n° 19247 | Fiche technique | 43272 caractères | 43272 7425 Temps de lecture estimé : 30 mn |
15/10/19 corrigé 19/10/23 |
Résumé: Gonzague éprouve pour la mère de sa copine une passion sans borne. Cet amour interdit par la différence d'âge et le lien familial se transforme en obsession sexuelle partagée. | ||||
Critères: fh fplusag extracon grosseins groscul piscine douche exhib nudisme fellation cunnilingu pénétratio fdanus fsodo -enfamille | ||||
Auteur : Drulin Envoi mini-message |
Lorsque j’ai rencontré Solange, je pensais passer avec elle du bon temps, sans me douter qu’elle resterait plus d’une année près de moi. Elle ne comptait pas plus qu’une autre, car je n’étais pas fidèle à mes compagnes et virevoltais d’une femme à une autre. Je n’en méprisais aucune, par certains côtés j’aurais pu passer pour un féministe. Pour autant, je ne parvenais pas à m’attacher et préférais rompre avant que la liaison devienne compliquée. Plus l’attachement est fort et s’inscrit dans la durée, plus la rupture est douloureuse. Or je ne voulais pas faire souffrir ces femmes que j’avais aimées et pour lesquelles j’avais souvent encore des sentiments.
Si mes conquêtes féminines sont nombreuses, ce n’est pas que je sois d’une beauté irrésistible, mais mon aisance financière me permet de charmer aisément. Même si certaines de ces jeunes femmes sont cupides, je me garde bien de les juger, puisque j’y trouve mon compte. Que voulez-vous, les femmes préfèrent un lit aux draps de soie au grabat inconfortable d’une vulgaire chambre d’hôtel de passe aux cloisons fines comme du papier à cigarettes.
Cette aisance me permit d’organiser quelques parties fines avec des amis et des filles. Nous n’étions pas très regardants sur le pedigree des nanas, car, s’il y avait bien des jeunes femmes recherchant les sensations fortes dans une petite partouze, pour faire bonne mesure, nous nous adressions à quelques call-girls. Je me suis rapidement lassé de ces réunions où le sexe était le seul objectif commun. Mais je crois que le principal critère qui me fit renoncer, c’est de savoir que les prostituées qui grossissaient les rangs féminins étaient toutes exploitées. Nous avions tenté avec mes comparses, sans succès et sans certitude, de choisir celles qui semblaient libres de pouvoir faire commerce de leur corps.
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Solange, je l’aperçus chez un ami photographe pour qui elle posait nue alors que je lui rendais visite. Me voyant entrer dans le studio, elle s’était réfugiée derrière un paravent pour dissimuler sa nudité. Elle n’avait pas remarqué qu’un miroir posé le long du mur me revoyait une image imprenable sur son joli petit cul et lorsqu’elle fit demi-tour, sur un sexe totalement glabre. Je laissai mon ami terminer le shooting de son modèle. Je me disais :
En attendant dans l’entrée je me remémorais ce que j’avais aperçu : un beau brin de jeune fille aux formes appétissantes. Je voulais en voir plus, aussi lorsqu’elle sortit, je lui dis :
Naturellement, je ne l’ai pas invitée dans un boui-boui infâme ou à manger un hamburger. Je mis les petits plats dans les grands et, finalement, le soir même elle était chez moi et très vite dans mon lit.
Ce fut assez décevant. Déjà, Solange voulut que j’éteigne la lumière, je réussis à ce que celle de la salle de bains donnant sur la chambre reste allumée. Ainsi nous n’étions pas dans l’obscurité totale. Je pus lui masser les seins, deux belles miches, bien qu’un peu trop petites à mon goût. J’aime les femmes aux très fortes poitrines naturelles et cela même si leurs seins ont tendance à tomber. Je préfère des seins lâches à une paire de nénés bien plantés, mais sans volume. Solange était assez bien pourvue, mais pas assez à mon goût personnel. Lorsque je voulus aller vers son sexe, je ne pus le faire que sous les draps. J’ai donc léché et excité la vulve en aveugle, trouvant tout de même sous mes doigts le clitoris. Je parvins à arracher à la fille qui se donnait tout en se refusant, des contractions de plaisir.
