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n° 19175Fiche technique16235 caractères16235
Temps de lecture estimé : 10 mn
03/09/19
Résumé:  Un couple, un peu coincé, rencontre un autre couple, moins coincé, et...
Critères:  fh fhh 2couples hagé fagée vacances odeurs fellation anulingus fist pénétratio champagne init traduction -entrecoup
Auteur : Athanase
Susana passe une bonne soirée

Ce que je vous raconte s’est déroulé en juillet de l’an dernier, lors de courtes vacances. Je ne me suis pas encore remis de l’avalanche d’émotions que j’ai vécues.


Je suis marié depuis trente-cinq ans avec Susana et malgré notre âge, autour de la soixantaine, nous conservons une apparence agréable : nous n’avons pas de cheveux blancs, nous sommes minces et sportifs. Des heures de salle de sport nous font paraître encore jeunes et attirants et, si l’on excepte quelques rides d’expression, personne ne nous donne l’âge que nous avons.


Susana est plutôt petite, mais avec des seins encore fermes, un petit cul rebondi et musclé et un ventre plat. Elle était vierge à notre mariage, de telle sorte que j’ai été son seul homme. Mais, avec le temps, ma femme s’est peu à peu lassée du sexe, bien que nous l’ayons beaucoup pratiqué, dans toutes ses expressions. Ma femme était plutôt discrète quand nous faisions l’amour ; elle n’était pas de celles qui crient, mais elle s’exprimait davantage par des murmures. Je l’ai toujours désirée et elle s’est toujours donnée à moi sans réticences. Nous avons bien réalisé quelques fantasmes, mais sans prendre de risques, tels que faire l’amour en voiture, ou utiliser des jouets sexuels courants, mais sans plus. Il y a quelques années, nous avons regardé ensemble quelques films X (parfois à sa demande), et nous sommes allés dans des motels pour nous éloigner de nos enfants, mais même si Susana n’a jamais été démonstrative ni crié que le sexe la rendait folle, je n’ai jamais douté de son amour.


Une fois, alors que nous étions au lit, je lui ai proposé d’introduire un homme, ou une femme, dans nos ébats y elle me répondit sèchement qu’elle n’en avait pas besoin, que c’était un acte intime, et que tout acte de lesbianisme la dégoûtait. Je n’ai plus osé lui en reparler.

Il y a quelques années, elle est tombée malade et, malgré sa guérison, j’ai été contraint à d’énervantes périodes d’abstinence sexuelle, entrecoupées de baises rapides et sans saveur. Ayant toujours eu une forte libido, j’avais sérieusement pensé à demander le divorce, car je ne voulais pas chercher d’aventure, ce qui aurait apporté beaucoup trop de complications dans ma vie.


Un jour, nous avons gagné un séjour en pension complète dans une station balnéaire de la Côte d’Azur. J’ai hésité à accepter, car j’étais convaincu que notre situation n’allait pas s’améliorer et il me semblait inélégant de passer quelques jours de vacances avec ma femme pour, ensuite, divorcer… Mais j’étais las de tout et nos enfants ont tant insisté que j’ai fini par céder.

Les deux premiers jours se sont passés dans la tranquillité et la monotonie : bains de soleil, lecture, repas au restaurant de l’hôtel, et dodo…


Le matin du jour en question, après le petit déjeuner, nous sommes allés à la plage. À côté de notre parasol se trouvait un couple : l’homme, d’un âge proche du nôtre, les tempes grises, musclé et bronzé ; son épouse, plus jeune que lui d’une trentaine d’années, aux rondeurs appétissantes, bien moulées dans son maillot de bain.

Je ne cessais de la regarder, ce qui attira son attention ; elle me répondit par un sourire amical. Nous n’avons pas tardé à lier conversation. Vittorio nous apparut sympathique, mais Mabel restait discrète et souriante. Susana bavardait avec Vittorio, et riait à chacune de ses saillies.


