n° 19248 | Fiche technique | 19757 caractères | 19757Temps de lecture estimé : 12 mn | 15/10/19 |
Résumé: Fin de vacances. On remarque un couple déjà vu qui faisait du naturisme dans les gorges de l'Ardèche. Le contact se chauffe et prend une direction logique, si inattendue. | ||||
Critères: ff grp fplusag couplus fépilée vacances boitenuit danser voir exhib nudisme gangbang -totalsexe -groupes | ||||
Auteur : Lexdepenny Envoi mini-message |
Nous sommes à Valence, Charlotte et moi, où on va passer la nuit avant de continuer notre retour vers Strasbourg et chez nous. Si le bar où nous nous trouvons n’a qu’un seul avantage, c’est qu’il est à deux pas de notre petit hôtel. Même s’il a l’air d’être le lieu de rencontre préconisé de la moitié de la population mâle du quartier, l’ambiance est bonne, si bruyante.
Je commande des bières et on s’accoude au comptoir. Ce sont les seules places qui restent, toutes les tables sont occupées. Soudain, Charlotte me tape sur la main.
Je regarde. À une table dans un coin, il y a un couple. Elle, avec son verre de blanc parmi tous ces buveurs de bière, n’a pas l’air à l’aise. Une robe simple blanche avec un décolleté prononcé, qui attire l’attention de pas mal des clients. Seule la présence de son ami… mari… peut-être, un jeune homme aux allures de rugbyman, doit les empêcher de l’aborder. Je comprends pourquoi Charlotte m’a parlé de « elle ». Nous la reconnaissons, cette femme.
Quelques jours auparavant, nous avions vu son joli corps de dos, nue au soleil, étendue dans l’eau. Quand elle en est sortie, elle s’est retournée et a essoré ses longs cheveux bruns. De devant elle était aussi jolie que de derrière, de petits seins comme ceux de Charlotte, un corps fin et juste un peu de toison pour cacher, hélas, ce qui doit être un minou aussi mignon que le reste. Nous, on était un peu plus en hauteur, et plus éloignés de la rivière, vers laquelle on se dirigeait, quand Madame, car maintenant je vois son alliance, a pris son bain. On a vu des naturistes assez souvent lors de notre randonnée, mais celle-ci a attiré notre attention tout de suite, non seulement parce qu’elle vaut une inspection approfondie, mais aussi parce qu’après être sortie de l’eau, elle a fait un brin de causette avec deux hommes, nus, eux aussi. Elle était visiblement avec l’un, son mari, que je reconnais aussi maintenant, et un autre, qu’elle a quand même embrassé avant qu’il ne les quitte. L’effet de ce baiser était évident, même de loin, une érection qu’il essayait en vain de dissimuler. Une naturiste aux tendances coquines, alors ?
On se fraie un chemin à travers la foule. Je récupère au passage une chaise qui est restée fortuitement inoccupée.
Monsieur fait un geste d’acceptation et je fais asseoir Charlotte en face du couple. Je dis :
Madame sourit.
Stéphanie rosit un peu, il me semble, mais elle répond ;
Je dis à Vincent :
On se dirige tous les quatre vers la sortie et le calme de la rue. En face, par bonheur, une femme est en train d’ouvrir les portes d’un autre bar, qui risque donc d’être moins peuplé. Elle rentre et nous la suivons.
C’est un cabaret vieux style, avec une petite piste de danse et une scène. Le décor n’a pas dû changer depuis des décennies et on y imagine facilement un moustachu avec son accordéon et sa Gauloise papier maïs qui anime le bal. Je commande une bouteille de blanc et quatre verres et on s’installe à une table près de la piste.
Charlotte se lève. Quinze minutes plus tard, elle est de retour. Ses tétons qui pointent déclarent que, comme d’habitude, elle ne porte pas de soutien-gorge sous le teeshirt mi-cuisse couleur jaune canari qu’elle a mis en guise de robe. Je vois que Vincent approuve. D’après ses yeux, Stéphanie apprécie aussi.
Elle nous met une musique qui me fait sourire, des morceaux de blues lents que j’aurais choisi moi-même pour créer une atmosphère intime et sexy.
Stéphanie demande à Charlotte. Elle lui tend la main et elles dansent. Je ne suis pas surpris quand Charlotte attire Stéphanie contre elle. Stéphanie se laisse faire quand Charlotte l’embrasse sur les lèvres, et en réponse, elle glisse sa main sous le teeshirt de Charlotte et lui caresse les fesses.