J’aurais bien aimé continuer la visite, mais sans rien voir on perd beaucoup des attraits de la découverte. Comment peut-on admirer le Connemara dans le brouillard ? S’extasier devant la Joconde sans éclairage ? Je proposai à Solange de s’occuper de mon sexe. Cette fois, elle se montra beaucoup moins timide. Elle regarda attentivement ma queue quelques secondes, puis l’enduisit de salive. Elle ouvrit sa bouche et fit disparaître la colonne de chair dans sa bouche tandis qu’une de ses menottes la branlait. Sa fellation était très agréable, cependant, comme mon membre grossissait, bientôt elle ne put avaler que le gland.
J’enfilai un préservatif et vins planter ma bite dans son con. J’utilisai un peu de lubrifiant, craignant que son con ne soit pas assez lubrifié naturellement. La suite n’a aucun intérêt, cette baise n’avait pas été un fiasco, sans être une réussite.
Au matin, je me réveillai et regardai Solange endormie entortillée dans les draps comme une momie. Je me levai, me rendis à la salle de bains. Lorsque je revins dans la chambre, je fus surpris de voir la belle endormie, bien réveillée, allongée sur le lit, le drap repoussé, m’offrant son corps nu. Je pouvais enfin l’admirer en pleine lumière et il était ravissant avec deux seins lourds comme des fruits mûrs avec leurs pointes fièrement érigées. Ils étaient d’une belle taille pour une jeune femme de 21 ans. Cependant, je l’ai dit, je les trouvais un peu menus à mon goût, mais au moins totalement naturels. Son bas-ventre était dénué de tout poil et sa fente intime, bien que close, était bien visible, telle une plaie.
J’ai été surpris de cette demande et me suis dit qu’il pouvait être plaisant de m’occuper de l’éducation de la donzelle.
Je ne perdis pas de temps, alors que nous étions nus, la situation était parfaite. Je l’ai rejointe dans le lit et là elle accepta que je la voie nue pendant l’acte. Elle se montra moins farouche, acceptant d’ouvrir les jambes lorsque j’entrepris de lécher son abricot. Elle ne put refréner le plaisir qu’elle prit à mes caresses, mais sentant encore trop de réserves à mon goût, je lui dis :
Alors ce ne fut que halètements, petits cris, piaillements et jérémiades. Elle était si démonstrative que j’eus un doute : ne simulait-elle pas son plaisir ? Non, ce n’était pas le cas. En tout cas, sa jouissance était pleine, entière et bien réelle lorsque j’excitais son clitoris et ses autres attributs génitaux.
Je fis son éducation à travers des films pornos que je choisis assez soft pour les premiers, puis de plus en plus torrides. Je débutai cette programmation avec « Les petites écolières » où Brigitte Lahaie enseignait à quatre jeunes filles les plaisirs des jeux sexuels. Il y avait dans ce film, pour une novice comme Solange, la possibilité de lui faire découvrir et de lui montrer une palette des plaisirs du sexe. À la première vision, elle fut épouvantée, à la seconde, elle fut intéressée, et aux suivantes, elle y trouva un certain agrément.
Quand on passa aux choses plus sérieuses, elle se rebiffa, mais peu à peu, à force de persuasions, d’explications voire de chantage, je parvins à mes fins. Cependant, elle n’a jamais accepté que je la sodomise malgré les différentes vidéos que j’ai pu lui présenter où les femmes jouissaient d’être prises par le cul.
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J’étais sur le point de rompre avec Solange, estimant avoir fait un peu le tour de la question avec elle, lorsqu’elle me présenta sa mère. Une femme callipyge d’une quarantaine d’années avec des formes exquises, tout ce que j’aimais : des seins imposants, des hanches larges, un gros cul. J’ai tout de suite été subjugué par cette femme mature. J’ai échafaudé en quelques minutes un scénario improbable. Dans Lolita, le narrateur épouse la mère dans le but de profiter de la très jeune fille. Ainsi, il peut abuser d’une mineure dont il devient le tuteur. Moi, j’allais rester auprès de Solange pour atteindre Monique, sa mère.
