Les femmes ont de ces idées...
Les prémices
À l’université, Gina y Sarah étaient colocataires en cité U, tandis que Serge y Bertrand étaient de très bons copains, d’amphi et de bar… Gina y Bertrand ont commencé à sortir ensemble, puis Sarah et Serge ont fait de même… Puis les deux couples sont devenus inséparables, se sont mariés et ont eu chacun une fille, à peu près du même âge. Ils partaient en vacances ensemble et leurs filles s’entendaient très bien. Maintenant qu’ils ont la quarantaine, ils vivent dans deux maisons voisines.
Gina est une grande et belle femme blonde… Avec les années, elle a un peu grossi et en a ressenti un peu de honte. Avec quelques efforts de volonté, et bien aidée par son mari, elle a pu perdre une dizaine de kilos, mais ses seins, bien qu’ayant perdu du volume, sont restés pleins et très beaux… Bertrand, son époux, est une belle bête qui frise les deux mètres et les 100 kilos…
Sarah, petite femme rousse, a un corps mince et harmonieux, grâce à sa pratique soutenue du running. Son mari, Serge, mesure 1,90 m et pèse dans les 80 kilos… Comme sa femme, il aime courir et son corps le montre bien.
Leurs filles à l’université, ils passent de plus en plus de temps ensemble, s’invitent à des barbecues, souvent bien arrosés. Depuis que, il y a un an, Bertrand et Gina ont acheté un jacuzzi, ils ont pris l’habitude de s’y plonger après le repas, et les hommes n’ont de cesse de taquiner leurs femmes pour qu’elles retirent le haut de leur maillot, mais jusque-là sans succès.
Lors du dernier barbecue, les deux femmes ont pas mal bu et tout le monde est bien gai… Quand tout le monde termine dans le jacuzzi, Bertrand, une nouvelle fois, invite les femmes à se mettre torse nu… Gina lui reproche sa lourdeur, mais Sarah se relève :
- — Bertrand, c’est ça que tu veux voir ? dit-elle en détachant son haut de maillot, pour leur montrer ses seins, certes plus petits que ceux de Gina, mais fermes et bien moulés.
Bertrand applaudit et poursuit :
- — Allons, Gina, montre-nous les tiens.
Gina hésite, regarde les trois autres, sans oser faire quoi que ce soit, mais Sarah la fait se lever, lui dégrafe son haut pour libérer ses seins, en lui disant :
- — Gina, puisque les garçons veulent voir nos nichons, eh bien, nous allons les leur montrer… Mon Serge n’arrête pas de reluquer les tiens.
Bertrand ne peut s’empêcher de tendre les mains vers les seins de Sarah, mais celle-ci le rabroue :
- — Non, non… On regarde, mais on ne touche pas.
Pendant ce temps, Gina reste debout en face de Serge, un peu gênée, mais essaie de ne pas le montrer. En se rasseyant, Sarah bouscule involontairement Gina et la pousse vers Serge… Gina tombe sur Serge et il la retient… La main de Gina atterrit sur l’entrejambe de Serge… Elle laisse échapper un petit cri quand sa main rencontre une verge bien dure…
- — Serge… ta femme m’a fait tomber sans le vouloir.
- — Sois tranquille, ça n’a pas d’importance.
Malgré la rapidité de son mouvement, Gina se surprend à tarder à retirer sa main, qui, curieuse, presse légèrement la verge et en savoure la raideur et la longueur… Pendant ce temps, Serge soutient Gina de sa main droite, mais sa main gauche glisse vers un sein, le caresse…
- — Gina, pousse-moi vers Sarah, moi aussi je veux quelque chose, dit Bertrand.
Gina reprend ses esprits, lâche la verge de Serge, se lève… et chaque couple rentre se réfugier chez soi.
L’organisation
Le lendemain, comme tous les samedis, les époux vont jouer au golf. Comme chaque fois, Sarah rend visite à Gina pour prendre un café, et la prie de l’excuser de lui avoir dégrafé le maillot et de l’avoir poussée sur Serge.
