n° 19189 | Fiche technique | 19765 caractères | 19765Temps de lecture estimé : 11 mn | 10/09/19 |
Résumé: Une rencontre lors d'une soirée. Un premier échange et de nouvelles découvertes | ||||
Critères: fh couple voir hmast fellation cunnilingu 69 pénétratio -amourpass | ||||
Auteur : Caribonex2 Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Ma femme est peut-être forte, mais c'est une bombe Chapitre 02 | Fin provisoire |
Résumé du premier épisode :
J’ai rencontré Zoé lors d’une dance party sur le thème années 80. Nous nous sommes tout de suite trouvé de multiples points d’intérêts communs et notre discussion m’a fait succomber à son charme. J’ai découvert une vraie femme qui sait dire ce qu’elle veut derrière son apparence enrobée. Nous venons de succomber à la passion.
Je me tourne vers elle encore un peu dans les vapes et je la regarde dormir. Ce premier round a été si intense que nous avons tous les deux plongé dans un petit somme réparateur. C’est bien une des premières fois où cela m’est arrivé, ce qui est bien une preuve.
Un petit sourire orne son visage encore un peu rouge de l’orgasme qui l’a emportée plus tôt. Elle est étendue, alanguie, sur le dos, telle une odalisque et je ne me lasse pas de la contempler. Son corps est pulpeux, fait pour l’amour et se livre à moi en pleine confiance, ayant compris instantanément qu’il se passait quelque chose d’exceptionnel entre nous.
J’ai soudain une pensée pour son « amie » qui voulait visiblement passer la soirée avec moi. Je connais ce genre qui promet beaucoup et donne peu, coincée, râleuse, toujours à pinailler et qui n’assume pas ses envies, ses besoins. Bon, c’est peut-être parce que je fréquente professionnellement un milieu où l’apparence tient lieu de viatique et où il est rare de vouloir savourer une pizza devant un bon vieux film en noir et blanc.
Je ne peux résister et passe très doucement la paume de la main sur son corps. Quasi instantanément, celui-ci réagit et semble chercher le contact alors même qu’elle est encore endormie. Le grain de sa peau est doux, très doux. Je caresse l’intérieur de ses cuisses puis remonte sous ses seins, traçant de larges cercles autour et doucement ses frémissements m’indiquent qu’elle se réveille.
Ses beaux yeux s’ouvrent lentement, elle ronronne de plaisir et me dit que c’est très bon.
Nos yeux se perdent dans ceux de l’autre et un courant de compréhension mutuel passe entre nous.
Elle s’empare de ma queue et passe son index sur tout le long, avant de titiller tout doucement le pourtour du gland. Puis de recommencer…
Dit avec un sourire lumineux et franc, l’effet en est encore amplifié. Elle me caresse avec joie, détendue savourant mon sexe qui grossit sous son index folâtre. Tout naturellement, on se met tête-bêche. Son corps allongé sur moi me fait sentir qu’elle est vivante, pleine de sensualité. Elle agit avec sa langue comme avec son doigt, tout en douceur, très lentement, dégustant minutieusement ma queue de plus en plus tendue. Je suçote ses lèvres intimes, titillant juste de temps en temps son clitoris déjà sorti de son petit capuchon de chair.
Son goût de miel et de pêche est savoureux et je lape plus fort, elle n’est pas en reste et m’embouche désormais plus fort. Je sens la succion de sa bouche, aspiration divine qui me fait bouillonner de l’intérieur.
Tacitement, on se sépare, mais c’est pour nous embrasser. Elle me suce la langue comme si elle cherchait à aspirer toutes les traces de sa mouille dont je suis encore enduit.
On se sourit et on s’embrasse à nouveau. Puis elle s’écarte et me présente soudain ses doigts humides du plaisir qu’elle est allée chercher entre ses cuisses. On lèche ensemble ses doigts délicieux en nous fixant du regard.
