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n° 19262Fiche technique64558 caractères64558
Temps de lecture estimé : 37 mn
21/10/19
corrigé 05/06/21
Résumé:  En ce bel après-midi ensoleillé, Nathalie et moi sont attablés en terrasse, sans beaucoup de monde autour de nous.
Critères:  fh 2couples hagé fagée copains exhib lingerie cunnilingu pénétratio fsodo -initfh -entrecoup
Auteur : Patrik  (Carpe Diem Diemque)            Envoi mini-message
Sexagénaire et plus...


« La vie commence à soixante ans », cette chanson ne résonne pas dans le désert pour tout le monde.

Et puis, il arrive un moment où il faut savoir se dépêcher d’en profiter.

Ne pas confondre auteur et narrateur…

Bonne lecture :)





Proposition



En ce bel après-midi ensoleillé, Nathalie et moi sommes attablés en terrasse, sans beaucoup de monde autour de nous. Parfois, nous nous baladons, sans but précis. J’aime mes rencontres avec ma vieille copine d’enfance. Ne concluez pas trop vite : elle et moi, nous n’ayons jamais partagé le même lit, même en tout bien et tout honneur. Pas même fait un bisou sur les lèvres, sauf peut-être quand nous étions à la maternelle, et encore…



Elle se penche sur moi :



Je sens qu’elle rassemble son courage pour se lancer :



Je reconnais que je m’amuse à faire traîner un peu les choses. Ma copine d’enfance s’énerve un peu :



Pour se calmer un peu, elle s’empare de son verre puis avale une gorgée. Ceci fini, elle répond :



Je constate qu’elle évite mon regard. J’annonce alors clairement la couleur :



Me calant sur ma chaise, je mets les points sur les i :



Posant son verre, Nathalie s’étonne :



C’est une évidence que je ne sais que trop bien. Je soupire :



Je m’abstiens de répondre tout de suite, la regardant attentivement. Après quelques secondes, Nathalie finit par demander :



Nathalie est très surprise par l’expression que je viens de sortir :



Je m’attendais un peu à ce genre de réponse, néanmoins, c’est vraiment dommage pour Nathalie. Elle a mis dans son lit les mauvais numéros. Je hoche la tête :



À ma grande surprise, je vois qu’elle est étonnée :



Tripotant son verre, elle soupire :



J’ai une envie folle de l’asticoter à mort, une idée étrange est en train de germer dans mon cerveau, alors que j’annonce le plus sérieusement du monde :



La réponse fuse aussitôt :



Elle met un certain temps à digérer mon annonce, puis elle argumente :



Je rétorque sur le même ton :



Je souris, elle me regarde fixement, puis elle finit par demander :



Je me cale mieux sur mon siège :



Amusé, je souris :



Elle pique un fard, bredouillant :



Et c’est ainsi que je me suis retrouvé embrigadé dans une nouvelle aventure, équipée dont j’ignore royalement où elle nous mènera, mais quelque chose me dit que je ne fais pas une mauvaise affaire. L’avenir me le dira, ou plutôt, l’avenir nous le dira.


Parfois, je lance en l’air une connerie, et hop, le destin la transforme en bonne chose. Est-ce vraiment une connerie ou un gros lapsus de mon subconscient ?


Sur le coup, je n’y avais pas pensé, mais il y avait aussi la solution que Nathalie et moi vivions sous le même toit, mais que j’allais faire mes galipettes à l’extérieur. Mais je reconnais que Nathalie n’est pas déplaisante, même si j’avais abandonné depuis belle lurette toute idée salace à son sujet. De plus, si je pouvais joindre l’utile à l’agréable, ce serait une bonne chose…


Comme quoi qu’il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis…




Premiers pas



Le grand soir est pour aujourd’hui. Nous venons de dîner chez moi un peu tardivement. Alors que nous nous installons dans le canapé, je prends les devants en capturant Nathalie dans mes bras.



Elle ne répond rien, je la sens se détendre un peu, puis petit à petit, elle se relâche. Je lui caresse délicatement les cheveux, elle ne proteste pas, je dirais même qu’elle se laisse aller. Je me demande alors depuis combien de temps Nathalie n’a pas eu droit à un petit câlin. Ça doit se chiffrer en années, et si c’est la vérité, c’est une triste vérité…



Elle lève son nez vers moi :



C’est alors que je l’embrasse. Il est visible qu’elle ne s’y attendait pas. Néanmoins, elle se laisse faire passivement. J’ai un peu l’impression d’avoir une sorte de poupée de chiffon dans les bras, mais au moins, je n’ai pas encore reçu de claque ! Bon, il ne me reste plus qu’à faire étalage de toute ma science en la matière, et vérifier si je ne suis pas trop rouillé, surtout vis-à-vis des femmes pas très réceptives ! Il est vrai que d’habitude, je marche en terrain conquis, mais un peu de difficulté n’est pas pour me déplaire !


