n° 19157 | Fiche technique | 20506 caractères | 20506Temps de lecture estimé : 12 mn | 24/08/19 |
Résumé: Souvenirs de jeux complices entre garçons... | ||||
Critères: hh jeunes douche intermast fellation init nostalgie délire -hhomo | ||||
Auteur : Yooo (Nostalgique de jeux entre garçons...) Envoi mini-message |
Je vais vous raconter une histoire vraie qui m’est arrivée il y a déjà pas mal d’années. Je devais avoir vingt-cinq ans, alors célibataire, timide avec les filles. Forcément adepte de bonnes branlettes pour tromper l’ennui, une secrète attirance vers les garçons s’était révélée en moi. Non pas pour filer un parfait amour avec un gars, mais plutôt pour vivre des moments de complicités viriles : quitte à se faire plaisir, c’est toujours plus sympa à deux non ?
Bref, cela faisait déjà deux ou trois ans que, contre toute attente, j’avais vaincu ma timidité et qu’il m’arrivait épisodiquement de rencontrer des jeunes mecs aussi curieux que moi, pour une petite branlette à deux, le plus souvent réciproque, chez l’un ou chez l’autre, jamais très longtemps, avant de se quitter par un « bon, bah, salut ! » un peu gêné…
Jusqu’à ce jour où sur un salon de discussion j’ai rencontré Ronan. En discutant avec lui, j’ai vite compris être tombé sur la perle rare : jeune (dix-neuf ans !), direct, sincère, et surtout à la recherche des mêmes choses que moi : un copain de branle avec qui s’amuser, tester du plaisir à deux, sans se poser de questions, tout en étant respectueux de l’autre. Une rapide webcam confirma que le physique était à l’avenant, et au bout de deux jours, nous nous étions bien décidés à franchir le pas. L’expérience n’était nouvelle ni pour moi ni pour lui (il avait récemment découvert la branle mutuelle avec son meilleur ami lors d’une soirée arrosée !), et nous avons finalement convenu de nous voir chez moi, le samedi après-midi suivant.
Ce samedi tant attendu, j’étais très nerveux. Serait-il aussi sympa en vrai que par internet interposé ? L’excitation serait-elle au rendez-vous ? Et si, au contraire, avec tout ce stress j’allais jouir trop vite et gâcher son plaisir ?… Et si je tombais sur un psychopathe ?…
Il m’appela enfin (nous avions convenu de nous retrouver en bas de chez moi), je descendis d’un pas décidé, pour retrouver un beau grand gaillard souriant. Mes craintes se dissipèrent… Après un échange de « Bonjour ! » timides, je l’ai guidé chez moi en échangeant des banalités. Une fois arrivés, nous nous sommes assis face à face, gênés, à continuer notre discussion :
Puis je me dis qu’il fallait bien enchaîner…
Nous étions toujours assis face à face, un peu gênés. Mais avec cette discussion, je sentais mon sexe commencer à se sentir à l’étroit. Devant moi, un beau jeune mec qui me parle de son expérience de branlette mutuelle avec son meilleur ami ! Alors que nous tournons autour du pot depuis trop longtemps, je lui dis doucement :
Je me suis alors dirigé vers les volets pour les fermer, pour gagner à la fois en discrétion et en intimité, avant de lui proposer de nous asseoir côte à côte sur le canapé.
Une fois nos t-shirts enlevés, à la fois stressé, mais décidé, j’approchai mes mains de son beau torse, pour commencer à le caresser. Il se laissa faire, et fit de même avec moi. Notre séance de jeux interdits commençait enfin… Étant personnellement assez sensible des tétons, j’aventurai mes doigts sur ceux de Ronan, qui se laissa faire.
