n° 19174 | Fiche technique | 15067 caractères | 15067Temps de lecture estimé : 10 mn | 03/09/19 |
Résumé: Par sa liberté sexuelle, Peggy me permet de me libérer et de me lâcher, moi aussi. | ||||
Critères: f h fh exhib strip fmast hmast intermast pénétratio échange -extraconj | ||||
Auteur : Gaëtan1 |
Gaëtan
Ce matin, je suis tiré de mon sommeil par des bruits dans la pièce voisine… les ahanements d’un homme qui baise, les gémissements d’une femme, de ma femme, qui est baisée, et bien baisée apparemment… qui va bientôt jouir, puis qui, dans un cri rauque, jouit… Ces bruits m’excitent, me font bander. Allongée à mes côtés, Nuria, elle aussi réveillée par la bande-son XXL ; elle glisse une main vers mon ventre, se saisit de ma queue, émet un « ouaou » de satisfaction et se couche sur moi. Je caresse ses petits seins, ses petites fesses, glisse un doigt entre elles, mais, sans accepter plus de préliminaires, elle grimpe sur moi, s’empale sur mon dard et, bientôt, ses gémissements, puis ses cris répondent à ceux qu’a poussés Peggy dans la chambre voisine…
Avec Peggy, nous formons un couple serein. Elle ne me cache rien, mais sans s’appesantir, car ses balades sexuelles font partie de son jardin secret. J’aime faire l’amour avec elle, j’aime son corps de femme épanouie, mais, tout en aimant les femmes, je suis plus timide, plus coincé, moins imaginatif.
En cette fin d’été, Peggy et moi avons reçu dans notre maison de Saint-Brieuc d’anciens collègues de Vannes, Aldo, célibataire, et Nuria, qui vient d’être quittée par son mec. Le repas s’est déroulé dans une ambiance légère, amicale qui, les alcools forts aidant, s’est progressivement réchauffée, alourdie. Après le repas, nous sommes passés au salon où, avec une douce musique en toile de fond, et les libations ont continué d’accompagner nos discussions.
L’esprit passablement embrumé par l’alcool, je fais l’intelligent devant Nuria, qui, avec son corps à la Vanessa Eden, me plaît bien, je ne prête pas trop attention à ce que se disent Peggy et Aldo.
Jusqu’au moment où Aldo, l’air de rien, lance :
Pris par une brume alcoolisée, je ne me rends pas compte de ce que cela signifie, ni jusqu’où nous pouvons être entraînés, au contraire de Peggy…
Peggy
Dès l’arrivée de nos hôtes, j’ai perçu les regards qu’Aldo dirigeait vers mon corps. Je ne me vois pas comme une belle femme, et d’emblée, j’ai jalousé Nuria pour son joli petit corps. La concupiscence d’Aldo m’a flattée, et j’y ai répondu, malgré mes complexes, maladroitement, par des regards, qui voulaient lui dire : « Merci, c’est gentil de ta part, mais je ne vois pas comment… »
Quand il propose son jeu de cartes, à la différence de Gaëtan, je comprends où il veut en venir. Est-il l’amant de Nuria ? Ils ne se sont pas présentés comme tels… En fin de compte, peu m’importe, car c’est moi qu’il veut aujourd’hui, et son désir évident me flatte, m’excite, et je décide de me jeter à l’eau… J’encourage son initiative par un petit sourire, puis prétextant un besoin pressant, je vais dans la salle de bain, et retire mon soutien-gorge. Quand je reviens, les seins libres, ballants, et les tétons qui pointent sous mon t-shirt, je vois briller les yeux d’Aldo qui mate ma poitrine… Gaëtan ne remarque rien.
Le jeu se met en place. La chaleur ambiante et l’alcool font qu’aucun de nous quatre ne rechigne à retirer, l’un après l’autre, ses vêtements. Je triche un peu pour accélérer mon déshabillage… Quand je retire mon t-shirt et que mes seins jaillissent, libres, je lis de la surprise dans les yeux de mon mari et une concupiscente admiration dans le sourire d’Aldo… On dirait que ses yeux bandent, comme ceux du loup de Tex Avery, ce qui me remplit de satisfaction et humidifie mon intimité. Manifestement, Gaëtan n’est pas le seul à aimer mes seins… Assez rapidement, nous nous retrouvons, tous les quatre, nus comme des vers. Je vois mon mari qui, d’un œil de voyeur timide, reluque Nuria… ses seins, ses fesses…
Aldo, après avoir jeté un bref regard à Gaëtan, me demande :
Gaëtan
La question me surprend, et d’autant plus quand je vois Peggy accepter, sans réticences, l’invitation d’Aldo. Elle se lève, en agitant ses beaux seins et, nue, elle va se blottir dans les bras d’Aldo, nu, qui l’attend, pour une danse qui serait forcément torride.
Pour la première fois de ma vie, je vois Peggy dans les bras d’un homme, et je me sens complètement dans les vapes. Que va-t-il se passer ? Peggy se contentera-t-elle de flirter avec son cavalier ou… ? Elle est nue, nom de Dieu ! Je ne pense même pas à regarder si Aldo bande. Les deux danseurs se regardent en se souriant, même pas collés l’un contre l’autre, comme s’ils étaient dans un bal public.