- — Sarah, c’est moi qui devrais te demander de m’excuser… Quand je suis tombée, ma main a rencontré l’entrejambe de Serge… Sa verge était dure et j’ai un peu traîné avant de retirer ma main quand je me suis relevée… Je n’aurais pas dû, mais…
- — Ne t’en fais pas, Gina… Je comprends maintenant pourquoi il était si chaud hier soir… À peine dans la maison, il m’a baisée debout, dans l’entrée, puis dans le lit… Ça faisait longtemps que je n’avais pas joui comme ça…
- — C’est drôle, Bertrand et moi avons aussi bien baisé cette nuit… j’étais encore bien chaude par ce que j’avais fait à ton mari. On devrait recommencer, les conséquences sont top…
- — Je suis d’accord avec toi, mais… si nous allions plus loin ?
- — Qu’est-ce que tu veux dire ?
- — Nous sommes des adultes, Gina… Tu ne vas pas me dire que tu n’as jamais pensé à ce qui se passerait si nous nous trompions de mari ? Qu’y aurait-il de mal ?
- — Sarah, tu ne parles pas sérieusement, n’est-ce pas ? Tu n’es pas en train de me proposer d’échanger nos maris ?
- — Oui Gina, je parle de baiser en échangeant nos maris. Pourquoi ne pas le faire ? Ce ne serait que du sexe entre bons copains… Et personne n’a besoin de le savoir… Essayons, et si nous ne le sentons pas, point barre ! Tu l’as dit toi-même, tu es devenue toute chaude en touchant le sexe de mon mari… et nous avons, toutes les deux, été troublées par la situation… Il m’est déjà arrivé de rêver de coucher avec ton mari, et je parie que toi aussi, tu as déjà fantasmé sur le mien…
Gina sourit…
- — Tu crois que nos époux accepteraient ?
- — Gina, il n’y a qu’à voir leur insistance à nous voir à poil dans le jacuzzi ! Je sais qu’ils ne pensent pas à nous tromper, mais, si nous l’avions voulu, ils auraient été ravis de nous sauter… Si nous nous mettons d’accord toutes les deux pour baiser avec eux, ils devront accepter nos conditions.
- — OK, je pense que tu as un plan en tête…
Sarah sourit diaboliquement.
- — Samedi prochain, ils vont faire une compétition de golf et ils ne rentreront pas avant 17 h. Si nous leur disons que nous sortons dîner en ville, ils voudront se doucher avant de partir… Quand ils seront dans la salle de bain, nous deux, nous changeons de maison, en portant la lingerie que nous avons achetée la semaine dernière. Nous leur avouons que nous avons décidé de réaliser leur fantasme échangiste pour cette nuit, mais seulement pour cette nuit. Si l’un, ou l’une d’entre nous est réticent, il n’a qu’à appeler avant 18 h et nous annulons tout. Après 18 h, l’absence de coup de fil signifiera accord général. L’échange durera jusqu’au lendemain, à 10h. Qu’en penses-tu ?
Gina hésite…
- — Je ne sais pas ce que dira Serge… Ne devrions-nous pas leur en parler avant de le faire ? C’est un grand pas, Sarah… Laisse-moi y réfléchir cette nuit et nous en reparlons demain… D’accord ?
Cette nuit, Gina a du mal à trouver le sommeil… Son esprit ne cesse d’imaginer ce que Sarah lui a proposé, elle sent encore la chaleur de la main de Serge sur son sein, et elle s’imagine en train de baiser avec lui dans le jacuzzi. À côté d’elle, Bertrand dort profondément. Elle glisse une main sous son pyjama et saisit sa verge dans sa main. Après quelques caresses, elle devient toute dure, mais il continue de dormir. Rêve-t-il qu’il est en train de baiser avec Sarah ? Elle lui descend le pyjama, sort sa verge bien tendue, l’enjambe et s’enfile sur sa queue. Bertrand se réveille.
- — Qu’est-ce qui se passe ?
- — Tais-toi et baise-moi !
Bertrand fait ce qu’on lui demande et commence à bouger ses hanches de bas en haut, sa verge bien enfoncée dans le vagin de sa femme. Il ne se souvient plus de la dernière fois où ils ont fait l’amour à une heure du matin, mais, tout content de baiser, il ne se pose pas de question. Gina chevauche Bertrand, en agitant ses seins lourds au-dessus de son visage. Quand un violent orgasme s’empare d’elle, son vagin se serre avec force autour de la verge de son mari, qui ne résiste plus et déverse son plaisir dans sa chatte. Gina reste un peu sur Bertrand…
- — Ça a été génial… Qu’est-ce qui t’arrive ? Tu peux me faire ça toutes les nuits… Si j’ai fait quelque chose qui te fasse cet effet, dis-le-moi, je recommencerai !