Je sens que ma partenaire de jeu se détend, sa bouche et ses lèvres sont nettement plus offertes, mais son inactivité perdure. Alors, pour changer un peu, je commence à dévorer ses lèvres de mille petits baisers, accompagnés parfois de fines morsures, ce qui semble la surprendre un peu, mais elle ne se dégage pas de mon étreinte pour autant.


Mes mains commencent à la caresser sur tout son corps, ce qu’elle semble apprécier. Mais elle reste toujours aussi passive. Pourquoi est-elle ainsi ? Elle tente de me décourager ? Elle a toujours été passive dans ses relations ? Embrasser une poupée inerte, aussi belle soit-elle, n’est pas très incitatif, mais je passe outre.


Je capture son sein à travers le tissu, elle frissonne un peu. J’accentue ma caresse, et très peu de temps après, j’ai le plaisir de constater que son téton devient dur. Je deviens plus pressant, mes mains sont de plus en plus baladeuses, et je découvre que ses formes ne sont pas négligeables, que Nathalie a ce qu’il faut où il faut. Je m’en doutais un peu, mais le sentir sous ses doigts, c’est nettement mieux qu’avec ses yeux !



Glissant mon bras autour de sa taille, je l’entraîne vers la chambre. Elle se laisse faire, bien qu’elle soit visiblement un peu inquiète.


Je continue mes préliminaires très soft en l’embrassant, tout en la caressant, en visitant ses courbes comme il se doit. Néanmoins, je la sens un peu plus crispée, sans doute la présence du lit. Mais ses tétons m’indiquent que son corps réagit plutôt positivement. Alors, je passe à l’étape suivante :



Elle ne répond rien. Comme je ne suis pas très complexé, je me déshabille près d’elle, d’ailleurs, j’ai pour habitude de dormir nu sous les draps ou la couette. Par contre, je constate que c’est moins facile pour Nathalie qui tergiverse. De plus, elle me regarde d’un air un peu étrange, et surtout du côté de mon bas-ventre. Il est vrai que mon machin est en train de se redresser, ce qui est logique, puisqu’elle m’excite.


Je m’assieds sur le lit :



Avec une évidente mauvaise grâce, elle finit par s’exécuter. Mais ce n’est pas ça qui va me décourager, j’ai eu pire dans ma vie. Peu à peu, elle se révèle. Je sais qu’elle n’a plus vingt ans et moi aussi. La gravité a agi sur sa poitrine, mais ses seins sont bien aguichants, j’ai envie de les prendre en main pour les lécher, les sucer. Son ventre est rond, tel un oreiller sur lequel j’espère poser ma tête. Ses hanches sont pleines, de quoi les agripper à pleines mains. Un tout petit bosquet garnit son pubis, ce qui révèle beaucoup de choses, tout en en cachant un peu. Grâce au miroir de l’armoire, j’ai aussi une vue non négligeable sur un vaste popotin qui laisse inaugurer bien des batailles à venir…


Plantée devant moi, elle soupire :



Et je me relève, la capturant aussitôt dans mes bras, plaquant nos deux corps nus l’un contre l’autre. J’adore sentir son petit ventre rond sous mon sexe bien raide ! J’en profite pour nicher sa tête contre ma poitrine et lui avouer :



Immobiles et silencieux, nous restons ainsi l’un contre l’autre. Je balade langoureusement mes mains sur son corps. Le temps passe, je me sens bien ainsi. Puis, le visage un peu rouge, elle me repousse gentiment :



Nous nous logeons sous les couvertures. Bien sûr, j’en profite pour me rapprocher d’elle. Nathalie murmure :



Elle soupire un bon coup :



Elle ne répond pas, elle soupire à nouveau, attendant la suite comme un mauvais moment à passer. Néanmoins, elle se déride un peu sous mes caresses, quand elle comprend qu’elle ne va pas « passer à la casserole » bestialement, sans un minimum de préliminaires.


