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n° 19233Fiche technique26883 caractères26883
Temps de lecture estimé : 16 mn
09/10/19
corrigé 05/06/21
Résumé:  À force de parler de plages naturistes avec Sophie, ma femme, elle et moi décidons un beau jour de tenter le coup.
Critères:  fh fhh fplusag jeunes plage cérébral nudisme fellation cunnilingu pénétratio init -inithf
Auteur : Patrik  (Carpe Diem Diemque)            Envoi mini-message
Une première sur une plage naturiste


Soda (un lecteur de Rêvebébé) a souhaité que je mette en forme un de ses fantasmes,

ce que j’ai d’ailleurs déjà fait pour lui et d’autres auparavant.

Bonne lecture :)





Une plage naturiste



À force de parler de plages naturistes avec Sophie, ma femme, elle et moi décidons un beau jour de tenter le coup.


Comme nous avons un jardin clos, ainsi qu’une petite piscine hors-sol, nous bronzons et nous nous baignons très souvent nus à la maison, et c’est tellement agréable de faire ainsi. De plus, ma femme a un superbe corps (je suis pragmatique, même si je suis amoureux), et cela me permet de me rincer allègrement l’œil à chaque fois. Ça va faire quelques années que nous en parlons, et donc, cette année, nous avons décidé de nous lancer dans la grande aventure de la plage naturiste…


Comme ce samedi, nous n’avons pas les enfants qui séjournent chez les parents de ma femme, nous prenons la route pour viser un endroit assez loin (mais pas trop) de chez nous, afin de n’y rencontrer personne de notre entourage. On n’est jamais assez trop prudent ! Nous voici donc partis au petit matin vers la plage de La Lede, située pas loin de La Palmyre, plage apparemment connue pour son naturisme bon enfant, voire plus si affinité.


Mais entre ce qui est dit et ce qui est fait, il y a parfois une grosse nuance ! Nous verrons ça sur place…



Durant tout le trajet, nous sommes assez excités, et nous échafaudons bien des plans. Puis, un peu avant onze heures, nous arrivons. Il fait assez chaud et il n’y a pas trop de voitures sur le parking, ce qui nous rassure un peu.



Nous dénichons un chemin à travers les pins, puis au bout de quelques minutes de marche, nous arrivons face à la dune. Peu après, nous posons le pied sur une grande plage. Nous regardons les personnes présentes, elles sont effectivement nues, nous sommes au bon endroit.



Nous nous écartons un peu, afin de nous installer vers le bas de la dune. Nous nous déshabillons, le soleil et la légère brise sur nos peaux sont très agréables.


Nous étalons chacun une grande serviette pour nous allonger dessus. Une fois installés, nous regardons à droite et à gauche, pour le plaisir des yeux et ce n’est pas déplaisant. Pas trop loin, quelques minettes jouent avec un gros ballon, et je découvre avec satisfaction diverses belles poitrines de toutes les tailles qui oscillent fort agréablement. De son côté, Sophie semble plus attirée par l’anatomie masculine de certains hommes de divers âges, ce qui est logique, puisqu’elle est hétéro comme moi. Allongée sur le ventre, elle y va de ses commentaires, parfois crus :



Puis au détour d’une phrase, elle lâche :



Provocante, tout en remuant ostensiblement du popotin, elle rétorque :



Nous traversons la plage pour aller nous baigner. Je constate que Sophie attire les regards, ce qui est flatteur. L’eau est fraîche et ma verge rétrécit, ce qui fait marrer Sophie. On s’embrasse en rigolant et ma tige durcit. Nous batifolons encore quelques instants, puis Sophie souhaite sortir de l’eau. Je suis obligé de lui avouer :



Je suis obligé d’attendre un peu que ça se calme. Je la laisse donc partir seule, tout en matant son beau popotin qui ondule, ce qui n’arrange pas mes affaires situées plus bas.


Alors qu’elle est à mi-chemin, elle passe non loin d’un groupe de jeunes hommes qui shootent joyeusement dans une balle, la bite à l’air. Comme je m’en doutais, suite à un échange raté, ou soi-disant raté, le ballon roule vers elle. Gracilement, Sophie le ramasse, puis se dirige naturellement vers l’un des jeunes pour lui rendre. C’est la première fois que je la vois ainsi s’approcher, nue et seule, d’un autre homme. Je constate aussi que cela me fait beaucoup d’effet, car je bande de plus en plus fort.


