n° 19225 | Fiche technique | 44800 caractères | 44800Temps de lecture estimé : 27 mn | 06/10/19 corrigé 05/06/21 |
Résumé: Un couple met en place un code de communication sans parole pour informer l'autre de la disposition sexuelle du moment. | ||||
Critères: fh couple vacances piscine amour noculotte fmast intermast fellation cunnilingu anulingus fgode pénétratio double sandwich fdanus fsodo jouet -amourpass | ||||
Auteur : BVT Envoi mini-message |
Safa et Paul sont en couple depuis une petite dizaine d’années, ils ne sont pas mariés et n’ont pas d’enfant. Ils ont une vie bien remplie, travail, sports, activités artistiques, sorties. Ils ont bientôt trente ans, mais sont restés très enfants et joueurs.
Safa est une femme pleine de charmes de l’orient. Brune, peau mate, elle est plutôt petite avec des beaux seins fermes et des hanches bien dessinées. Seul point qui la dérange un peu, ses fesses sont bien présentes, trop pour elle. Malgré beaucoup d’efforts et de sueur, elle n’arrive pas à inverser ce que la nature lui a offert. Beaucoup d’hommes et le sien en particulier ne partagent pas du tout son point de vue, car ils ont plutôt la vue qui pointe quand elle passe devant eux. Issue d’une famille modeste qui s’est mise en quatre pour payer ses études, sa maman lui dit toujours que c’est l’idéal pour une femme qui veut des enfants, mais des enfants elle n’en veut pas de peur de voir encore plus ses fesses se développer.
De toute façon, elle n’a pas le temps. Cadre dans une entreprise de plasturgie après un diplôme d’ingénieur, elle veut profiter d’un métier qu’elle adore. Elle a en charge l’intégration des résidus de broyage dans les nouveaux produits. Être capable de faire des pièces de qualité en recyclant le maximum de plastique paraît être normal, mais ce n’est pas du tout évident. Elle a le sentiment de protéger la nature de la pollution des plastiques en cherchant, testant et trouvant des solutions techniques pour recycler le maximum de résidus dans les nouveaux produits de qualité, autres qu’une poubelle ou qu’un tuyau d’évacuation des eaux.
Safa se maquille très peu, légèrement les yeux de temps en temps pour sortir, mais rien au boulot. Avec la chaleur de l’atelier où elle fait ses tests avec son équipe, son maquillage finit toujours par couler laissant des traces horribles sur son visage. Et comme elle fait pas mal de sports, c’est bien inutile selon elle. Par contre, elle est toujours habillée d’un effluve de parfum. Elle les aime épicés, mais sait les utiliser avec un équilibre savant. Point crucial pour elle et sa féminité, elle porte toujours un petit bijou autour du cou. Elle en a toute une collection, souvent de la pacotille, mais pas que, qu’elle varie en fonction de ses envies. Pour ses loisirs, en plus du sport, elle chante dans une chorale pour le plaisir.
Au boulot, elle porte son « bleu de chauffe » comme elle dit : jean, polos aux couleurs de son entreprise et aux pieds, des mocassins pour faire la route qu’elle remplace par des chaussures de sécurité dans l’atelier. Dès que possible, elle n’hésite pas à se rendre très coquette. Elle adore les petites robes qui font tourner la tête des hommes et des talons qui lui donnent plus d’envergure. Côté lingeries, elle ne se refuse rien, de l’utile pour le sport et le boulot, du sexy pour les sorties et très sexy pour allumer son homme ou rien du tout en fonction de ses envies.
Paul est, lui, d’origine allemande. Bien que né en France, il a eu la possibilité de garder les deux nationalités. Il est grand aux épaules puissantes, des cuisses solides. Blond aux yeux clairs, il a la peau très blanche qui contraste avec sa compagne. Beaucoup de sport et de musculation lui permettent de garder un corps ferme. Il aime la bonne table. Fervent amateur de bons plats, il se retrouve souvent aux fourneaux. Il aime tout autant se rendre chez les producteurs locaux pour faire ses achats. Les verres plus ou moins grands et forts ne lui font pas peur, tout en restant dans le contrôle, il y a bien longtemps qu’il n’a pas été ivre, Safa lui ferait payer cher cette bêtise. Il lui est donc impossible de se relâcher physiquement sous peine de voir un chiffre de plus apparaître sur la balance. Il préfère les vêtements cools et détendus, toutefois, il achète peu, mais de qualité. Son physique est un véritable supplice pour les coutures. Les vêtements « made in Asie du Sud-est » ne sont pas pour lui. Il sait et aime aussi faire un effort pour être en harmonie avec les tenues de sa femme certains week-ends.
Parfaitement trilingue, il travaille dans l’équipe dirigeante dans l’antenne française d’une boîte de logistique allemande. Bien que la féminisation soit en marche comme dans beaucoup de domaines, son milieu professionnel reste très masculin et macho. Les blagues potaches sont quotidiennes.
Ils ont une bonne bande de copains et de copines de tous âges avec qui ils font régulièrement, du sport, des parties de jeux vidéo, des ballades et surtout de bonnes fiestas pour décompresser. Les plus jeunes les prennent en exemple pour leurs réussites, les plus vieux sont envieux de leur jeunesse.
