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Temps de lecture estimé : 12 mn
13/09/19
Résumé:  Un beau-père veut sauver le mariage de sa belle fille coincée. La belle n'est pas celle que l'on croit.
Critères:  fh alliance hotel cunnilingu anulingus fsodo -beaupere
Auteur : Lord66  (Je m'essaie à tous les styles, pourquoi pas celui ci ?)      Envoi mini-message
Louis, quinquagénaire en mal de sexe pense à sa belle-fille.

Perdu dans mes pensées, je ne la vois pas arriver dans sa robe ultra courte aux bretelles transparentes. Elle semble une gamine de quinze ans, alors qu’elle approche des trente ans à grands pas. Petit bout de femme de quarante-cinq kilos pour un mètre soixante, la jeune fille semble sûre de son apparence. Elle sait qu’elle fait tourner la tête des garçons, même des vieux comme moi. Si je n’ai jamais osé, jusqu’à présent, ne serait-ce qu’un seul geste déplacé, c’est qu’il ne s’agit rien de moins que de ma belle-fille, par alliance, certes, mais la famille c’est tabou, sinon sacré ! Je précise, juste à présent, car ce que je m’apprête à faire pour le bien de tous, et ne se le cachons pas, pour le mien en particulier, et le sien je l’espère, est répréhensible, sinon par la loi, du moins par la morale.


Rien ne va plus au sein du couple qu’elle forme avec mon beau fils. Laurie lui reproche d’entretenir une liaison adultérine, il lui reproche son manque d’affection. Bref, il ne se passe plus rien au lit entre eux. Et pourtant, d’après les dires du beau-fils, que je nommerai Mathieu, pour rester dans l’anonymat de cette capitale catalane, avant les enfants, ils s’en donnaient à cœur joie. Baisant à longueur de journée et de nuit. Puis la première grossesse a rempli les jours et les nuits, mais l’amour les unissait toujours. Lorsque vint la seconde grossesse, moins de deux ans plus tard, de branlette en branlette, Louis est parti satisfaire ses envies en dehors du foyer.




**********




De disputes en menaces, le couple en est presque venu aux mains et c’est un déchirement de les voir ainsi. Mon épouse, ne sait plus comme faire et s’occupe un peu plus que nécessaire des deux petites filles dont la plus âgée n’a pas trois ans. Elle les prend de plus en plus souvent le soir et même le week-end pour soi-disant donner une autre chance au couple.


Si bien que je me retrouve, tout comme le fiston, à faire joujou tout seul avec popaul. Même à l’approche de la soixantaine, je n’en reste pas moins demandeur et ce n’est pas le devoir conjugal hebdomadaire qui ramollit mon pieu de chair. En un mot, il faut que je baise.


Une idée a fait son chemin dans mon esprit, puis s’est insinuée avec délice dans les méandres de mon inconscient, pas si ingénu que cela tout de même. Joindre l’utile à l’agréable m’a toujours paru comme une solution sine qua non à mes problèmes. Puisque le manque d’attention dont je souffrais était lié au problème de couple formé par mon beau-fils et sa femme. Résoudre l’un ferait d’une pierre deux coups.


Toutes les solutions furent envisagées pour aborder ce sujet avec ladite coincée post-natal. Y aller de front, aurait brisé mon ménage également, et la réaction de mon beau-fils était imprévisible, s’il venait à l’apprendre. Les connaissant quand même assez bien, je m’offusquais, dans un premier temps, puis m’amusais de les voir étaler leur vie intime sur Facebook. Réseau social par excellence où les centaines d’amis virtuels s’effacent dès que les premiers tourments réels affectent le cercle des relations.


Je me créai donc une seconde adresse email affiliée à un compte Facebook et je demandai sous un prétexte quelconque de faire partie du groupe de mamans locales – qui s’échangeaient mille et une idées, sur nos chères têtes blondes, waouh !

J’avais menti sur un point dès le départ, en me faisant passer pour une femme, mais dès que les premiers échanges furent fructueux pour nous deux, et seulement pour nous deux en PM, je me dévoilai et devenais un père célibataire de trente-cinq ans, avec un petit garçon de quatorze mois. Je craignis que ce mensonge ne mette fin à nos relations toutes virtuelles, mais Laurie reprit contact quelques jours plus tard. Je ne la harcelais pas et demandais sur Facebook où j’étais toujours une mère célibataire, ce qu’elles pensaient des vaccins obligatoires. Laurie me répondit en MP.



Ouf, j’avais regagné sa confiance. Nous passâmes la journée et les jours suivants à nous parler par claviers interposés. Je lui disais que depuis le départ de ma femme pour sa mission humanitaire de six mois minimum, la solitude me pesait, bien que mon travail de kiné soit gratifiant. Je rentrais le soir m’occuper du petit Lucas, avec quelques tristesses.



Celle-là, c’est la première fois qu’on me la sort… Il n’avait jamais été question de problème de dos jusqu’à présent !

Et je suis là, quelques jours plus tard à attendre que ma petite belle-fille ramasse cette foutue clé que j’ai cachée sous un massif, et rentre dans la chambre.