Je décidai d’aller vers la mer et Mabel me suivit pendant que nos conjoints, pris par leurs bavardages, ne semblaient pas remarquer notre absence. Pendant que nous marchions, Mabel, à ma grande surprise, m’avoua que son mari et elle étaient libertins, ce qui me sembla drôle. Je lui expliquai que ma femme avait toujours refusé le sexe avec d’autres que moi, et surtout avec une femme. Vittorio et Mabel s’étaient trompés sur notre compte… Mais Mabel me répondit qu’elle non plus n’était pas attirée par les femmes, mais qu’elle voyait bien que Susana attirait son mari et qu’elle se chargerait d’expliquer à Susana les merveilles du sexe libéré, si je donnais mon accord pour un échange de partenaires, parce que je lui plaisais.


Mabel était vraiment belle et excitante : pas très mince, mais réellement désirable, des nichons à l’étroit dans son maillot, un petit cul rebondi, des jambes fines, des cheveux noirs qui descendaient jusqu’à mi-dos et un visage illuminé par un ample sourire.

Pendant plusieurs minutes, Mabel me parla du charisme de Víttorio auprès des femmes et de ses propres goûts sexuels. La discussion a fini par m’exciter et j’ai décidé d’aller dans l’eau. Mabel se rendit compte de mon état et, joueuse, me rejoignit dans la mer.

L’italien et Susana nous rejoignirent dans l’eau. L’après-midi se déroula, ponctuée de discussions superficielles. En quittant la plage, nous sommes convenus de nous retrouver au bar de l’hôtel pour prendre un verre ensemble.


Dans notre chambre, je racontais à ma femme ce que m’avait confié Mabel, sans que ma proximité avec Mabel ne provoque de réaction de jalousie. Je considérai donc l’affaire comme close. À la fin du repas, Susana insista pour que nous retrouvions l’autre couple et je la suivis en silence. À peine arrivés, Mabel demanda à Susana de l’accompagner aux toilettes, en m’adressant un clin d’œil. À leur retour, quelques minutes plus tard, j’étais persuadé que Susana avait repoussé toute proposition de Mabel.


Nous nous sommes installés dans un coin tranquille du bar, et de nombreuses tournées ne tardèrent pas à nous rendre un peu gais. Quand un saxo commença à résonner, Vittorio me demanda la permission de danser avec Susana, que j’accordai complaisamment. Ma femme m’envoya un regard furieux, puis accepta passivement. Ils se mirent à danser lentement, et je vis que Vittorio lui parlait à l’oreille et qu’il serrait son corps contre le sien. Susana riait.


Pendant ce temps, Mabel, profitant de l’obscurité, commença à me caresser la jambe, puis elle me saisit la main pour la glisser sous sa jupe, sur son string, pour me faire constater son humidité, puis elle me confia que Mabel s’était refusée à toute discussion libertine. J’étais excité, mais je ne savais pas comment je pouvais faire pour réussir à faire l’amour avec Mabel, tout en évitant l’échangisme. Les danseurs revinrent s’asseoir et, quand Vittorio nous annonça qu’une bouteille de champagne nous attendait dans leur chambre, Susana accepta sans protester.


En marchant, pendant que les femmes bavardaient, Vittorio me demanda si j’acceptais qu’il baise ma femme pendant que, bien sûr, je baisais la sienne. La question, directe et brutale, me surprit. J’acceptai, convaincu qu’il allait être déçu, mais j’avais très envie de Mabel.


