n° 19173 | Fiche technique | 32455 caractères | 32455Temps de lecture estimé : 18 mn | 02/09/19 corrigé 05/06/21 |
Résumé: La situation se complique et les expériences se multiplient, parfois à mon insu. | ||||
Critères: fh fffh couleurs asie extracon alliance vacances plage collection cérébral revede voir fmast -extraconj | ||||
Auteur : Kalimou Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Vacances en famille Chapitre 04 | Fin provisoire |
Résumé de l’épisode précédent : Ma femme, ma fille et moi sommes arrivés dans la maison familiale de ma belle-famille pour les vacances. Ma belle-sœur et moi nous nous excitions mutuellement avant d’être interrompus et c’est ma femme qui profite de mon état pour son plus grand plaisir.
Plusieurs jours passent sans que Léa (ma belle-sœur) et moi puissions avoir une discussion seul à seul et sans aucun rapport sexuel avec Angie (ma femme). Léa ne m’évite pas, mais je sens bien qu’elle est troublée. Cet après-midi est sous le signe du soleil. Léa et Chris (son copain) partent chez des amis et moi je pars avec le reste de la famille à la plage.
Je suis déçu de ne pas avoir eu l’occasion de parler à Léa. Il y a bien eu ce moment, il y a deux jours, pendant le déjeuner qu’on prenait sur la terrasse. On s’est retrouvés seuls dans la cuisine, mais ça a créé plus de questions que de réponses.
Je m’étais positionné juste derrière alors qu’elle se lavait les mains et lui avais demandé :
Elle m’avait contourné pour prendre un torchon et sécher ses mains. J’en profitai pour lui poser une main sur sa hanche.
Ma main caressait à présent le dos de Léa, immobile. Elle se dégagea et fit quelques pas en disant :
Elle avait alors pris le plateau à fromage posé sur la table, marché trois mètres en direction du jardin et s’était retournée pour me dire :
Et comme si elle avait eu peur d’entendre ma réponse, elle avait quitté la pièce au pas de course.
Les yeux fermés, allongé sur la plage, je me remémore encore une fois ces moments en essayant de comprendre sa réaction et de déterminer la bonne attitude à avoir avec elle. J’aime ma femme, mais paradoxalement j’ai terriblement envie de Léa. Cependant il s’agit de ma belle-sœur, je ne peux pas y aller comme un bourrin sans tenir compte des conséquences. Au loin, j’entends le bruit des vagues et le rire d’Angie rigolant aux blagues de son frère Luc. Je commence à m’assoupir quand la voix de Mathilde me fait sursauter :
Mathilde est la nouvelle petite amie de Luc. Il change à peu près chaque été, mais c’est la première fois qu’il en invite une à passer les vacances avec nous. Angie pense que c’est parce qu’il est amoureux. Moi personnellement, je pense plus qu’il n’a pas aussi bien géré que les autres années et qu’il n’a pas réussi à rompre avant. Ils ne sont pas du tout assortis.
Pourtant Mathilde est une jolie petite Asiatique brune de vingt-huit ans, les yeux noir encre, de longs cheveux sombres et lisses qui lui arrivent aux fesses. Elle est avec Luc depuis six mois, mais elle semble en parfait décalage avec sa mentalité exubérante et dynamique. Jusqu’à présent, elle s’est montrée très réservée, le plus souvent à l’écart, peu souriante et le nez planté dans ses magasines d’architecture. Si en plus je tiens compte de sa garde-robe très stricte, elle fait clairement petite bourgeoise hautaine. Je n’aurais jamais imaginé qu’elle puisse me demander ça. En tout et pour tout, j’ai dû lui adresser la parole trois fois. Je me redresse en ouvrant les yeux éblouis par le soleil et constate qu’il n’y a personne autour de nous. Ils étaient tous partis se baigner. Résigné, je lui réponds :
Elle s’allonge sur le ventre et me tend le spray. Je n’ai jamais vraiment fait attention à son physique, mais je dois avouer que là voir allongée en maillot de bain deux-pièces orange devant moi n’est pas désagréable. Son petit corps un peu trop mince et sa petite poitrine semblent minuscules vis-à-vis de mon gabarit. Mes 1,90 m et surtout mon poids plume de cent kilos pourraient lui briser les os si je lui tombais dessus ! Un sourire me fend le visage quand je pense : Prendre en levrette une fille comme ça… j’aurai peur de la casser en deux.