Il ne se fit pas prier et me les titilla soigneusement en souriant. Je le gratifiai d’un large sourire pour l’encourager. Pour varier les plaisirs, je glissai mes mains vers ses aisselles qui dégageaient une discrète, mais virile odeur de sueur qui ne me laissait pas indifférent. Tant le sentiment de transgression que le plaisir mécanique du massage de tétons prodigué par mon nouvel ami m’excitait au plus haut point. Ronan semblait aussi bien apprécier ce petit jeu, mais s’impatientait. Il était là pour de la bite, de la vraie ! Je crois donc que ce fut lui qui proposa de laisser tomber les pantalons – mais pas les caleçons, ne nous précipitons pas…
Nous nous exécutâmes, et voilà donc deux mecs en calbut, assis l’un à côté de l’autre, à chercher à se faire plaisir sans censure. La perte des pantalons ouvrait de nouveaux horizons, avec de magnifiques vues sur de belles bosses sur lesquelles les mains ne tardèrent pas à s’attarder. Mais il fallait y aller doucement, profiter à fond de ce moment d’exception, si bien que nous prîmes soin d’explorer toute la surface de tout ce nouveau terrain de jeux, devant et derrière, par de franches caresses. Ces découvertes tactiles nous mettaient dans un profond état d’excitation, notre respiration s’accélérait et, bien naturellement, nos mains glissèrent progressivement à l’intérieur de ce « paquet cadeau » offert par le copain !
Ainsi, ma main trouva quelques poils et, très vite, la queue chaude, humide et dure de Ronan, emprisonnée dans ce caleçon trop serré. Au même moment, Ronan agrippa franchement ma bite qui bandait d’impatience. Nous sommes restés quelque temps ainsi, la main dans le caleçon du copain, avant de constater que nos queues étaient décidément bien trop à l’étroit, et décider de les libérer une bonne fois pour toutes.
Enfin nus, nous allions pouvoir passer aux choses sérieuses. Sans me poser de questions, je saisis la queue de Ronan pour la caresser, puis franchement la branler, avec douceur et fermeté. Il me rendit rapidement la pareille, sans hésitation, avec application. Nous ne disions plus rien à part quelques « mmmm » ou « wôw, c’est bon »… Tous nos sens étaient en éveil : la vue, avec l’admiration de nos sexes bien tendus ; l’odorat, avec ce fond de sueur, mais aussi ces nouvelles odeurs bien intimes ; l’ouïe, avec l’écoute du pote qui respire fortement, qui donne des mots d’encouragement ; le toucher bien sûr, avec cette superbe sensation d’être à la merci d’un garçon qui sait mieux que quiconque là où il faut aller ; pas encore le goût, cela dit (en tout cas, pas ce jour-là…)
Mon excitation montait très vite dans les tours, et je n’avais qu’une crainte : jouir trop vite, en tout cas bien avant lui, et risquer de le décevoir franchement. Au contraire, il fallait voir comment varier les plaisirs. Je lui demandai ainsi d’y aller mollo, et après quelques pauses nécessaires, il me proposa de changer de position. Jusqu’à présent nous étions restés côte à côte sur le canapé. Il me proposa de m’asseoir face à lui. Je me mis juste devant lui, à genoux de part et d’autre de ses cuisses, ce qui me mit un peu en hauteur par rapport à lui, avec ma queue près de la sienne. Ainsi calés, nous reprîmes notre branle mutuel, nos mains agissant très proches l’une de l’autre… Il me confia plus tard qu’il avait adoré ce moment. Une autre fois, en pareille circonstance, nous en avons profité pour coller nos bites l’une contre l’autre et les branler d’une main, mais pour cette première fois, nous sommes restés « classiques ».
Cette première fois, donc, se poursuivit de façon presque banale, mais néanmoins intense : à nouveau l’un à côté de l’autre, nus, cuisse contre cuisse, nous nous branlions mutuellement, en toute simplicité, avec quelques incursions sur les couilles, quelques tripotages ciblés sur le gland au doigt mouillé, toujours en tâchant d’être alignés sur le même rythme :
Nous sommes alors rentrés dans un mode « paluchage à fond » avec une seule obsession : faire jouir le copain comme jamais, et pour cela, se retenir de jouir soi-même trop vite… Nous nous encouragions par quelques « wôw », « vas-y », « putain… » chuchotés entre deux halètements rauques.
Ça n’a pas duré longtemps. Quasi en même temps, en criant de plaisir, nos queues explosèrent et inondèrent nos torses. Très impressionné, je contemplai la belle queue de Ronan, vidée, en train de retomber très doucement, avec tout ce sperme déversé sur son ventre et son torse. Moi-même, je m’étais bien vidé grâce aux mains expertes de mon ami.
Un brusque retour à la réalité me fit prendre conscience de l’étrangeté de la situation : moi, sur mon canapé, plein de sperme, avec un quasi-inconnu dans la même situation juste à côté de moi ! L’excitation avait fait place à une étrange sensation de pudeur et de gêne. Ronan paraissait plus détendu, et dans un esprit pragmatique, il entreprit de se nettoyer avec l’essuie-tout que j’avais disposé à proximité, en bon organisateur. Son excitation était retombée aussi sans doute, puisqu’il me laissa nettoyer mon sexe moi-même.