Les hommes sont très rapides à monter en puissance, tandis que les femmes sont nettement plus lentes. En contrepartie, les hommes retombent vite, tandis que les femmes restent au sommet longtemps. C’est simple à comprendre, mais encore faut-il le savoir, ce qui ne semble pas être le cas de tous les mâles, qui limitent souvent les choses à vis-écrou…


Pour l’instant, Nathalie est moins crispée, ce qui est un point très positif.


Il n’y a pas de femme frigide, il n’y a que de mauvaises langues. Donc acte ! Je glisse ma tête entre les cuisses fraîches de Nathalie et j’enfouis ma langue dans sa fente odorante. Je lape, je lèche, ma langue virevolte.



Je ne suis pas du genre à m’avouer vaincu en quelques minutes. Alors je continue.


Je décide de changer un peu de stratégie en attaquant carrément son petit bouton rose, plutôt que de tourner autour. Peut-être que son clitoris préfère les stimulations directes. D’une main, j’en profite aussi pour taquiner un de ses tétons. Mes premiers essais me semblent très concluants, ça a l’air d’être la bonne technique, si j’en crois les tremblements de ma compagne de lit !


Comme son petit bouton s’érige en minitour, je décide de le suçoter du bout de mes lèvres et de ma langue. La réaction est foudroyante, elle pousse un long gémissement, accompagné de forts frémissements. Bingo, je crois que j’ai déniché le Saint Graal de Nathalie. Alors, je pousse éhontément mon avantage, et je continue de plus belle, malgré ses tentatives de repousser ma tête. Mais je tiens bon !



Assaillie de tremblements, se laissant aller, elle jouit comme une petite folle. Alors j’en profite pour me glisser ignoblement entre ses jambes largement ouvertes et plonger mon sexe bien raide dans sa chatte bien humide. Elle glapit de plaisir :



Il ne faut pas me le répéter deux fois. Je commence à la pistonner lentement, mais fermement, elle apprécie beaucoup si j’en crois ses petits cris. Finalement, la victoire n’aura pas été si difficile, j’ai même connu pire, mais méfiance, la partie n’est pas forcément gagnée. Alors, petit à petit, j’augmente la cadence, jusqu’à ce que ce soit l’équipée sauvage !


Ses gémissements, ses jambes autour de mes reins, ses ongles qui s’enfoncent dans ma peau sont les indices que je suis assurément sur la bonne voie. Alors je persévère, en tentant de garder au mieux mon propre contrôle, ce qui n’est pas très évident, tellement je suis excité !



N’en pouvant plus, j’explose en elle dans un grand râle, tandis qu’elle plonge dans son orgasme, comme elle avait des années à rattraper. La sensation est ultra forte, j’en ai des étoiles qui dansent sous les yeux, mais je suis bien décidé à jeter toutes mes forces dans cette bataille, et faire jouir ma compagne plusieurs fois cette nuit !


Il ne me reste plus qu’à prier fortement que le poids des ans n’aille pas trop peser sur la vaillance de mon braquemart en rut, et que j’arriverai à épuiser de plaisir ma compagne avant d’être totalement asséché et vidé !




Artistiquement



Après cette soirée mémorable, ça va faire deux semaines que nous sommes ensemble, et je dois dire que tout fonctionne comme sur des roulettes. Parfois, concernant mon empressement à son égard, Nathalie râle un peu, mais c’est plutôt pour la forme. Quant à nos turpitudes sexuelles, nous avançons petit à petit, je ne tiens pas à casser le charme en allant trop vite.


Je constate que Nathalie est encore à mi-chemin. Elle conserve ses habitudes pseudo-frigides ancrées depuis bien des années, mais elle s’ouvre aussi petit à petit vers une sexualité plus acceptée. Et bien sûr, je me fais le grand plaisir d’être son accompagnateur, je n’ose pas trop dire « professeur », ça sonnerait trop pédant de ma part.


