n° 19152 | Fiche technique | 74088 caractères | 74088Temps de lecture estimé : 41 mn | 21/08/19 corrigé 05/06/21 |
Résumé: Je viens juste de finir ma première prise de vue pour cette émission de deuxième partie de soirée. En tant qu'auteur et compositeur, je suis parfois convié sur les plateaux, mais surtout en bouche-trou, je le sais parfaitement. | ||||
Critères: fh amour noculotte fellation cunnilingu anulingus pénétratio jeu -amourdura | ||||
Auteur : Patrik (Carpe Diem Diemque) Envoi mini-message |
J’ai repris une toute petite partie d’un ancien texte,
puis j’en ai dérivé une tout autre histoire située au début des années 2000, avant le passage à l’euro.
Bonne lecture :)
Je viens juste de finir ma première prise de vue pour cette émission de deuxième partie de soirée. En tant qu’auteur et compositeur, je suis parfois convié sur les plateaux, mais surtout en bouche-trou, je le sais parfaitement. Mais comme les animateurs et les producteurs savent que je n’ai pas toujours ma langue dans ma poche, tout en sachant rester flegmatique et poli, ils ne rechignent pas à m’inviter, souvent à la dernière minute, quand un invité leur fait faux bond.
C’est ainsi que je suis devenu petit à petit un inconnu célèbre.
En attendant la dernière prise prévue dans une demi-heure, je pars me reposer dans ma loge. Une script-girl court après moi pour m’indiquer qu’il y a eu entre-temps un changement d’attribution, et elle me désigne une autre loge, que je devine moins luxueuse. Je me disais aussi qu’on m’avait un peu trop bien caressé dans le sens du poil. Bah, ce n’est pas grave !
Je pousse la porte de ma nouvelle loge, c’est alors que je découvre que je la partage avec l’une des invitées, une femme un peu plus jeune que moi, qui a eu son moment de célébrité, il y a quand même un certain nombre d’années. Elle m’accueille avec un large sourire, vêtue d’un peignoir blanc :
Par amusement, nous nous faisons la bise. J’apprécie beaucoup son contact. Puis avant de m’asseoir à mon tour, je dis :
Il est vrai que je me suis demandé quelques instants qui elle pouvait être. Pas une nymphette, car elle avait passé l’âge, mais elle était vêtue de façon sexy. J’avoue :
Elle soupire bruyamment, l’échancrure de son peignoir d’entrouvrant un peu :
Elle me regarde avec un sourire un peu triste, l’échancrure un peu plus prononcée :
Je lui souris :
Pensive, elle ne parle plus. De mon côté, un peu fasciné par son commencement de décolleté, j’ai du mal à rebondir. De ce fait, un certain silence s’installe. Soudain un jingle sort de ma poche, je consulte furtivement mon Rapsberry Pager :
Avec mes gros doigts sur le trop petit clavier, je tape une assez longue réponse pour l’un de mes interprètes. Une fois que j’ai envoyé mon message, et alors que je m’apprête à ouvrir la bouche pour reprendre la conversation, c’est elle qui rompt le silence, d’un ton désabusé :
Elle se cale sur son fauteuil ; elle soupire :
Elle rit doucement :
Devant cette demande, elle s’étonne :
Je continue de la regarder avec un grand sourire. Je vois bien qu’elle est en train de se demander quoi faire. Puis elle se décide :
Elle ouvre de grands yeux :
Avec un large sourire, je rectifie :
Je montre mon Rapsberry :
J’écarte les bras :
Elle plisse un peu des yeux :
Elle se récrit aussitôt :
Nadia hésite, la situation lui échappe un peu, mais elle sent que je suis ludique et gentleman. Alors elle entrouvre un peu plus son peignoir pour le laisser admirer de plus près ce qu’elle a plus ou moins révélé aux caméras, il y a peu de temps. Aussitôt, sans bouger de mon siège, je me penche un peu vers elle afin d’admirer ce qu’elle me dévoile.