Je me rapproche d’elle, à genoux dans le sable, avec le sourire et pulvérise du liquide un peu partout et commence à étaler à deux mains la crème sur le bas du dos. Je constate étonné qu’avec les deux mains, je fais quasiment toute la superficie de son dos bronzé. Deuxième fois aujourd’hui que je crème quelqu’un, mais la fin ne va pas être aussi jouissive ce coup-ci, pensai-je alors.
Puis je pense à Léa et à comment faire pour pouvoir la serrer encore une fois dans mes bras. Peut-être ce soir lors de la soirée film de prévue. Si je peux m’asseoir à côté d’elle dans le noir, je pourrais peut-être tenter quelque chose.
Un peu amusé, je réponds pour noyer le poisson :
Merde, visiblement, il n’y avait pas que Léa qui nous avait entendus baiser, Angie et moi. J’espère que la petite bourgeoise n’a pas été trop choquée ! Quoique je m’en moque en réalité. Mais quand je vais raconter ça à ma femme, elle ne saura plus où se mettre…
Mes mains s’arrêtent sur son dos et se relèvent. Un froid s’abat sur moi. Paniqué, je tente de me rappeler les phrases exactes échangées avec Léa pour trouver une explication logique et tout nier en bloc. Elle me coupe dans ma réflexion en rajoutant :
Elle me dit ça sur un ton naturel, en relevant un peu la tête pour me regarder répondre.
Le langage cru de Mathilde ne colle pas du tout avec l’image que je m’étais faite d’elle. Et à présent j’ai devant moi une parfaite inconnue qui me regarde tout sourire. Un sourire qui me met très mal à l’aise.
Je délace les deux bouts de ficelle orange dans son dos et libère son dos doré sans aucune marque de bronzage. Je termine rapidement d’étaler la crème solaire restante au bas de son dos et sur les épaules.
J’ai la très désagréable sensation qu’elle joue avec moi et surtout qu’elle n’en restera pas là. Et si pour elle c’est un jeu, elle a un sacré moyen de pression.
Je passe alors le reste de l’après-midi à me baigner, jouer sur la plage et à veiller à ne jamais me retrouver seul avec elle.
19 h 30, je sors de ma chambre douché et changé pour aller dîner. Dans le couloir j’entends en bas Chris et Luc discuter et me dirige dans la salle de bain pour étendre mes affaires humides.
Je trouve avec plaisir Léa, en maillot de bain deux-pièces blanc, visiblement en train d’étendre ses affaires. J’attends donc mon tour en la déshabillant du regard dans l’encadrement de la porte. Elle me tourne le dos et je peux voir ses jolies fesses bronzées à peine cachées. Se rendant compte de ma présence, elle se décale sur le côté toujours penché au-dessus de l’étendoir :
Son short posé devant elle semble effectivement bien bloqué.
Je la contourne et me place en face d’elle. J’ai une vue imprenable sur son décolleté. Pendant que mes mains étalent le linge machinalement, je soupèse du regard ses seins, tombant à 50 cm de moi. Deux magnifiques collines de douceur enveloppées et maintenues dans ce maillot de bain. Au centre de chaque sein, j’imagine de jolis tétons. Je me décale légèrement pour être dans l’axe de son sein droit ou le tissu bâille. Ainsi placé, je vois clairement son aréole ainsi que le bout de son téton.
Je repousse l’envie d’y glisser mes doigts pour le prendre à pleine main et garder prisonnier son téton entre mes doigts. Une bosse déforme mon short et d’un geste que je veux le plus anodin et discret que possible, je replace mon sexe dans le boxer pour mieux dissimuler sa présence.
Elle se redresse alors et saisit le chemisier qu’elle tenait coincé entre ses jambes, l’enfile et commence à le boutonner. Ses longs cheveux châtains tombent sur sa poitrine, compliquant l’opération. Concentrée sur le boutonnage, mon regard s’attarde sur son entrejambe. À ma grande déception, je ne distingue rien de son anatomie. J’ai envie d’elle.