Arrivés dans leur chambre, qui comportait deux grands lits, Vittorio déboucha la bouteille, tamisa la lumière et mit de la musique, pour danser tous ensemble. Puis Vittorio s’installa avec Susana sur l’un des lits. Lentement, il l’attira vers lui et se mit à lui lécher l’oreille, puis à l’embrasser dans le cou. Sans lui résister, Susana poussa quelques geignements d’excitation, puis soupira profondément. Il chercha la bouche de ma femme pour y déposer un baiser, auquel elle commença par résister, mais, comme il insistait, elle céda et ouvrit sa bouche pour accueillir la langue de l’italien. En voyant ce baiser, malgré la main que Mabel avait posée sur ma braguette, l’assaut de jalousie fut immédiat. Le sang afflua sur mon visage et mon cœur entama un galop effréné. Vittorio embrassait lentement Susana, tout en lui touchant les seins. Quand il glissa une main dans son corsage, elle l’arrêta, mais sans cesser de l’embrasser. La deuxième tentative de Vittorio fut mieux accueillie, car Susana cessa toute résistance, et je vis la main de l’italien lui peloter les nichons avec délectation.


Assez vite, il lui ouvrit le corsage, pour mettre à nu ses beaux seins, en s’arrêtant sur ses tétons. Il les suça, les mordilla, ce qui la rendit folle. Puis il s’agenouilla, embrassa son nombril, et lui retira sa jupe et son string. Susana s’allongea sur le lit et, les yeux fermés, se livra à Vittorio, qui lui embrassa le mont de Vénus, puis les cuisses, en une manœuvre lente et irrésistible. Quand ses lèvres atteignirent sa chatte et qu’il lui suça le clitoris, elle se tordit de plaisir, en émettant des gémissements de plaisir. Susana termina de se déshabiller et leva une de ses jambes pour offrir à Vittorio plus de facilité. Sa langue allait du clitoris à l’anus de ma femme, savourant les savoureux parfums intimes de Susana.


Après avoir habilement empêché Susana de jouir, Vittorio se redressa et je pus voir sa verge (un peu plus grosse et un peu plus longue que la mienne) bien tendue.

Si Susana se plaignait de souffrir à l’époque où nous avions des rapports, je pensai qu’une si grosse queue allait lui faire peur. À ma grande surprise, Susana, même si elle ne pouvait pas la faire entrer entièrement dans sa bouche, avala la bite. Elle entama une pipe spectaculaire, aidée de ses mains, lui lécha les couilles et inséra un doigt dans l’anus de Vittorio, qui soupirait profondément. Puis il l’embrassa délicatement sur la bouche, s’agenouilla à nouveau, descendit vers son entrejambes et la gamahucha pendant quelques minutes. Enfin, il sortit de je ne sais où un tube de crème, en recouvrit sa verge, positionna Susana au bord du lit, les jambes pendantes et lui en enduisit les bords de la chatte

Susana se redressa et lui demanda, dans un murmure :



Vittorio se dressa sur l’un de ses bras au-dessus du corps de ma femme et, de sa main libre, il commença à introduire lentement sa verge. Son ogive luisante sembla rencontrer une résistance au début, mais une ferme poussée de ses fesses la fit pénétrer dans le petit corps de Susana. En voyant cette bite entrer dans le ventre de ma femme, je ressentis un curieux mélange de jalousie et d’excitation. Ce que j’avais longtemps fantasmé devenait réalité : on baisait ma femme, devant moi !

Vittorio entama un lent et régulier va-et-vient, de plus en plus profond, et Susana se cambrait de plaisir. Au bout de quelques minutes, Susana avait avalé la verge tout entière et elle en demandait encore… elle renta de se toucher le clitoris, mais Vittorio l’en empêcha et lui dit :



Puis, pour la première fois, Susana m’adressa un regard langoureux, leva les jambes pour entourer la taille de Vittorio qui, sans cesser de la besogner, se mit à l’embrasser et lui téter les seins. L’on n’entendait plus que les coups de son ventre contre le pubis de ma femme et le gargouillis des va-et-vient de la queue de Vittorio dans la chatte de Susana. Il la défonça pendant une quinzaine de minutes, qui me parurent très longues et remarquables (je tenais moitié moins longtemps), jusqu’à ce que Susana implore, désespérée :



Vittorio bramait et accéléra « ohhh… ohhh… ahhh… ahhhh… et elle répondait « oui… oui… maintenant… argggh » et les deux amants finirent ensemble en un orgasme explosif et, pendant que Susana se cabrait en tordant les draps de ses mains, Vittorio l’inondait d’énormes jets de foutre qui débordaient de la chatte de ma femme et coulaient entre ses cuisses. Puis il retira doucement sa queue du vagin de Susana, embrassa délicatement ses seins pendant qu’elle était encore agitée par les derniers soubresauts de sa jouissance.