En plus de mon spacieux appartement dans le quartier du Marais à Paris, je disposais d’une vaste demeure en Provence. Il s’agissait d’une maison sur deux niveaux avec au rez-de-chaussée la cuisine, la salle à manger et le salon. À l’étage se trouvaient trois chambres avec une vaste salle de bains avec doubles vasques, grande baignoire à remous et douche à l’italienne. Au pied de la maison s’étalait une piscine avec, dans un coin, une cabine de douche.
J’y menai Solange et obtins qu’elle adopte la même tenue que moi : la nudité intégrale de façon constante et ininterrompue. Elle ne protesta pas et se plia docilement à ma demande. Il faut dire que nous étions seuls et invisibles de tout importun. Je pus profiter d’elle à ma guise. Nous étions nus, comme au jardin d’Éden avant de goûter au fruit défendu, aussi je pouvais me permettre de faire l’amour avec Solange à n’importe quel moment du jour et de la nuit et dans n’importe quelle pièce. Elle se montrait particulièrement réceptive à mes assauts répétés.
Un jour, je lui dis :
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Monique et Nadine arrivèrent en fin de matinée. La mère était ravie de retrouver sa fille aînée. Par contre, je m’aperçus que la cadette aurait désiré ne pas être ici. Dans ses yeux, il se lisait « Je vais me faire chier comme un rat mort ici ».
Je ne peux rien pour toi, pensai-je, c’est ta mère qui m’intéresse, certainement pas toi qui as encore moins d’attraits que ta frangine…
Nous avons pris un repas que j’avais préparé moi-même, car si Solange avait beaucoup progressé sexuellement, pour ce qui était de la nourriture, elle stagnait lamentablement. Puis je proposai une sieste. Nadine me regarda de façon incrédule :
Tout en disant cela, je me rappelai que certaines vidéos n’étaient pas à mettre entre toutes les mains. Quant à la bibliothèque, parmi les nombreux livres se trouvait tout un choix de romans érotiques (notamment une édition richement et explicitement illustrée des œuvres de Pierre Louÿs) et une collection des magazines « Lui » et « Playboy » sur plusieurs années. C’est mon père qui était abonné à ses revues et les avait soigneusement conservées. Solange n’avait jamais fouillé dans la bibliothèque et ignorait donc la présence de ses publications. Et puis je me dis que Nadine, avec ses 19 ans, ne semblait pas être une oie blanche et que des photos érotiques et des récits licencieux n’allaient pas la choquer. Au pire, elle se scandaliserait faussement, au mieux, elle y apprendrait quelques détails intéressants.
Lorsque je fus dans la chambre avec Solange, je la pris dans mes bras et commençai à la peloter. Elle tenta de se dégager.
Durant cette sieste que je voulus comme à l’accoutumée crapuleuse, nos ébats restèrent assez ternes, Solange fit tout pour retenir la jouissance qui risquait de la faire hurler.
Au moment de descendre à la piscine, Solange me dit d’un air effaré :
Lorsque Solange arriva devant la piscine, sa mère et sa sœur s’y trouvaient déjà. Elles ne purent ignorer que ma copine était seulement vêtue d’un string de bain jaune qui moulait divinement ses fesses. Nous nous sommes tous retrouvés dans l’eau et peu à peu Solange devint un peu plus à l’aise. Je savais que sa famille n’était pas adepte d’exhibitionnisme et que la pudeur était une règle irréfragable. On ne se baladait pas à poil dans la maison ; cependant, ce n’était pas une règle absolue, aussi les deux filles et leurs parents avaient pu s’apercevoir nus à plus d’une occasion. Il n’y avait ni exhibition ni voyeurisme là-dedans, mais des instants fortuits et involontaires qui ne portaient pas à conséquence. Si le père était attentif à ne pas apparaître devant ses filles dans le plus simple appareil, les trois femmes du foyer avaient dû se voir plus d’une fois nues. Aussi Solange n’avait aucune pudeur à être quasiment dévêtue devant sa sœur et sa mère.
Lorsque nous sommes sortis de l’eau, Monique me demanda ce que je n’aurais jamais espéré, même dans mes rêves les plus fous :
Monique retira son soutien-gorge de maillot. Le spectacle qui s’offrit à moi fut splendide : deux gros nichons légèrement tombants, entraînés par leur poids, mais moins qu’on aurait pu le penser. Ils étaient ornés de larges aréoles brunes. Je dus lutter pour m’arracher à leur contemplation. Pourtant, sans volonté, mon regard se portait souvent sur ces merveilleuses mamelles.