Au bout d’une bonne minute de contemplation, je la félicite :
Elle me sourit tout en se réajustant un peu, s’arrangeant pour me laisser quand même sous les yeux un joli décolleté très mignon :
Je me redresse un peu et j’aiguille la conversation sur un autre sujet :
Elle m’adresse un triste sourire :
Un zeste fataliste, elle soupire :
En entendant ma réponse, je vois bien qu’elle est un tantinet dubitative. Affichant une sorte de moue perplexe, elle demande :
Je me penche vers elle :
J’ai déjà vu des personnes me regarder de façon ébahie, mais je pense que je viens de décrocher le pompon avec Nadia. Elle finit par articuler :
Elle affiche un petit sourire en coin :
Elle suspend sa phrase, puis rougit. Cela m’intrigue, je demande :
Elle me regarde d’un air coincé :
Elle soupire puis elle se lance :
Elle fait semblant de réfléchir :
Elle se contente d’éclater de rire. Fair-play, je sors néanmoins de la loge. Quelques minutes plus tard, nous retournons sur le plateau, afin de participer aux dernières minutes à enregistrer. Je reconnais que la nouvelle robe lui va à merveille, un rien habille cette femme.
C’est le deuxième soir que nous allons au restaurant, Nadia et moi. Tout s’est très bien passé lors du premier. Je me suis arrangé pour qu’elle me raconte tout d’elle. D’ailleurs, elle avait une sérieuse envie de s’épancher, d’avoir sous la main une oreille compatissante. L’expérience m’a appris qu’on écoute d’abord une femme, et qu’ensuite, éventuellement, on essaye de trouver une possible solution à ses problèmes.
J’ai bien vu dans son regard qu’elle était étonnée que je ne cherche pas à passer la nuit avec elle. En parfait gentleman, je l’ai raccompagnée chez elle, et je suis resté sagement en bas. Avant que nous nous séparions, elle me dit calmement :
Je l’ai sagement embrassée sur la joue, puis nous nous sommes dit « à la prochaine fois », c’est-à-dire dans deux jours. Oui, Nadia me plaît bien, voire beaucoup, mais je ne suis pas du style à me jeter dans les bras d’une femme, même si elle a un sacré sex-appeal. Souvent, les aventures d’un soir ou deux n’apportent que des soucis.
Une fois de plus, je raccompagne Nadia devant chez elle. Puis nous entrons dans le hall. Je vois bien qu’il y a comme une certaine lueur dans ses yeux. Alors que je m’apprêtai à lui souhaiter une bonne nuit, elle me demande abruptement :
Je ris franchement :
Lutine, Nadia saisit ma cravate :
Sans lâcher ma cravate, elle s’approche encore plus de moi :
Elle rit un peu, avant de demander :
Lâchant ma cravate, elle ouvre de grands yeux :
Je lui souris :
Elle me regarde un peu étrangement :
Je reste flegmatique :
Elle fait la moue :
Spontanément, je lui saisis les avant-bras :
Elle marque une petite pause avant de reprendre :
Je relâche mon étreinte. Elle me sourit :
Je reviens en arrière dans mon propos :
Elle soupire :
Je décide d’avancer d’un pas :
Je ne m’attendais pas trop à cette réponse. Un peu déstabilisé, je demande :
Elle me regarde droit dans les yeux :
Sans trop réfléchir, je lui capture la main, puis l’entraînant avec moi, je ressors dans la rue. Intriguée, elle me demande :
Sans lâcher sa main, de peur qu’elle ne s’enfuie, je hèle un taxi.
Quand j’ouvre la porte de mon appartement, je tiens toujours Nadia par la main. Elle finit par me demander en me désignant nos doigts enlacés :
Toujours sans la lâcher, ce qui l’amuse, je lui fais rapidement visiter mon appartement, sans toutefois lui montrer les chambres. Elle me taquine :
D’un commun accord, nos lèvres se rejoignent. C’est tout doux, c’est tout fiévreux, c’est tout électrisant. Je ne me rappelle pas avoir vécu ceci, sauf avec ma deuxième fiancée, et encore.