Le lendemain, Gina repense à Sarah… Finalement, cette idée « d’amusements entre adultes consentants » lui plaît bien… Elle l’appelle.
- — Je suis d’accord, mais ne crois-tu pas que nous devrions nous réunir et parler avant de nous jeter sur un lit ?
- — Je crois que ce sera plus drôle de voir la réaction de nos petits maris quand nous leur dirons qu’ils ont l’occasion de réaliser ce à quoi ils rêvent depuis si longtemps !
- — Mais nous le ferons à ta façon ; si quelqu’un ne veut pas, on arrête tout de suite. L’idée m’excite, mais elle me fait un peu peur.
Le premier match…
Le samedi matin, Gina et Sarah prennent congé de leurs époux qui partent faire leur golf, en leur disant, après un rendre baiser, qu’elles les aiment. Elles leur rappellent l’heure du dîner et leur demandent de rentrer vers 17 h. Les deux hommes partis, Gina se prépare et se rend chez Sarah avec, dans son sac, des sous-vêtements suggestifs.
Quand elle entre, Sarah est dans la cuisine.
- — Tu es sûre que nous allons le faire, Sarah ?
- — Bien sûr, Gina… Cette nuit, Serge a voulu me faire l’amour, mais j’ai voulu qu’il garde son sperme pour toi, ma belle…
- — Tu lui as dit ce que nous allons faire ?
- — Non, je lui ai dit que j’étais fatiguée et je lui ai tourné le dos, avec difficulté, car j’étais toute mouillée…
Le temps s’écoule lentement, le silence des deux femmes dissimule leur excitation. Vers 17 h 30, elles entendent la porte du garage, puis Serge entre dans la cuisine et salue les deux femmes, puis se rend dans la salle de bain. Dès qu’il est à l’étage, Sarah prend Gina dans ses bras, dépose un baiser sur ses lèvres et saisit son sac pour s’apprêter à rejoindre l’autre maison.
- — Tu es toujours d’accord, Gina ? Souviens-toi que, quoiqu’il arrive, nous sommes les meilleures amies du monde.
- — Oui, les meilleures amies du monde… J’espère que je ne vais pas me dégonfler…
Sarah sort par la porte arrière et entre dans la maison de son amie. Après s’être assurée que Bertrand est bien sous la douche, elle se rend dans la chambre d’amis et se déshabille, pour ne garder que l’ensemble soutien-gorge et tanga qu’elle avait acheté pour plaire à son mari. Quand elle entend la douche se terminer, son cœur se met à battre plus vite. Elle attend quelques minutes, pour laisser à Bertrand le temps de se sécher et de s’habiller… Elle regarde sa montre, il est 17 h 40.
- — Bertrand !
- — Je suis dans la chambre !
Sarah entre dans la chambre conjugale, uniquement vêtue de ses légers sous-vêtements et s’assied sur le lit.
- — Sarah, que diable fais-tu là, dans cette tenue ?
- — Gina et moi voulions que vous voyiez la lingerie que nous avons achetée… Tu aimes ?
- — Sarah, là, tu es en train de m’allumer… Où est Gina ?
- — Gina est chez moi, en train de montrer sa lingerie à mon Serge.
- — Qu’est-ce que tu dis ?
- — Je dis que nous avons décidé de réaliser votre fantasme !
- — Notre fantasme ? C’est une blague ? Serge et Gina sont cachés quelque part et vous allez tous vous moquer de moi !
- — Gina et moi avons eu l’impression que vous vouliez nous échanger et nous avons décidé de prendre les choses en main et d’essayer. Si tout le monde est d’accord, l’échange commence à 18 h pile et se terminera demain matin à 10 h.
- — Tu veux dire que nous allons passer toute la nuit ensemble, en totale liberté… et que nous allons baiser…
- — Oui Bertrand, tu vas pouvoir me faire tout ce que tu voudras, et moi… j’ai très envie de baiser avec toi.
- — Ma Gina est d’accord ?
- — Quand je lui en ai parlé, elle était hésitante, mais je crois qu’avoir montré ses seins à Serge le week-end dernier lui a donné des idées… Tu t’en souviens ?