Je calcule mentalement, le temps nécessaire à son effeuillage. Je ne pense pas qu’elle aura mis une culotte de grand-mère. Car même inconsciemment, elle a un rendez-vous avec un homme, dans une chambre d’hôtel. Si son moi, ou son surmoi ne se doute pas qu’elle va se faire sauter comme la chienne qu’elle est, comment expliquerait-elle ce petit string ou tanga et ce soutien-gorge assorti ? Même si elle se défend de telles pensées, il est tout de même assez troublant de se retrouver en petite tenue avec un inconnu pour un massage relaxant dans un hôtel et que la séance se termine par un simple merci, au revoir, ce fut incroyablement bénéfique pour mon dos, je pense !


Je ne peux parler, de peur qu’elle reconnaisse ma voix, aussi, ai-je une extinction depuis quelques jours. Six minutes se sont écoulées, je descends de voiture et monte l’escalier extérieur qui dessert les chambres 1 à 12, sur cet étage. Chambre 6, je frappe deux petits coups convenus et entre. Il fait nuit noire et bien sûr je me cogne à un meuble. Je ne lance pas la lumière, c’était notre deal, je le respecte. Pendant le bref instant où la porte d’entrée a donné de la lumière, j’ai vu ma blonde belle-fille, allongée de dos sur le lit. Elle est en tanga bleu, soutien-gorge assorti. Comme je m’y attendais pour l’avoir maintes et maintes fois observée, elle a un petit cul rebondi mis en valeur par le bout de tissu brésilien. Je suis aux anges.


J’avance, cette fois-ci, dans le noir complet et me recogne un peu exprès. Elle s’excuse du bout des lèvres, je souris.

D’autorité, je vais à la salle de bain et allume la lumière, je referme aussitôt la porte afin que ce simple rai lumineux garde la pénombre, mais me permette de disposer mes outils de travail. Je vois son merveilleux petit corps en ombre chinoise et l’effet sur ma queue est immédiat. Je suis vêtu comme un pro, pantalon de lin blanc sur chemise blanche et aux pieds de simples sandales.


Je m’approche et perçois le souffle de sa respiration un peu forte. Je frotte mes mains les unes sur les autres pour les réchauffer et les pose dans un signe d’apaisement au creux de ses deux omoplates. Son frisson est perceptible jusqu’à la nuque où je sens l’électricité statique frisotter ses petits cheveux presque blancs. Elle a même émis un léger son, mais trop faible pour le définir. Surprise ou volupté ?


Je m’asperge fortement d’huile de massage et commence mon travail par les pieds. Ses jambes sont serrées et en prenant son pied droit que je pose sur mon épaule, je devine plus que je ne vois, sa vulve s’entrouvrir. J’imagine lui reluquer la fente et y glisser quelques coups de langue. Mais rien de tout cela ne se passe. Je rends chaque passage de mes mains de plus en plus sensuel et elle ne réagit absolument pas. Lorsque je commence à masser ses petites fesses, elle a comme un geste de recul, mais d’autorité je la maintiens bien en place et lui intime l’ordre de laisser faire le professionnel.


Il est vrai qu’elle m’a prévenu. Ce genre de truc, comme elle dit, n’a aucun effet sur elle. Je ne dis mot, elle continue de nier les effets bienfaisants que je lui apporte. Je lui demande de se retourner sur le dos. Elle le fait tout naturellement et j’ai devant moi une belle jeune femme qui ferme les yeux et semble apprécier qu’on s’occupe d’elle.

Je commence le massage des salières et descends de plus en plus loin entre les seins, n’y tenant plus de tant de froideur, je passe mes mains dans l’échancrure et lui attrape un sein que je malaxe et triture à volonté.


Il me semble, reconnaître un petit cri de plaisir. Je lui dégrafe son soutif et recommence mon numéro. Malaxer ses seins, les triturer lui font fermer les yeux et quand j’approche mes doigts de ses tétons dressés, c’est bien un halètement de volupté que j’entends. Je chope entre le pouce et l’index son téton droit et le pince légèrement, elle tremble de tout son être, j’agace en même temps son autre sein. Je repince un peu plus fortement le tétin, elle se cabre comme pour une jouissance. Un cri déchire le silence de cette chambre.



Il n’en fallait pas plus, à votre serviteur pour déchaîner le cochon pervers qui sommeille en chacun de nous.

Je m’emparai de nouveau de ses seins et les triturais de plus en plus fortement. J’osais les pincer, à m’en faire mal aux doigts. Elle gémissait et portait parfois elle-même la main à ses seins qu’elle malmenait encore plus durement que moi. L’huile que j’avais étalée sur son corps était naturelle donc comestible. J’avançai ma bouche sur un de ses seins et le suçait, le mordillait. Elle eut un orgasme ! Elle reprit ses esprits en me demandant de cesser immédiatement ce que je faisais. Je n’avais pas lâché son sein même pendant sa jouissance et je savais que la seconde vague allait venir, si je n’attribuais aucune attention à ses protestations. Elle m’encouragea même en tenant ma tête appuyée sur ses seins, manquant m’étouffer. Tandis que je lui suçais les seins, je remarquai que sa main quittait parfois sa poitrine pour descendre sur le devant de son string. Je mis ma main sur la sienne, elle ne s’arrêta pas. Elle se caressait au travers du mince et fin tissu.