Je vous l’ai dit, quand on sait, on devient sûr de soi, aucune honte, aucune cachotterie entre nous, simplement le plaisir partagé, la communion des sens.
Elle répète encore son geste et nous partageons de la même façon. Mon sexe bat contre son bas-ventre et je quitte sa bouche pour aller titiller, mordiller, sucer, déguster ses tétons durs et pointés.
Elle gémit sans retenue et j’aime cela. Je fais d’ailleurs pareil quand elle m’empoigne le paquet d’une main assurée.
Durant ce court dialogue qui nous a excités tous les deux, elle m’a attiré sur elle, cuisses écartées et guide ma queue tendue en elle. J’ai l’impression de rentrer au port après une longue traversée quand je m’introduis en elle, si trempée, si chaude. Elle me serre contre elle, je lèche ses seins et les mordille quand elle me confirme adorer la sensation.
Je me mets au diapason et m’exécute avec joie. Bien positionné, je ne me retiens pas et m’enfonce de tout mon long, de toute ma puissance comme je n’ai jamais pu le faire auparavant. Je sors presque entièrement de sa chatte avant de me ré-enfoncer jusqu’à la garde en une seule poussée. C’est délicieux et ses gémissements en continu, assaisonnés de mots crus, me rendent fou.
Je pelote ses seins d’une main ferme, mordillant les pointes, serrant fort comme elle aime, comme elle le dit :
Un long cri de plaisir s’élève sur le dernier « encore » et elle tressaute sous moi dans un orgasme explosif qui dure, qui dure.
Elle me serre fort contre elle, quasi tétanisée avant de m’embrasser sauvagement
Son souffle retrouvé, je me retire doucement, le sexe toujours aussi tendu, brillant de son plaisir. Elle me regarde, souriante, l’air un peu repue,
Effectivement, elle la regarde, les yeux brillants, la poitrine se soulevant encore un peu vite.
J’empoigne ma tige tendue et me masturbe doucement devant elle, histoire de bien lui monter l’effet qu’elle me fait. C’est érotique au possible, surtout quand elle passe sa langue sur ses lèvres et commence à se caresser les seins à pleine main.
J’ai accéléré le mouvement, la fixant droit dans les yeux. Du pré-sperme perle au bout du gland et d’un mouvement rapide, elle vient happer du bout des doigts le liquide translucide pour le déposer sur la langue.
J’empoigne mon sexe de plus belle, tendu, dur comme de la pierre et je caresse devant elle, c’est chaud, érotique. Communion sensuelle entre nous.
J’avais allongé mes jambes sous les siennes et mes burnes sont collées contre sa chatte encore toute rouge et brillante. Sa bouche est grande ouverte, sa respiration haletante et je suis dans le même état. Son regard a quitté le mien et elle est fixée sur mon sexe sur lequel ma main va de plus en plus vite.
Cette fois, c’est à moi de crier que ça vient, que je vais jouir et elle m’y encourage à grand renfort de :
J’explose à mon tour en plusieurs jets puissants qui atterrissent sur son ventre et ses seins. Immédiatement prise de frénésie sexuelle, elle s’enduit les seins de mon sperme tout en ronronnant de plaisir.
Dès que j’ai repris mon souffle, je viens à nouveau l’embrasser en me collant sur elle avant de lui susurrer mots doux et tendres.
Enfin, au bout d’un long moment, on se sépare, encore collants de nos plaisirs pour aller prendre une douche méritée.
Nous venons de passer des heures à nous découvrir sensuellement et une douche s’impose. Chacun son tour, nous y passons, car ma douche est minimaliste, mais on prend plaisir à regarder l’autre au travers de la porte vitrée.
L’eau nous a revigorés et pendant que Zoé sort de son sac son nécessaire, je me rhabille. Une fois prête à son tour, ce qui est allé très vite, on se sustente avant de se mettre d’accord pour visiter la nouvelle exposition sur les trésors archéologiques helléniques. Zoé et moi désirions y aller, mais n’imaginions pas que finalement nous serions en couple pour la voir.