Ils échangent quelques mots, puis elle continue sa route vers sa serviette, sous leurs regards, et aussi celui d’autres hommes présents sur la plage. Je ne peux leur donner tort, j’aurais sans doute fait la même chose. D’ailleurs, je suis un grand (a) mateur de ma femme…


Quelques minutes plus tard, enfin calmé, j’arrive à traverser cette fichue plage. Mais plus je m’approche de ma femme allongée nue, cette fois-ci sur le dos, plus je pense à ce qui vient d’arriver ! Quand j’arrive près d’elle, elle se marre carrément. Elle me taquine tandis que je m’assieds :



Intrigué, je me penche vers elle, mettant carrément ma main à l’orée de sa chatte bien lisse :



Nous nous allongeons côte à côte, nous nous embrassons, tout en nous tripotant sans que ça ne se voie de trop. Il y a des bons petits plaisirs à se faire dans la vie…


Puis nous voyons revenir le groupe de jeunes vers leurs serviettes. Ils sont installés un peu plus loin, un peu sur le côté, avec vue sur nous. De plus, comme le hasard faisant bien les choses, celui, à qui Sophie a rendu le ballon et qui ne la laisse pas indifférente est le plus proche.


Je me penche vers ma femme :



La situation m’excite, c’est indéniable, d’autant que le jeune en question mate plus ou moins discrètement ma femme, c’est assez évident.


Quelques instants plus tard, Sophie a envie de faire pipi. Pour cela, elle remonte un peu dans la dune, afin de dénicher un bosquet où s’abriter des regards. Elle aurait pu aller dans l’eau, mais elle préfère la dune. Pourquoi pas ?


Ceci étant, le jeune a lui aussi quitté sa place, et je constate qu’il a suivi ma femme en prenant par un petit sentier en parallèle. Je ne pense pas que Sophie s’en soit aperçue. Ce petit jeu m’amuse. Je décide d’aller moi aussi regarder tout ça de plus près en me postant sur une autre dune, un peu plus au-dessus de tout ce petit monde. De mon poste d’observation, je découvre alors sur le côté ma Sophie accroupie, et le jeunot, un peu plus loin par-dessus les fourrés, bite en main, bandant comme pas possible, se masturbant légèrement.


Quand ma femme en a fini, elle reprend le même chemin, et là, elle s’aperçoit du petit manège de son admirateur. Alors, elle fléchit volontairement son itinéraire, et quand elle passe presque à côté du jeune voyeur, elle se caresse ostensiblement les seins de façon fort sensuelle, puis, altière, elle rejoint sa serviette un peu avant moi, sans toutefois s’asseoir dessus, restant debout, bien en évidence sous les regards.


Quand elle me voit arriver, elle m’adresse un large sourire de connivence, puis elle s’installe sur sa serviette :



Je bande de plus en plus, alors je lui propose :



Elle hésite :



Indécise, elle me regarde :



Alors elle m’embrasse de façon fougueuse, tout en positionnant ses belles fesses en arrière, en direction du jeune homme qui est revenu à sa place. Je me dis que ma petite femme est une sacrée allumeuse ! J’en ai su quelque chose quand je l’ai rencontrée, il y a des années.



Petit à petit, le jeune homme s’approche de notre emplacement, puis il demande à Sophie :



Sophie me jette un rapide regard, je cligne des yeux. Elle répond :



Il est flagrant que sa verge est plutôt prête à passer à la position pleine forme, et qu’il fait des gros efforts pour retarder cette levée ! Ce qui amuse beaucoup ma femme, je le vois distinctement dans ses yeux. Puis désignant sa bite partiellement gonflée par son envie manifeste, puis le reste de son corps, il demande à Sophie :



Perfidement, ma femme ajoute :



Il rougit. Sophie rigole et lui tend le tube :



Je constate à son expression contrite qu’il vient juste de réaliser qu’il a laissé passer une belle occasion d’approche. Je parie qu’il est en train de se maudire intérieurement d’avoir parlé trop vite. Ma femme poursuit la conversation :



Tube en main, il marque un petit temps d’arrêt. Je pense qu’il s’attendait à se faire rembarrer, et du coup, il n’a pas vraiment prévu de suite à son approche. De plus, il a coupé une branche prometteuse, celle de se faire enduire par ma femme. Derrière lui, ses copains sont en train de regarder la scène avec attention. Il déglutit faiblement, puis il se lance :



Il rougit encore plus :



Décidément, Sophie est très à l’aise avec cette situation. Il faut dire qu’elle peut diriger les choses quasiment à sa convenance, et elle ne s’en prive pas. Moi, je préfère rester en retrait, attendant de voir comment tout ça va se dérouler.