C’est Charlotte qui prend l’initiative et fait monter Stéphanie sur la scène. Elle commence à soulever la robe de Stéphanie et à lui caresser les fessés à son tour, tout en collant sa bouche à celle de Stéphanie. J’entends une porte qui claque derrière moi, mais toute mon attention, comme celle de Vincent, est fixée sur nos deux femmes qui s’embrassent et se caressent.
Un éclat de voix derrière moi me fait tourner la tête. On dirait que la population entière du bar d’en face a déménagé ici. Stéphanie et Charlotte se figent, mais seulement pendant un instant. Puis Charlotte reprend ses caresses et Stéphanie se détend et accepte.
Malgré le nombre de spectateurs qui remplissent maintenant la salle, ils apprécient le spectacle en quasi-silence. Stéphanie et Charlotte s’accordent à la musique, qui est lente et sensuelle.
Charlotte relève la robe de Stéphanie au-dessus de sa taille, pour montrer le slip blanc de celle-ci à tous ces hommes. On ressent, plutôt qu’on n’entend un feulement collectif. Encouragée, Charlotte aide Stéphanie à se défaire complètement de sa robe. Sans soutien-gorge, elle ne porte plus que son petit slip blanc et ses sandales. Charlotte lui fait faire une pirouette, pour l’exhiber sous tous les angles, puis fait deux pas en arrière, et toise Stéphanie de la tête aux pieds, d’un air approbateur. Puis, sans crier gare, Charlotte avance très vite et descend le slip de Stéphanie jusqu’aux chevilles. La foule applaudit à la vue de ce joli minou à peine caché. Stéphanie, choquée, reste immobile pendant quelques secondes, puis se baisse pour extraire le bout de tissu d’entre ses pieds et le lance vers le public. Après un peu de discussion musclée, l’un des hommes réussit à s’en emparer définitivement.
Je lis les paroles sur les lèvres de Stéphanie. La musique et les murmures m’empêchent de les entendre. Charlotte me regarde dans les yeux et je vois ses lèvres articuler des mots qu’elle n’a pas besoin de dire à haute voix. Je reconnais la phrase et je la comprends. Voici pourquoi…
Il y a quelques mois, après une soirée dans une boîte en Allemagne, où on a vu une danseuse aux seins nus, j’avais créé un scénario où Charlotte la remplaçait sur la scène. Elle adore les histoires que je lui raconte pour stimuler sa masturbation. J’avais déchaîné toute mon imagination pour suggérer à Charlotte des folies perverses bien au-delà de la danse gentiment sexy de la jeune femme. Charlotte était rentrée dans le jeu, avait tout accepté et en avait joui très fort. Le lendemain, elle m’a surpris en retournant au sujet.
J’attends que mon cœur remonte de sa subite chute vers mes orteils. Ai-je trop poussé dans ce que j’avais imaginé ?
Charlotte souffle.
Ce sont mes derniers mots de ce dialogue que je lis sur la bouche de Charlotte.
Elle avance vers Stéphanie et ouvre ses bras dans un geste qui veut dire que Stéphanie peut faire d’elle ce qu’elle veut. Stéphanie se met derrière Charlotte et la tourne face au public. Elle prend le bas du teeshirt de Charlotte dans ses deux mains, et d’un seul mouvement, le lui enlève. On entend l’aspiration de tout le monde. Charlotte est nue… mais pas que. En se changeant, elle s’est fraîchement rasé le sexe et la forme délicieuse de son minou est exposée à la vue de tout le monde.
Les deux femmes nues se déchaînent l’une sur l’autre. Charlotte a sa bouche sur les tétons de Stéphanie, qui a la main entre les cuisses de Charlotte. Elles se caressent jusqu’à en être essoufflées toutes les deux. Elles se séparent et restent un instant sans bouger, chacune la figure rouge. Puis, Charlotte reprend. Ce ne sont plus des caresses, mais des explorations sexuelles. Elle retourne Stéphanie pour montrer ses fesses au public, et les écarte, avant de plonger ses doigts dans le sexe humide offert. Charlotte se lèche les doigts. De nouveau ce grognement de leur public.