- — Bon, mais comment fait-on, maintenant ?
- — Le plan, c’est que si personne n’annule avant 18 h, je passe la nuit avec toi et Gina passe la nuit avec mon mari. Nous réalisons notre fantasme et, ensuite, nous décidons si c’est une occasion unique ou pas… Si l’un de nous est réticent, il appelle avant 18 h, nous annulons l’échange et nous n’en parlons plus. Toi, tu n’es pas jaloux que ton épouse soit avec ton meilleur ami ?
- — Oui, un peu, mais je suis si excité que je ne pense pas à ce qu’ils vont faire, si je peux passer la nuit avec toi.
Bertrand fait glisser les bretelles du soutien-gorge et prend les petits seins de Sarah dans ses mains. Sarah regarde le réveil, il est 6 h moins 10.
- — Attends un peu, nous allons attendre jusqu’à 18 h… prends ton téléphone pour nous assurer qu’ils n’appellent pas et que nous devons « tout » arrêter…
Bertrand retire sa chemise et prend son téléphone.
- — Merde, j’ai un appel de Gina.
Bertrand est sûr que Gina est en train de faire marche arrière. Un message s’affiche sur son écran :
- — Je t’aime.
- — J’ai eu peur…
Bertrand montre, en riant, le message à Sarah, puis retire ses chaussures et son pantalon.
- — Ne sois pas si pressé, Bertrand, ce message date d’un quart d’heure, et il nous reste encore huit minutes pour tout annuler… tu peux terminer de te déshabiller, pendant que nous attendons…
Bertrand se déshabille, puis regarde son téléphone :
- — Il reste trois minutes… Tu es certaine de ne pas vouloir annuler ? Comme tu peux le voir, je suis prêt, dit-il en montrant son membre raidi.
Sarah le regarde en souriant, fait glisser son tanga au sol, s’approche de Bertrand et sa main s’empare de sa verge
- — Il vaut mieux qu’ils n’appellent pas, je suis foutrement chaude…
Sarah entoure de ses doigts le membre de Bertrand, pose ses lèvres sur les siennes et introduit sa langue dans la bouche de Bertrand… Elle retire ses lèvres pour regarder la montre de Bertrand… La montre indique 18 h 02. Elle va vers le lit, se couche, écarte les jambes et ouvre les bras pour inviter Bertrand à la rejoindre.
- — Je crois qu’il est l’heure de te coucher…
Bertrand monte sur le lit et se couche sur Sarah… Il l’embrasse et présente sa verge à l’entrée de la chatte bien rasée. Son gland écarte les grandes lèvres de Sarah dont la chatte, bien mouillée, accepte bien volontiers l’entrée en elle de la queue. D’une seule poussée, la verge de Bertrand pénètre entièrement dans le ventre de Sarah, qui gémit.
- — Oh, Bertrand, je te sens bien…
La queue de Bertrand se met à pistonner le con de Sarah avec vigueur…
- — Je n’arrive pas à réaliser ce que nous sommes en train de faire… J’ai eu envie de te baiser pendant tant de temps que j’ai l’impression de rêver…
Sarah gémit pendant que Bertrand la besogne de plus en plus fort, de plus en plus vite. Il avait rêvé de baiser son beau petit corps et maintenant, il la baise, avec toute l’intensité qu’elle semble pouvoir supporter. Au bout de peu de temps, Sarah se met à trembler, son premier orgasme arrive… Elle crie à son amant :
- — Je vais jouir, plus vite, plus vite…
Bertrand la baise énergiquement, et, quand le con de Sarah se contracte autour de son membre, il grogne et décharge son sperme en elle…
Pendant ce temps, l’autre couple…
Le second match…
Gina ramasse son sac avec ses sous-vêtements. Ses mains tremblent quand elle se déshabille et revêt la lingerie qu’elle aussi avait achetée pour son mari. Nerveusement, elle monte les escaliers et se dirige vers la chambre principale. Elle sort son téléphone. Elle pense à tout annuler, mais, au lieu de ça, elle envoie un texto à son mari « Je t’aime ». Elle reste en dehors de la chambre, pour écouter si Serge est sous la douche. Comme elle n’entend rien, elle va dans la chambre. Elle entend la chasse d’eau, puis la douche, puis regarde son téléphone : il est 17 h 40. Le temps passe lentement et elle commence à s’impatienter. Elle consulte à nouveau son téléphone : pas d’appel… La douche se termine, elle doit faire quelque chose !
