n° 19246 | Fiche technique | 13090 caractères | 13090Temps de lecture estimé : 9 mn | 15/10/19 |
Résumé: Une fin de soirée en douceur où un couple reçoit un coup de main. | ||||
Critères: ffh fellation cunnilingu anulingus pénétratio yeuxbandés -couple+f | ||||
Auteur : Onecore (Trentenaire qui tente de nouvelles choses) Envoi mini-message |
On avait passé une bonne soirée, Aurore avait la visite d’une amie pour le week-end. Nous nous étions baladés l’après-midi dans la campagne, discutant et rigolant de façon très libre, comme d’habitude.
Le soir venu, un bon repas et des cocktails nous avaient tenu compagnie. On venait de se coucher après avoir souhaité bonne nuit à Sarah qui dormait dans la pièce adjacente.
On commence à se frotter et à s’embrasser, faisant un peu grincer le lit. Alors que je me glisse entre les cuisses de ma chérie pour goûter son fruit d’amour, on entend son portable vibrer une première fois. Ma langue glisse sur le clitoris d’Aurore et explore ses lèvres juteuses, son téléphone vibre une seconde fois.
Je lui dis alors :
Elle tend le bras pour l’attraper, et je vois son visage éclairé par la lumière bleutée du téléphone. Vu le temps qu’elle met, je comprends qu’elle est en train de lire les textos qu’elle a reçus. Pas très glamour.
Je le saurai seulement plus tard mais sur le portable il s’agit de deux messages de Sarah :
Ma chérie prend le temps de lui répondre :
Son téléphone vibre de nouveau, toujours dans sa main :
Aurore lui répond de nouveau, mais même aujourd’hui je ne connais pas le contenu de ce message. Elle pose alors son téléphone sur la table de chevet, je vois ça comme un signal pour repasser aux choses sérieuses.
Je pointe ma langue pour titiller l’entrée de son vagin, goûtant ainsi la sève s’écoulant de son sexe. Ma langue remonte alors doucement, écartant ses lèvres lentement jusqu’à sentir cette petite montagne dure sous ma langue. Je ralentis encore le mouvement pour sentir doucement son clitoris rouler sous ma caresse buccale. Je l’entends soupirer. Je commence à tourner autour de ce bouton de plaisir, alternant le sens de rotation, changeant parfois pour un mouvement vertical qui fait glisser toute ma langue sur ce téton de chair. Je suis concentré entièrement à mon ouvrage, oubliant même mon érection plaquée contre le lit.
C’est sans doute cette concentration sur le plaisir d’Aurore qui m’a empêché de ressentir cette présence derrière moi. Une main effleure mon mollet. Je lève la tête un peu stupéfié. Je regarde Aurore qui elle-même regarde derrière moi avec un sourire aux lèvres et de la malice plein les yeux. Je comprends alors que quelque chose s’est organisé à mon insu. Mais la nuit que cela laisse présager est loin de me déplaire.
La main de Sarah, car il s’agit bien d’elle, continue de remonter : mollet, pli du genou, cuisse… À ce niveau-là elle part vers l’intérieur, continuant sa route vers le haut. Je la sens arriver en bas de mes fesses. Elle ne s’arrête pas et vient les caresser de la paume. À côté du lit je l’entends marcher doucement pour suivre le mouvement. Elle longe ma colonne et vient à la rencontre de ma tête. Fermement mais en douceur elle pousse ma tête en direction du sexe dégoulinant d’Aurore, sexe que j’avais abandonné sous la surprise. Elle me guide pour reprendre ma place sur ce clitoris. Une fois ma place retrouvée, sa main quitte ma tête et dans la continuité de sa course vient découvrir la toison de ma chérie. Ses doigts glissent dans les boucles courtes. Elle ne ralentit pas, effleure le ventre, glisse entre le sillon des seins et se perd dans le cou d’Aurore. Elle s’en saisit et se baisse.
Ma femme, à qui je m’apprêtais à faire l’amour quelques minutes avant, en embrasse une autre sous mes yeux ébahis. Ce fantasme je l’ai toujours eu, mais je n’ai jamais pensé qu’il se réalisera un jour.
