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n° 19162Fiche technique10599 caractères10599
Temps de lecture estimé : 7 mn
27/08/19
Résumé:  Pour la première fois, elle se laisse aller sans culotte
Critères:  fh fhh extracon hotel fsoumise fellation cunnilingu pénétratio -initfh
Auteur : Fanfanfanette63            Envoi mini-message
Fantasme réalisé

J’ai connu Fanette vierge, et moi je n’avais eu qu’une expérience avec une maman cougar qui m’avait certes dépucelé, mais qui ne m’avait laissé que de mauvais souvenirs tant je devais me soumettre à ses désirs.


Nous étions fous l’un de l’autre, mais au fil des années, nous nous sommes posé des questions. Lorsque nous faisions l’amour, nous nous allumions de plus en plus l’un l’autre en évoquant la possibilité que Fanette me trompe. Elle adorerait se faire baiser par un autre tout de suite après moi, elle voulait une queue bien raide après que je me sois retiré. Après avoir fait l’amour, il n’en était plus question. Elle évoquait le fantasme, mais elle ne voulait pas qu’il se réalise.


À force de la faire parler, elle finit par m’avouer que le fait de n’avoir connu qu’un seul homme lui faisait se poser des questions et que bien qu’elle ait du plaisir avec moi, elle aurait aimé essayer avec quelqu’un d’autre. Chaque fois que nous faisions l’amour, j’évoquais la possibilité que ce soit un autre qui la baise et son plaisir ne faisait qu’augmenter à chaque fois que cette situation était évoquée.


Cela l’obsédait tellement que je finis par lui proposer d’essayer, à condition que ce ne soit pas avec quelqu’un que je connais et que cela ne dure pas. Puis nous n’en avons plus parlé d’un moment, comme elle n’avait personne, son partenaire de fantasme restait imaginaire.


Un jeudi soir, elle rentra toute guillerette, tout heureuse de s’être fait draguer par le vigile du supermarché. Elle m’a avoué que cela durait depuis plusieurs semaines, mais là, il l’avait suivie dans les rayons, puis l’avait abordée au rayon lingerie en lui proposant une tenue sexy dans laquelle il la voyait bien. Puis il lui avait laissé son nom (Jean) et son téléphone portable en lui disant que si elle avait besoin de quoi que ce soit, elle n’avait qu’à téléphoner.


Je lui demandai alors s’il lui plaisait, elle m’avoua que oui, et si elle avait l’intention de le rappeler ? Là, elle me dit non.



Le soir même nous avons fait l’amour, je l’ai titillée en lui disant :



Là, elle était excitée et me dit :



Elle a joui comme elle fait rarement, m’inondant de mouille. Peu après, elle était encore excitée dans la phase où elle se caresse en évoquant qu’une queue bien raide la pénètre à nouveau. Là, je ne sais pas ce qui m’a pris, je lui ai dit :



Sur ce, j’ai composé le numéro et lui ai tendu le téléphone. À mon grand désarroi, elle l’a pris, elle s’est présentée et ils se sont donné rendez-vous pour le lendemain midi au restaurant. Il ne travaillait pas l’après-midi, ils pourraient aller se promener après.


Lorsqu’elle a raccroché, elle m’a demandé :



Alors que d’habitude je ne lui faisais l’amour qu’une seule fois, la situation m’excitait, peut-être que la peur de la concurrence m’incitait à être encore plus fort. Elle jouit encore et encore et me remercia. L’excitation passée, elle me dit :



Le lendemain, je partis au boulot de bonne heure comme d’habitude. Fanette dormait sur le ventre, nue, son cul offert. En repensant à la veille et au fait que la concurrence arrivait, je ne pus m’empêcher de lui caresser la fente et, au bout de quelques secondes, sa cyprine vint m’indiquer que je n’avais plus qu’à m’introduire. Je la labourai comme une bête, moi qui d’habitude n’avais jamais le temps le matin, je l’ai fait jouir à nouveau.


Elle était heureuse que je m’occupe d’elle. Elle m’accompagna, nue, jusqu’à la porte et me dit :



La porte était ouverte. Elle, si pudique d’habitude, était nue sur le palier, tout le monde aurait pu la voir. Elle m’embrassa fougueusement, elle était encore excitée, puis elle me dit :



Durant le trajet, je repensai à son rendez-vous de midi, essayant de me persuader qu’elle n’irait pas.

Vers midi, je l’appelai sur son portable, pas de réponse ! Je réitérai les appels tout l’après-midi, sans succès.


Ce n’est que vers 17 h qu’elle me rappela. J’étais en rendez-vous. Elle me dit juste qu’elle avait vu que j’avais essayé de la joindre, que je ne m’inquiète pas, que tout s’était bien passé et qu’elle rentrait à la maison.