Il me faudra mordre dedans, me dis-je, je les baiserai très prochainement. Et par la même occasion, c’est vous belle-maman que je baiserai.
Sans la présence de sa progéniture, Monique serait sans doute passée à la casserole sans plus attendre. Pourtant, il ne faut pas me voir comme un violeur qui prendrait une femme de gré ou de force. Je ne viole pas, mais j’agis par surprise. J’agis lorsque ma proie ne s’y attend pas. Comme on va le voir bientôt.
Solange me regarda avec des yeux furibonds. Je ne lui avais jamais parlé de ce projet que je voulais pourtant concrétiser. Je savais qu’avec ma copine, il valait mieux jouer la surprise pour éviter les refus. Une fois devant le centre naturiste, elle n’oserait pas refuser de me suivre, et une fois dedans, elle s’y mettrait. C’est au milieu de la piscine qu’on apprend à nager, même si parfois on peut s’y noyer.
Un peu plus tard dans la journée, alors que Nadine se baignait, lorsqu’elle sortit de l’eau, le haut de son maillot s’ouvrit. Elle lança un « oups ! » qui nous fit tous lever la tête. Nous vîmes ses nichons que les triangles de tissus de son maillot avaient laissés s’échapper. Deux jolis oiseaux des îles bien moins volumineux que ceux de sa sœur. Elle n’avait aucune chance de me séduire. D’ailleurs, lorsque Solange me demanda dans la soirée ce que je pensais de sa sœur, je lui dis :
Solange était à mille lieues de se douter que j’avais des vues sur sa mère. Monique avait 45 ans et avec dix ans de moins, elle aurait eu deux ans de plus que moi, mais l’âge pour moi n’était pas un problème. Les filles avec qui j’ai folâtré un instant ou de façon plus durable étaient de tout âge. La plus âgée, Dominique, était à la veille de ses 100 ans, et a voulu, en guise de cadeau d’anniversaire, me tripoter « le rejeton de la racine du genre humain » (verbatim), ce que je ne lui ai pas refusé, mais tandis qu’elle me le branlait, je suis parti à la découverte de son « Origine du Monde ». Que le temps ait fait son œuvre sur ces corps de femmes n’est pas un problème pour moi, je les prends tels qu’ils sont avec leurs imperfections. À l’inverse, j’ai également égayé les draps de quelques « jeunes filles en fleur », vierges ou non… En tout cas après mon passage, elles ne l’étaient plus. Ma seule limite en matière d’âge, c’est que ma partenaire ait plus de 18 ans, après, à moi de manœuvrer pour qu’elle soit consentante.
Je ne sais si ce maillot mal ajusté était voulu ou non, mais incapable de le remettre, Nadine décida d’accompagner sa mère et sa sœur et de rester topless. J’étais donc près de cette piscine entouré par trois femmes aux seins nus et ceux que je désirais peloter n’étaient pas les plus fermes, mais bien les plus volumineux.
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Le lendemain matin, Solange me dit qu’elle allait faire des courses avec sa sœur. L’occasion était trop belle. En restant dans ma chambre, je guettais tous les sons de la maison pour percevoir où se trouvait Monique. Un bruit de porte : elle sortait de sa chambre. Une autre porte, plus proche, avec un léger grincement : celle de la salle de bains. Je me levai, ne pris pas la peine de me vêtir, la surprise serait plus grande si j’apparaissais devant elle nu comme un ver. Par le trou de la serrure, j’observai la pièce : je vis ma belle-mère entièrement nue, une touffe de poils au niveau du pubis, ses gros lolos qui se balançaient au rythme de ses mouvements et son cul de déesse callipyge. Je bandais déjà.
Elle entra sous la douche et fit couler l’eau sur son corps. J’entrai dans la pièce. Elle ne perçut pas ma présence, car elle me tournait le dos. Je pénétrai derrière elle dans la vaste douche à l’italienne.
Je passai mes mains devant elle et pris ses seins à pleine main. Elle poussa un tout petit cri de surprise, puis tourna sur elle-même.