Je fais un pas vers elle et prends son bras pour la tirer vers moi. Son chemisier est à peine boutonné. Elle s’approche pose sa main libre contre mon torse et la tête baissée me dit :
Je la prends dans mes bras et la serre contre moi en lui déposant un baiser dans son cou caché par ses cheveux. Elle me repousse et me regarde :
Je me rapproche à nouveau, elle recule et très vite se retrouve adossée à la paroi de la douche. Je la prends par taille et me colle à elle. Immédiatement je la sens placer son bas-ventre contre la protubérance de mon short. J’entends un très faible « non », puis, à l’aide de ses deux mains, elle pousse mon torse pour me regarder, nos bassins toujours collés.
Sa raison crie « non », mais son corps commence à onduler sur mon sexe et ne semble pas du même avis. Néanmoins, elle parvient à me pousser gentiment un peu plus afin que nos deux corps s’écartent très légèrement.
Elle est prise d’un petit fou rire stressé en voyant mon air faussement choqué. Elle plaque sa tête contre mon torse et je lui embrasse le crâne. Ses mains descendent sur mes fesses et les serrent fortement. Nos deux sexes se collent l’un à l’autre brutalement sous l’impulsion de Léa.
Elle fait de rapides mouvements vers le haut en se hissant sur la pointe des pieds ma hampe littéralement écrasée contre son clitoris. Elle pousse un long soupir, tremble de plaisir et me dit dans un souffle :
Elle commence à se décoller et partir sur le côté quand je fais un demi-pas en avant et la plaque contre la douche faisant craquer l’armature en plastique. Une main attrape sa nuque et vient plaquer son front contre le mien et l’autre glisse entre ses seins.
On se regarde, on sent chacun le souffle de l’autre sur nos visages. Ses deux mains sont plaquées de chaque côté d’elle contre la paroi de la douche. Elle est complètement à moi, les yeux fermés en attente de mes prochains gestes.
Ma main caresse la peau visible de son décolleté puis tire le tissu autour du sein droit pour libérer le sein qui jaillit fièrement dressé. Léa se mord la lèvre quand ma main chaude vient recouvrir la tendre chair libérée. Il est ferme et remplit bien ma main, je le presse entre mes doigts et immédiatement Léa se met à se frotter contre moi.
Toujours les yeux fermés, elle lève la tête et m’embrasse doucement du bout des lèvres plusieurs fois. Je fais passer son téton entre deux doigts et je le presse doucement. Elle gémit contre ma bouche tout en l’ouvrant et en sortant la langue. Nos langues jouent ensemble et ma main sort de son cocon le deuxième sein et le caresse.
La voix semble se rapprocher, mais ni Léa ni moi n’y prêtons attention. Je me décolle d’elle pour descendre le visage entre ses seins et respirer son odeur en contemplant sa poitrine débordant du maillot les tétons durs encadrés par le chemisier grand ouvert. Ma main attrape un sein et ma bouche l’autre. Léa glisse sa main dans son entrejambe et se caresse. Je lui lèche le sein et gobe le bout dur ; elle gémit et tremble sur ses jambes. De ma main libre, je sors mon sexe et me branle. Rapidement je sens une main qui m’attrape les couilles et les caresse.
Le plaisir nous submerge et Léa jouit rapidement sous l’assaut de ses doigts avec plein de petits cris entrecoupés de silences et de tremblements. Après un petit moment, elle m’embrasse et baisse le regard sur ma main en prise avec mon sexe. Elle me fait signe de me redresser et je lâche ses seins à regret. Elle me fait alors pivoter et je me retrouve le dos plaqué au mur le sexe dressé à l’horizontale. Léa commence alors à s’accroupir devant moi quand le bruit d’une marche qui craque se fait entendre.
Elle se redresse d’un coup et mon gland vient s’essuyer sur son ventre et le chemisier. Je remonte mon short et me rhabille quand j’entends « À table là-haut », suivi du bruit d’une personne qui descend d’une marche.
Elle passe son short en jean et se calme enfin en me regardant.
À ma grande surprise, elle vient se blottir dans mes bras. On reste un moment ainsi debout au milieu de la salle de bain.