Côté sexe, tout va presque bien. Leurs pratiques sont rayonnantes et variées. Ils ont visité toutes les pièces de leur appartement et ne se refusent jamais un extra à l’extérieur ou chez des amis. Ils n’hésitent pas à tester beaucoup de positions, des plus tendres aux plus physiques. Bien qu’ils aiment plaire et voir leur partenaire plaire, ils ont tous les deux une pointe de jalousie. Ils ne supporteraient pas de voir l’autre en prise avec un autre partenaire.
Le seul point qui les fâche de temps en temps, c’est que Safa est parfois compliquée à comprendre quand il s’agit de ses envies sexuelles. Parfois elle peut être très gourmande, entreprenante, demandeuse, presque directive occasionnellement et d’autres, elle se laisse faire, il doit prendre les choses en mains, être inventif, même dominateur. Parfois elle prend les devants et à d’autres moments elle préfère être guidée. Parfois elle veut être bousculée et d’autres elle ne veut que de la tendresse et du romantisme. Ensuite elle peut se passer de sexe pendant plusieurs jours, sans aucune explication, ni évènement déclencheur. Elle est tout simplement comme beaucoup de femmes, mais avec des variations d’envies plus amples que la plupart. Ces changements sont difficilement compréhensibles et de moins en moins acceptés par Paul. Cela provoque des disputes entre eux, qu’ils regrettent rapidement. Un matin, à la fin d’une de ses disputes à propos de leur soirée de la veille qui a tourné au vinaigre, Paul lui dit :
Cette conversation a lieu dans leur chambre pendant qu’elle choisissait son pendentif du jour sur une petite table juste à la sortie de leur coin salle de bain. Elle comprend son homme et elle aimerait bien trouver un truc pour sortir de cette impasse, mais en même temps, elle refuse de se forcer à faire ce qui est contre sa nature. Nerveusement, elle triture ses bijoux et ses coffrets. Son choix va sur une boîte, une boîte en bois de bel ouvrage. En ouvrant ce coffret de pierres qu’elle porte en pendentif sur une petite chaîne en argent ou une ficelle en coton lui vient subitement une idée des plus logiques pour elle. Comme elle n’arrive pas à exprimer verbalement ses états d’âme et ses dispositions du moment, elle va lui proposer de communiquer autrement.
Toute la journée, ils communiqueront par texto afin de mettre en place une communication non verbale entre eux, qui exprime leurs états d’âmes sexuels du moment. Voici donc comment, après de longs palabres, ils se sont mis d’accord, sur ce que veut dire chaque pierre qu’elle portera.
Pierre noire : « Je suis de mauvais poil, passe ton chemin ! »
Pierre bleue : « Prends les choses en main, mais pas de folies »
Pierre rose : « Je prends les choses en mains, laisse-moi faire »
Pierre mauve : « Je suis très chaude, il me faut le grand jeu »
Pierre blanche : « Tu as carte blanche, je veux que tu me fasses découvrir une nouvelle expérience, dans les limites de notre couple et sans violence ».
Pas de pierre : « Une journée normale, peut-être que oui, peut-être que non, faut voir. »
Le couple s’est mis d’accord pour que Paul puisse répondre aux pierres avec, lui aussi, un code couleur. Il mettra une bague à un pouce.
Bague noire : Je ne suis pas en phase avec toi.
Bague argent : C’est parti !
Il a aussi obtenu de pouvoir utiliser une bague or pour exprimer qu’il a des envies quand elle ne portera pas de pierre. Safa accepte, mais il devra quand même attendre qu’elle se décide. « L’homme propose, la femme dispose », comme il se dit parfois.
Le soir même, les codes sont inscrits dans un règlement que tous les deux signent avec enthousiasme accompagné d’un bon verre de vin blanc. Ce document n’a qu’une valeur morale, mais c’est surtout une manière de lancer ce nouveau jeu. Une fois les gorgées avalées, ils s’embrassent tendrement, elle se sent toute chose, les textos de la journée et la rédaction du règlement l’ont émoustillée. Elle pose son verre et d’autorité ouvre la ceinture du jean de son homme en le provoquant d’un regard langoureux, elle retire lentement les boutons du jean en ajoutant un sourire vicieux à son visage provoquant puis tire sur la toile pour passer ses bels fesses en gémissant sensuellement. Une fois l’arrondi du fessier passé, le pantalon tombe tout seul au sol. Elle prend son homme par les hanches et lui fait faire un pas en avant pour lui libérer les pieds. Heureusement qu’ils vivent pieds nus dans l’appartement autrement la scène aurait perdu beaucoup de son charme, se dit-elle.
En baissant les yeux pour contrôler la manœuvre, elle est ravie de voir le boxer bleu nuit se déformer. Elle s’assoit sur la table basse. Elle a maintenant, les yeux au niveau de la bosse qui continue de gonfler sous le textile. Avec un sourire espiègle, elle commence à gratter tendrement avec ses ongles le coton qui couvre le sexe qui continue de se remplir. Un groupe d’ongles s’occupe des testicules et un autre titille la tige. Elle voit la queue bouger et se dérouler au fur et à mesure de ses gestes. Elle tire sur le boxer et voit subitement, le gland dépasser de l’élastique, cela ne fait qu’augmenter l’excitation de la gratteuse. Tout en continuant son opération, elle approche son visage. Elle peut sentir son odeur personnelle de la journée, mais cela ne la rebute pas, au contraire, elle la respire à plein poumon. L’odeur est forte. Normal, on est en fin de journée, mais elle sait que son homme est méticuleux, il se rince dès que possible.