Ensuite, les choses se sont précipitées : j’avais une folle envie de cette femme, et elle avait visiblement aussi envie de moi. Sans que je comprenne bien comment le scénario s’est déroulé, nous nous sommes retrouvés tous les deux, nus, sur mon grand lit, nos corps l’un sur l’autre, enroulés, pressés, noués, en train de nous furieusement dévorer l’un l’autre, sans retenue, comme en chute libre dans un gouffre sans fin.
Tandis qu’elle est à présent allongée sur le dos, jambes écartées, c’est avec délectation que je plonge en elle, ceci avec facilité, tant Nadia est accueillante. C’est tellement naturel d’être ainsi en elle, tellement naturel que je demande pourquoi je ne l’ai pas fait plutôt.
Alors que j’aurais pu me laisser aller en elle, je décide de changer un peu la donne. À la grande surprise de ma partenaire, je me retire, et je viens plaquer son sexe bien raide contre le sien, cherchant à introduire l’arrondi de ma colonne le long de ses lèvres intimes. Calé ainsi le long de sa fente, je commence à coulisser lentement, mon gland venant parfois frotter insidieusement contre un clitoris exacerbé.
Nadia me regarde avec un sourire lumineux, visiblement contente que je cherche son plaisir plutôt que le mien. Il est vrai que je n’aurais pas de mal à rattraper mon retard ; d’ailleurs, pour être franc, je fais tout mon possible pour me freiner, ce qui n’est pas évident, mais j’y arrive quand même.
Je sens aux ongles qui s’enfoncent dans ma peau que ma partenaire a elle aussi quelques soucis de contrôle. Je lui susurre :
Tout en continuant mon frottement insidieux, je réponds :
Je m’exécute aussitôt. Tandis que nos lèvres se dévorent, je continue mon petit manège plus bas, et je sens que celui-ci porte ses fruits, car le corps de ma comparse est de plus en plus assailli par divers tremblements. Alors j’accentue mon action perverse, mais jouissive…
Ah, nous sommes passés au tutoiement, ce qui n’est pas un mal dans l’intimité. Soudain, un grand gémissement s’échappe de ses lèvres. Nadia se raidit, bouche grande ouverte, yeux fermés. Sous la jouissance qui s’empare d’elle, tout son visage irradie ! Je suis totalement fasciné, envoûté. Je regrette seulement de ne pas pouvoir capturer son expression.
Son visage radieux fait sauter le dernier verrou de mon contrôle. Alors, n’y pouvant plus, je plonge avec délectation en elle. À peine suis-je arrivé au fond de sa belle grotte humide, que je cède. Un premier jet vient tapisser son antre, puis d’autres suivent, tandis que mon corps se relâche, soulagé de tant de tensions accumulées…
Puis, après un bref repos, embarqués dans un tourbillon infernal, nous enchaînons bien d’autres folies de nos corps enfiévrés ! Je constate avec plaisir que nous sommes synchrones et que nous n’avons pas besoin de parler pour deviner les souhaits de l’autre, comme si nous étions sur la même longueur d’onde, tout paraît si naturel, évident.
Après toutes ces turpitudes, quelques instants plus tard, nous gisons sur le lit défait, nos corps rompus, rassasiés. Allongée sur le dos, fesses dodues bien en évidence, Nadia vient juste de récupérer. De mon côté, je n’ai pas récupéré toutes mes forces. Tout en me caressant délicatement, elle s’adresse à moi :
À mon tour, je la caresse, ma main sur ses belles fesses rondes :
Sans cesser de la câliner, je tente de trouver les bons mots :
Elle me dévisage, un air égayé sur le visage :
Je dépose un premier baiser sur une fesse, puis un second sur l’autre :
Elle reste interdite un bref instant, puis elle se met à rire. Flegmatiquement, j’attends qu’elle se calme. Puis elle prend la parole :
Puis fronçant des sourcils, elle rectifie :
Puis aussitôt, je me jette avidement sur elle, bien décidé à lui expliquer par A plus B ma façon de continuer avec elle !