Je continuai à lui pétrir les seins, ils étaient doux, souples, presque flasques. La chair emplissait mes mains, s’échappait d’un côté pour rejaillir de l’autre. C’était comme une cascade d’eau dont on tente de retenir le courant. J’avais rarement eu une telle poitrine à cajoler. En plus, Monique protestait sur le fond et non sur la forme. Elle n’avait pas la velléité de me repousser et ne fit pas la moindre incartade pour m’éviter, elle ne fit pas même mine de cacher sa nudité. Et lorsque je lui pris une de ses mains pour la poser sur ma verge qui se tendait, elle ne la retira pas, au contraire, ses doigts se replièrent sur mon organe.
Je baisai ses seins, tripotant l’un, léchant et suçant l’autre, puis inversement pour qu’Athos ne soit pas jaloux de Porthos.
Le terrain était glissant. Je pouvais répondre la vérité en ce qui concernait sa seconde fille :
Pour Solange, j’éludai, car la réponse la plus exacte ne pouvait pas être entendue par la mère, du moins pour l’instant :
Monique coupa l’eau de la douche et s’assit sur le strapontin amovible. Elle m’attira vers elle. Elle prit ma queue en main, commença à la branler avec une grande habileté.
Je vis alors disparaître mon membre dans sa bouche. Pourtant en pleine érection, peu de filles étaient capables de l’emboucher, or Monique parvint à faire quelques gorges profondes sans se démantibuler la mâchoire.
Non seulement la technique était parfaite, mais la sensualité était bien présente. Elle me prodiguait une fellation, non par obligation, mais par envie. Ainsi la sensualité se mêlait à la perversité, comme le goût du vice. La mère de ma copine était vicieuse ! J’étais au paroxysme du plaisir. Je compris que je n’allais pas tenir longtemps et lorsque je sentis le foutre monter dans ma verge, je tentai de prévenir ma partenaire :
Mais Monique garda mon sexe dans sa bouche, mon sperme allant inonder sa gorge. Je me vidai totalement sans qu’elle lâchât prise. Enfin, lorsque je me fus calmé, elle ouvrit la bouche dont il s’échappa un peu de ma semence. Mais la quantité qu’elle avait avalée était bien supérieure à ce qu’elle avait perdu. Je la relevai et échangeai avec elle un profond baiser.
Un serment que je ne tins pas, car enduisant mutuellement nos corps de gel douche nos mains s’égarèrent sur des zones érogènes que nous n’avions pas encore explorées. Je savais que très bientôt nous irions un peu plus loin avec ma belle-mère. Elle était ma maîtresse et allait tout faire pour le rester.
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Au retour des filles, je donnais le change, dissimulant le trouble que Monique ne parvenait pas à dissimuler. La sieste lui permit de reprendre ses esprits. Pour ma part, je besognai Solange plus que je ne lui fis l’amour. Je vis bien qu’elle éprouvait dans cette étreinte vigoureuse peu de plaisir. Si elle acceptait des copulations robustes, elle préférait lorsque je la prenais avec douceur et tendresse. Cependant, cette fois-ci, c’était le cadet de mes soucis.
Une nouvelle occasion se présenta pour me retrouver avec Monique sans ses filles. Nous disposions de peu de temps, mais suffisamment à mon avis pour un coït réussi. Et puis, j’avais de cette femme que je ne pouvais plus attendre. Je me précipitai dans sa chambre sans même frapper à la porte. Par bonheur, cette mature était à poil et terriblement excitante avec son magnifique cul et ses seins énormes. J’ai ôté mon bermuda, exhibant ma queue bandée.
Je plongeai le visage entre les jambes de Monique. Sa toison pubienne exhalait des phéromones aphrodisiaques. J’ouvris du bout des doigts ses grandes lèvres vaginales. Je découvris une merveilleuse grotte tout humide, toute brillante avec un bouton d’amour qui me faisait de l’œil. Tout de suite, je le saluai de deux ou trois coups de langue. Monique réagit immédiatement.
Alors je présentai mon trône à l’entrée de son vagin et il coulissa merveilleusement, comme si le conduit avait été fait pour lui. J’allais jusqu’au bout de son vagin, très profondément.