Nous qui avions tant partagé, nous n’avions plus grand-chose à nous dire, à part « où je peux me laver les mains », et très vite, un « bon bah, c’était sympa… Salut… On se rappelle ? »
* * *
Nous nous sommes rappelés…
Nous avons gardé contact et en quelques mois, nous avons dû nous revoir cinq ou six fois, souvent au dernier moment, toujours chez moi… pour essayer parfois quelques variations sympathiques !
Ainsi, la deuxième ou troisième fois, alors que nous étions à nouveau en mode « je te branle, tu me branles », l’un à côté de l’autre sur le canap’, Ronan me dit d’un ton assuré :
J’étais à la fois surpris et excité par cette initiative imprévue. Nous avions dû en discuter en tchat pour rigoler, pour s’exciter un soir que nous étions chacun devant notre PC sans pouvoir nous voir, mais je ne pensais pas qu’il franchirait le pas… Et surtout, cela signifiait implicitement que j’allais devoir lui rendre le service ; ce qui n’était pas forcément pour me déplaire.
Bref, Ronan ne se démonta pas et se mit à genoux sur le parquet, face à moi, ou plutôt face à ma queue qui était bien dressée suite à ses travaux manuels sur ma personne. Sans trop hésiter, il pencha ses lèvres sur mon gland, et commença à sucer doucement mon membre. Ce n’était pas une fellation franche, mais c’était très doux. Le salaud, il savait y faire… Un « woooow » spontané lui témoigna ma gratitude, avant un « c’est super, dis, mais vas-y doucement, hein… » Il continuait sans rien dire, avec application.
J’étais aux anges : mon pote Ronan avait accepté de mettre en pause sa propre jouissance, pour m’offrir une nouvelle expérience incroyable. À défaut de prendre soin de son sexe, je lui caressais doucement les cheveux, avant de dire :
Il s’arrêta lentement et libéra ma bite pour me dire, avec son ton naturel de jeune garçon de dix-neuf ans qui me faisait craquer :
Il se rassit, et c’était mon tour de lui montrer ce que je savais faire de ma bouche. À genoux, je pouvais voir sa bite plus près que jamais. Si proche, elle n’en était que plus belle et impressionnante. Ses vilaines odeurs étaient encore plus prononcées, mais ne me découragèrent pas : je voulais tellement faire plaisir à Ronan. Ce que j’allais faire me semblait très osé, mais je sentais que j’avais envie d’essayer. Alors, ma langue alla visiter la base de cette belle queue, puis les côtés… Monsieur semblait apprécier. Encore intimidé par son beau gland humide, j’attardais ma langue sur ses couilles (qu’il aimait tant que je masse), accrochant quelques poils au passage. Ainsi mis en confiance sur ce nouveau terrain de jeu, ma bouche remonta pour enfin flatter doucement son gland du bout de ma langue, tandis que mes mains caressaient gentiment ses fesses. Cette expérience était irréelle, j’avais le gland juteux de mon copain dans la bouche, j’étais partagé entre dégoût et excitation, mais il aimait ça, me le disait, et c’était l’essentiel.
Après ces gentils léchouillages, je me suis relevé, et ai proposé à Ronan de finir la séance en 69… Il était partant.
Le temps d’ouvrir le canapé-lit pour mieux accueillir nos ébats, nos queues avaient un peu battu de l’aile. En nous couchant l’un contre l’autre, tête-bêche, nous avons repris les choses en main, avec quelques caresses bien dosées. Hélas, de mon côté la tension était devenue trop forte, et je ne sus résister à la branlette de Ronan, en jouissant abondamment, mais précocement. Il ne m’en voulut pas. L’excitation retombée, prenant mon courage à deux mains, je le branlai maladroitement, mais suffisamment pour le faire juter très vite à son tour : finalement, lui aussi avait atteint ses limites !
* * *
Nous avons refait ce type de jeux quelques fois, mais sans aller jusqu’au fameux 69, finalement. Les jeux de branle offraient déjà beaucoup de perspectives. Assis, couchés, face à face, parfois en matant des films. Une ou deux fois, comme je le disais, nous avons tenté une branlette bite contre bite : une expérience très excitante, mais à consommer avec modération !
