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n° 19165Fiche technique28975 caractères28975
Temps de lecture estimé : 17 mn
28/08/19
Résumé:  Le dimanche se déroule à merveille. Ce qui étonne le plus notre couple, c'est que tout nous semble le plus naturel du monde. La soirée s'annonce très agréable et très chaude.
Critères:  ff ffh fépilée campagne anniversai douche amour voir noculotte lingerie fmast fgode jouet init -couple+f
Auteur : BVT      Envoi mini-message

Série : Cinquante ans

Chapitre 08 / 08
Laisser faire

Résumé :


Après « Un réveil inattendu » et « Un moment très intime » le début de week-end de reprise en main a continué pour nos deux quinquagénaires avec le « Jeu des souvenirs ». Luc gagnera le jeu par roublardise, mais l’important étant « L’annonce inattendue » pour le dimanche. « Le jour d’avant » a été très chargé affectivement. Maintenant « La rencontre » a été consommée et tout naturellement elle a continué après un moment de questionnement «Stop ou encore ? »




************




Je retrouve les filles dans notre pièce secrète. Jusqu’à aujourd’hui, personne n’avait mis les pieds dans notre jacuzzi, ce n’était que pour nous deux. Alors, les voir dans les bulles me surprend dans un premier temps. Le bassin ne comporte que deux places, mais elles sont conçues de façon à pouvoir se tenir côte à côte ou face à face. C’est cette configuration qu’elles ont choisie. Elles ont rapidement tourné la tête vers moi quand je suis entré, mais uniquement quelques secondes avant de se fixer l’une l’autre. Avec les bulles, je ne peux rien voir, mais je sais qu’il se passe quelque chose dans l’eau.


Je m’approche du tableau de commande et progressivement diminue le bouillon. J’arrive enfin à distinguer leurs mains. Les femmes s’auto-masturbent le clitoris lentement, avec deux doigts de la main amie branlant le vagin de l’autre. Je n’interviens pas, je profite du spectacle. Il leur faudra agir longtemps pour enfin atteindre un bel orgasme synchronisé, les yeux dans les yeux.


Après quelques minutes de retour au calme, je reçois un ordre de ma femme.



Le ton employé ne laisse aucune place à la discussion. Je reviens donc quelques minutes plus tard avec les tenues attendues. Les filles sont sous la douche, elles en sortent et me poussent sous l’eau à leur place et s’essuient sensuellement devant moi.


Elles se rhabillent lentement, enfin, plus précisément, elles remettent sur leurs épaules leurs robes tuniques et ferment juste deux boutons au niveau de la ceinture puisqu’elles n’ont rien d’autre. Elle me laisse terminer mes ablutions.


En sortant, je les vois se promener sur la terrasse faisant le tour des pots de plantes. Une fois de plus, je me fais voyeur. Le moment est fantastique. Quand elles se déplacent, leurs jambes apparaissent parfois jusqu’à l’aine, au moindre mouvement du haut des corps, un sein pointe son téton, des culs se dévoilent quand elles se baissent ou que le vent est taquin. Ce n’est pas ça qui va me calmer.


Comme l’après-midi est bien entamé, il est temps pour moi de faire un tour au jardin. J’arrose un peu par ici, un peu par là. Un tour au poulailler, ces demoiselles ont été productives.


Ce n’est qu’environ une heure après que je rejoins la terrasse, il n’y a plus personne, mais j’entends des rires à l’étage. Je retrouve les femmes dans notre « buratelier » (voir « Un moment très intime » de cette série). Elles discutent et s’amusent autour des tables de travail. Ma femme a disposé quelques peaux et elles les triturent dans tous les sens, pour comprendre le sens de travail du cuir. C’est sensuel, la sélection des morceaux se fait à l’œil, mais aussi, et surtout, au touché. Leurs corps restent fortement visibles tant leurs positions semi-couchées sur la table accentuent les décolletés et remontent les voilages sur les cuisses à la limite des fesses.


Je ne veux pas les interrompre, mais en même temps, j’aimerais bien discuter avec ma femme pour l’organisation de la soirée. Discrètement, j’arrive à lui faire signe et je pense qu’elle a compris mon message. Je retourne en cuisine, vite rejoint par ma belle, tout sourire. Elle me saute littéralement dans les bras.



