordelette qu’elle fit passer dans une des petites poulies accrochées au plafond. Elle tira dessus, ce qui arracha un gémissement à Pierre.



Pierre voulut se plaindre, mais une surprenante lueur de plaisir naissant au creux de son ventre l’en dissuada.



Et de joindre le geste à la parole, ce qui accentua encore plus le désir de la malheureuse victime consentante.

Avec une surprenante agilité, elle attrapa des poignées accrochées au-dessus de la tête de Pierre, souleva ses jambes et vint les passer autour du cou de sa victime de manière à plaquer son sexe contre sa bouche. L’intimité de la belle avait une forte odeur de musc mêlée de sueur et d’urine.



Pierre ne se fit pas prier. Son nez se fraya un chemin dans l’épaisse fourrure noire et trouva rapidement les lèvres déjà dégoulinantes et presque ouvertes. Sa surprise vint de la taille surprenante de son clitoris. La bête devait bien faire deux ou trois centimètres.



Pierre se mit à faire jouer sa langue d’abord sur le pourtour de la vulve, caressant, lapant et suçant la toison gorgée de mouille. Puis il s’approcha méthodiquement des grandes lèvres, passant par le mont de Vénus, mais veillant scrupuleusement à éviter le clitoris dont la turgescence témoignait de son désir d’être sucé.



Avec désinvolture, Il fit durer encore le supplice, prenant soin de bifurquer au dernier moment et évitant le contact direct. Puis d’un coup, sa langue pénétra l’intérieur du vagin et remonta tout le sillon de la chatte, écartant les lèvres gorgées de sang et de désir, jusqu’à ce que ses lèvres viennent enfin gober le dard émergeant du capuchon de chair. La tigresse mouilla de plus belle, se cambra et resserra l’étreinte de ses cuisses pour accentuer la pression de la bouche de sa proie entre ses cuisses.


Pierre fut presque étouffé, étranglé par la puissance musculaire qui l’enserrait. Il se mit à mordiller les lèvres autour de sa bouche pour desserrer l’étreinte. La belle hurla à son tour, foudroyée par une onde de plaisir couplée à la douleur provoquée par la morsure. Elle ouvrit ses jambes qu’elle reposa à terre.



Et sans prévenir, elle planta ses ongles dans les pectoraux de Pierre qu’elle laboura presque jusqu’au nombril. Il hurla. Ses jambes cessèrent de le porter. Le crochet prit le relais et le pénétra plus profondément. La douleur sur son torse se mêla à la décharge de plaisir de la boule métallique qui venait de presser sa prostate désormais en feu.



Pierre planta son regard dans le sien avec un air de défi.



Elle se tourna à nouveau et partit chercher une sorte de tabouret fin faisant penser à une mini selle de cheval. Une fois dans la lumière, Pierre vit que la « selle » était ornée de deux cylindres lisses d’une dizaine de centimètres chacun, arrondis à leur extrémité.



Elle vint placer l’ustensile entre les cuisses de Pierre à qui elle ôta le crochet en métal qui lui fouillait le fondement. Elle y enfonça un des pieux de bois jusqu’à la garde à la place, ce qui arracha un nouveau gémissement au pauvre supplicié. Puis elle approcha et enjamba l’anima de bois à son tour. Elle saisit le membre toujours raide de Pierre et le présenta à l’entrée de sa chatte tandis qu’elle positionnait son cul sur le pieu restant.


Les deux la pénétrèrent en même temps d’un coup, ce qui provoqua immédiatement un orgasme chez elle. Les deux n’étaient plus qu’un. La bête à deux dos n’était plus qu’un amas de chairs luisantes de stupre. Chacun était pénétré tandis qu’elle commençait à onduler des hanches de manière faire jouer la queue de Pierre en elle. Elle saisit de nouveau les poignées au-dessus d’elle et entama sa danse. Pierre n’était plus qu’un pantin empalé, la queue fichée au creux de l’amazone qui l’avait kidnappé. Elle menait la danse, imprimant tantôt des mouvements verticaux, tantôt ondulant de droite et de gauche.


Encouragé, Pierre posa ses lèvres dans le cou palpitant de la belle qu’il mordit fougueusement, décuplant son plaisir. Ils ondulaient de plus en plus vite. Pierre n’en pouvait plus. Sa queue refusait de jouir, comme emportée par le tourbillon du corps qui le chevauchait. Elle enchaînait les orgasmes, tantôt venant de son clitoris malmené, tantôt par le pieu qui lui ramonait les fesses.


Lui n’était pas en reste. Contre toute attente, le pieu qui lui fouillait la raie provoqua d’intenses orgasmes qui se diffusaient dans son corps tout entier. Une dernière ondulation eut raison de lui et c’est dans un cri guttural qu’il déchargea entre les reins de la belle. Il lui parut qu’elle l’aspirait au fond d’elle à chaque salve qui fusait de son gland. Le feu dura de longues minutes avant que les corps ne s’affalent au sol, une fois les liens qui le maintenaient suspendu furent dénoués.


Leurs deux corps en sueur restèrent mélangés dans une étrange posture. D’un coup, celle qui s’était montrée si dominante paraissait être la fragilité incarnée. Pierre se risqua à la prendre dans ses bras. Elle se laissa faire, gardant les yeux fermés.



Il s’endormit dans la moiteur de la nuit, bercé par le mouvement des vagues sur la vieille coque de bois de ce petit bateau de pêche perdu dans un coin reculé du monde.