- — Serge, tu es prêt ?
- — Je me sèche… Gina, c’est toi ? Qu’est-ce que tu fais là ?
- — Tu peux venir, tout de suite ?
Serge sort de la salle de bain, la taille prise dans un drap de bain, qu’il manque perdre quand il aperçoit Gina dans sa chambre, vêtue de ses seuls sous-vêtements.
- — Mon dieu, qu’est-ce que tu portes là et où est Sarah ?
- — Calme-toi, je te dois quelques explications, dit-elle en regardant son téléphone : il est 17 h 55. Tu te souviens que, samedi dernier, Bertrand et toi, vous nous avez convaincues, Sarah et moi, de retirer notre soutien-gorge dans le jacuzzi pour vous montrer nos seins.
- — Comment pourrais-je l’oublier… tu étais magnifique, j’étais chaud bouillant.
- — Moi aussi et, le lendemain, avec Sarah, nous avons parlé…
Gina regarde son téléphone : il est 17 h 58.
- — Pourquoi est-ce que tu regardes tout le temps ton téléphone ?
- — Parce que tu as pris du retard et que le temps compte. Nous avons décidé de nous amuser en votre compagnie ou plutôt, comme le dit Sarah, de nous livrer à des « jeux entre adultes consentants ». En ce moment, elle est chez moi, en train de montrer sa lingerie à Bertrand.
- — Qu’est-ce que ça veut dire, et pourquoi le temps compte-t-il ?
- — L’idée, c’était de te parler pendant une demi-heure pour t’expliquer que tu peux changer de femme pour cette nuit. Si quelqu’un veut tout annuler, il appelle les autres avant 18 h. Si cela arrive, nous dirons que c’est une blague et tout s’arrête.
Gina regarde son téléphone, qui indique 18h 01.
- — Merde, l’heure est passée…
- — Échanger les femmes… ?
- — Voyons, Serge, je suis dans ta chambre, en petite tenue… Tu n’as pas compris ? Sarah et moi sommes d’accord pour que vous puissiez passer une nuit avec nous, en toute liberté… Si tu n’étais pas d’accord, tu pouvais les appeler avant 18 h, mais l’heure est maintenant passée.
Gina se met à pleurer. Serge s’approche d’elle et la prend dans ses bras.
- — C’est vrai, tout ça ?
- — Bien sûr que c’est vrai… Pourquoi, sinon, serais-je dans cette tenue ? J’ai merdé parce que, maintenant, l’heure est passée et qu’il est trop tard pour tout arrêter…
- — Tu aurais voulu tout annuler ?
- — Je ne sais pas… Peut-être devrions-nous tout annuler, c’était une idée idiote que j’ai acceptée sans penser aux possibles conséquences.
- — C’est Sarah qui t’a convaincue, hein ?
- — Je n’ai pas résisté très longtemps avant d’accepter… J’étais toute remuée quand je suis tombé sur toi et que ma main a touché ta queue… J’ai aimé…
Serge tend le bras et serre Gina contre lui à nouveau. Le drap de bain passé autour de sa taille se détache et tombe. Elle regarde son membre, qui commence à se manifester…
- — Qu’elle est grosse ! On dirait que tu n’as pas envie de tout annuler…
- — J’aime ma Sarah, mais je veux que tu saches que, depuis que je te connais, j’ai envie de faire l’amour avec toi…
- — Je te mentirais si je te disais que je n’y ai jamais pensé…
- — Tu n’as pas reçu d’appel ?
Gina secoue la tête. Ils regardent la montre, qui marque 18 h 15.
- — Alors, comme ils sont d’accord, en ce moment, ton mari doit être au lit avec ma femme, et pendant que nous parlons, ils doivent être en train de baiser…
- — Ma tête me dit que c’est une erreur, mais mon corps me dit le contraire… Je regrette beaucoup, je croyais que je savais ce que je faisais.
Serge est maintenant certain que Gina veut annuler le plan.
- — C’est bon, Gina, je vais les appeler et leur dire que j’ai des réticences et que j’annule… S’ils ont commencé, je leur dirai d’arrêter…
- — Attends, Serge… ne pouvons-nous pas y aller doucement, dit-elle en faisant glisser son soutien-gorge à terre, puis en se réfugiant dans les bras de Serge.