Je l’assois sur le plan de travail, enlève les deux boutons qui maintenaient sa robe légèrement présentable, quoique moi, je préfère cette nouvelle présentation, les seins à l’air et le sexe ouvert. Je la couvre de baisers et de caresses. Elle se maintient grâce à une main dans son dos et une derrière ma tête. Je me régale de ses pointes de seins. Elle soupire et m’encourage. Je l’oblige à s’allonger un peu plus et je m’attaque à sa chatte. Je ne prends pas de précaution, je lui bouffe goulûment le sexe, je lèche et avale son jus. Je sens son corps s’ouvrir, se relâcher, se détendre puis soudain, son bassin entre en vibrations. Le signe que l’orgasme arrive à grands pas et effectivement, elle chavire dans l’extase, laissant échapper un cri de bonheur. Je me redresse, la tronche toute gluante. J’adore la voir dans cet état de jouissance. Elle est belle naturellement, mais encore plus quand elle vient de jouir. Elle revient à elle progressivement, je la prends dans mes bras et la serre très fort, très, très, très fort !



Le silence s’installe durant plusieurs minutes. Nous sommes sur un petit nuage. C’est moi qui finis par rompre le calme !



Elle me pousse, se lève et vient se lover sous mon bras, sa bouche très proche de mon oreille, une main sur mes fesses et l’autre directement sur la boutonnière de mon short. Elle passe un doigt par les ouvertures entre les boutons et me caresse la tige raide qui se trouve derrière les boutons. En prenant une voix très sensuelle, elle ajoute.



Elle reboutonne légèrement sa tunique et m’envoie sur la terrasse attendre l’apéro. Je ne vais pas attendre bien longtemps, puisqu’à peine cinq minutes après, je vois deux beautés plateaux en mains venir s’installer en face de moi dans le salon de jardin. Les verres de rosé sont servis frais, les filles trinquent et se font un baiser avant de boire. Ensuite, c’est à mon tour, je trinque avec l’une et nous nous embrassons, puis l’autre avec le même rituel.


Une fois de plus, la soirée continue le plus naturellement possible. On discute, grignote, rit, s’amuse. À la fin de l’apéro, Violaine nous informe qu’elle nous abandonne quelques minutes et monte dans les combles retrouver son sac que nous avons mis dans une chambre d’amis. Je questionne Pola, qui ne semble pas savoir ce qui se passe, mais elle garde un magnifique sourire.


Nous n’attendons pas longtemps, nous avons le plaisir de la voir revenir dans une nouvelle tenue. Elle a enfilé une chemise blanche transparente qui ne cache rien de ce qui se trouve en dessous. Nous pouvons admirer un ensemble de lingerie noir. Le soutien-gorge ne cache pas grand-chose des chairs qu’il maintient à tel point que les tétons sont à moitié visibles. Le string est tout aussi minimaliste, le voilage de façade est lui aussi complètement transparent. Comme elle tourne sur elle-même gracieusement, nous pouvons voir que l’arrière est encore plus simple, juste un bout de tissus au-dessus des fesses, on devine la même chose qui descend vers l’entrejambe, mais il est caché entre les fesses.



Je tourne la tête vers ma femme pour voir sa réaction, je crains un peu de jalousie. Mais il n’en est rien, je vois une bouche souriante des yeux brillants.



Pola vient se glisser affectueusement dans le dos du mannequin de lingeries. Tout en faisant de tendres baisers dans son cou, elle caresse la poitrine à travers le fin voilage. Les gestes sont très lents, très doux, très calmes, mais très efficaces. Les pointes se remplissent de sang et ne restent plus derrière la dentelle. Les tétons pointent fièrement vers moi. Violaine ne peut contenir des gémissements venant de très loin dans son ventre.


La caresseuse profite de ce temps d’abandon pour descendre une main directement sur le sexe de sa belle amie. Voir les doigts légèrement masqués derrière le fin voile, commencer à caresser, puis malaxer et enfin pénétrer, c’est déjà un supplice pour moi, mais quand les gémissements se transforment en cris de plaisirs cela devient insupportable. Je me déplace pour m’asseoir sur la table devant le corps caressé.


Ma femme oblige sa proie à mettre un pied sur la table à côté de moi, écarte le string sur le côté et m’offre les lèvres humides en guise de deuxième apéritif. Sous nos interventions, Violaine ne tiendra pas longtemps. Elle plaque mon visage et s’écroule en partie sur ma tête.

Après quelques minutes, elle retrouve ses esprits et annonce :



Nous éclatons de rire une nouvelle fois.