Stéphanie prend sa revanche, mais au lieu d’enfoncer ses doigts dans le sexe de Charlotte, c’est dans son cul qu’elle pousse d’abord un doigt, puis deux. Charlotte sursaute, puis elle me regarde et sourit. Elle adore les pénétrations anales. Elle se tourne et se penche en avant. Elle écarte ses fesses pour que tout le monde voie les deux doigts de Stéphanie qui sont enfoncés dans son cul. Elle se relève et prend la main de Stéphanie. Elle la mène vers le petit escalier qui les fera descendre de la scène vers la piste de danse et la foule.
Stéphanie et Charlotte sont à un pas du premier rang des spectateurs. Il y a un moment d’hésitation puis elles échangent un regard et plongent dans leur bain de foule. On voit des mains qui leur pelotent les seins, qui plongent entre leurs cuisses. La figure de Charlotte est transformée. Elle est aux anges. Finalement toutes les fantaisies que j’imagine pour elle depuis des années deviennent réalité. Stéphanie, aussi a l’air ravie de se livrer à ces inconnus qui manipulent ses seins et son sexe.
Peu à peu un cercle se forme autour des deux femmes. Stéphanie est à genoux et a la bouche pleine d’un sexe rigide. Charlotte me lance un regard. Je sais ce que j’ai à faire. Je lève la voix.
Charlotte disparaît dans (sous ?) la foule. Quand je la vois à nouveau, elle est sur les coudes et les genoux, et on lui pilonne le sexe sans répit. Stéphanie est debout et en train de se faire baiser par un homme, avec un autre derrière elle, qui lui sert de support pendant que d’autres lui malaxent les tétons avec enthousiasme. Je vois que celui qui la tient de derrière essaie de glisser son érection entre ses fesses. Quand il réussit, on voit la bouche de Stéphanie s’ouvrir en un grand « O » majuscule. Les deux femmes sont secouées de tous les côtés. On voit leur chair trembler, de passion autant que des forces qui les comblent.
D’autres les prennent, puis d’autres encore. Stéphanie et Charlotte sont côte à côte, toutes les deux doublement prises par des baisages et enculages successifs ou même simultanés. La bande sonore de blues est accompagnée par les grognements rythmiques des hommes qui besognent les deux femmes, et les cris, mélange d’extase et d’angoisse, de celles-ci à se sentir ainsi défoncées sans répit ni merci. Ça continue, ça continue, jusqu’au moment où Stéphanie lève la figure vers Vincent. Elle secoue la tête pour lui dire qu’elle ne peut plus.
Je suis soulagé quand la marée d’hommes recule, pour révéler mon épouse et Stéphanie à quatre pattes toutes les deux, haletantes et épuisées. Charlotte, la tête appuyée sur les avant-bras et les fesses toujours en l’air, reprend son haleine, toute pantelante. Ses fesses et son dos sont couverts de foutre et dans sa position actuelle, on peut même voir qu’il en dégouline de son anus, qui n’arrête pas de se contracter involontairement. D’autres flots continuent à couler de son vagin et descendre le long de ses cuisses.
L’image que présente Stéphanie n’est pas plus raffinée. Elle essaie de se nettoyer la figure avec les mains, ce qui ne fait qu’étaler encore plus le foutre gluant qui la couvre. Ses longs cheveux, eux aussi, en sont pleins aussi. Elle s’est relevée et s’est mise à genoux et des coulées blanchâtres créent des flaques sous ses cuisses repliées. Elle, aussi, a l’air épuisée, mais elle se traîne vers Charlotte pour qu’elles échangent un baiser profond et prolongé, un baiser lubrifié du foutre de qui sait combien d’hommes. La foule commence à se disperser et après quelques minutes, Vincent et moi nous retrouvons seuls avec nos épouses souillées, crevées et usées. Je vais à Charlotte et je l’aide à se lever. Elle s’excuse quand une nouvelle masse informe de foutre s’échappe de son vagin et tombe mollement sur le parquet de la piste de danse. Vincent et moi accompagnons nos épouses à l’unique toilette de la boîte, où elles s’assoient successivement sur la selle pour laisser écouler le reste du foutre dans leur con et leur cul.
Charlotte et Stéphanie se sont encore embrassées, Vincent et moi les avons aidées à se nettoyer comme on pouvait, et, après avoir jeté un coup d’œil dans la rue, car la robe de Stéphanie et le teeshirt de Charlotte sont dans un état lamentable, nous nous sommes quittés pour nous enfuir, chaque couple vers son hôtel.