- — Nous irons à la vitesse que tu voudras… Nous ne ferons rien si tu ne veux rien faire… Tu veux que nous allions sur le lit ?
Sur un signe de consentement de Gina, ils gagnent le lit, tout en s’étreignant. Les lèvres de Serge trouvent celles de Gina et la langue de Gina se glisse dans la bouche de Serge. Ils échangent d’ardents baisers pendant de longues minutes, puis Gina prend la main de Serge et la pose sur ses seins… Serge les caresse avec douceur et enthousiasme. Puis Gina interrompt leurs baisers…
- — Merci, lui dit-elle en le regardant dans les yeux.
- — Merci pourquoi ?
Gina se lève et se tient debout au bord du lit. Serge est convaincu que sa nuit d’amour est terminée.
- — Pour ne pas m’avoir brusquée, dit-elle en retirant son tanga et se recouchant, maintenant entièrement nue. Je suis prête, et oui, je suis certaine que je veux baiser avec toi, dit-elle en se pelotonnant contre lui, en prenant sa queue dans sa main…
Puis elle se met sur le dos et écarte les jambes. Serge se couche entre ses cuisses, appuie doucement sa queue contre sa chatte et la pénètre… Lentement, il la lui met entièrement. Gina gémit bruyamment quand Serge commence à faire coulisser son membre dans son con.
- — Oooh… Je ne peux pas le croire, j’ai la chatte en feu.
Serge maintient un rythme soutenu, entrant et sortant sa queue de la chatte de Gina, mais est vite contraint de le réduire, pour ne pas jouir trop tôt… Il veut que Gina jouisse la première, mais il lui est de plus en plus difficile de se retenir… La respiration de Gina s’accélère, elle gémit de plus en plus fort… Serge sent qu’elle va bientôt partir, ce qui l’arrange, car lui aussi est sur le point d’éclater…
- — Oooh, Serge… je vais jouir…
Elle se mord les lèvres et arque son corps pour que Serge puisse enfoncer sa grosse queue encore plus profondément dans sa chatte.
Quand elle redescend de son orgasme, Serge l’embrasse et, accélérant les mouvements de sa bite en elle, il lui dit :
- — Maintenant, ça va être mon tour…
- — Oui, jouis, remplis-moi la chatte…
Serge décharge son plaisir dans le ventre de Gina, puis se couche à côté d’elle.
- — Comment tu te sens ?
- — Très bien. Maintenant, je sais deux choses : la première, c’est que j’aime mon mari, et la deuxième, c’est que je suis ravie d’avoir baisé avec toi… Je suis toute chose à l’idée de baiser avec toi toute la nuit… Quelle bonne idée, ce « jeu entre adultes consentants »…
Pendant que Serge descend à la cuisine pour préparer des sandwichs (« Si on doit baiser toute la nuit, il nous faut des forces… »), Gina se rend dans la salle de bain pour nettoyer le sperme qui coule de son con… Elle vient de baiser avec le mari de sa meilleure amie et n’a pas reculé… Elle est contente d’elle. En revenant dans la chambre, son cœur s’accélère quand elle remarque que son téléphone clignote ; c’est un message de Bertrand « Moi aussi, je t’aime. Amuse-toi bien ». Gina sourit, raccroche et descend l’escalier. Elle retrouve Serge dans la cuisine, nu devant l’évier, en train de nettoyer de la salade. Il prépare deux verres de vin et deux sandwichs, puis s’assied à côté de Gina.
- — Je n’aurais jamais imaginé que vous acceptiez un échange et que, de plus, vous l’organisiez…
- — J’espère que tu n’es pas fâché…
- — Bertrand et moi avons plusieurs fois tenté de vous encourager à vous déshabiller quand nous étions ivres, alors, comment être fâché, si vous avez réalisé notre fantasme. Je suis content d’avoir toute la nuit pour pouvoir baiser avec toi, mais je ne suis pas certain que j’aurais accepté si j’avais dû voir Sarah et Bertrand en train de baiser, mais votre plan me semble parfait.
- — Je ne veux pas te mentir. Je suis troublée et nerveuse. Nous avons tiré un très bon et j’ai très envie de passer le reste de la nuit avec toi. Tu crois que notre amitié va en pâtir ?