Elle s’écarte légèrement et m’embrasse tendrement :
Elle se retourne et je l’accompagne dans le couloir et la regarde descendre les escaliers en faisant grincer les vieilles marches en bois. La porte de sa chambre est restée grande ouverte et en tournant la tête je vois son lit avec dessous sa valise. Une idée me traverse alors l’esprit. Je sais exactement comment lui rendre sa nuisette…
Je descends à mon tour rejoindre le reste de la famille. Ils ont visiblement pris l’apéro, car l’ambiance est festive et tout le monde parle en même temps. Dès que j’arrive à table, je remarque que Léa est particulièrement pétillante, conséquence de son petit orgasme sans doute, alors que Mathilde me jette plein de regards en coin…
21 h 30, la maison s’anime un peu plus, nous venons de terminer le repas et une sortie en boîte de nuit s’organise frontalement à la soirée TV initialement prévue. Pas du tout motivé pour sortir, je me suis isolé au fond du salon pour lire et en croisant les doigts pour que Mathilde et tous les autres sortent, sauf Léa.
Mais c’est presque tout l’inverse qui se produit.
Luc se tourne alors vers Mathilde et lui dit :
Pour toute réponse, Mathilde lève les yeux au ciel et se replonge dans son magazine.
Une fois le petit groupe parti, la maison est plongée dans le calme seulement troublé par mon beau-père qui déplace le canapé deux places pour le mettre en face de la télé juste devant le mien. En s’adressant à Mathilde et moi, il nous demande :
Ainsi agencé, le salon était organisé comme un cinéma. L’écran plat étant placé en hauteur sur le mur du fond, le premier rang était occupé par mes beaux-parents et le second par Mathilde et moi. Toutes les lumières s’éteignent, j’allume alors la petite lampe sur le buffet derrière moi qui diffuse une lumière jaune suffisante pour lire, mais pas gênante pour le film.
Le film débute et Mathilde se cale à l’autre bout de notre canapé, une jambe au sol et l’autre qu’elle fait bouger de droite à gauche sur le canapé. Elle lit son magazine, le tenant à la main, les bras croisés sur sa poitrine cachant ainsi son visage.
Je relève les yeux de mon livre et la regarde. Elle est pieds nus, porte un pyjama mini-short gris et un t-shirt blanc probablement sans rien dessous vu sa petite poitrine. Léa est en tout point plus jolie. Mais sous ses airs de femme sérieuse et ennuyeuse, je soupçonne, en Mathilde, une tornade bouillonnante. Elle m’inquiète un peu. Je décide de l’ignorer et me replonge dans mon livre.
Elle gesticule dans le canapé et rassemble ses deux jambes contre sa poitrine. Mon portable vibre. C’est un SMS d’un numéro que je n’ai pas enregistré.
XXX : Les deux sœurs ne te suffisent, pas il faut aussi que tu me mates ?
Je regarde alors Mathilde, mais son visage est caché par son magazine et ses deux mains s’agitent devant ses yeux.
Nouveau message :
Mathilde : Fais pas de bruit, beau-papa et belle-maman sont juste là ! ha ha ha
Je réponds :
Moi : ? ? ?
Mathilde : Tu l’as baisée ou pas, Léa, alors ?
Moi : , Mais non. Qu’est-ce que tu racontes ?
Mathilde : Et ce soir, vous faisiez quoi tous les deux seuls à l’étage ? Je t’ai dit d’être plus discret
Moi : Rien du tout, tu es folle ?
Mathilde : D’accord, je vais demander à Léa
Je la regarde, énervé, mais elle cache toujours son visage.
Moi : Que veux-tu ?
Mathilde : Dis-moi la vérité sinon je lui envoie un SMS immédiatement
Moi : On s’est juste pris dans les bras 1 min. C’est tout. Et qu’est-ce que ça peut te faire
Sans me regarder, elle se rapproche de moi en silence, pose son magazine et sourit en envoyant un autre SMS. Quelque chose de très érotique émane de Mathilde. Assise si proche de moi avec cette lumière tamisée et avec les parents de ma femme en face de moi, toute cette situation me trouble.
Mathilde : Pose ta main sur ma cuisse
Je la regarde de profil pour voir si elle plaisante. Mais elle a l’air sérieuse, les yeux rivés sur son portable. En fait, cette situation l’excite ?
Moi : Tu as un mec, je te rappelle.
Mathilde : Il me touche plus depuis un mois.
Moi : Ce n’est pas mon problème
Les SMS s’enchaînent et sa jambe vient se coller à la mienne. Ses jambes sont légèrement écartées, sa tête penchée en avant pour écrire ses messages. Malgré moi, mon sexe commence à grossir dans mon short. Le risque et son comportement fait de ce moment un tout détonnant où la raison n’a plus sa place.