Dès lors je n’y tenais plus, elle avait donc franchi le pas ! Je voulais renter chez moi au plus tôt.


Je rentrai à la maison vers 19 h, comme d’habitude, le repas était prêt. Je n’osais pas lui poser de questions. C’est elle qui a commencé à me raconter. Ils étaient allés au restaurant puis s’étaient promenés au parc avant d’aller à l’hôtel. Là, il a fallu que je la questionne. Elle ne voulait pas en dire plus, si ce n’est que, oui, ils avaient fait l’amour. Avait-elle été satisfaite ? Elle s’est contentée de me dire qu’ils ne s’étaient vus que pour le sexe et donc que c’était différent.


Ce n’est que le soir qu’elle m’a raconté ce qu’ils avaient fait. Comme il a compris qu’elle n’avait que très peu d’expérience, il s’était employé à lui apprendre beaucoup de choses. Il lui avait fait sucer sa bite (qu’il avait, paraît-il, énorme), il l’avait fait jouir par son clitoris puis par son vagin, bref, il l’avait prise dans beaucoup de positions, et il se promettait de la faire jouir par son trou du cul. Il était très surpris qu’elle soit encore vierge de ce côté-là, mais elle n’avait pas voulu.


Je lui ai demandé si cela lui avait plu au moins ? Elle me fit un « oh, oui ! » qui en disait long sur le plaisir qu’elle avait pris.


Nous avons fait l’amour très longtemps ce soir-là. Elle était beaucoup plus libérée, se laissant aller par des cris de jouissance jusque-là plus retenus. Elle me disait :



Lorsque nous avons terminé, elle m’a avoué qu’elle avait rendez-vous le lundi suivant. Elle devait se rendre au rendez-vous en jupe longue, sans culotte et sans soutien-gorge. Mais elle ne savait pas si elle allait y aller.


Mes sentiments étaient partagés. Certes j’étais cocu, mais j’avais une femme de plus en plus accro au sexe et cela n’était pas pour me déplaire !


Le lundi suivant, je ne travaillais pas. Jusqu’au dernier moment, Fanette ne savait pas si elle devait y aller ou pas. Nous avons fait l’amour une bonne partie de la matinée. Cela nous excitait de franchir l’interdit, je lui demandais si elle allait y aller sans culotte, elle me dit :



Finalement, vers 11 h, c’est moi qui l’ai convaincue d’y aller ! Visiblement elle n’attendait que ça, que je lui donne le feu vert. Elle hésitait, elle avait trop peur de se promener sans culotte et sans sous-tif. Là encore, c’est moi qui lui ai dit :



C’est ce que nous fîmes Fanette était toute rouge. Dans le bus, elle me dit qu’elle avait l’impression que tout le monde savait et voyait qu’elle n’avait pas de culotte. Une rue avant son hôtel, j’ai arrêté Fanette au coin de la rue et j’ai passé ma main sous sa jupe, elle était trempée d’excitation. Je l’ai laissée partir sachant qu’elle en avait une envie folle, j’avais envie d’aller avec elle, avec eux !


Lorsqu’elle rentra le soir, elle était très fatiguée. Elle me raconta qu’il l’avait d’abord prise comme une brute lorsqu’elle était entrée dans la chambre. Il l’avait traitée de salope et l’avait pénétrée directement par-derrière. Elle avait joui violemment, mais ça avait été rapide. Il lui demanda alors si elle en voulait encore et la fit se déshabiller entièrement et s’allonger sur le lit, les fesses en l’air. Il l’attacha alors aux barreaux du lit puis il se mit en face d’elle en exigeant qu’il la suce pour le faire rebander.


C’est alors qu’elle sentit une présence derrière elle, quelqu’un montait sur le lit et s’insinuait en elle sans qu’elle puisse esquisser un geste de refus tant elle était excitée et mouillée.



Sans qu’elle ait pu regarder qui la baisait, elle avait dit oui, tant elle était heureuse d’avoir deux queues à sa disposition. Elle avait été comblée tout l’après-midi. Ils s’étaient succédé en elle et avaient pris un plaisir fou. Cela me faisait bander de voir ma femme devenir une grosse salope, je lui ai fait l’amour et j’ai joui comme rarement. Elle m’avoua ensuite qu’elle avait beaucoup aimé, mais qu’elle allait arrêter ces jeux pervers. Elle avait enfin connu d’autres hommes et elle savait maintenant qu’elle ne trouverait guère plus de plaisir qu’avec moi, la tendresse et l’amour en plus.


Depuis elle n’a pas recommencé. Elle me raconte parfois ses ébats avec ces deux hommes lors de nos délires, cela nous excite et nous stimule.