Puis arrive le petit matin. Je suis réveillé depuis quelques minutes, je la contemple. Soudain, elle ouvre un œil, m’adressant un large sourire :
Je me penche sur elle pour déposer un furtif bisou. Ceci fait, elle demande :
Je me penche à nouveau sur elle pour l’embrasser, mais cette fois-ci, plus longuement. Elle se laisse faire. Je sens que, prochainement, j’aurai de l’inspiration pour d’autres futures chansons… En attendant, je profite de ses lèvres, et je ne vais pas me contenter que d’elles !
C’est Nadia qui prend l’initiative, en écartant brusquement les draps, puis en me couchant sur le dos, tandis qu’elle plaque sa poitrine contre la mienne.
Elle rit de bon cœur, ce qui ne l’empêche pas de passer à la suite des événements qu’elle a prévus pour nous deux. Après un long baiser vorace, elle se redresse, me permettant de contempler sa belle poitrine arrogante. Nadia se soulève un peu, saisissant mon sexe bien raide entre ses doigts :
Et sans hésiter, elle enfourne mon pieu en bronze dans sa chatte bien lubrifiée. Ma colonne entre sans effort, se nichant dans son antre si douillet. Même si je ne suis pas naturellement une bête de sexe, je sens qu’avec une femme pareille, je vais pouvoir me dépasser.
Alors que je viens de capturer avidement ses seins qui ballottent impudiquement sous mes yeux, je la pistonne du mieux que je peux, tandis qu’elle accompagne tous mes tressaillements en elle. Il n’y a pas à dire, mais une belle femme mature, sexy et charnelle, aimant le sexe, ça vous enlève un bon nombre d’années au compteur ! Mes doigts rivés dans ses chairs molles et blanches, j’essaye de me retenir, mon sexe rivé en elle, son bassin qui ondule autour de mon axe de chair, se contractant, se resserrant, comme pour le dévorer tout cru !
Ce n’est pas la première fois que je fais l’amour à une femme, j’ai quand même quelques années, voire des décennies d’expérience en la matière, mais avec Nadia, c’est nettement le cran au-dessus, comme si les autres dames qui ont traversé ma vie n’étaient que des en-cas.
Nadia est-elle une femme qui a dû vendre son corps ? Est-elle réellement une salope qui aime le sexe pour le sexe, peu importe le partenaire ? Je ne sais pas, mais je pense que, prochainement, j’aurais largement le temps de la découvrir, de l’explorer pour avoir une réponse à ces questions. Et puis, qu’importe si c’est une garce. Nadia me fascine, je suis bien avec elle, et je m’éclate comme un fou au lit quand elle s’offre à moi.
Et je me laisse aller, tel un geyser, je veux que mes jets la remplissent, la fassent déborder, je la veux à moi, rien qu’à moi, en moi, pour moi. Possessivement, parce que c’est elle. Je me vide, je m’assèche, tandis que j’entends sa jouissance dans le brouillard qui m’enveloppe.
Puis vient la quiétude… un blanc cotonneux apaisant…
C’est Nadia qui revient à elle la première :
J’émerge péniblement :
Je la capture dans mes bras :
Je l’embrasse goulûment, puis je saute hors du lit. Je reviens assez vite avec mon ordinateur portable que j’ouvre sous ses yeux, puis quelques secondes plus tard, j’affiche sur l’écran un texte que je désigne à Nadia. Elle me demande :
Tandis que la musique déroule ses notes et j’en profite pour caresser délicatement sa cuisse nue, Nadia lit silencieusement le texte. Puis quand le silence s’installe, elle me regarde, visiblement étonnée :
Je déplace l’ordinateur sur la table de chevet. Puis l’attirant à moi, je lui réponds :
Je ne relève pas, je préfère me concentrer sur cette chanson qui risque de changer diverses choses pour elle comme pour moi :
Elle me regarde d’un air assez étrange :
C’est avec un large sourire, la poitrine arrogante, qu’elle répond :
Elle est restée toute la journée, et même un peu plus… La chanson promise fut enregistrée moins d’une semaine plus tard, et fut rapidement un succès. J’avais réussi sur les deux tableaux : chanteuse et compagne. Avec elle, je pouvais explorer plein de nouveaux territoires, et ça l’amusait de m’y accompagner, aussi bien en musique qu’en cochonneries…
Trois ans plus tard, à l’étonnement de beaucoup de personnes, nous sommes toujours en couple. Je fais écouter à ma compagne une maquette de la prochaine chanson que je lui destine. Elle lit en même temps le refrain, puisque je n’ai pas encore écrit le moindre couplet. Ça vaut ce que ça vaut, c’est juste un premier jet pour donner le « la ».