Lorsque nous fûmes en position, je m’enfonçai en elle et commençai mes va-et-vient. Une image m’apparut soudainement : le reflet de notre union charnelle dans la psyché. Mais surtout, je découvris ce que dans ma position je ne pouvais pas voir : les nichons pantelants comme des bouts de viande de Monique, des steaks bougeant en tous sens. C’était d’une rare indécence, plus pornographique qu’érotique. Cette vision m’excita violemment et mes assauts s’accélérèrent jusqu’à ce que cela devienne une chevauchée fantastique. Je sentis et entendis Monique jouir sous moi. Elle appréciait bien plus que sa fille, ce genre d’étreintes vigoureuses. Je la suivis dans le bonheur suprême, déversant mon sperme en elle.
Je sortis de sa chambre, la queue en berne, mais satisfaite, et mon bermuda dans la main. Je descendis sur le bord de la piscine, pris une douche dans la cabine extérieure. Lorsque j’en sortis, nettoyé et habillé, Solange et Nadine revenaient.
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Au cours de ce séjour, je pus encore prendre Monique deux ou trois fois. Je dis prendre, car ces rapports sexuels furent furtifs, mais elle se montrait toujours prête à me recevoir en elle. Je pense que sa jouissance ne venait pas de ma seule queue ramonant son con, mais d’une part également de la manière que j’avais de me saisir d’elle, de la posséder, d’aller vite jusqu’au paroxysme de la jouissance ; et d’autre part du risque qu’une des deux filles puisse nous surprendre, car je prenais de moins en moins de précautions, et même en leur présence je forniquais avec ma maîtresse.
Je me rappelle notamment une sortie au restaurant où Monique se rendit aux toilettes pour « se rafraîchir ». Je filai à l’anglaise laissant les deux sœurs en tête à tête pour la rejoindre. Lorsque j’arrivai derrière Monique, elle releva la tête et me vit dans le miroir des lavabos.
Elle lut dans mon regard un désir ardent. Je l’entraînai vers la cabine pour handicapés, plus spacieuse que les autres box. Ayant fermé la porte, je la plaquai face au mur. J’ai remonté sa robe jusqu’à sa taille, je fis glisser sa culotte qui tomba au sol et, ayant sorti ma queue, sans aucun préliminaire, je la sautai. Une parfaite osmose nous unissait et nos respirations se firent plus rapides. À chaque coup de reins, elle décollait du sol, comme soulevée dans les airs. Monique y prenait un plaisir indéniable, ses halètements l’attestaient. Je dus même poser une main sur sa bouche afin qu’elle n’ameute pas tout le restaurant. Il fallait faire vite pour ne pas être découvert. Justement, le danger que ma copine se doute de quelque chose et qu’elle descende elle aussi aux toilettes rendait ce rapport sexuel encore plus excitant.
Monique fut emportée par un orgasme puissant et je la suivis dans sa jouissance déversant un flot de sperme au fond de son vagin. Elle vacillait. Je l’assis sur la cuvette des toilettes, remballai ma machine et regagnai la salle du restaurant. Je la laissai en plan, je jouais le parfait macho, mais je crois que c’est ce genre d’attitude qui plaisait à Monique. Elle voulait un amant qui la prenne virilement, qui la possède, qui la traite comme une traînée. La mère de famille voulait être salope. Elle nous rejoignit fraîche et pimpante. Personne n’aurait pu se douter que quelques minutes plutôt elle venait de se faire baiser dans les chiottes, car à présent elle était capable de tout dissimuler.
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Oui, Monique occupait à elle seule tout mon esprit. Elle m’obsédait. Je ne pensais plus qu’à elle et avec Solange nos rapports se réduisaient au minimum syndical, et encore, pour me donner du cœur à l’ouvrage, je la prenais en levrette en imaginant que je sautais sa mère. Avec un peu d’imagination, je revoyais les nichons de sa mère flottant sous elle.