Comme souvent, là, maintenant, je viens de me plaquer contre son dos afin de lui capturer les deux seins et les masser avec volupté. Bien sûr, elle proteste :



Sa réaction est immédiate et sans détour :



Intéressant… Je décide de pousser mon avantage :



Elle persifle :



Néanmoins, nous nous retrouvons très vite tous les deux nus dans la chambre. Je lui offre un bon petit câlin pour la mettre en condition, accompagné de divers préliminaires comme elle les aime, puis quand j’estime que c’est le moment opportun, je lui annonce :



Maintenant qu’elle est en position, je la masturbe posément et doucement. Comme je commence à savoir maîtriser son mode d’emploi, j’arrive assez vite à faire monter son désir. Déjà, Nathalie respire fortement, ce qui est un bon signe. Je m’empare du lubrifiant et de ma main libre, j’en mets une grosse couche autour de mon engin ; il vaut mieux trop que pas assez. Puis du bout de mon doigt empoissé par cette substance blanchâtre, j’en profite pour taquiner délicatement sa rondelle, tandis que je la masturbe toujours comme il se doit.



C’est bien l’une des premières fois qu’elle me donne ses impressions ! Je lui souris :



Elle rougit, ne prononçant pas un seul mot. Elle ferme les yeux, elle semble se concentrer sur ce qui lui arrive. Doucement, elle frémit, je continue mon double petit manège. Malgré ses dires, elle est plutôt réceptive. Ou peut-être que son corps cherche à rattraper le temps perdu ?


Il est temps d’aborder les choses sérieuses. Sans cesser de la masturber, je pose mon gland contre sa cuvette lubrifiée et je la titille fermement. Elle frémit à nouveau. Je continue de caresser l’entrée de son petit trou avec ma queue bien raide, m’offrant le luxe de dégager petit à petit son sillon afin de mieux me positionner.


Puis je pousse mon avantage en introduisant mon gland dans les sombres profondeurs de son anus. Elle pousse un petit cri, respirant fortement. Je lui demande :



J’accentue l’exacerbation de son clitoris, tandis que je commence un lent mouvement de va-et-vient pour venir m’enfoncer en elle. J’ai le plaisir de voir que ma tige entre dans son sombre tunnel sans trop d’efforts, et sans qu’elle ne contracte ses sphincters pour me bloquer. Il faut dire que j’ai tout fait pour la mettre en confiance depuis que nous sommes en couple.


Elle a toujours les yeux fermés, comme pour mieux goûter à cette pratique un peu singulière. Peu après, je constate que j’ai réussi à introduire toute ma longueur dans ce beau cul si accueillant. Il me faut avouer que mon engin n’est pas hors norme, il est dans une honnête moyenne, ce qui est un atout dans pas mal de cas. Ni trop ni pas assez.


Possédée par ma verge enfichée dans ses profondeurs secrètes, Nathalie soupire :



Elle semble chercher ses mots :



Je commence à coulisser en elle, lui faisant bien sentir que je la possède, que je suis en elle de toute ma longueur, sans oublier de toujours exacerber son clitoris en feu. Sa bouche est grande ouverte, et l’expression sur son visage m’indique qu’elle apprécie ce qui lui arrive. Alors, je la pistonne de plus en plus vite, comme si j’étais en train de ramoner son mignon vagin que je commence à connaître si bien. J’essaye de me modérer, bien que l’envie ne me manque pas d’y aller à fond !


Je l’entends gémir d’une voix rauque :



Alors j’y vais à fond, aidé par une femelle largement ouverte et lubrifiée. Avant de me laisser complètement aller, je constate que Nathalie est en transe, et que cette pratique, sans doute nouvelle pour elle, la fait décoller vers d’autres cieux, où je ne vais pas tarder à la rejoindre. Ma compagne serait-elle une adepte de l’entrée des artistes ? Qui sait… À moins que ce ne soit la nouveauté qui lui fasse cet effet-là.


Je perds le fil de ma conscience. Tout ce que je souhaite, c’est pistonner le cul de cette belle cochonne qui en redemande. C’est de lui faire sentir chaque centimètre de ma queue dans son étroit boyau. C’est de pouvoir éjaculer, de lui remplir toutes ses entrailles, bestialement !


C’est bien l’une des premières fois que je décroche ainsi ! Mais comme ma partenaire est d’accord, je ne vais pas me priver ! Nathalie pousse des petits cris rauques, désarticulés, incongrus. Puis elle explose, elle jouit en se tordant, empalée sur ma bite, mes doigts exaspérant son clitoris embrasé.


Je ne tarde pas à la rejoindre, expulsant des jets épais et brûlants en fin fond de son ventre, grillant toutes les étapes du premier ciel au septième, et même plus haut !