Mathilde : Ton secret est bien gardé avec moi, mais pose ta main sur ma cuisse.
Je fais mine de me lever, mais elle me retient de sa main gauche écrivant un SMS de la droite.
Mathilde : Je suis sérieuse
La menace est à peine masquée. J’ai beau réfléchir, je ne trouve aucune échappatoire face cette Mathilde complètement imprévisible. Elle me regarde alors intensément désignant du menton mes beaux-parents comme une nouvelle menace. Je dépose alors ma main sur sa cuisse nue. Elle a la peau douce et chaude.
Mathilde : Caresse ma cuisse
Je remonte alors le long de sa cuisse puis redescends jusqu’à son genou.
Mathilde : Continue. Que la cuisse.
Je passe plus de quinze minutes à la caresser, regardant le film pour donner le change. Plus le temps passe, plus la situation m’excite, je la vois, le visage tourné vers la télé, fermer les yeux quand un frisson lui traverse le corps. Mon sexe est à nouveau bien dur dans mon short. J’ai envie de plus, mais j’attends sagement son prochain SMS.
Mon téléphone vibre enfin discrètement.
Mathilde : Merci, c’est bon
Je sens sa jambe se décoller de la mienne et elle me retire la main de sa cuisse.
Moi : ? ? ?
Mathilde : C’était très agréable ça m’a fait du bien de me sentir désirée
Moi : C’est tout ? Qui te dit que je te désire ?
Mathilde : Ton entrejambe
En baissant les yeux, je constate la bosse de mon short. Excité, je repose ma main sur sa cuisse et recommence mes caresses. Elle ne fait pas un geste, mais pianote un message.
Mathilde : Tu peux arrêter, je n’ai pas envie qu’on se fasse prendre.
Moi : J’ai envie de plus
Mathilde : Hors de question.
Je remonte ma main et la pose sur le tissu de son short au niveau de son clitoris. Je crois déceler un frémissement de sa part juste avant qu’elle me retire la main d’un geste brusque.
Mathilde : Pour qui tu me prends ?
Elle me regarde, scandalisée.
Moi : Arrête de faire ton effarouchée. Allumeuse !
Elle commence à se lever, mais je la retiens de la main droite posée sur son épaule. Je me penche vers elle et l’embrasse à pleine bouche. Elle me repousse et me fait signe « non » de la tête. Ma main gauche attrape sa main et la pose sur mon entrejambe puis part se poser sur sa cuisse.
On reste ainsi assis face à face, les visages à 20 cm. Elle me regarde dans les yeux en faisant non de la tête, le visage crispé et le regard noyé dans l’hésitation et l’affolement. Elle doit avoir la sensation qu’on ressent quand on profite d’une situation et qu’on se laisse dépasser par les événements. Prise à son propre jeu.
La petite bourgeoise m’excite bien plus que je ne l’aurai imaginé. Je lui dépose un baiser sur sa bouche immobile. Puis un second où elle entrouvre légèrement les lèvres. Je lui embrasse le cou et remonte à son oreille pour lui murmurer « j’ai envie de toi ». Je sens tout son corps se contracter et sans un bruit elle commence à serrer mon sexe dans sa main et à le caresser. C’est son autorisation pour aller plus loin. Ma main remonte alors le long de sa peau, passe sous son short et entre en contact avec son entrejambe.
Elle ferme les yeux et soupire en se détendant. Sa main est entrée dans mon short et me masturbe le sexe pendant que mes doigts caressent simultanément ses lèvres tout humides et effleurent son clitoris. Elle se cambre quand le bout de mon doigt la pénètre et que mon autre main passe de son épaule à sous son t-shirt sur ses seins. Elle se cale bien dans le canapé, prête à subir les assauts de mes doigts et à laisser monter le plaisir.
Si l’un de mes beaux-parents se retournait maintenant… Mais je n’y pense pas vraiment et, dans le plus grand silence, je plaque ma bouche sur la sienne pour étouffer le gémissement que lui procure mon doigt qui rentre entièrement en elle.
Elle me masturbe vivement dans le short et je tire sur le col de son haut pour découvrir un de ses seins et le sucer. Ils sont petits, mais proportionnés à son corps, le bout est particulièrement dressé et son goût est délicieux. Je repense à la poitrine de Léa et mon sexe gonfle encore d’excitation dans sa main.