Sa bouche touche puis ses lèvres embrassent le bout tout rouge qui lui fait envie. Elle continuera de gratouiller ce qui est resté sous le tissu. Le gland est délicatement excité de ses lèvres, de son souffle puis du bout de sa langue. Ce traitement aura pour effet de rendre Paul complètement dingue. Une goutte vient perler à l’extrémité de la verge, Safa la récupère du bout de la langue dans un geste très sexuel.
Quand il voit un filer translucide s’étirer entre son sexe et la langue qui vient de le lécher, il ne résiste plus, d’un geste nerveux, il baisse lui-même son boxer sur ces cuisses ne pouvant plus attendre. La tige libérée se pose sur les lèvres devant elle. Safa l’englobe immédiatement très profondément, mais ses gestes s’arrêtent aussi vite qu’ils ont commencé. Le gland est bien au chaud, mais cela ne lui suffit pas, Paul contracte ses fesses pour faire vibrer son sexe afin de faire comprendre à sa suceuse qu’elle doit se mettre en marche. Les deux amoureux se provoquent du regard, mais personne ne bouge.
Sans qu’aucun son ne sorte de sa bouche, les lèvres de Paul lui communiquent son désir. Un spécialiste aurait pu déchiffrer les deux mots facilement. Sofa qui a aussi bien compris ce qu’il lui a dit, continue de ne rien faire, sauf de l’interroger du regard. Son homme cède et lui murmure un très petit :
Elle continue de faire l’ignorante, attendant une nouvelle fois, son regard le questionnant. Fièrement cette fois-ci, il crie presque.
Elle a ce qu’elle voulait, il est à point. Elle pose une main bien à plat sur ses testicules, les doigts lui demandant d’écarter ses cuisses puissantes pour les laisser passer. Les ongles finissent par toucher le bas des fesses. Il y en a même un qui se glisse entre elles. L’autre main attrape le barreau au plus bas et commence un branlage nerveux et puissant, tout en rythme. La bouche n’est pas inactive avec ce qui reste en elle. Les lèvres se trouvent juste à la liaison du gland et de la tige. Elles enserrent au mieux ce rebord de chair presque à vif. Elle prend grand soin de garder ses dents en retrait. La langue, de son côté, tourne autour du bout de chair.
Après ces quelques jours d’abstinences, la vue érotique qu’elle lui offre et le savoir-faire de sa belle, il sent déjà la pression monter fortement. Des yeux, il tente de lui faire comprendre ce qu’elle sait déjà. Elle a bien senti le gland grossir et grossir et même commencer à vibrer. Elle se prépare à recevoir sa pitance. Les jets sont puissants et nombreux, mais la bouche ne laissera rien échapper. Sans lâcher son morceau, elle avale le sperme en plusieurs fois. Elle a bien eu du mal devant la quantité, mais elle n’en laissera pas tomber un gramme, allant même jusqu’à aspirer pour extraire ce qui reste dans le tube. Elle aime le sperme, ou plus précisément, elle aime son sperme, car c’est le seul qu’elle ait jamais goûté.
Ravie de son petit numéro, Safa se lève et, sur la pointe des pieds, bécote les lèvres de son homme qui reste sans voix, la respiration rapide. Il lui faudra plusieurs secondes pour retrouver ses esprits.
Ils rirent tous les deux du bon mot. Un peu de préparation pour se mettre à table, le repas sera sage. Bien qu’il n’ait pas remis son pantalon, aucun geste ne viendra les troubler. Ils se questionnent à tour de rôle sur le code couleur pour savoir si les deux s’en souviennent bien. Après avoir débarrassé la maison, elle l’informe sensuellement qu’elle va prendre sa douche et qu’elle l’attend pour lui frotter le dos. Paul vérifie la porte d’entrée et rejoint la chambre. En entrant dans le coin salle de bain, il voit sa femme de dos sous l’eau chaude. Cette simple vision le remet tout de suite en condition. C’est donc déjà bien bandé qu’il se glisse dans son dos. Immédiatement, elle lancera un bras en arrière en tournant un peu. Elle arrive à l’attraper derrière la nuque, l’attire pour l’embrasser fougueusement. Les mains de l’homme parcourent les hanches, le ventre, la poitrine, le dos et les fesses. L’une d’elles arrive autour du cou et elle touche une pierre. Il quittera les lèvres chaudes pour voir le pendentif.
« Bleu », il doit donc prendre les choses en mains et s’occuper de sa femme qui ne demande que ça. Il reprend un ballet de caresses sur tout le corps devant lui. Alors qu’elle cherche à lui rendre la pareille, il lui plaque d’autorité les mains de chaque côté de la colonne de douche. La différence de taille entre eux deux fait qu’il se retrouve les couilles au-dessus de ses fesses. Il fléchit sur ses cuisses puissantes et fait passer sa colonne de chair entre les jambes féminines. Les mains posées sur ses hanches, il la fait bouger et onduler du bassin. Elle se frotte ainsi longuement le clitoris et les lèvres sur le sexe sous elle.