Puis arrivent le calme, la quiétude, le néant…


Quelques longues minutes plus tard, j’émerge, elle aussi. Nathalie est à présent lovée contre moi, tandis que je caresse délicatement son dos :



Je rigole franchement :



Amusé, je la serre un peu plus contre moi :



Puis je l’embrasse voluptueusement, ce qui la dispense de me répondre…




Retour



J’ai déjà eu des surprises dans ma vie, mais celle-ci n’est pas triste, je dirais même qu’elle est très joyeuse, et je ne vais certainement pas me plaindre ! D’habitude, c’est moi qui prends l’initiative, ma compagne suivant le mouvement, un peu passive, et même parfois très passive, mais néanmoins d’accord sans toutefois le dire clairement. Le problème est qu’il faut deviner si on fait bien ou pas, ce qui n’est pas toujours évident.


Alors, je multiplie les expériences, et pour l’instant, tout va bien, je ne fais aucun faux pas. Nathalie ne déteste pas qu’on la prenne parfois brutalement, mais il faut savoir la chauffer comme il se doit. Mais elle aime aussi qu’on s’occupe d’elle gentiment. En réalité, elle aime toute la gamme du soft au hard, mais auparavant, il faut deviner dans quelle disposition elle est… Et savoir s’adapter…


Bref, Nathalie est comme un instrument de musique exigeant, il faut savoir en jouer, de la fugue à la valse, sans se limiter à une seule partition.


Là, je viens juste de rentrer d’un magasin de bricolage, car il y aura quelques menus travaux à faire prochainement, dehors comme dedans. Nathalie a décidé de me faire une petite surprise, ce qui est particulièrement réussi ! Fugacement, je vérifie dans ma tête si je n’ai pas oublié un anniversaire ou une fête. Non, rien de tout ça, aucune cause à effet.



Elle est habillée de noir, de la tête aux pieds, ce qui met en valeur son teint laiteux. Un noir luisant qui accroche la lumière et qui met en relief ses courbes.


Commençons par le bas. Au tout début, j’ai cru à des cuissardes ou quelque chose d’approchant. À mieux y regarder, ce sont en réalité des chaussures noires à talons et des bas autofixants ou ça y ressemble. Je ne connais pas cette matière, ce n’est pas du latex, ni du vinyle, ça flotte entre deux, et c’est terriblement sexy, d’autant qu’il y a plein de jeux de lumière.


Au-dessus des bas, c’est simple à décrire, Nathalie n’a rien mis : elle est cul et chatte à l’air, tout simplement. Juste un petit bosquet fort avenant par-dessus des lèvres dégagées…


Au-dessus du rien ou plutôt du « je montre tout », un serre-taille de couleur, noir comme tout le reste. Il commence du haut de son pubis et s’en va se nicher sous ses seins, transformant ses lolos en deux masses blanches et pendouillantes qui se détachent nettement de la masse sombre du vêtement situé par-dessous. C’est un zeste vulgaire, mais ça me plaît beaucoup, énormément ! L’effet érotique est puissant, j’en sais quelque chose dans mon pantalon, et ma compagne l’a très bien remarqué !



C’est indubitable, je ne peux pas dire le contraire ! Je me jette sur elle, elle rit. Je l’enlace pour l’embrasser, pressant son corps presque nu contre le mien.



Je joins le geste à la parole. Ma compagne se dévergonde, je ne vais certainement pas le lui reprocher, d’autant que ça fait bien mes petites affaires. Finalement, la métamorphose de Nathalie sera peut-être plus rapide que prévu…


En attendant le jour où Nathalie sera totalement libérée, je profite de ce qu’elle m’offre si gracieusement. M’accroupissant devant elle, je viens mettre mon nez entre ses deux beaux seins laiteux qui pendouillent si agréablement, en total contraste, sur son serre-taille sombre. Mes mains avides accaparent deux belles masses formées par ses fesses, et je suis bien décidé à profiter de toute cette chair alanguie !


Certains adorent les petits seins bien fermes, voire durs. Perso, je le préfère plus mous, voire flasques, tout en chair molle, telle de la pâte à pétrir. Mes goûts ont un peu changé avec l’âge. Peut-être que je me suis adapté aux femmes avec qui je pouvais m’offrir une bonne partie de plaisir, aussi bien pour elles que pour moi.



Je tète, je léchouille, je suce ces tétons bien durs, ma langue suit le contour des aréoles, puis avide, je gobe une masse molle, comme si je voulais engloutir un gros chamallow ! Ce qui la fait rire ! Mes dents s’enfoncent un peu dans la peau blanche, tandis que ma bouche affamée savoure ce dessert prodigieux.