Le repas reprend tout naturellement. Elles ont préparé des tomates avec des œufs de nos poules. Le petit rosé de pays coule tranquillement de la bouteille aux verres et des verres aux bouches. Ayant terminé son assiette, Pola disparaît à son tour pendant que nous terminons notre repas. Violaine débarrasse un ou deux plats, elle vient à peine de reposer ses fesses sur son fauteuil, que revient ma douce. Je sais immédiatement que c’est moi qui suis le premier visé par le choix de ce sous-vêtement. Violaine est subitement muette. Pola tourne sur elle-même, la face arrière est tout aussi attirante. Quand elle sort son body-string vert transparent, c’est qu’elle est particulièrement en attente de sexe. Sa poitrine est remontée, sa taille est mise en valeur et son cul est encore plus alléchant.


Elle s’installe à son tour à sa place et nous attaquons le fromage. J’ai du mal à me concentrer sur mon assiette, mes yeux ne savent pas où se poser.


Avant de servir le dessert, ma femme m’invite à aller me changer à mon tour.



Les filles explosent de rire, mais pour autant, je n’y couperai pas, je dois me déshabiller. Et voilà, je vais de nouveau me retrouver nu sur ma terrasse, cela devient une habitude depuis trois jours. Enlever ma chemise ne me pose pas de problème, mais quand je déboutonne mon short, que je sais que je vais me faire chambrer, car je suis toujours en érection, même que partiellement, cela reste une érection. Mais les filles piaffent d’impatience et me provoquent. Quand le vêtement se retrouve sur le canapé à côté de moi, mon sexe tend vers elle à l’horizontale, provocant, presque insultant.



Je te montre ?



Elle a employé une attitude de « pouf » en disant cela, ce qui encore une fois, provoque un bon rire incontrôlable et ma queue qui se met à vibrer avec mes spasmes, n’arrange rien à la bonne humeur. Alors que je suis toujours debout, les rires se tarissent quand ma femme se lève, s’approche de moi, m’attrape par la queue. Elle me tire doucement vers elle tout en s’asseyant sur la table basse. Du regard et d’un geste de la tête, elle invite Violaine à venir à côté d’elle. Le silence tranche franchement maintenant avec les rires d’il y a quelques minutes.


Ma femme pose une paume de main sur mes testicules et encercle la base de ma queue entre pouce et index. Elle se caresse le visage avec mon gland, finissant pas ses lèvres. Elle les entrouvre et commence une série de bisous par l’extrémité, puis tout autour du gland. Elle ouvre la bouche et enfourne ce champignon. Elle me serre entre sa langue et son palais. Les va-et-vient sont lents, mais terriblement efficaces. Mon sexe est maintenant parfaitement tendu et à son apogée. Soudainement, elle me recrache et regarde son amie.



Elles continuent de discuter entre elles de techniques, de sensations. Pendant la conversation, ma femme attrape ma chemise sur le canapé et essuie la bave qu’elle vient de laisser sur moi. Ce moment moins glamour fait redescendre un peu ma pression.



En disant cela, elle me force à me mettre devant Violaine. Celle-ci, sans aucune hésitation, reproduit exactement les mêmes gestes qu’elle vient de voir en exemple. Elle finit par m’enfourner sans la moindre appréhension. De nouveau le sang revient en pression dans mon organe. Après quelques minutes, à son tour, elle arrête et contemple son travail.



Et elle recommence. Ma femme se lève et vient derrière moi, m’enlace et me prend les seins à pleine main. Elle me susurre dans l’oreille :



Alors que j’allais répondre, elle met une de ses mains devant ma bouche et continue toujours à voix basse :



On restera comme cela plusieurs minutes, Pola mettra même une main derrière la tête de la suceuse pour l’inciter à augmenter la profondeur de gobage. C’est aussi elle qui l’arrête quand elle voit que mon sexe est énormément rempli.



Finalement, je suis content de cette petite pause, car je n’aurais plus tenu bien longtemps. Deux femmes pour moi seul, c’est un fantasme qui se réalise, mais la réalité est bien difficile à contenir. Déjà une femme en sous-vêtements s’offrant à la vue d’un homme, c’est beau.


Une bouche s’activant autour de son propre sexe, c’est excitant, mais si, en plus, on ajoute à cela une main qui tripote les testicules, cela devient difficilement contrôlable. Mais le pire, c’est qu’en plus ta propre femme se met dans ton dos dans une tenue excitante et participe tactilement et verbalement. Personnellement, il m’est difficile de contrôler quoi que ce soit.