Je le chante
Ça m’enchante
Ça me hante
De déguster plein de crème chantilly
D’être submergée, d’en être full assaillie
Partout, partout, partout !
C’est complètement fou !
Partout, partout, partout !
Surtout sur mes atouts !
Une fois l’écoute finie, Nadia dit :
Mains sur les hanches, elle me répond avec un sourire en coin :
Elle se gratte comiquement la tête :
Prestement, je la capture dans mes bras :
Aussitôt, je la lâche pour courir dans la cuisine. Je reviens immédiatement, armé d’une bombe de crème chantilly. Nadia pouffe :
Je la bouscule dans le canapé, je remonte sa jupe, elle se laisse faire en riant. Face à moi, son bel abricot bien juteux, celui que je déguste depuis des années et dont je ne me lasse pas. J’ai bien fait de demander à ma compagne d’être souvent sans petite culotte, ça facilite agréablement les choses !
Je recouvre sa fente de crème blanche, puis aussitôt, je commence ma dégustation, armé de ma langue agile et inquisitrice. Je sais que ma compagne adore que je lui fasse ce genre de privauté et moi, j’adore le goût de sa cyprine et les replis de son intimité.
Avachie dans le canapé, jambes bien écartées, Nadia se laisse faire, en poussant de temps à autre un petit soupir de contentement. Ce qui est bien avec ma compagne, c’est qu’elle n’est pas ultra exigeante quant au décorum, du moment qu’elle ait sa part de jouissance. De ce fait, je m’amuse souvent à repousser les limites de la décence avec elle, afin d’explorer encore plus de délicieuses cochonneries.
Bien sûr que je vais continuer ! Je veux que ma compagne jouisse sous ma langue ! Je veux l’entendre crier son plaisir ! Je veux que ma bouche soit inondée de cyprine ! Alors, je m’active du mieux que je peux, léchant, titillant, suçant mon nouveau dessert crémeux. Il ne me faut pas longtemps pour que toute trace blanche de chantilly disparaisse. Je m’attaque délibérément à sa fente, allant cueillir comme il se doit un petit bouton rose très sensible. J’adore le taquiner, le faire vibrer !
Je suis récompensé par l’abondance de cyprine sucrée qui ruisselle à présent de son intimité, et dont je me bâfre sans vergogne. Soudain, j’entends un premier cri rauque, je sais que Nadia va décoller, qu’elle va bientôt partir vers le septième ciel, et qu’elle va exploser en plein vol. Alors je continue de plus belle.
Je sens des doigts crochus plonger dans mes cheveux, et qui veulent plaquer ma bouche contre sa chatte. Je lèche sa fente encore plus fort, plus vicieusement. Nadia vibre, Nadia tressaille, puis elle déflagre en mille petits cris excitants !
Elle presse plus encore mes lèvres sur les siennes, je bois, je léchouille, j’aspire, elle tremble de tout son être, son clitoris en feu. Soudain, elle repousse ma tête. Juste le temps de lui adresser un dernier coup de langue vicieux, et elle jouit copieusement.
Ite missa est, comme aurait dit un séminariste.