Je suis très heureux de cette surprise, preuve indubitable que ma compagne se libère petit à petit. Et comme il convient de battre le fer pendant qu’il est encore chaud, je vais de ce pas lui offrir une belle séance mémorable, afin que son effort ne soit pas du tout vain !


J’ai déjà une forte attirance pour Nathalie, mais habillée dans ce genre de vêtement, c’est plus intense encore ! Avouons que ça fait un peu pute, voire beaucoup, mais, nom de Dieu, que c’est bandant ! À s’en faire péter les boutons de braguettes et déchirer son jean !


D’ailleurs pour éviter un souci de ce genre, j’extirpe ma verge bien raide de mon pantalon, sans arrêter de m’amuser avec les deux seins pendouillants de ma belle pute improvisée. Ouf, je me sens nettement plus à l’aise à l’air !


Tandis que ma bouche est très occupée plus haut, mes mains s’emparent de ses fesses. J’adore tripoter son cul, de palper ses chairs entre mes doigts ! Sans vergogne, je frotte mon sexe contre sa cuisse, juste au-dessus de la bande noire de son bas.


Me voyant faire, Nathalie glousse :



Le problème est que je ne sais pas par quoi commencer ! J’ai envie de lui faire subir plein de choses, mais il faut un début à tout. La logique voudrait qu’on débute par assez sage puis qu’on monte en puissance, mais je ne sais pas si j’aurais la patience, car j’ai une envie folle d’elle, à tel point que je ne serais pas étonné d’éjaculer dans peu de temps, là, sur son pubis et ses bas !


Il faut que je me calme, sinon tous les efforts de ma belle risquent d’être perdus par ma précipitation. Même si je suis encore capable de remettre le couvert plusieurs fois, l’excitation que j’éprouve actuellement risque de me vider en un seul coup, et j’aurais l’air d’un sacré con ensuite. Tiens, en parlant de ça, il faudra que je trouve une autre expression…


Comme je sens que ça risque de venir, je pince fermement la base de ma verge pour éviter qu’un jet intempestif ne voie le jour. Puis sans cesser de peloter ses fesses et lui faire sentir la dureté de ma queue, je m’adresse à cette splendide hétaïre occasionnelle :



Elle me regarde avec un petit sourire entendu :



Elle lève les yeux vers le plafond comme pour réfléchir :



Je me détache d’elle, je la prends par la main, et je me dirige vers la chambre d’amis, car je sais que j’y trouverai ce dont j’ai besoin. Arrivé sur place, je laisse ma compagne debout devant le lit tandis que je m’empare de la psyché pour la disposer au bon endroit stratégique. Nathalie me balance :



Je fignole l’orientation du miroir, puis j’ordonne à ma compagne :



La position est parfaite, je peux voir à la fois le beau cul attractif de Nathalie ainsi que ses seins délicieusement pendants. Alors je décide de partir à l’action, c’est-à-dire une bonne levrette pour cette belle chienne en tenue ultra-aguichante ! Avant de me positionner comme il se doit, j’admire les jambes gainées de nuit et ces belles fesses blanches plantées dessus, sans oublier ce popotin d’enfer ceint par le serre-taille sombre. Un « fesse-tival » du noir et blanc !


Je caresse délicatement ce beau cul offert, je respire un grand coup :



Intérieurement, je me dis que Nathalie progresse à nouveau, j’adore ! Je grimpe sur le lit, je pose mes larges mains sur ses hanches, bien décidé à offrir à cette dévergondée la plus belle cavalcade de sa vie, avec décollage sur et dans la lune, et plus loin encore. Pour ma part, j’espère que je serai vaillant jusqu’au bout dans ce rodéo sexuel, même s’il faut que je m’en décroche la bite !



Il ne faut pas me le dire deux fois ! Sans préambule, jouant à fond le jeu, je plante mon pieu de chair dans cette chatte qui ne demandait que ça. Ça suinte, ça dégouline, ça ruisselle, dans mille bruits de succion et d’aspiration…


Oui, la meilleure façon de ne pas vieillir pour un homme, c’est le sexe, surtout avec une femme qui ne le déteste pas, et avec quelques gadgets et vêtements pour améliorer l’ordinaire !