Leurs lèvres se soudent, laissant juste entrevoir deux langues qui dansent. Aurore guide ses mains vers Sarah. Mon regard se porte alors sur elle. Je n’avais pas encore remarqué qu’elle était nue. Penchée en avant comme ça, je la vois seulement de profil, mais je peux allégrement profiter de ses courbes. Obnubilé par ma contemplation j’en ai oublié mon cunnilingus. C’est Aurore qui se rappelle à mon bon souvenir en m’attrapant par les cheveux avec sa main droite et se frottant la vulve sur ma bouche. Sa main gauche empaume un sein de Sarah puis descend sur sa hanche. Elle lui donne une impulsion et Sarah l’enjambe.
Elle se retrouve à quatre pattes au-dessus d’Aurore. Libéré de la main droite d’Aurore qui découvre la croupe de Sarah, je me recule un peu. La vue me coupe le souffle. De haut en bas : les fesses de Sarah entourant son petit œillet, son sexe déjà ouvert, le sexe humide d’Aurore et un peu plus caché un autre petit trésor. Trop de possibilités pour un seul homme.
Depuis ma position je ne vois rien de leurs échanges, à peine quelques bruits humides et leurs mains qui réciproquement découvrent leurs corps. Je les laisse profiter de leur moment intime mais très vite mon cerveau s’embrume d’images de luxure et du potentiel excitant de cette situation.
Je remonte de ma position et découvre pour la première fois, de façon intime, la peau et l’odeur de Sarah. Je caresse ses fesses où je croise celles de ma femme. Nous jouons un concert à deux mains sur cette belle croupe. Je continue de me relever et mon sexe vient se poser dans le sillon de Sarah. J’ai toujours trouvé ce contact excitant avec une femme, mais la situation est encore meilleure que d’habitude.
Je baisse la tête et vois mon sexe posé, comme si l’emplacement avait été moulé pour lui. Je frotte doucement mon gland, déposant en passage un peu de liquide. Je sais que Sarah pratique la sodomie régulièrement (Confession de fin de soirée alcoolisée), elle ne sera donc pas choquée par ma caresse. Nous restons ainsi quelques minutes à nous caresser en silence.
C’est Aurore qui rompt ce silence en m’intimant de me mettre sur le dos. Je m’exécute sans me faire prier. La magie du lit King size fait que je me retrouve sur le dos entouré de ces deux belles créatures qui semblent se comprendre sans même se parler. Aurore se lève et file vers notre dressing. L’espace d’un instant je me demande ce qu’elle va y chercher. Nos sex-toy ? Je n’en vois pas trop l’intérêt pour l’instant.
Elle revient finalement avec deux cravates et une étoffe de soie qui va avec sa robe de chambre. Je la connais par cœur et sais déjà à quoi sont destinés ces morceaux de tissus. Elle lance une cravate à Sarah qui a déjà attrapé mon poignet et qui m’attache au lit. Aurore fait de même de son côté. Lorsque la soie arrive pour me bander les yeux, je suis déjà à leur merci, mais cela me va bien. Avant d’être dans le noir j’ai le temps de voir leurs visages souriant au-dessus de moi. Me voici aveugle et vulnérable. J’en viens à me demander si tout cela n’est pas un gag qu’elles ont mis en place pour me jouer un sale tour. Mais je finis par me rassurer en me disant qu’elles ne seraient pas allées jusque-là juste pour une farce.
Tout soupçon s’évanouit quand je sens un souffle chaud sur mon sexe. Pour être précis je sens deux souffles chauds. Je pense qu’elles ne veulent pas me faire languir. Je sens des cheveux chatouiller mes cuisses puis des lèvres se poser sur mon sexe. Puis une deuxième paire vient embrasser simultanément mes testicules. Quelle sensation fabuleuse. Je suis incapable de vous dire laquelle fait quoi. Une main saisit mon sexe pour qu’il soit englouti par une bouche chaude et humide à souhait. L’autre n’est pas en reste et je sens une langue me lécher depuis la base des couilles jusqu’au commencement de ma bite. Mon bas-ventre n’est plus qu’un ballet de langues et de mains, je suis prêt à perdre pied et sens les premiers picotements qui annoncent mon éjaculation.
Mais Aurore me connaît trop bien. Elles arrêtent net toute action et mon excitation peut redescendre à un niveau plus contrôlable. Elles me libèrent les mains mais j’ai interdiction d’enlever mon bandeau. Je redescends les bras et parcours doucement tous les centimètres de peau qui me sont proposés. Cuisses, hanches, fesses, seins… tous mes sens sont en éveil mais je ne cherche pas à savoir qui est à ma droite ou à ma gauche. Nous nous laissons guider par l’instant.