Nous prenons le chemin de la chambre, une certaine tension se fait ressentir, nous allons franchir une étape supplémentaire. La porte s’ouvre, Pola entre franchement, mais Violaine marque un temps d’arrêt, comme je suis derrière elle, je me retrouve collé à son dos. Je cale mon sexe mi-mou dans ses fesses et je la serre légèrement par les hanches. Ma femme, comprenant le malaise, revient vers nous et fait la même chose de face. Violaine est prise en sandwich. Les lèvres des femmes se collent, les bouches s’ouvrent, les langues engagent une dance sensuelle. La chemise transparente tombe au sol. Deux mains se glissent entre moi et le dos de Violaine, détachent le soutien-gorge et l’enlèvent lentement alors que le baiser ne cesse pas.


Les mêmes mains prennent les miennes et les guident sur le haut du string. Par ces gestes, elle me fait comprendre qu’il faut que je l’enlève. Je dois me décoller des fesses pourtant accueillantes, je fléchis pour emmener la frêle étoffe au sol. Un pied se lève puis l’autre. Je profite de ma position pour caresser et embrasser les fesses devant moi. Je continue mes caresses et mes baisers tout en remontant. Une fois revenu dans ma positon de départ, je constate que ma femme est aussi dépoitraillée. Violaine se baisse à son tour pour mettre à nu le corps devant elle.


Nous profitons de l’espace libre laissé entre nous pour nous embrasser à notre tour en nous penchant en avant. Je prends le visage entre mes mains et le baiser dure. Je sens les femmes bouger. Rapidement nous ne pouvons plus continuer, car des gémissements sortent de la bouche qui est en contact avec la mienne. En me reculant, je comprends. Violaine a disposé une jambe de Pola sur une de ses épaules et lèche le clitoris devant elle. Ma femme bloque la tête qui la maltraite délicieusement avec ses deux mains et jouit sans retenue.


Elle aide rapidement son amie à se relever, m’agrippe par la main et m’entraîne en travers sur le lit. Mon sexe a profité du moment érotique qui vient de se produire pour retrouver toute sa splendeur, il cogne fièrement contre mon ventre, mais pas pour longtemps, car elle m’enjambe et s’embroche sans retenue dans un grand soupir. Une fois ses fesses posées sur mes cuisses, elle tend une main vers son amie et la guide jusque ma tête. La vision diminue quand deux cuisses m’enjambent et qu’un sexe vient se poser sur ma bouche. Pendant qu’un corps se branle sur mon sexe, un autre se caresse sur ma langue.


Après un bon moment, tout s’arrête. Les femmes bougent. Avant que je comprenne ce qui se passe, elles inversent leurs places rapidement.

Je bois un miel au goût bien connu, mais je suis en même temps dans un fourreau qui m’offre de nouvelles sensations. La danse reprend. Je sens que je ne vais plus tenir bien longtemps si cela continue, alors je décide de mettre fin à cette séquence en faisant basculer les deux femmes sur le lit. Après quelques secondes pour retrouver nos esprits, ma femme s’adresse à sa copine :



Leur conversation continue, mais je n’écoute pas. Je viens d’avoir une idée suite à cette dernière phrase et je réfléchis à savoir comment je vais tenter de mettre en œuvre mon plan diabolique. Voilà, je sais ! Je prends en main les choses, indiquant aux filles de se mettre sur le dos, sexe face à sexe, jambes entrelacées. Elles me demandent ce que je prépare, mais je ne réponds pas. J’impose doucement, mais fermement ma volonté. Quand elles sont comme je le souhaite, je sors de notre tiroir à jouets, un double dong.


Nous l’avions acheté il a très longtemps pour les doubles pénétrations. Dans le dos de ma femme, je la sodomise et le dong dans son sexe arrive en dessous de mes testicules. Grâce à sa grande longueur, j’arrive à le serrer entre mes cuisses, comme cela, quand je bouge le bassin, mon sexe et le dong avancent et reculent simultanément.


Pour la première fois, il va servir pour ce qu’il a été fabriqué. Je le présente devant les deux sexes. Les femmes comprennent et ne disent rien, mais toutes les deux se redressent en appui sur un coude pour voir mes gestes et certainement aussi se regarder. Je récupère de la cyprine sur et dans les deux sexes pour lubrifier le jouet. Je pénètre le premier sexe et, tout de suite après, le deuxième. Je les fais avancer encore l’une vers l’autre. J’ai juste la place au milieu pour tenir l’objet et pour le déplacer. Je commence doucement mes mouvements.