Il y avait une différence notoire entre la fille et la mère. Solange n’aimait pas que je m’occupe de son cul. Je ne parle pas de sodomie, juste d’un ou deux doigts venant s’égarer vers un anus chaud. Je parvenais à y introduire mon index alors que je la prenais en levrette, ayant alors son œillet sous les yeux, mais je ne pouvais espérer rien de plus. À mes yeux, la sodomie n’est pas nécessairement une obligation pour une vie sexuelle épanouie, néanmoins, elle peut constituer une distraction agréable, un chemin vicinal à explorer pour deux amants. Or, je m’aperçus qu’au contraire, Monique ne manifestait aucune réticence lorsque je titillais l’entrée de sa grotte secrète. Prenant de l’assurance, quand un doigt entrait dans le conduit, la réponse était un soupir de volupté.
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De retour à la vie citadine, je n’hésitais pas à faire 150 km aller et 150 retours pour retrouver Monique le temps de quelques passes d’armes tantôt torrides, tantôt beaucoup plus tendres. C’est au cours de l’une d’elles que Monique me dit d’une voix ferme et décidée :
Elle me tendit un tube de vaseline pour que l’introduction soit plus aisée. Lorsque j’enduisis l’huis de son anus, je le sentis comme détendu, accueillant mes attouchements sans se contracter. Je me dis que la friponne avait sans aucun doute préparé le chemin. Une supposition qui se confirma lorsque mon gland s’insinua dans les chairs. C’était doux, c’était chaud, c’était étroit et serré, mais ma queue entrait sans problème. Outre cette préparation, il était flagrant que Monique avait une grande pratique de la chose et savait fort bien s’y prendre pour que cette pénétration apporte bien plus de plaisir que de souffrance.
Il ne m’a fallu pas plus de trois ou quatre allers-retours pour que Monique jouisse. Je continuai à me mouvoir au fond de son ventre, la tenant fermement pour ne pas qu’elle m’échappe. Elle gigotait, elle se trémoussait, elle n’arrêtait pas de jouir, comme étant sous l’emprise d’orgasmes à répétition. Je fus moi aussi transporté vers un orgasme énorme et je déversai mon foutre dans son anus. Pendant plusieurs minutes, un peu sonné, je regardai mon sperme s’écouler du trou du cul de ma maîtresse.
Par la suite, à chacune de mes visites, la sodomie était au menu de nos ébats. Des rapports sexuels sans sodomie auraient eu un goût de trop peu.
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Un jour, Monique vint nous rendre visite et sa fille lui proposa de rester tout un week-end. Nous avions de quoi la coucher.
Ici, point de piscine, me dis-je, je ne pourrais pas profiter de la vue sur ses nichons, mais je ne pouvais pas passer à côté d’une telle occasion. Le dimanche matin, Solange aimait faire la grâce-matinée. Parfois, je la tirais des bras de Morphée pour la prendre dans les miens par d’habiles attouchements ; j’aimais lui lécher le minou alors qu’elle n’était pas encore sortie des nuées du sommeil. Cette fois, c’est de bonne grâce que je la laissai dormir. Sur la pointe des pieds, j’allai jusqu’à la porte de la chambre de Monique. Elle n’était pas fermée, puisque de façon préméditée, j’en avais ôté la clef. J’entrai et me glissai sous les draps tout contre le corps chaud de Monique.
J’étais certain de mon fait, Monique m’ayant confié « Parfois, mon amant m’enculait sans aucun produit pour faciliter la pénétration. J’étais si habituée que ça n’était que peu douloureux, alors même qu’il en avait une plus grosse que vous. Ne vous en déplaise. Oui, c’était peu douloureux, mais tellement plus jouissif, car la souffrance décuplait mon plaisir, sans que je puisse le comprendre, alors que je suis si chochotte ».
D’ailleurs, elle ne protesta plus, se soumettant une nouvelle fois à moi. Je la sautai rapidement, histoire de bien enduire mon sexe de sa mouille. J’en recueillis du bout des doigts, lesquels entrèrent dans son anus pour le dilater et l’habituer à l’introduction d’un corps étranger.
Enfin, j’enfourchai Monique, dirigeai ma queue toute dure en elle. Pour éviter de crier, elle avait le visage enfoncé dans un oreiller. Le sacrifice allait pouvoir débuter. J’écartai l’ouverture de l’anus et présentai mon gland. Il entra facilement, mais pour le reste de ma verge, je compris que cela allait être plus délicat et que je devais m’y prendre avec douceur et précaution.