- — Je ne sais pas si je pourrai le refaire un autre jour, et si ce ne doit durer qu’une nuit, je ne veux pas perdre du temps dans la cuisine. Prête pour retourner dans la chambre ? On pourrait s’amuser dans la cuisine, mais mieux vaut retourner au lit pour continuer à nous « amuser entre adultes consentants ».
En rentrant dans la chambre, ils se jettent sur le lit, enlacés, les lèvres soudées…
- — Gina, y a-t-il quelque chose que tu voudrais que nous fassions ?
- — Tu me connais bien, nous ne sommes pas obligés de le refaire de la même façon… J’aimerais commencer par goûter ta queue et je crois deviner que tu aimerais jouer avec mes seins…
- — C’est qu’ils sont magnifiques.
- — Quand tu les auras pelotés le temps que tu voudras, j’aimerais savourer ta langue entre mes cuisses parce que j’ai entendu dire que tu es un expert.
- — Vous vous racontez ce genre de choses, entre femmes ?
- — Oui, Sarah affirme que tu lui bouffes très bien la chatte et j’aimerais bien y goûter moi aussi. D’ailleurs, mon Bertrand doit être en train de le lui faire… Après me l’avoir fait, nous essaierons d’autres positions pour jouir à nouveau. Ça te plaît ?
- — Voyons… tu me suces, je joue avec tes nichons, je te mange la chatte, puis nous baisons dans plusieurs positions jusqu’à jouir encore et encore. Que demander de plus ?
Pendant ce temps…
Sarah et Bertrand ont aussi fait une pause pour casser une graine avant le round suivant.
- — L’idée est de qui ?
- — De moi, tu n’as pas aimé ?
- — Bien sûr que j’ai aimé… Depuis le temps que j’avais envie de te baiser… Mais je n’aurais pas pensé que Gina soit d’accord… Elle est un peu vieux jeu… Comment l’as-tu convaincue ?
- — Elle est plus délurée que tu ne le penses. Je pense qu’elle aussi avait envie de baiser avec mon mari.
- — J’aimerais savoir… pourquoi l’avoir organisé dans des endroits distincts ? Pourquoi ne pas nous être réunis tous les quatre pour en discuter ?
- — J’ai pensé que, comme ça, c’est un peu plus excitant et je craignais que l’un de vous ne supporte pas de voir son épouse en train de baiser avec un autre. Bon, je suis prête à retourner au lit si tu as récupéré assez de forces…
Elle se penche pour déposer une bise sur la queue et la caresse délicatement, jusqu’à ce qu’elle se raidisse à nouveau…
- — Je crois sentir un regain de forme là, en bas. Retournons au lit et replongeons cette queue dans ma chatte, car je suis certaine que, dans mon lit, mon Serge est en train de faire une piqûre de rappel à ta Gina…
Gina et Sarah ont, chacune, programmé une alarme à 9 h, une heure avant la fin de l’échange, mais vers 8 h, Gina se réveille… et pense qu’elle baiserait bien encore une fois. Mais après tout ce qu’ils ont fait, la verge de Serge peut-elle durcir à nouveau ? À elle de le vérifier… Elle se libère du bras qui la serre et se met à genoux, puis s’empare doucement de la verge de Serge, qu’elle rapproche de sa bouche. Le membre dégage un parfum de foutre et de mouille. Elle le prend en bouche et commence à le sucer. Serge remue, mais continue de dormir… elle sent la queue grossir et la suce plus vigoureusement. Serge gémit et feint de dormir. Elle continue de sucer et de caresser sa verge jusqu’à ce qu’elle soit bien raide… Elle attire Serge sur elle, place sa queue au-dessus de sa chatte, et se la met jusqu’au fond… Serge fait semblant de se réveiller enfin…
- — Quel agréable réveil… Il faudra que je demande à Sarah de me le faire…
- — Je voulais baiser une dernière fois avant que le temps ne soit écoulé…
- — C’est la dernière fois que ma bite entre dans ton con ?
- — On verra bien ce que la vie nous réservera…
À 10 h, les deux femmes retournent chez elles. En se croisant, elles échangent un sourire complice, mais ne se disent rien. Elles ont le temps… Plus tard, elles parleront avec leurs époux de ce qui s’est passé cette nuit et décideront s’ils peuvent recommencer sans risque pour leur couple…