Pas tout à fait, car moi aussi, je réclame ma part de jouissance, et une fois que ma compagne aura repris ses esprits et sa forme, je lui présenterai un dessert à ma façon, lui aussi plein de crème chantilly, et même plus encore…
En cette journée d’été, alors que je faisais les cent pas dans le salon, Nadia revient du dehors, un grand sac dans sa main. Au premier coup d’œil en entrant dans la pièce, elle comprend très vite la situation :
Elle me fait un gros bisou comme je les aime, puis elle disparaît dans notre chambre après m’avoir lancé un « je reviens tout de suite ». En attendant de la revoir, je regarde par la fenêtre, histoire de me changer un peu les idées. Depuis quelques jours, j’ai un nouvel air qui trotte dans ma tête, mais impossible d’en faire quelque chose, de le noter. J’ai eu beau essayer de le reproduire sur mon clavier, rien à faire. Cette musique est là sous mon nez, mais à chaque fois que je tends la main pour la saisir, elle s’enfuit, elle s’évapore. C’est agaçant, d’autant que je sens confusément que j’ai mis le doigt sur une future chanson qui risque de ne pas être des moindres.
Ce n’est pas la première fois que ça m’arrive, mais les autres fois, j’arrivais à mes fins. Et à chaque fois, c’était très bénéfique pour la carrière de ma chanteuse préférée, et avouons-le aussi, pour mon compte en banque.
Mais là, pas possible de coucher les notes sur une partition. Alors je continue à regarder par la fenêtre sans tain, ce qui m’évite de mettre des rideaux tout en ayant un beau panorama sur la vaste ville qui s’étend face à moi.
Je ne me retourne pas comme Nadia vient de me le demander. Je ne sais pas ce qu’elle a en tête, mais ça me fera sans doute le plus grand bien de penser à autre chose que cette musique insaisissable.
Ma compagne vient se plaquer contre mon dos. Je sens qu’elle est habillée, mais que le tissu semble assez fin puisque ses tétons déjà durs s’impriment délicieusement dans mon dos, à travers ma fine chemisette. Sans parler de ses mains qui caressent à présent mon torse…
Ses mains caressent toujours mon torse, s’offrant parfois le luxe de me déboutonner. Alors que je me demande si je dois me retourner pour la capturer dans mes bras, Nadia me susurre :
Je ne réponds pas, je me laisse faire, et je reconnais que c’est agréable. Très vite ma chemisette valse à travers le salon, et je me retrouve torse nu. Nadia fait glisser lentement ses mains sur ma peau, j’en ai des frissons. Ses lèvres s’amusent à déposer des petits baisers dans mon dos. Parfois même, elle me taquine du bout de la langue. Inutile de préciser que c’est la fête dans mon short !
Je comprends qu’elle s’écarte un peu de moi. Je crois comprendre qu’elle vient de déposer au sol un coussin. J’en ai la confirmation quand elle recommence ses agaceries dans mon dos, descendant le long de ma colonne vertébrale, tandis que ses mains glissent petit à petit vers mon ventre, ce qui me fait toujours autant frissonner d’aise.
Je pense que maintenant, elle doit être agenouillée sur son coussin. Après quelques caresses, elle décide de s’attaquer à mon intégrité vestimentaire. Mon short descend lentement sur mes cuisses tandis qu’elle embrasse légèrement le haut de mes fesses. Mon sexe bien dressé freine la descente du tissu. Elle proteste :
Peu après, mon short gît à mes pieds, elle s’empare d’une main de ma tige bien gonflée, tandis que de l’autre, elle fait quelques agaceries à mes testicules. Bien sûr, je me laisse faire. Il faut toujours se laisser faire quand une femme a décidé de vous faire des cochonneries ! Surtout quand c’est la sienne.
Tout en cajolant mes bourses, elle entame un doux va-et-vient au niveau de ma verge turgescente. Elle me branle délicatement durant de longs instants, tandis qu’elle continue à embrasser en même temps mes fesses. J’en profite à fond, mon problème étant surtout de me contenir !
Elle rit franchement. Puis elle reprend :
Ça confirme ce que je pensais… Je demande la suite :
Elle continue toujours sa délicate et douce branlette, tandis qu’elle continue à bisouter mes fesses. C’est très agréable, bien des hommes aimeraient être à ma place. Mon seul problème étant surtout de me contenir !