Quand l’une est empalée, l’autre est libérée. Les gémissements qui me parviennent des deux côtés ne font qu’accroître mon excitation. Je m’enhardis et augmente la cadence. Plus elles crient, plus je branle le godemichet. Elles s’écroulent complètement sur le dos et libèrent un orgasme synchronisé. Je sais qu’il faut que j’arrête immédiatement pour éviter de faire mal à ma femme. Elle est comme ça, après une forte jouissance, elle a besoin d’un moment de répit, autrement cela devient douloureux pour elle et ce n’est pas le but. La tension est retombée. J’ai envie de recommencer, j’adore voir jouir mes partenaires, mais ma femme se libère de l’objet.



Je suis fier de moi. J’ai amené une nouvelle fois mes deux complices à la jouissance et elles viennent d’avouer être comblées, il y a de quoi être content, pour un homme. Par contre, mon sexe, lui, est encore demandeur, il est toujours tendu, le gland en est tout violacé. Ma femme me demande de me lever, elle s’assoit sur le bord du lit et sans attendre, enfourne mon gland dans sa bouche. Elle me suce comme elle sait si bien le faire. Elle me joue tout son répertoire. Je vais venir, je vais céder. Elle le sait et elle invite Violaine à la remplacer. Elle ne lui cache pas que le sperme va bientôt gicler, mais notre complice en veut.


Elle me suce à son tour. Ces gestes sont moins efficaces que ceux de ma femme, mais c’est normal, elle manque de savoir-faire et ne me connaît pas suffisamment. Mais mon niveau d’excitation est énorme et j’apprécie beaucoup le moment. Quand ma femme se lève pour se remettre dans mon dos, attraper ma queue par la base et la branler dans la bouche de notre amie, le seuil de non-retour est franchi, la pression monte inexorablement et fatalement j’explose. Violaine surprise par la pression et inexpérimentée n’arrive pas à garder mon gland en bouche. Elle reçoit sur la poitrine les derniers jets de sperme. La main branleuse ralentit la fréquence, mais amplifie son mouvement en pressant un peu, pour tout vider.


Je suis épuisé, mais tellement bien. J’ouvre les yeux quelques secondes après pour voir les lèvres de ma suceuse se refermer sur la première giclée de mon sperme. Ma femme la prend par la main et l’entraîne dans notre salle de bain attenante. Elles reviennent rapidement. Comme j’ai profité de cette absence pour m’allonger, elles viennent une de chaque côté de moi poser leurs têtes sur ma poitrine, yeux dans les yeux, chacune une main sur mon ventre. Plus un mot ne sera prononcé pendant plusieurs minutes, plus un geste ne sera fait. C’est Violaine qui va rompre le silence.



Nous sommes d’accord. Après un rapide échange de petits bisous, notre invitée nous quitte pour rejoindre sa couche. Après un rapide tour de la maison, je retrouve ma belle sous la douche qui sera bien sage, mais pleine d’affection. Une fois tendrement enlacés dans le lit, le sommeil nous rattrape rapidement.


Le lendemain matin, je câline ma Pola pour la réveiller doucement comme elle me l’a demandé.

Nous retrouvons Violaine dans la cuisine, tout sourire. Elle a déjà pris sa douche et est prête pour sa journée. Le petit-déjeuner se déroule le plus simplement du monde et elle nous quitte le plus rapidement possible sans un mot sur la journée d’hier et sans prise de rendez-vous.



Nous passerons une grande partie de la journée de ce lundi dans le lit à débriefer de ces trois jours. En conclusion, nous souhaitons recommencer un jour avec Violaine, si elle aussi est demandeuse, mais nous nous accordons sur un point. Ce sera toujours à trois et jamais aucune autre combinaison.


Quand les filles se sont revues, elles ont longuement discuté. Violaine a exprimé ses sentiments et ses envies, Pola l’a informée de notre point de vue. Elle a compris et complètement accepté nos conditions.


Nous nous sommes revus plusieurs fois, chez nous et même une fois chez elle. Nous avons continué les découvertes des possibilités qu’offre notre trio. Différentes combinaisons sont testées, améliorées et finalisées. Peut-être qu’un jour, je mettrai par écrit les meilleurs moments.


Plusieurs mois ont passé quand Violaine nous a appris qu’elle avait fait une rencontre. Une collègue de boulot qui est venue faire un remplacement. Cela a été le coup de foudre entre elles. Depuis ce jour, nous nous revoyons régulièrement comme deux couples d’amis. Nous sommes invités à leur mariage et Pola sera témoin.


Cette parenthèse dans notre vie est restée unique jusqu’à aujourd’hui. Nous n’avons jamais souhaité recommencer et aucune occasion ne s’est présentée… Jusqu’à aujourd’hui, tout au moins.



FIN