Mais notre expérience la plus jouissive fut sans doute celle de la douche.
Je ne sais plus qui en avait eu l’idée, mais un jour nous avons décidé de prendre une douche ensemble, dans ma baignoire. Déssapage direct, et nous voici debout à poil dans ma salle de bains. Nous nous sommes caressés longuement le corps, et même roulés une petite pelle, pour le fun : Ronan était devenu très joueur.
Après ces préliminaires, nos queues dressées nous montraient le chemin de la douche. Pour le principe, j’ai mis l’eau en route, mais cela était finalement assez superflu. Nous avons vite repris nos caresses mutuelles, avec un peu de gel douche, histoire de rester dans le thème. Nous avons dû jouer à nous mettre l’un derrière l’autre, à plaquer sa bite contre les fesses du copain, tout en jouant avec sa queue sans la voir.
J’ai alors confié à Ronan :
Une fois Ronan couché, je m’accroupis dans la baignoire, face à lui, et lui prodiguai d’intenses léchouilles sur sa queue rincée, histoire d’achever son nettoyage, jusqu’à entendre un :
Nous échangeâmes nos positions, et je pus savourer une belle pipe de la part de mon complice, avant de l’arrêter :
Alors que j’étais toujours couché sur le dos dans la baignoire, il se mit devant moi, à genoux. Naturellement nos mains agrippèrent mutuellement nos queues, pour atteindre une jouissance sans limites. Très vite, Ronan me fit jouir, puis très vite, je fis jouir Ronan, et je sentis son sperme chaud gicler sur mon torse, ce qui paracheva mon plaisir. J’étais littéralement inondé de sperme, du mien, de celui de Ronan ; nous avions passé un moment très intense et très complice. Il était temps de se rincer une dernière fois (cette fois-ci, l’eau était utile !) avant de se dire au revoir.
* * *
ÉPILOGUE
Ce mémorable épisode de la douche fut celui de notre dernière rencontre. Ou presque.
Ronan connut une fille, puis ce fut mon tour, avec qui je file d’ailleurs toujours le parfait amour.
Nous avons pourtant continué de chatter ensemble quelquefois, nostalgiques de ces jeux.
Puis Ronan se retrouva à nouveau célibataire, et rencontra d’autres mecs, plus expérimentés, qui lui ouvrirent encore d’autres horizons. J’étais avide de lire ses aventures, tout en étant nostalgique, curieux, content pour lui, mais aussi un peu jaloux qu’il trouve plaisir avec d’autres garçons. Au fil des années, sa bisexualité s’affirmait ; il avait trouvé très sympas nos jeux, mais il cherchait clairement davantage avec les hommes.
Un week-end que j’étais seul à la maison, j’ai pourtant osé le réinviter, quatre ou cinq ans après la fameuse douche. Lui aussi était curieux de refaire ces petits jeux avec moi ! Je retrouvais un Ronan plus mûr, mais toujours aussi malicieux.
Pour nous mettre en forme, il proposa de mater une vidéo ensemble, et choisit une vidéo gay mettant en scène deux jeunes hommes assez sympathiques, l’un se faisant prendre assez vigoureusement par son compagnon. Cela m’excitait aussi, même si je craignais que Ronan veuille trouver là le prétexte de me faire découvrir d’autres sensations qui ne me motivaient pas vraiment… Je savais qu’il aimait prendre des garçons, et que sa seule expérience passive ne l’avait pas emballé.
Nous nous sommes embrassés, caressés, et branlés comme au bon vieux temps. Il avait laissé tomber son pantalon, mais avait gardé sa chemise ouverte, ce que je trouvais bien excitant. Je redécouvrais avec bonheur de vieilles sensations. Son odeur mélangée de sueur et de gland humide embaumait la chambre. J’avais envie de tout (re)faire ce jour-là, pour fêter ces retrouvailles et ne pas rater une occasion unique. Je lui ai même proposé de me montrer dans quelle position il aimait prendre les mecs, sans le faire pour de vrai, juste mimer la position ; mais non, il n’était pas chaud. Bref il était moins à fond que moi, peut-être un peu blasé, mais ne disait pas non quand je lui massais les boules ou frottait ma queue contre la sienne. Nous avons fini la séance classiquement, à jouir l’un à côté l’autre, comme la première fois.
Une fois rhabillé, il me dit au revoir en souriant.
Et nous nous sommes perdus de vue.
C’était une chouette aventure.