Pour garder une contenance, je convie Nuria et la prends dans mes bras, en effleurant, sans trop insister, ses nichons, son ventre et ses fesses, et lui parle, pour tenter de dissimuler mon malaise. Mais je sens mon sexe devenir de plus en plus dur, de plus en plus gros…
Quand les yeux de Nuria se posent au-dessus de mes épaules, je n’en comprends pas le pourquoi, mais je tourne et me retrouve en face de l’autre couple de danseurs. Peggy a posé sa tête sur l’épaule d’Aldo qui la serre contre lui de sa main gauche, tandis que sa main droite, remontée vers son blanc sein, le caresse, sans vergogne et sans hâte, en homme sûr de lui, pendant qu’elle lui caresse la nuque avec douceur. Je les vois ensuite rapprocher leurs visages, leurs bouches se souder, pendant que la main d’Aldo lâche le sein de Peggy pour descendre jusqu’à son pubis, s’attarder entre les poils puis chercher le clitoris, le trouver et le titiller, provoquant une crispation des fesses de Peggy contre l’homme qui la lutine.
Je suis comme électrocuté. Non seulement Peggy est nue contre un homme nu, mais elle le caresse et accepte, avec un plaisir non feint, qu’il lui caresse les seins et le sexe… s’ils continuent, elle va jouir, là, devant moi.
Et là, je cesse d’être dans l’abstrait, pour plonger dans le concret. Le spectacle dont je suis le voyeur n’est pas une vidéo, mais un spectacle vivant, très vivant, et terriblement érotique : sous mes yeux, Peggy offre sans aucune pudeur ses seins, son ventre, à un homme, dont les mains prennent lentement possession de son corps, le caressent, le pénètrent, impudiquement, lui procurent du plaisir. Les yeux fermés de Peggy s’ouvrent pour m’adresser un regard, même pas de défi, mais trouble, indifférent à tout ce qui n’est pas le plaisir que lui procure Aldo, un regard qui est le reflet cruel du plaisir qu’elle ressent.
Mais revenant sur terre, je prends conscience que moi aussi je suis nu et que je tiens, moi aussi, un corps de femme nue dans mes bras, un corps qu’indiscutablement, mon corps désire, durement. Ma main, avec hésitation, descend vers les fesses de Nuria, les caresse doucement puis remonte pour entourer l’un de ses jolis petits seins, pendant que, de mon autre main, je presse son corps contre moi. Nuria lève son visage vers le mien et, bonne fille, accepte que, maladroitement, je baise ses lèvres. J’appuie son ventre contre le mien. J’en suis là, quand je vois passer devant nous Aldo, une main possessive passée autour de la taille de Peggy, et elle, les yeux pudiquement baissés, mais une main impudique tenant fermement le sexe d’Aldo, ses seins rythmant sa marche vers la chambre conjugale.
Troublé par ce que je viens de voir, je m’assieds sur le canapé où Nuria me rejoint. Très excité, je reprends mes caresses sur ses seins, puis les prends en bouche, les lèche, les suce, et approche un doigt de son sexe. Mais en fait, je suis tétanisé, bloqué par ce que j’imagine se passer dans la chambre… le corps de Peggy livré aux mains, à la bouche, au sexe d’Aldo. Au bout de quelques minutes, arguant de sa nostalgie de son ex, Nuria se lève et me quitte, me laissant seul, vexé, et va se coucher dans la chambre d’amis.
Frustré, j’entre dans la chambre conjugale, je réclame mon lit et ma femme. Bien que de mauvais gré, le couple cède, et Aldo sort pour aller dormir sur le canapé convertible du salon, tandis que je me couche à côté de Peggy, nue, à la place de celui qui avait failli l’y baiser.
Je bande, douloureusement, il faut que je baise ! J’entreprends de caresser les seins de Peggy et glisse un doigt dans son con, bien humide. Elle repousse ma main, elle ne désire pas faire l’amour avec moi, par vengeance. Par défi, je lui suggère d’aller rejoindre son presque amant, convaincu qu’elle n’en fera rien, puisqu’elle a accepté de délaisser ses caresses pour dormir avec moi. Mais à ma grande surprise, Peggy accepte, guillerette, ma proposition (« C’est vrai, je peux ? »), se lève et, nue, elle s’en va rejoindre Aldo dans le salon.
Peggy
Aldo, manifestement trop excité pour pouvoir s’endormir, s’attend, sans illusions, à m’entendre faire l’amour avec mon mari, et a commencé à caresser son sexe, bien bandé ; il est agréablement surpris de me voir débouler, nue, et quand je me penche vers lui pour lui offrir mes lèvres, il me fait chavirer à côté de lui, ses mains expertes s’emparent de mes seins, les caressent délicatement, puis glissent vers mon sexe, pour en apprécier la prometteuse humidité. Sans poser de questions inutiles, nous reprenons avec gourmandise le cours interrompu de nos caresses.