Voir une expo en couple… Je me repasse les mots en boucle dans ma tête, ayant du mal à y croire. Ce n’est clairement pas ce que j’avais l’habitude de faire et je me rends compte que je n’avais jamais vraiment rencontré de femme aussi intéressante depuis bien longtemps. En fait, les filles dites intelligentes que je rencontrais ne voyaient que mon apparence, Zoé, étant la première à voir au-delà.
Une conversation dans la demi-pénombre d’une salle des fêtes, l’envie de changer, d’aller plus loin que les apparences a fait la différence. Pour chacun, puisque moi aussi j’ai vu l’intelligence, l’intensité de son regard et découvert ensuite toutes les superbes promesses de son corps, et elle a trouvé que je n’étais pas qu’un beau gosse sans cerveau.
Inutile de dire qu’on a passé des heures à visiter. D’abord ce n’est pas tous les jours qu’on peut voir cela et ensuite pouvoir échanger sur l’art premier des Cyclades. Le dépouillement des statues, le grain de la pierre m’ont toujours attiré. C’est d’une clarté, d’une netteté incroyable. L’âge des pièces, principalement des visages stylisés, varie entre 2 et 3000 ans ou un peu plus et on se sent si petit…
Un petit en-cas avalé sur la terrasse qui surplombe le musée avant de finir la visite et on se retrouve dans le petit parc botanique jouxtant le musée. Main dans la main, on ne sent pas la température un peu fraîche et on s’arrête régulièrement pour échanger des baisers enfiévrés.
C’est aussi le moment d’échanger sur nos vies, nos occupations, nos passions. Ce sont ces moments qui forgent une relation, qui en sont le socle sur lequel le reste se construit. Au fur et à mesure, la journée se passe et on s’aperçoit qu’on a fait pas mal de kilomètres en marchant.
Comme nous sommes proches de chez moi, nous nous y rendons après avoir acquis quelques sushis pour le repas du soir. Une fois arrivés, je prépare rapidement la table pendant qu’elle s’attarde sur ma bibliothèque, s’amusant des nombreuses similitudes et toute prête à attaquer certains ouvrages qu’elle n’a pas ou qu’elle recherchait. Le repas fini, une toilette faite, on discute à nouveau, allongés, enlacés, collés sur mon lit.
La différence c’est que nous sommes nus, mais on ne cherche pas à aller vite, l’excitation monte doucement par des frôlements, des caresses « accidentelles » c’est tout en douceur, en délicatesse qu’on se retrouve après cette longue journée. On s’embrasse un peu, beaucoup, passionnément.
Nos mains parcourent les courbes de l’autre suivant le même schéma et, au bout d’un moment, on n’arrive plus à rester simplement détendus, et nos baisers, nos caresses deviennent plus intimes, plus centrés.
Les dialogues aussi se font plus imagés, plus orientés, plus crus tout simplement. Sur ma cuisse, je sens l’humidité de sa fourche, contre son ventre, elle sent mon sexe érigé, ses tétons sont bien durs dans ma bouche et nos mains palpent sans relâche le corps aimé de l’autre.
Je m’allonge sur le dos et elle vient lentement s’asseoir sur moi, s’offrant à mes yeux qui ne se lassent pas de la regarder, à mes mains qui jouent avec ses seins lourds.
Trempée, elle aspire ma queue en elle et ses yeux fermés, son air extatique quand je suis totalement entré en elle montrant l’intensité de son plaisir !
Elle rouvre les yeux, les fixe sur les miens et je bouge doucement par de touts petits coups de reins, elle prend ses seins en coupe comme pour m’en faire une offrande et, sans quitter son regard, je joue fort avec les pointes de plus en plus rouges. Elle gémit de plaisir, empalée jusqu’à la garde par mon sexe tendu comme un arc, elle me serre en elle et c’est délicieux.