Toujours est-il que Lucas ne sait pas quoi faire du tube de crème solaire qu’il a en main. Il n’ose pas demander confirmation à ma femme pour qu’elle le badigeonne, puisqu’il a refusé. Et bien sûr, il ne faut pas compter sur Sophie pour qu’elle refasse sa proposition, elle s’amuse trop de cette situation pour aider ce pauvre garçon. Ma femme est une sacrée petite garce quand elle le veut…


Du coup, le jeunot trouve une échappatoire :



J’aime bien ce genre de lapsus. Sophie m’interroge du regard, je lui donne mon accord muet d’un petit coup de tête. Avec un certain détachement qui cache quand même une certaine nervosité, ma femme répond :



Sophie se met mieux à plat ventre, tandis qu’il s’agenouille auprès d’elle. Le jeunot commence à être très excité, ça se voit aisément entre ses jambes ! Fébrile, Lucas commence à appliquer maladroitement la crème sur le dos de ma femme, les épaules, puis les jambes, en commençant par les chevilles, puis en remontant petit à petit. Puis il ose s’attaquer aux fesses offertes, et là, il s’attarde longuement à bien faire pénétrer la crème…


Au bout d’un certain temps de ce massage très ciblé, Sophie ouvre la bouche :



C’est alors que ma femme décide de franchir une nouvelle étape. Posément, elle se retourne, dévoilant toute son anatomie côté face, sans complexe et sous son nez, puis elle lance guillerette au jeunot cramoisi :



Je trouve qu’elle fait fort en révélant tout aussi impudiquement à ce jeune inconnu. Je parie que c’est pour avoir le plaisir de le gêner un max et aussi de le voir bander comme un âne ! Pour un peu, il en viendrait à éjaculer, tant il est excité !


Avec application, et cachant fort mal son érection, il commence par le ventre, et frôle le pubis. Puis il décide de remonter, d’abord entre les seins, les épaules. Enfin, il se décide à redescendre et commence à enduire de crème les deux seins à sa disposition. Je constate que les tétons de Sophie sont bien érigés…


Puis le jeunot descend vers les jambes, dont il s’occupe des pieds aux cuisses. Il s’attarde un peu sur le pubis, n’osant pas s’aventurer trop loin. Alors il change à nouveau d’endroit, massant voluptueusement les seins de ma femme qui se laisse faire. Je vois bien que Lucas est en sueur, fébrile de pouvoir caresser une femme nue et mature, sans doute un fantasme qu’il est en train d’assouvir.


Alors j’imagine…


J’imagine qu’échauffée par ce long massage, Sophie me roule une pelle sous les yeux de Lucas qui bande comme un taureau et qui continue de lui caresser les seins.


J’imagine que je prends l’initiative, sortant deux capotes et demandant à Lucas s’il en veut une. Sophie me sourit, Lucas se branle lentement sous l’œil intéressé de ma femme. Puis quelques instants plus tard, Sophie s’allonge confortablement sur le dos, jambes bien écartées et relevées. Elle demande à Lucas s’il s’y connaît en cunni. Avide, Lucas approche sa tête de l’entrejambe offert et commence à la lécher tout en lui caressant les seins.


J’imagine que je regarde le spectacle d’un autre homme en train de tenter de faire jouir ma femme. Lucas s’applique longuement et il ne faut pas bien longtemps pour que Sophie jouisse. Tout ceci m’excite à fond, je me branle sous le regard coquin de ma dévergondée de femme.


J’imagine aussi que Sophie se redresse et caresse impudiquement les couilles bien pleines de Lucas. Puis elle approche ses lèvres de cette tige de chair et commence à la sucer lentement, tout en branlant cette verge juvénile, sans oublier de se caresser voluptueusement les seins. Elle s’active de plus en plus, Lucas craque et éjacule un peu dans sa bouche, puis interminablement sur ses seins, de longues traînées blanchâtres dégoulinant petit à petit…


J’imagine encore que ma femme, les seins visqueux de foutre, s’allonge maintenant sur le côté, face à moi, tout en attirant Lucas derrière elle. Vicieuse, elle m’embrasse à pleine bouche, sans oublier de continuer à masturber Lucas, sa main poisseuse de sperme. Celui-ci reprend ses esprits et s’allonge derrière elle, tout en lui caressant la chatte et en la doigtant. Je comprends qu’il frotte sa verge qui durcit à nouveau contre les fesses offertes. Ma femme gémit doucement…