Gaëtan
Seul dans mon lit, je suis en proie à une tempête de sentiments divers. La jalousie, certes, mais aussi le désir exigeant, impérieux et pervers qui entretient mon érection. Comment ai-je pu envoyer ma femme rejoindre Aldo dans son lit ? Et mon érection qui ne faiblit pas. Que dois-je faire ? Aller dans la chambre de Nuria ? Mais elle avait fui !
Je tends l’oreille, mais n’entends rien. Mon imagination galope. Comme un somnambule, je me lève et entre dans le salon. Sur le canapé, Peggy, allongée sur le dos, offre sa nudité à son amant qui, allongé à côté d’elle, l’embrasse et la caresse. Comme saoul, je m’assieds sur une chaise en face du canapé et regarde le couple. Mon érection est encore plus douloureuse… Quand Aldo descend sa tête vers le ventre de Peggy et enfonce sa bouche dans son pubis, Peggy gémit, et ses yeux hagards se tournent vers moi, pour m’adresser un regard arrogant…
Nuria
Dans mon lit, je ne parviens pas à m’endormir. Je me caresse un peu, mais mes doigts ne me satisfont pas. Je commence à regretter ma fuite. Même s’il paraît emprunté, il avait vraiment envie de moi, son érection était prometteuse… et je saurais m’en servir pour oublier le salaud qui m’a jetée comme un morceau de barbaque faisandée. Un bruit… on dirait des plaintes, des gémissements… des gémissements de femme… de femme qui baise ! Non ! Peggy serait en train de baiser ! Mais avec qui ? Avec les deux ? Et moi, toute seule dans mon lit. Quelle injustice ! Les gémissements se font plus intenses, deviennent des petits cris, qui commencent à m’échauffer. Je me lève, entrouvre la porte et aperçois la scène candauliste. Bon, Peggy ne baise qu’avec un seul des deux hommes… pour l’instant !
Gaëtan est disponible, il faut en profiter… J’entre dans le salon et, sans rien dire, m’assieds sur les genoux de Gaëtan, de toute évidence ravi que j’aie changé d’avis. Et le salaud bande comme un bouc ! Je lui souris, dépose un baiser délicat sur ses lèvres, puis prends sa main pour la poser sur mes seins. Nous nous embrassons à pleine bouche, les mains de Gaëtan parcourent la géographie de mon corps, en effleurent les monts et en fouillent les ravins, traînent sur mon clitoris, en provoquant force gémissements et autres feulements. Mais Gaëtan ne perd rien du spectacle que les amants nous offrent, il voit Aldo inviter Peggy à s’allonger sur le dos et écarter ses cuisses pour diriger sa bite, bien raide vers l’entrée de son con et l’empaler. Je n’y tiens plus. Je soulève mon ventre pour que Gaëtan y glisse son sexe, sans pour autant cesser de me caresser les seins et le clitoris, tout en regardant le bassin d’Aldo montant et descendant en rythme pour mieux plonger sa queue au fond du ventre de Peggy, ce qu’elle semble fort apprécier, si l’on en croit ses cris.
Aldo
Quand je m’allonge sur Peggy, mon sexe trouve facilement l’accès à son con. Un ferme mouvement de mes fesses montre à Gaëtan que, sous ses yeux, j’enfonce mon sexe dans le ventre de sa femme chérie. Et lui, au lieu de s’en indigner, il nous reluque en pelotant avidement une autre femme, l’embrasse furieusement, pendant que je défonce vigoureusement sa femme, de plus en plus fort, de plus en plus rapidement. Apparemment, ce qu’il voit lui plaît, car, juste après le premier orgasme de Peggy, Gaëtan ne résiste plus longtemps, accélère ses mouvements dans le ventre de sa partenaire (elle me surprend, Nuria, il faudra qu’au retour, je lui fasse le coup de la panne…) et, dans un grognement d’ours, y décharge son plaisir. Puis ils s’embrassent, se câlinent, puis il prend Nuria dans les bras et la porte, chaude et encore frémissante de plaisir, sur le lit, à côté de nous.
Gaëtan
Peggy, entre deux cris de plaisir, me sourit. Je contemple le visage de mon épouse, son sourire crispé par le plaisir, qui crie de plus en plus fort… je caresse tendrement, amoureusement ses seins. La queue de son amant rivé à sa chatte et les mains de son époux sur ses seins. Peggy ne résiste plus et part dans un violent orgasme qui la fait se cambrer et secouer sa tête sur l’oreiller. Puis, Aldo encore fiché dans son ventre, elle se tourne vers moi mari et me dit :
Pendant cet échange, Aldo reprend ses mouvements dans la chatte de sa maîtresse qui doit s’interrompre pour, à nouveau, jouir.
Ensuite, troublé par le plaisir pris par Peggy, par le joli corps de Nuria que je n’ai jamais cessé de peloter, nous abandonnons les amants pour aller nous réfugier dans la chambre conjugale et y reprendre, plus confortablement, nos caresses et nos ébats…
Merci à ma (belle) garce de femme. Sans sa lubricité, je n’aurais pas osé proposer la botte à la mignonne Nuria !