J’étais comme anesthésié, en proie à une violente excitation. Ma queue, qu’entre-temps j’avais enfoncée dans le cul de Mabel, me faisait mal.

Après quelques minutes de langueur, Vittorio retourna Susana et la mit en levrette. Elle me regardait en silence, mais ses lèvres me disaient « je t’aime », sans relever que j’étais enfoncé entre les reins de Mabel. Fasciné, je vis que Vittorio commençait à lui lécher le dos, puis descendait lentement vers son cul, qu’elle dressait vers lui, la tête enfoncée dans les draps. Il lécha le cul et la chatte de Susana pendant de très longues minutes, de plus en plus profondément, en provoquant soupirs et petits cris :



Vittorio se redressa, étala de la crème sur sa verge et sur l’anus de Susana, et introduisit doucement son annulaire, qu’il accompagna ensuite de son index. Quand le va-et-vient de ses doigts lui sembla avoir suffisamment dilaté le sphincter de Susana et que ses petits gémissements lui accordèrent le « laisser-entrer », il plaça son gland à l’entrée du petit trou de ma femme.

À mon énorme surprise, au lieu de protester, Susana lui demanda, à nouveau, de la lui mettre doucement et Vittorio introduisit sa verge dans la petite grotte, vite arrêté par un petit cri de douleur ; quand Susana sembla accepter son braquemart, il poursuivit sa lente pénétration et la douleur de ma femme se transforma rapidement en gémissements de plaisir.


À nouveau, Susana avala cette verge qui s’enfonçait de plus en plus profondément dans son cul. Quand Vittorio arrêta ses va-et-vient, ce fut ma femme qui se mit à se remuer d’avant en arrière pour faciliter son enculage, tout en gémissant de plaisir, les seins agités au rythme des pénétrations.

Au bout d’un temps qui me parut interminable, Susana me demanda de lui donner ma queue à sucer. Ce que je fis après l’avoir sortie du cul de Mabel et l’avoir essuyée sur le drap.


Après m’avoir administré une bonne pipe pendant quelques minutes, Susana se releva, s’allongea sur Vittorio, le dos sur son ventre, et reprit sa verge dans son cul, maintenant bien ouvert, et me demanda de baiser sa chatte. Quand je la pénétrai, je sentis contre ma queue la présence de la grosse verge de Vittorio qui s’agitait dans son cul. Ses yeux se révulsaient et, quand elle les ouvrait, elle me répétait « Je t’aime… agggh… ». Entre deux cris de plaisir, elle nous demandait plus de vigueur :



Nous parvînmes à l’orgasme presque simultanément. Susana mordait le drap, les yeux révulsés et le corps agité de convulsions, pendant que Vittorio inondait son cul de son sperme et que je libérais mon plaisir dans sa chatte.


Ensuite Susana se leva, alla se doucher, puis me retira du trio que nous avions commencé à former avec Mabel, embrassa Vittorio et, à moitié rhabillé, je rentrai avec elle dans notre chambre. Quand, après avoir pris une douche, je la rejoignis sur le lit, elle dormait.

Au matin, au réveil, Susana m’embrassa délicatement sur la bouche, puis nous nous vêtîmes et allâmes prendre le petit-déjeuner. Comme Susana ne faisait aucun commentaire sur ce qui s’était passé pendant la nuit, je ne pus m’empêcher de lui demander :



Jouant à l’homme sûr de lui, je souris et je lui dis :



Susana m’adressa un sourire coquin…