J’imagine encore et toujours que Lucas enfile la capote, puis qu’il présente sa bite enrobée de latex à l’orée de la chatte toute mouillé de Sophie. Par-derrière, blotti contre ses fesses, il commence à la limer, tout en lui caressant, tout en lui malaxant les seins. Tout en embrassant ma femme, je glisse ma main vers les petites lèvres intimes de ma salope adorée, puis dénichant son petit bouton sensible, je me fais un plaisir de le taquiner à mort, tandis que Sophie se fait sauvagement pistonner par un jeunot complètement en transes !


J’imagine que notre trio baise à présent comme des cochons, le tout sous le regard éberlué des potes de Lucas qui profitent allègrement du spectacle, la queue en main en train de tous se branler. En extase, Sophie commence à gémir telle une salope. Pour mieux profiter encore, Lucas ralentit la cadence pour ne pas éjaculer trop tôt. J’en profite pour poser ma queue écarlate sur les lèvres de ma femme qui ouvre aussitôt la bouche pour me sucer avec conviction. Tandis que Lucas s’active derrière Sophie, lui malaxant les seins, son bas-ventre lui tapant les fesses de temps à autre, ma queue happée par une bouche chaude et experte, je le laisse flotter. En arrière-plan, les copains de Lucas n’en peuvent plus, ils éjaculent dans des petits cris désarticulés. Je pense à tout ce sperme perdu qui aurait dû venir souiller le corps impudique de ma femme ! Tout ceci m’excite trop, je n’arrive plus à retenir, alors moi aussi, j’éjacule, je remplis de ma semence cette bouche avide. Puis le tour de Lucas qui se vide dans ma femme doublement remplie de sperme…


J’imagine cette triple jouissance, ce beau trio comblé !


Je sors de mon rêve éveillé pour constater que Lucas caresse délibérément ma femme, le prétexte de la crème solaire étant rangé aux oubliettes. Tandis qu’il pétrit ses seins, il s’offre le luxe de frotter sa verge bien raide sur le ventre de Sophie. Celle-ci laisse faire, elle sourit même.


Je constate une tache suspecte sur le ventre de ma femme. Je comprends vite que ce petit salaud suinte du bout de la queue. On dirait qu’il tente de juguler son éjaculation, mais visiblement, quelques gouttes arrivent à franchir son barrage.


Il n’y a pas que moi qui me sois aperçu de la situation, puisque Sophie déclare :



À peine a-t-il fini sa phrase, qu’un premier jet s’aplatit sur le ventre doré de ma femme. Puis Lucas prend son sexe à deux mains, et dirige les autres jets sur les seins qui se transforment petit à petit en monts ruisselants. En contemplant ce singulier spectacle, je me dis que ce Lucas est en train de vider le contenu de bien des années de frustration et de retenue !


Plus tard, dans la voiture, ma femme me confie :



Perdue dans sa réflexion, Sophie devient songeuse :



Elle se contente de sourire, les yeux luisants. Je me dis que notre couple a franchi une belle étape et non des moindres, et que prochainement, ça ne sera pas triste !




Bricolage et clonage



Environ dix ans plus tard, alors que je flânais dans un magasin de bricolage situé sur ma route tandis que je revenais d’un lointain client, je me retrouve nez à nez avec Lucas, visiblement seul. Nous nous saluons, il m’informe qu’il est à présent marié, et père d’une fillette de deux ans. Il me propose de regarder sa petite famille sur l’écran de son smartphone.


La première photo me procure un petit choc, la suivante aussi, ainsi que les autres. Amusé par ce que je viens de découvrir, je demande :



Lucas prend une attitude pensive :



Mi-figue, mi-raisin, il s’exclame :



Lucas n’a pas tort, je le lui concède :



Je sors mon smartphone :



Peu après, nous nous séparons. J’ai encore une flopée de kilomètres à faire, sans oublier de faire mon petit achat. Sacré Lucas ! Ainsi il s’est déniché un clone de ma femme ! Comme quoi que les choses de la vie peuvent prendre des tournures un peu tarabiscotées. Je regarde une fois de plus le cliché qu’il m’a communiqué, je pense que ça amusera Sophie et que ça la flattera.


Ainsi, en quelque sorte, ma femme occupe depuis dix ans les pensées de ce jeune comme fréquenté durant même pas une heure…