Elle continuer à embrasser mes fesses, tout en se rapprochant de mon sillon. Elle en profite pour accentuer sa branlette ainsi que le massage de mes boules bien pleines. Puis délibérément, elle glisse sa langue entre mes fesses, à la recherche de mon petit trou qu’elle déniche très vide.
Je crois comprendre où veut en venir ma belle cochonne de compagne. Il m’amuse de penser à ce que pourraient dire les médias s’ils savaient le genre de privauté qu’elle est capable de me faire de temps à autre. Je reconnais que Nadia est une bonne baisée (dans le sens noble du terme) et aussi une bonne baiseuse, n’ayant pas trop de tabous. Il y a sans doute plus dévergondée qu’elle, mais il y a surtout beaucoup plus prude qu’elle.
Ma compagne et égérie aime le sexe, mais pas avec n’importe qui. Quand elle est en confiance avec un homme, elle se libère, elle se laisse aller. Malheureusement pour elle, parfois elle a bien mal accordé sa confiance. Avant-hier, elle m’a confié qu’elle et moi avions battu du triple son précédent record de vie à deux.
En tout cas, record doublé ou triplé, elle me récompense d’une bien belle façon, sa langue agile taquine délicieusement mon petit trou qui s’évase petit à petit, tandis que sa main me masturbe fermement. Son autre main a quitté mon scrotum pour venir s’agripper à ma fesse droite. Pour lui faciliter la tâche, je me penche un peu. Je ne peux pas m’empêcher de lâcher :
Elle abandonne momentanément sa léchouille pour me dire d’un air entendu :
Et elle retourne sans ciller à sa petite besogne qui me procure tant de plaisir, devant comme derrière. Sa main écarte ma fesse pour lui faciliter l’accès, sa langue virevolte autour de ma cuvette, tandis que ses doigts s’activent de plus belle autour de ma hampe de chair. Je sens que je ne vais pas résister encore longtemps, surtout que sa langue s’offre le luxe de venir se glisser dans mon sombre tunnel, et elle insiste ! Je sens la sève monter en moi, grimper dans ma tige en feu, être au bord de vouloir sortir. Je résiste encore un peu, mais c’est si difficile ! Sa langue tournicote dans mon anus, doublant ainsi mon plaisir.
Alors n’y pouvant plus, je cède. Un puissant jet fuse de ma verge pour venir s’aplatir sur la vitre. Encore heureux qu’elle soit sans tain, sinon bonjour les accusations d’attentat à la pudeur ! Un autre jet s’aplatit juste à côté du premier qui est en train de ruisseler lentement vers le sol. Je m’imagine en train de planer par-dessus les toits, en musique, oui, cette satanée musique que je n’arrive toujours pas à saisir !
Tandis que mon cerveau se vide, tandis que mon esprit décolle, tandis que d’autres jets s’écrasent sur la vitre, mon corps semble éclater en mille morceaux, au son d’une musique qui devient limpide, évidente. Éparpillé, je plane, je flotte. C’est dans un brouillard blanc que je constate que Nadia a changé de côté, et que ma verge occupe toute sa chaude bouche humide.