Je rentrai délicatement dans ses chairs, le gland disparut, puis la queue, centimètre par centimètre, s’enfonça dans le pertuis. L’introduction était délicieuse, terriblement vicieuse, absolument lubrique, c’était d’absolument exceptionnelle.
Je relevai la tête entendant ce cri. Solange était devant nous, en petite tenue.
Elle tenta de rejoindre sa fille qui s’enfuyait en poussant de grands cris. Je les regardai courir dans le couloir, ma copine à peine vêtue et sa mère à poil. Si la situation avait été moins sentencieuse, elle aurait paru croquignolette. Je savais que ma sodomie dominicale tombait à l’eau. Je restai pourtant dans la chambre, couché sur le lit, à poil, ma queue perdant de sa prestance, mollissant et venant se déposer sur mon ventre. J’attendis que la mère et la fille règlent leurs comptes. J’imaginais la mère et la fille s’étriper quasiment à poil. Monique devait plaider sa cause sans fard. Lorsqu’elle revint, elle était défaite. Son désespoir mêlé à sa nudité la rendait émouvante.
Je quittai donc cette couche, sachant bien que j’allais devoir affronter une harpie. Elle avait ses raisons, pour autant je n’avais aucune envie de m’amender ni de supporter longtemps ses jérémiades et ses cris.
Sur ce, elle me dit qu’elle me quittait et, le lendemain matin, elle disparut de ma vie. Monique fit de même alors que je l’aurais volontiers gardée pour amante encore quelque temps, mais vraisemblablement, je devais avoir la fille pour avoir la mère.
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C’est avec bonheur que je reprends une existence moins perverse, me disant que cette liaison avec la mère et la fille n’était vraiment pas raisonnable. Comme pour me laver du stupre dans lequel je m’étais vautré, je choisis le soleil et la mer. Je me rends pour une semaine dans un centre naturiste sur les bords de l’Atlantique.
Il est rare que je trouve des compagnes dans ce genre de lieu, non que les naturistes soient des personnes qui n’aiment pas faire l’amour, mais parce que la démonstration de l’attirance qu’on peut avoir pour une personne est toujours délicate lorsqu’on est nu, surtout si on est un homme. Il est préférable d’entrer accompagné dans ces structures, à moins de n’y rechercher aucune liaison. Or cette fois, l’absence de sexe n’était pas pour me déplaire, d’autant plus qu’elle ne devait être que temporaire.
Et pourtant, très vite, mon intérêt se porta sur une jeune femme. Je ne peux pas dire pourquoi je me suis intéressé à elle, son physique ne correspondait en rien aux critères de préférence que j’ai pu exprimer plus haut : elle était menue ; le ventre plat ; les seins bien formés restaient modestes, juste en rapport avec sa silhouette, fièrement dressés, dont le naturel ne pouvait pas être remis en cause lorsqu’on les voyait se mouvoir au rythme de sa démarche. Quant au bas du corps, en haut des longues jambes fines, on découvrait d’un côté une chatte presque naturelle couvrant tout son pubis et de l’autre des petites fesses musclées.
Le soir même, Lyse me suivit dans mon bungalow sans que je ne lui en fasse la demande et je découvris avec ravissement une fille qui n’avait pas froid aux yeux et qui aimait le sexe. Elle acceptait toutes les pratiques sans jouer un seul instant à la mijaurée et ne craignait pas de demander telle ou telle caresse plus intime les unes que les autres. Elle connaissait les moindres zones érogènes de son corps. Nous faisons encore l’amour passionnément, longtemps, remettant l’ouvrage sur le métier. Les jouissances sont multiples d’un côté comme de l’autre et ses orgasmes me ravissent. Enfin, nous nous écroulons de sommeil après moult tumultes.
Au matin, Lyse quémande sans sourciller que je la sodomise.
Je n’en reviens pas. Car les partenaires très ouvertes que j’ai pu connaître n’étaient plus de jeunes filles en fleur comme l’est Lyse. Qu’une fille de vingt ans fasse une telle proposition, c’est exceptionnel et je compte bien en profiter. Elle veut s’attacher à un amant qui est capable de la faire jouir, et je semble être l’étalon adéquat.