Je saisis sa main et la posai sur son ventre. Je remplaçai aussitôt sa main par la mienne. Elle eut un sursaut de fausse pudeur, mais écarta les jambes dans le même mouvement. Je fis tournoyer mes doigts de son nombril à son pubis et appuyant plus que nécessaire sur son bouton. Je guettais dans sa respiration, le signe d’un acquiescement. Il vint au bout de deux minutes de ce manège. Elle me prit les doigts et les insinua à l’intérieur de son string. Je rencontrai immédiatement sa mouille et passai mon majeur le long de ses deux lèvres jusqu’à son clitoris que je sentais extrêmement sensible. Je l’avais à peine effleuré que son bassin ondula comme le corps d’une danseuse orientale.


Délaissant son sein que j’avais presque mordu à sang, je laissais ma langue sortie et la laissait descendre telle une limace laissant une traînée de mucus. Arrivé au bord de son string, je saisis ce dernier par les dents et le fit pendre le long du bassin et des jambes. Je remontai alors pour me perdre au milieu de cette fente convoitée. Disposant ses jambes autour de mon cou, pendant de part et d’autre de mes épaules, j’avais la plus belle vue qu’il m’ait été donné de voir. De par son poids plume, je la surélevai au maximum afin de profiter de sa raie culière et de sa chatte. Je commençais à la butiner par de légers coups de langue, elle s’ouvrit encore plus, haletant de plus belle ; elle gémissait et criait de plus en plus. Je m’attardais sur ses lèvres que je pinçais avec la bouche et tirais dessus pour la faire se tordre de plaisir. Dès que les soubresauts se calmaient, je remontai ma langue sur le clitoris, que j’aspirai comme je le faisais quelques minutes plus tôt de ses tétons gorgés de lait. L’effet ne se fit pas attendre, un hurlement déchira mes tympans, la garce jouissait. Elle m’aurait stoppé que je l’aurai fait, mais elle me dit « encore » !


Je la maintins dans cette position et la pilonnai de ma langue bien dure. Je faisais entrer et sortir toute la longueur de ma langue dans sa chatte et elle ondulait comme, s’il se fut agi d’un sexe d’homme. La gentille Laurie, un peu coincée, s’avérait être une belle salope. Son beau-père n’était pas en reste, c’était un beau salopard de pervers. La petite en voulait, j’allais lui en donner pour son argent.


Tandis que je la baisais avec ma langue que je ressortais de toute sa longueur pour mieux la replonger aussitôt, je remarquai que ses mains ne restaient pas inactives et s’attardaient sur son clitoris lorsque je n’y étais pas ! Afin de me faciliter l’introduction, elle écartait elle-même ses grandes lèvres et j’avais ainsi une vue (on s’habitue parfaitement à la plus noire obscurité, et n’oubliez pas que j’avais ce rai de lumière venant du dessous de la salle de bains), j’avais une vue donc sur son joli trou étoilé. Je le voyais en demi-teinte, comme on dit, mais suffisamment pour avoir ma petite idée en tête.

J’avais au début de cette séance, massé ses fesses et l’effet avait été immédiat. Bien que je susse par de petites indiscrétions, faites entre les époux, lors de dîners à la maison, que son mari n’avait pas accès à cette voie ni à cette voix.



Je repensai doucettement à cette affirmation. Je commençais donc tout en la pistonnant de ma langue à malaxer son adorable fessier. De l’huile, mélangée à sa mouille et à ma salive coulait le long de sa raie culière pour finir noyer son petit trou. Je passai sans le vouloir et machinalement un doigt sur son anus. Elle frissonna. Je ne recommençai pas.

Je ne recommençai pas avant une petite minute. Il me sembla même qu’elle avançait son cul sur mon doigt dès que ce dernier se rapprochait bien malgré lui. Elle était à point.


Tandis que je la léchais avec délectation, pour faire varier le plaisir ou les plaisirs qu’elle manifestait à chaque orgasme, je décidai de promener ma langue du début de sa raie culière jusqu’à son clitoris. L’effet fut immédiat, elle prit un pied incroyable. Dès que ma langue passait sur son étoile de rose, elle tremblait et disait les mots les plus orduriers qu’elle connaissait.



Et hop, le mot était lancé, en deux temps trois mouvements, je me retrouvai la bite à l’air et la présentai devant sa rondelle. Elle poussa fort, jusqu’en butée. Puis, commença à s’enculer elle-même, sur mon mandrin de chair, proche de la jouissance. Elle m’encouragea même.



Je profitai de cette pause, pour allumer les lumières et contempler un peu mieux ses formes et la beauté qui était sienne dans la jouissance.