Oui, avec elle, j’ai réussi sur les deux tableaux : chanteuse et compagne. Depuis qu’elle est entrée dans ma vie, j’explore plein de nouveaux territoires, et ça l’amuse toujours autant de m’y accompagner, aussi bien en musique qu’en cochonneries…
Ce soir, je participe, en direct, à une émission de seconde partie sur une petite chaîne. En plus d’un public fortement féminin, sans doute choisi pour sa télégénie, je fais face à deux interlocuteurs, une femme fort sympathique et un homme qui l’est nettement moins. Depuis le début, ce soi-disant journaliste me cherche visiblement des poux sur la tête. Il est vrai que certaines personnes recherchent le buzz à tout prix, histoire qu’on parle un peu d’elles et de leur émission, même s’il faut pour cela massacrer les invités. Sereinement, je réponds :
Avec un petit sourire en coin, le journaliste insiste :
Le journaliste serre fugacement les dents :
Avec un large sourire, je réponds :
Ce qui fait sourire fugacement sa voisine. Dommage que ce ne soit pas elle qui mène cette interview. Hélas pour elle et pour moi, son rôle dans l’émission est de servir de point commun aux divers intervenants, ce qui est quand même mieux que de servir de belle plante verte. Résultat, je me farcis ce gros crétin. Cet inepte essaye manifestement de faire du buzz en me balançant :
À nouveau, sa collègue dissimule rapidement son sourire. J’entends aussi quelques petits rires dans le public. Par contre, mon interlocuteur ne s’attendait pas à cette répartie :
Il essaye de lancer une flèche :
Un sourire en coin, il acquiesce :
Devant mon allusion, il serre les dents, sa réaction muette m’amuse, je n’aime pas trop qu’on cherche à me casser, juste pour se faire valoir. J’entends un peu plus de rires dans le public. Comme ce présentateur veut avoir le dernier mot, il relance la machine :
Mon interlocuteur hésite entre deux attitudes, l’incrédulité et le bon scoop :
C’est alors qu’il lâche spontanément la phrase qu’il n’aurait pas dû prononcer :
Je sens passer comme un ange, sur le plateau comme dans le public. Je préfère ne rien dire, c’est plus efficace dans pareil cas. Par contre, sa collègue l’incendie en direct, approuvée par le public qui l’acclame. Il ne sait plus quoi dire et où se mettre. Puis elle prend heureusement le relais, et le reste de l’émission se passe bien.
Une heure plus tard, quand je rentre, Nadia me saute au cou, nous nous embrassons, puis elle finit par me dire :
J’éclate de rire :
Elle lance à nouveau ses bras autour de mon cou :
J’adore sentir ses mains autour de mon cou et aussi ses seins moelleux contre mon torse. Ma compagne adorée me répond avec un petit sourire fripon :
Nous avons nos mignons petits codes, celui-ci est simple à comprendre. Nous nous embrassons. Puis une fois nos lèvres décollées, Nadia fait remarquer :
Je la serre un peu plus contre moi :
Nadia hausse un peu le ton :
Je la serre un peu plus encore contre moi :
Ma compagne s’étonne :
Elle m’embrasse furieusement, je réponds à son baiser de la même façon.
Quelques minutes plus tard, nous sommes sur le lit en train de faire fougueusement l’amour. Tandis que je suis agrippé fermement à ses hanches, je pistonne ma compagne qui m’offre son corps à quatre pattes. Dans le feu de l’action, entre deux coups de reins bien appuyés faisant claquer ses fesses, j’en profite pour lui proposer :
Je poursuis mon voluptueux pistonnage dans sa belle chatte détrempée :
Mais ce n’est pas pour autant qu’elle me demande d’arrêter ce que je suis en train de lui faire, et qu’elle se dégage de ma queue qui la tringle joyeusement ! J’en conclus donc qu’elle est toujours d’accord pour que je lui fasse subir des grosses cochonneries. Et comme je suis un esprit pratique et intéressé, je ne me fais pas prier.
Je suis en train de me dire qu’elle et moi, nous sommes en train reproduire un schéma, ou plutôt une position (dans les deux sens du terme) qui doit faire hurler certaines ultra-féministes. Peut-être, sans doute, mais comme ça nous convient ainsi, je ne vois pas l’intérêt de changer cet état de fait. Nous profitons de la vie et du succès, sachant que, demain ou après-demain, la célébrité ne sera peut-être plus au rendez-vous.
Ce n’est pas grave, car si un jour le succès disparaît pour un oui ou pour un non, nous déménagerons sur notre île grecque afin d’y vivre d’amour, et d’un peu plus que d’eau fraîche, puisque nous avons mis un peu de sous de côté.
Oui, l’amour, le sexe, tant que nous pouvons… L’harmonie, la tendresse aussi…
C’est à tout ça que je songe, tandis que je me vide avec délectation dans les profondeurs de ma Galatée chantante et aguichante, tandis que mon corps exulte, tandis que mon cerveau plane par-dessus les nuages, tandis que je suis en train de posséder totalement ma Nadia à moi, enveloppé dans ses multiples cris de jouissance…
Un très beau chant…