Il ne lui faudra pas longtemps pour sentir son plaisir monter et enfin elle jouit. Après cette première jouissance bruyante, il ne la laisse pas respirer et l’empale ferment dans deux longs râles de plaisirs partagés. Sous ses coups de boutoir, elle décolle littéralement du sol et se retrouve en suspension sur la queue du mâle en rut. Il est puissant. Son vagin ne peut pas tout recevoir, il bute au fond d’elle, lui provoquant à chaque fois une magnifique sensation d’être pleine de plaisir. Il la besogne ainsi très longtemps, jusqu’à ce qu’elle rende l’âme dans un puissant cri de bonheur. Il sort son engin pour libérer son sperme sur son dos et son cul. Il doit la soutenir pour qu’elle garde l’équilibre pendant tout le temps où son petit corps se remet du plaisir qu’il vient de prendre. Un bon savonnage réciproque s’impose. Les gestes sont maintenant tendres et affectueux. Ils s’endormiront dans les bras l’un de l’autre, pour une bonne nuit apaisante.
Au réveil, Paul est seul dans le lit. Déçu, il tente de l’appeler, mais aucune réponse. Dommage, son érection est du haut de gamme ce matin et il aurait aimé en faire profiter sa compagne. En se levant, il trouve un mot sur la petite table dans la chambre.
« J’ai dû partir tôt ce matin, j’ai des essais à faire avant le lancement de la production, tu dormais trop bien, pour que je te réveille, pourtant ton sexe tendu m’a fait envie. Je l’ai pris en photo pour m’aider à attendre ce soir. Bisous.
En fouillant sur la table, il trouve le coffret de pierres. Elles sont toutes là. Un peu déçu, il va prendre son déjeuner et se prépare pour la journée. Il est morose et bougon, à cause de l’absence de Sofa, mais aussi à cause de la présence de toutes les pierres. Finalement, il se dit qu’elle va certainement rentrer avant lui cet après-midi et qu’elle aura tout le loisir de se décider avant son retour. Avant de prendre la route, il lui passe un message.
« Bonjour, ma belle, tu m’as manqué ce matin. C’est quoi cette histoire de photo ?
Il lui faudra attendre une heure et être déjà au boulot dans son bureau pour qu’une réponse tombe
« Bonjour beau blond, désolée, j’étais dans l’atelier. Avec le bruit, je n’ai pas entendu la notification de ton message et concentrée sur mon job, je n’ai pas fait attention. Tu m’as aussi manqué ce matin. »
« Et cette photo ? »
« La voici, il est beau ton sexe, tendu comme ça ! »
En ouvrant la pièce jointe, il peut se voir, allongé sur le dos, un bras derrière la tête et l’autre sur son ventre. Une jambe tendue et l’autre pliée sur le côté. Sa queue est au trois quarts bandée dans l’aine de sa cuisse pliée. La photo est très belle, on le reconnaît sans problème. Comme elle a pris la photo à peu près au niveau de ses pieds, son sexe semble énorme. Il sait qu’il est bien équipé, mais là, ça fait sensation.
« Heu, tu vas en faire quoi ? »
« Mais rien du tout, gros béta, je ne vais pas la mettre en fond d’écran de mon PC, je te rassure, même si l’idée me plaît bien. Je vais juste la regarder de temps en temps pour m’encourager quand tu ne seras pas là. Tu es très beau ! »
« Il va falloir que je fasse moi aussi des photos de toi comme ça ! »
« Attends deux minutes ! »
Il ne comprend pas trop son message. Il pense qu’elle est dérangée par un collègue qui est entré dans son bureau ou un truc comme ça. Lassé d’attendre, il reprend sa journée de travail quand, après quinze minutes, son téléphone annonce l’arrivée d’un SMS. En l’ouvrant, il peut voir sa femme se prendre en photo, devant un miroir des toilettes de son entreprise (il le sait pour l’y avoir rejoint un samedi matin qu’elle travaillait). Il ne peut voir que le haut, elle est en soutien-gorge en dentelle noire. Elle a mis son bras libre sous ses seins et les presse un peu pour les rendre encore plus provocants. Une réaction dans son caleçon ne se fait pas attendre. Un autre message arrive.
« Bonne journée, à ce soir ! »
« Tu es magnifique, démoniaque, mais magnifique ma belle. À ce soir. »
Ils reprennent enfin le cours de leur journée professionnelle. Vers seize heures, Safa termine sa journée. Son patron est très exigeant côté travail, mais il soigne bien son personnel. Ils n’ont pas le droit de rester plus de dix heures sur place, pause repas comprise. Il estime qu’au-delà, les risques d’accident sont beaucoup trop importants et que le rendement baisse fortement. Elle a eu bien chaud, avant de rentrer, elle décide de prendre une douche dans les vestiaires tout confort. Elle choisit une cabine indépendante, se déshabille et se lave sous une eau tiède. Ses propres mains sur ses seins l’électrisent. Ses tétons pointent fièrement sous les bulles de savon.