Je pense que les deux femmes s’embrassent et se caressent au-dessus de moi, les bruits me laissent deviner leurs actions. J’entends quelques murmures également. Elles se mettent en mouvement et en un instant je me retrouve avec un sexe féminin se frottant à mon sexe. Je le sens humide et ouvert. Une main guide ma pine vers cette chatte chaude et accueillante. Je m’y glisse sans attendre. Je ressens ce bonheur de la première pénétration d’un rapport sexuel. Ce frisson parcourt tout mon corps. Ma compagne du bas ne perd pas de temps et commence un lent va-et-vient.
Mais je me retrouve avec une deuxième femme me chevauchant. Mais cette fois-ci c’est mon visage qui sert de selle. Je sens les genoux se positionner de part et d’autre de ma tête et je sens la chaleur d’un corps s’approcher. Une odeur intime, quelques poils qui chatouillent. Je darde ma langue pour chercher un contact et je le sens. Je me retrouve avec une femme qui se déhanche sur mon sexe et une qui vient se faire butiner. Qui est qui ?
Cette odeur est nouvelle pour moi et mes premiers coups de langue ne m’ont pas permis de reconnaître cette aire de jeu. Je sais donc qu’il s’agit de Sarah. Aurore lui a donné la permission de venir se faire lécher. La situation m’excite encore plus. Je penche la tête en arrière et tends la langue. Je veux la fouiller et la découvrir. Je lèche son abricot autant que possible. Je me bagarre avec son clitoris, non sans lui arracher quelques gémissements (Sans doute aidé par quelques caresses d’Aurore sur ses tétons et le galbe de ses seins).
Je décide de pousser plus loin la découverte et pointe ma langue à l’entrée de son vagin, tentant de m’enfoncer le plus possible. Je sais qu’elle apprécie la chose car son bassin descend à ma rencontre. Des doigts viennent exciter son clitoris pendant ma pénétration et je la sens jouir autour de ma langue. Des lentes et puissantes contractions suivies d’un léger écoulement liquide qui vient me remplir la bouche. Je n’en attendais pas tant.
Mais je n’ai pas fini mon exploration et je m’égare vers son anus. Naufragé volontaire dans son île déserte je profite de la balade. Je sais qu’il s’agit probablement de la seule et unique fois où j’aurai ce loisir alors je compte bien en profiter. Elle a d’abord eu un réflexe de recul avec de revenir profiter de cet anulingus.
Elle est redescendue de son orgasme mais semble toujours excitée. De son côté, Aurore ne doit pas perdre une miette du spectacle et s’active sur mon membre. Les multiples contractions de sa vulve ne laissent pas de doute sur son plaisir.
Sarah s’allonge à côté de moi, laissant Aurore continuer son ballet vertical. Élevé aux films pornos je visualise déjà le happy end en m’imaginant me masturber au-dessus de leurs visages pour finir par une éjaculation faciale sur leurs deux minois.
Lorsque que j’indique à Aurore que je vais bientôt venir elle ne se retire pas mais Sarah se met à genoux à côté d’elle. Mon bandeau ayant glissé, j’observe la scène. La main droite de Sarah vient glisser sur le sexe d’Aurore et commence à la masturber ouvertement. Je sens son autre main me masser doucement les couilles, s’échappant parfois sur les fesses d’Aurore. Celle-ci monte rapidement dans les tours et augmente sa fréquente et son amplitude. Je sais que le dénouement est proche. Aurore jouit et m’entraîne avec elle. Je gicle en sentant Sarah me caresser entre les couilles et l’anus et titiller le clito d’Aurore en même temps. C’est elle qui nous mène tous les deux à l’orgasme. Aurore s’effondre sur moi, tremblotante, je la recouvre du drap.
Aussi discrètement qu’elle été apparue dans notre chambre, Sarah disparaît, sans un mot, sans un bruit. Elle nous laisse peau à peau profiter de cet instant post-sexe. Nous nous endormons quelques minutes après en chien de fusil.
Nous n’en avons pas encore reparlé mais nous sommes encore plus complices maintenant tous les trois. Ou plutôt tous les quatre car Sarah a quelqu’un dans sa vie maintenant. Mais ceci est une autre histoire.