Les yeux toujours dans les yeux, elle me réclame :
Et je manipule sans douceur ses tétons qui sont comme de petits cailloux, tant elle est excitée.
Sa bouche est ouverte, elle halète et sa mouille qui coule sur ma queue m’excite de plus en plus. J’ai envie de lui lécher les seins, mais je ne veux pas briser le contact. De supports, ses mains sont passées à se caresser les seins et elle sourit en me voyant et surtout en me sentant donner des coups de reins plus puissants.
Les mots se transforment ensuite en gémissements de plus en plus forts, la sueur coule sur mon front et ses cheveux sont collés par la transpiration, j’ai l’impression que cela ne va jamais s’arrêter. Je me sens prêt à durer, le sexe dur comme de la pierre. J’ai juste envie de la voir jouir, de la voir prendre son pied. Ses paroles me donnent envie de lui faire lâcher prise, de la voir échevelée, happant l’air et disant de plus en fort :
Elle bouge la tête dans tous les sens (enfin, c’est pas « l’exorciste », non plus, hein !), je la vois monter, monter… Focalisé sur son plaisir, je ne pense plus à rien d’autre, je veux juste la voir jouir, intensément.
C’est dans un vrai cri libérateur qu’elle jouit, tremblant de tous ses membres, si j’en juge par son attitude, son orgasme dure longtemps et je me régale de ce spectacle, m’en remplissant les mirettes, m’en gargarisant de souvenirs.
Elle s’écroule sur moi, pantelante de plaisir et après avoir retrouvé son souffle me donne un baiser plein de douceur qui contraste avec notre état un peu sauvage.
Elle se lève et vient se pelotonner à côté de moi, me souriant et murmurant des mots tendres.
Puis, elle avise mon sexe, toujours aussi tendu, sourit de plus belle et me murmure que c’est maintenant à elle de s’amuser.
Elle descend, s’allonge, se cale entre mes jambes écartées, m’offrant une vision fabuleusement sexy, visage vers moi, langue sortie dégustant ma queue tendue. J’avais énormément apprécié sa précédente fellation, mais là, c’est encore au-delà. La façon dont elle m’embouche, me lèche, me pique de baisers et de coups de langue pointue est absolument hallucinante.
Elle reprend son souffle et me dit :
Car évidemment, elle ne s’est pas arrêtée d’agir pendant qu’elle me parlait. Caressant mes bourses, flattant mon sexe en érection du bout de ses doigts, embouchant le gland, aspirant à s’en creuser les joues puis relâchant la pression et descendant loin dans sa bouche.
Je donne à nouveau des coups de reins sans pouvoir m’en empêcher tant je suis excité, tant elle sait y faire. Surtout, je ressens son envie, son plaisir de me dispenser cette action si intime.
Désormais, c’est moi qui ne peux plus m’arrêter de gémir, qui laisse mes doigts se crisper sur les draps tellement c’est bon.
Je parviens à murmurer que je vais jouir, mais elle relève juste les yeux et continue à me prendre en bouche. Ce regard sensuel, voire pervers, c’en est trop et je jouis à mon tour. Je me sens aspiré, me vide par saccade dans sa bouche chaude et accueillante et c’est elle maintenant qui me voit tétanisé tout le temps qu’elle m’avale. J’ai l’impression de ne plus m’arrêter, juste envahi par sa chaleur, sa façon de me prendre.
Enfin, elle se redresse et me sourit puis vient se blottir à nouveau contre moi et me fait cet aveu si plein d’amour et de complicité :
N’importe quel homme a automatiquement plus mille points d’ego en entendant cela et je n’échappe pas à la règle ! Je la serre donc encore plus fort contre moi avant de lui avouer à mon tour que jamais je n’ai eu autant de plaisir. Elle rosit délicieusement et on se détend l’un contre l’autre en s’échangeant des confidences qui, n’en déplaise aux lecteurs, n’appartiennent qu’à nous.
À suivre…