Elle coupe l’eau et prend son téléphone pour appeler son homme en visio. Quand il ouvre la fenêtre sur son appareil, il prendre en pleine tête les pointes fièrement gonflées des seins qu’il aime tant. Il reste sans voix, inutile de mettre des mots, les images sont suffisamment explicites, les seins, le savon et le son. Il entend de très légers gémissements. Le film continue, l’image descend rapidement jusqu’à la fine toison brune. Elle a les cuisses bien écartées et il peut voir, un doigt entrer et sortir lentement entre les lèvres roses. Malgré le savon, il croit voir un filet de cyprine quand elle sort son doigt de l’orifice avant d’y replonger.
Après plusieurs minutes, l’image remonte jusqu’au doux visage souriant. Elle lui envoie un baiser et coupe la transmission. Paul n’en peut plus, depuis ce matin, il bande et débande régulièrement sans s’être vidé. Il sent l’extrémité de son gland tout humide. Il se dit que le reste de la journée va être très long, heureusement, il habite proche de son lieu de travail, mais il n’est que 16 h et encore deux heures au moins d’attente. Il espère que sa Safa va rester chaude comme ça toute la soirée.
De son côté, après avoir coupé la liaison vidéo, elle n’a pas résisté à se donner du plaisir jusqu’à la jouissance avant de terminer sa douche. Elle est bien calmée, mais elle culpabilise de l’avoir excité comme ça. Elle a envie de le rejoindre.
Elle rentre rapidement à la maison se changer. Elle choisit une petite robe mi-cuisses, rayée multicouleurs, boutonnée sur le devant, mais elle oublie bêtement les sous-vêtements. Elle accroche la pierre rose à son cou et fonce retrouver son homme dans son bureau. Quand elle arrive, elle voit que la majorité du personnel a quitté le parking. Elle sait que Paul aime bien tout contrôler avant de partir à son tour. Elle entre discrètement dans le bâtiment qu’elle connaît bien et déboule dans son bureau sans frapper à la porte. Il n’est pas là, mais ses affaires sont encore accrochées au portemanteau. Elle se met sur le côté de la porte, côté charnières, voulant le surprendre. Tout se passe comme elle avait prévu. Il arrive et elle lui saute dessus. Tout surpris de la trouver là, il a petit cri de peur. Ravie de son coup, elle profite de sa surprise et pousse sa carcasse le dos contre la porte qu’il vient de refermer. Elle tend son cou pour lui mettre sous le nez la couleur du moment.
Lentement, elle ouvre un à un, les boutons de sa robe. Il est surpris de la voir nue sous ce frêle vêtement, mais finalement pas autant que ça, ce n’est pas une première. Par contre, son étonnement est grand quand elle recommence ses caresses comme tout à l’heure sous la douche devant lui. Elle l’empêche d’intervenir en lui tapant sur les doigts qui tentaient une approche. Tout en laissant une main sur ses seins, elle ouvre le ceinturon et les boutons du pantalon de son mâle, tire sur le tissu du boxer pour enfin attraper l’objet qu’elle convoite. Pour ne pas utiliser ses deux mains pour libérer totalement tout le paquet, elle lui demande de descendre son pantalon et son caleçon sur ses cuisses.
Une fois mis à l’air, elle engage un énergique branlage de leurs deux sexes. Elle veut le faire jouir sans autre forme de procès. Le plus rapidement possible, la peur de se faire surprendre, mais surtout un défi qu’elle se lance à elle-même. Rapidement, elle voit sur le visage du branlé, que son traitement est efficace, il tente bien de se retenir, mais impossible. Les gestes de la branleuse sont bien trop précis et efficaces et en plus de la voir se tripoter devant lui… Il gicle rapidement sur le ventre et les seins nus. Le sperme coule jusqu’aux poils pubiens. Safa reprend son propre massage d’une main étalant la crème partout sur elle et de l’autre s’active sur son clitoris. Avec un sourire vicieux, elle jouit à son tour. Comme si de rien n’était, elle essuie ses mains sur le tee-shirt de Paul puis referme sa robe. Sur la pointe des pieds, elle lui lance un « je t’aime, à tout de suite » dans le creux de l’oreille et l’embrasse. Elle repartira sans plus attendre de réponse.
Durant plusieurs semaines, les journées et les week-ends se succèdent sous les mêmes auspices. Parfois pas de pierre, la pierre rose a servi plusieurs fois, elle aime s’occuper de lui. Mais c’est surtout la pierre bleue qui est utilisée ces derniers temps. Il met tellement d’énergie pour la satisfaire, il fait beaucoup pour leurs plaisirs, qu’elle a envie de le laisser faire de plus en plus. Depuis quelques jours, au fond d’elle, elle, Safa, sent un changement, elle se sent de plus en plus joueuse avec ce nouveau code entre eux. Elle exprime ses envies comme jamais auparavant.
Ce samedi matin, elle se réveille doucement, Paul est rentré tard hier soir du sport et elle n’a pas réussi à l’attendre et s’est écroulée de sommeil. Pourtant, après trois soirs d’abstinence à cause du travail entre autres, elle était particulièrement disposée. Comme à son habitude, il dort sur le dos avec une main derrière la tête. Elle repense à la photo de l’autre jour. Elle tire doucement sur la couette pour mieux voir le corps entier et surtout nu. Bien que son regard croise le sexe bandé partiellement, ses yeux ne peuvent se détourner du pouce sur le ventre devant elle. Il a mis sa bague en or. Mon petit bonhomme a des envies, se dit-elle. Eh bien, moi aussi et pas qu’un peu !