Mon doigt s’agite en elle. Elle écarte les jambes en tremblant et je lui enfonce un deuxième doigt. Elle plaque alors son visage dans mon cou. Son sexe est très étroit et mes doigts entrent dans son vagin difficilement, malgré ses abondantes sécrétions. Une tache sombre est d’ailleurs clairement visible sur son short. Je la sens trembler sous l’action de mes doigts.
La petite asiatique est complètement offerte à moi. Elle, si sérieuse et réservée, je n’aurais jamais imaginé la voir ainsi, jambes écartées, soumise, à la merci de mes envies. Si on était seuls, je suis certain qu’elle me laisserait la baiser. Non ! qu’elle me demanderait de la baiser. Quel délice ça doit être que d’avoir ma queue au plus profond d’elle, prisonnière de ses lèvres étroites. Sa main me branle toujours et son pouce vient faire des ronds sur le bout de mon gland. La sensation est intense et mon plaisir monte, ce n’est clairement pas la première branlette qu’elle fait, elle est très douée.
Ma main accélère et de légers bruits humides se font entendre entre ses jambes. J’aspire son sein et joue avec son téton, quand le plaisir me submerge, et je jouis dans sa main en tremblant, aussitôt accompagné par Mathilde qui atteint l’orgasme en serrant ses cuisses sur ma main, la tête basculée en arrière, les yeux regardant le plafond et la bouche grande ouverte dans le plus complet des silences.
Pas un bruit ne s’échappe de nos bouches, pas un son n’émane de nos deux corps essoufflés. On reste ainsi sans bouger plusieurs secondes à entendre sans écouter le film et voir, sans vraiment réaliser le risque, avec mes deux beaux-parents concentrés sur l’écran.
Nos orgasmes ont été aussi intenses qu’insensés. Le regard perdu, elle retire délicatement sa main collante de mon short et essuie doucement le sperme sur son t-shirt pendant que j’essuie mes doigts sur son short. Tous ses mouvements sont extrêmement lents et je cherche des yeux son regard qui me fuit.
Elle reste assise, quelques secondes, droite immobile à côté de moi, le regard vide, tournée vers moi, les mains sur ses genoux. Puis, elle me pousse gentiment, se lève, prend son téléphone portable et disparaît dans le couloir en direction de sa chambre. Peu de temps, après je m’endors dans le canapé en repensant à cette journée incroyable et à ces vacances qui resteront, c’est désormais certain, à vie dans ma mémoire.
Il est 6 h 30 du matin, la lumière filtre par les fenêtres et inondent le salon. Je me redresse dans le canapé pour regarder d’où provient le bruit qui m’a réveillé. Je vois alors Angie et son frère au travers la vitre, complètement saouls, en train d’essayer de déverrouiller la porte d’entrée qui n’est pas fermée…
Je me lève pour leur ouvrir et ils me regardent alors comme deux ados qui viennent d’être pris en flagrant délit. Ils passent près de moi en rigolant doucement.
Les deux se regardent et explosent de rire.
Je guide Luc vers mon canapé où il s’écroule. Et accompagne Angie dans notre chambre. En passant dans le couloir à l’étage, je constate au loin que ni Léa ni Chris n’étaient rentrés. La porte est grande ouverte et on voit les rayons de soleil baigner leur chambre.
J’aide Angie à se déshabiller et une fois complètement nue, je la couche et lui pose un drap sur elle. Je lui apporte une cuvette pour le vomi qui va très probablement la réveiller d’ici quelques heures et je lui demande :
Angie se retourne et répond en gloussant :
Un peu inquiet, je me couche à ses côtés bien décidé à finir ma nuit quand je regarde l’heure sur mon téléphone juste en dessous s’affichent deux lignes supplémentaires :
– 12 SMS de Léa non lus.
– 4 SMS de Mathilde non lus
Je ferme les yeux et réalise la situation très délicate dans laquelle je suis. Angie, endormie, s’est tournée dans le lit vers moi et ses lourds seins sont découverts l’un au-dessus de l’autre. Je glisse ma main droite entre ses seins et joue avec, pendant que ma main gauche déverrouille le téléphone et commence à lire les SMS de Mathilde…