Elle se lève, passe par les toilettes et en revenant, elle attrape une pierre. Elle se présente aux pieds du lit, parée du brillant mauve. Le plus discrètement possible, elle chevauche son étalon et s’embroche profondément. Elle est tellement excitée que la pénétration est très facile. Bien entendu, Paul est réveillé depuis un moment, mais il se laisse faire. Elle monte et descend par saccades sur le pieu. Au bout de quelques minutes, il se rend compte qu’elle porte la fameuse couleur mauve. Il se dépêche d’enlever l’anneau d’or de son pouce et de prendre la bague argent qui était dans le tiroir de la table de nuit. Il ne peut s’empêcher de penser que c’est pratique d’avoir des grands bras. Une fois l’anneau en place, il la regarde prendre la parole.
Sur ces mots, il empoigne les deux obus et martyrise les tétons avec juste ce qu’il faut de fermeté pour les faire réagir. Quand il pince un peu plus fermement les pointes pleines de sang, Safa jouit presque instantanément, inondant la tige en elle de sa liqueur de plaisir. Elle s’écroule sur la poitrine de son baiseur. Il en profite pour lui prendre les fesses à pleines mains et commencer un violent et rapide cycle de coups de reins. La femme ne peut retenir un deuxième orgasme rapidement. Bien que puissant et violent, il est loin de la combler, il ne fait qu’augmenter son envie. Elle donne en même temps que lui des coups de reins pour augmenter ses sensations. Des mains qui lui empoignent les fesses, un doigt vient taquiner l’anus pendant que les mouvements s’accélèrent encore et encore. Elle jouit une nouvelle fois.
Cette fois-ci, une phase de repos s’impose, mais le doigt analement inquisiteur ne reste pas inactif alors que les corps retrouvent un peu de quiétude. Paul sent bien que sa femme est détendue, son doigt entre et sort très facilement du petit trou. Elle aime la sodomie, mais uniquement après avoir bien joui et là, c’est le cas. D’un geste brutal, mais contrôlé, il la porte et la déplace pour la disposer à genoux sur le bord du lit. Elle a son visage posé sur le matelas, ce qui lui cambre ouvertement les reins, avec son beau cul bien rebondi qui crie famine. Il la pénètre et la ramone au plus profond de son vagin la tenant par les hanches. Elle adore quand son homme comprend ses besoins et ses envies comme maintenant. Il sait la bousculer juste comme elle aime. Elle n’aime pas les claques sur ses chairs, mais adore se faire malaxer fermement le cul comme maintenant. Elle jouit fortement une nouvelle fois. Paul ne bouge pas attendant que les spasmes se calment tout en regardant l’orifice étoilé s’ouvrir et se fermer au rythme de la respiration de la femme qui tente de refaire surface.
Quand il sent qu’elle reprend prise, il sort son sexe luisant, mais pour le poser un peu plus haut sur l’étoile sombre qui lui fait envie. Il pousse légèrement et attend une réponse du corps qu’il s’apprête à enculer. Il ne faudra que quelques secondes pour qu’elle recule toute seule sur le pieu qui lui écarte les muscles. Une fois bien au fond, Paul reprend la main et lui inflige une bonne ration de va-et-vient lents, mais avec énormément d’amplitude. La situation est très chaude, mais il en veut encore plus, elle a mis la pierre mauve, elle est donc en attente de beaucoup, il ne veut pas la décevoir. Il se retire lentement, elle râle, mais il lui impose de ne pas bouger. Paul attrape un long godemichet dans leur tiroir magique, qu’il mouille de sa salive et qu’il plante dans le sexe encore tout ouvert et gluant qu’il a bourré juste avant. Une fois en place, il plonge son sexe dans l’autre trou qu’il occupait juste avant. Il coince l’extrémité du gode sous ses testicules et entame doucement une double pénétration.
Il la ramone longuement et longtemps en variant le rythme, l’amplitude et l’angle de pénétration régulièrement. Elle jouit rageusement plusieurs fois. Paul se contrôle, mais cela devient de plus en plus compliqué. En lui empoignant les deux seins, il l’oblige à se redresser et accentue sa pénétration. L’angle ayant changé, les frottements sont plus forts dans les chairs de sa partenaire. Elle atteint un orgasme comme rarement elle a connu, quand il se déverse en elle. La bataille des corps a duré plus d’une heure. La jeune femme est comblée et l’homme est très fier de lui. Le plaisir a été immense pour lui aussi. Ils referont l’amour plusieurs fois dans le week-end de façon plus conventionnelle.
Durant les semaines qui ont suivi cet évènement, toutes les pierres sauf une ont été de sortie plusieurs fois. Safa a même porté la pierre noire durant une semaine parce qu’il a montré des photos d’elle à un de leurs copains. Elle n’a pas honte de se voir nue sur ces photos, ou que son ami les voie, mais Paul aurait dû lui demander son accord. Celui-ci a dû faire preuve de beaucoup de patience pour faire passer la pilule.
La seule pierre qui n’a pas servi est la blanche. Par deux fois, elle l’a mise, mais par deux fois elle n’a réussi à la garder. À chaque fois, elle l’a remplacée par la mauve au dernier moment, de peur de l’inconnu dans lequel il risquait de l’emmener. Mais en ce jour d’été et de vacances, son corps est bouillonnant. Ils sont dans la maison de ses parents à lui, mais ils sont là pour garder la maison durant leurs vacances.
C’est du gagnant/gagnant. Les parents partent l’esprit en paix et les enfants profitent de la maison, du jardin et surtout de la piscine à l’abri des regards. Depuis une semaine qu’ils sont là, tout va pour le mieux entre eux. Les séances de sexes sont nombreuses et variées. Ils viennent de faire la sieste dans leur chambre. Paul s’est levé pendant qu’elle dormait encore. Elle l’entend nager dans la piscine, elle regarde discrètement par l’ouverture des volets. Elle voit ce corps qu’elle aime tant, complètement nu, nager de façon très technique dans l’eau bleue. Pour une raison inconnue, ce moment de grâce la chamboule totalement, elle a envie de franchir un nouveau palier dans sa sexualité. C’est donc aujourd’hui qu’elle va mettre pour la première fois la pierre blanche devant son homme.
Que va-t-il trouver pour la combler ? Va-t-il trouver ? Est-ce qu’elle ne va pas être déçue ? Elle s’énerve toute seule. Ah non, cette fois, je vais jusqu’au bout !
Elle se lève accroche le pendentif et sort nue sur la terrasse. La pierre blanche sur sa peau mate, ne passe pas inaperçue et avec le soleil, elle brille de mille éclats. Elle est en admiration devant le corps nu du nageur, un magnifique corps tout en puissance. Tout à sa nage en brasse maintenant, après une grosse séance de crawl, Paul ne la voit pas arriver. Elle cherche comment faire pour rendre le moment encore plus chaud. Très discrètement, elle vient s’asseoir sur le bord de la piscine, les fesses le plus dans l’eau possible, les pieds dans l’eau, cuisses largement écartées juste dans sa trajectoire. Elle corrige sa position au fur et à mesure pour être certaine du résultat. Quand les mains du nageur s’avancent pour toucher le bord avant de repartir pour une autre longueur, elles rentrent en contact avec la vulve déjà bien baveuse. Paul est surpris et fait un geste de défense en lâchant tout. Il manque presque de boire la tasse, mais trois secondes après, reprenant son équilibre, il est aux anges en voyant le brillant. Il a compris que le grand jour attendu est arrivé. Il se doit d’être à la hauteur.
Très souvent, il a réfléchi à ce qu’il pourrait bien lui proposer si elle sortait ce foutu caillou et à chaque fois, c’est le même fantasme qui prenait le dessus pour lui. Maintenant, il faut passer du rêve à la réalité et ça, c’est plus facile à dire qu’à faire. Surtout, il doute maintenant, va-t-elle apprécier ce qu’il lui réserve ?
Dans un premier temps, profiter de la situation lui semble le plus important, il revient entre les cuisses toujours grandes ouvertes, passe ses bras sous les jambes et pose ses grandes mains sous les fesses douces et chaudes. Il commence une série de baisers à l’intérieur d’une jambe, du genou jusqu’à l’aine, doucement, méthodiquement. Il ralentit encore le déplacement de son visage jusqu’à toucher l’extérieur de la grande lèvre du sexe grand ouvert devant lui. Sa bouche utilise cette rampe naturelle pour faire un bond de l’autre côté et redescendre sur l’autre lèvre. Il continue son manège jusqu’à l’autre genou. Safa est en feu, bien qu’elle adore quand son homme s’occupe d’elle tendrement, ce n’est pas le bon moment, là, elle veut du lourd et tout de suite. Énergiquement, elle lance une main derrière la tête masculine et la force à venir en plein milieu.
C’est la première fois qu’elle lui parle comme ça, mais elle veut bien lui montrer qu’aujourd’hui est un autre jour. Comme il continue de ne pas lui obéir, elle le force sur le crâne. Oh, il n’en faudra pas beaucoup pour que la langue enfin entre en contact avec les muqueuses bouillantes qui s’offrent à lui si impudiquement. Fort de son savoir-faire, il va la faire monter progressivement jusqu’à la bascule dans l’orgasme qui viendra finalement très rapidement quand il s’est attaqué à son clitoris. La jouissance oblige la femme à serrer les cuisses, mais l’homme ne l’entend pas ainsi. Il se sort de l’emprise, la saisit fortement par les hanches et l’attire partiellement dans l’eau, la retourne et la repose sur le bord. Elle se retrouve, le ventre sur le carrelage du bord de la piscine et les fesses en l’air. Il ouvre de nouveau le compas et recommence son attaque avec la même technique jusqu’à un nouveau moment de jouissance violent.
Pour autant, il continue son ouvrage en lui plantant un pouce dans le vagin, sa langue s’attaquant cette fois-ci à son cul et surtout sur son anus. La jouissance ne retombe plus. Paul laisse souffler quelques secondes sa femme, mais pas plus. Il l’entraîne dans l’eau et l’empale dans le même mouvement. Elle se retrouve en lévitation sur l’eau embrochée d’un côté, les bras croisés sur le bord de l’autre, elle se met à crier sa jouissance. Son vagin est devenu hyper sensible sous les assauts continus qu’il reçoit.
Safa crie grâce. Elle lui demande une pause. Il se retire, la retourne la prend dans ses bras, mais la renfile tout de suite. Grâce à la différence de taille entre eux et à la puissance de l’homme, elle tient facilement en croisant les jambes dans son dos. Il commence à sortir de l’eau par les marches, arrivé sur la terrasse, il continue vers la maison. Les mouvements de la marche transmettent des vibrations aux sexes emboîtés.
Les gémissements qu’elle laisse échapper dans son oreille ne font rien pour le calmer, il sent la pression monter dans son bas ventre. Une fois dans la chambre, il la plaque contre un mur et se déchaîne dans son ventre. Ne tenant plus, il lâche une salve monstrueuse. Elle crie puissamment pour accompagner le flot de sperme. Les deux corps resteront emboîtés longtemps. Il leur faudra plusieurs minutes pour que la pression retombe, mais jusqu’à maintenant, les deux sexes restent fusionnés.
Sans se retirer, il reprend sa marche vers la salle de bain. Ce n’est que dans la douche qu’il laissera la place libre pour que le jus s’écoule lentement le long des jambes. Passant d’un accouplement bestial à un grand moment romantique, la grande carcasse prend soin du petit corps sous la douche durant de très longues minutes. Puis, il va l’essuyer longuement avec une serviette très douce. Safa est restée sur son nuage de bonheur, elle retrouve ses forces progressivement. Avec un regard vicieux, elle prend le pendentif avec ses doigts et le met entre ses lèvres pour lui indiquer qu’elle est encore réceptive.
C’est pour lui le moment de tenter de mettre en place son stratagème pour l’amener à son rêve qui le hante depuis quelques semaines. Tendrement, il la reprend dans ses bras, mais comme un bébé cette fois-ci, un bras dans le dos, l’autre sous les genoux. Elle ne s’accroche même pas à son cou, mais ils s’embrassent goulûment. Il va la déposer sur le lit sur le dos et la couvre de caresses et de baisers. Il termine à quatre pattes aux pieds du lit. Tout en caressant les jambes de sa compagne, Paul récupère dans leur valise sous le lit le petit sac contenant leurs jouets. Il cache un vibromasseur de taille classique et le plus gros godemichet souple sous l’oreiller. Il entreprend de reprendre un léchage en règle de Safa, tout en s’occupant vivement des seins de celle-ci. Il sent qu’elle repart de plus belle, c’est maintenant qu’il doit bien s’organiser s’il veut mener à bien son plan.
Tout en gardant la langue plantée dans son sexe, il se déplace pour se mettre au-dessus d’elle et d’un mouvement rapide et puissant, il la renverse pour se retrouver en dessous et elle au-dessus. Une fois de plus leur différence de taille rentre en jeu. Elle a très envie de le sucer et doit pour cela avancer vers son désir. Elle doit passer ses genoux au-dessus des bras de son homme pour pouvoir le gober profondément.
Malheureusement comme à chaque fois dans cette position, Paul ne peut plus atteindre de sa langue la vulve baveuse qui le nargue. La laissant faire quelques minutes, il voit bien son bassin entrer en vibration. Il comprend qu’elle est demandeuse, elle attend ses doigts. Il se saisit du gros godemichet qu’il présente devant le trou béant et luisant. Elle a compris tout de suite ce qui se passait par là et elle s’empale pour montrer son approbation. Prise en sandwich par la bouche et le sexe, elle se lâche totalement. C’est elle qui choisit le rythme en bougeant son corps d’avant en arrière. Paul est aux anges, tout se passe comme prévu, reste le dernier pas à franchir pour vivre ce qu’ils n’ont encore jamais vécu. Il attend qu’elle jouisse et se calme sur lui, telle une poupée de chiffon. Elle ne garde que le bout de son gland entre ses lèvres ouvertes pour respirer durant cette phase de retour au calme.
Son vagin est rempli, sa bouche lui fait mal, mais elle sent quelque chose se poser sur son anus et appuyer légèrement. Elle sent immédiatement l’engin la pénétrer facilement, tellement elle est détendue. Quand les vibrations se mettent en marche dans ses boyaux, elle reprend sa fellation au mieux. Sous les assauts des deux jouets, elle se sent totalement remplie, elle est totalement comblée et satisfaite. Le temps devient impossible à estimer. Elle a juste le bonheur de sentir le gland dans sa bouche gonfler et se vider dans des cris incontrôlables des deux côtés. Jamais, elle n’avait autant joui de sa vie. Il vient de vivre un de ses fantasmes dans une jouissance inconnue.
Il leur faudra de longues minutes pour redescendre et reprendre le contrôle de leurs corps. Quand elle se réveille, elle le sent dans son dos. Il l’entoure d’un bras puissant et l’embrasse tendrement dans le cou. Bien qu’elle n’en ait aucune envie, elle doit se lever, la nature est ainsi faite. Paul se tourne sur le dos et la regarde se faufiler dans la salle de bain, il la trouve plus belle que jamais. Elle revient tout sourire et grimpe à cheval sur son ventre, les deux mains de chaque côté de sa tête. Il ne peut que voir le pendentif : rose !
FIN