Balade en ville



Après la divine surprise de mon retour et surtout de la nuit dantesque et peu politiquement correcte qui a suivi, j’ai décidé de monter une petite marche supplémentaire sur l’escalier de nos turpitudes. Comme ce matin, il fait beau et que nous n’avons pas renoncé à nos balades, je propose à Nathalie d’aller faire un petit tour en ville, puis au grand parc public. Bien sûr, je lui demande quelques aménagements concernant sa tenue :



Même si elle sait pertinemment qu’elle le fera quand même, elle proteste pour la forme :



Détournant la tête, elle soupire :



J’en profite pour saisir du catalogue Bricocasto qui traîne sur la table du salon, je l’ouvre à la bonne page pour le lui mettre sous le nez :



Pour couper court, je lui mets une petite claque sur les fesses :



Quelques minutes plus tard, nous montons dans la voiture, Nathalie à mes côtés et en robe verte, avec pas grand-chose en dessus, comme convenu. Quand je lui demande des trucs un peu spéciaux, elle fait presque toujours sa mijaurée, mais au final, elle le fait quand même, et ensuite, elle est contente de l’avoir accompli…


Au début, elle faisait attention, scrutant autour d’elle, puis petit à petit, elle a commencé à moins se préoccuper de l’image qu’elle pouvait renvoyer, et à présent, elle semble s’y faire. Néanmoins, parfois, elle me regarde d’un air étrange, du style « toi, tu ne perds rien pour attendre ».


Tout se passe très bien, même si je constate du coin de l’œil que certains hommes s’attardent un peu beaucoup sur les courbes de ma compagne, mais c’est bien le but recherché. Est-ce que Nathalie s’en rend compte à chaque fois ? Je ne sais pas. Alors que nous commençons à chercher un restau pour casser la croûte quelque part, au lointain, je crois distinguer la double silhouette d’un couple de ma connaissance. Je regarde mieux : non, je ne me suis pas trompé. Je m’adresse alors à Nathalie qui est accrochée à mon bras :



En effet, Odile est vêtue d’une jupette et d’un T-shirt assez fin, sous lequel on devine facilement les tétons. Cette femme a toujours eu une poitrine assez menue, ce qui l’a souvent dispensée de soutien-gorge. Je parie qu’elle ne doit pas avoir grand-chose sous la jupe, ou peut-être un string. Amand et sa compagne forment un couple assez libéré, et mine de rien, si Nathalie pouvait copier Odile, j’en serais très heureux ! Mais je ne vais pas me plaindre de ce que j’ai déjà pu réussir à faire avec ma compagne.


Armand me salue joyeusement :



Amusée par ce qu’elle voit, Odile s’approche de Nathalie :



Odile se fend d’un large sourire pour ajouter perfidement :



Laissant les deux femmes ensemble, Arnaud me demande :



Et c’est ainsi que nous nous sommes retrouvés à quatre à déjeuner près du parc. Tout se passe très bien. J’ai deux femmes sous les yeux, et ma libido aime beaucoup ce qu’elles me proposent. Parfois, je vois bien que d’autres hommes qu’Armand et moi semblent apprécier, eux aussi, les charmes de nos compagnes, mais c’est le but.


Tout en discutant de tout et de rien, nous nous baladons dans le grand parc pas loin de la mairie. Il fait beau, il fait chaud, mais pas trop. Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes. Je ne sais pas de quoi Nathalie et Odile causent, mais ce ne doit pas être de cuisine ou de tricot, car souvent, ma compagne s’exclame. Et connaissant un peu Odile, ça ne doit pas être triste…


Quand nous revenons chez nous, dans la voiture, Nathalie me confie :



Je mets les points sur les « i » :




Le soir, alors que vous sommes tous les deux au lit en train de lire, Nathalie me balance au détour d’une conversation anodine :



Nathalie outrepasse mon commentaire et poursuit :



Je la capture dans mes bras :



La serrant un peu plus contre moi, je rétorque narquoisement :



Une fois de plus, pour qu’elle n’ajoute pas d’argument, je l’embrasse voluptueusement. Quant à la suite, c’est une autre histoire… une histoire très chaude…




Communion avec les bulles



Ce jeudi après-midi, Odile et Armand sont avec nous dans le jacuzzi gonflable que j’ai acheté la veille. Tels que nous sommes placés sur la terrasse, pas de danger d’être vus des voisins. Nous sommes tous les quatre en train de profiter des bulles, et franchement, ça fait du bien. Je regrette de ne pas avoir acheté cet accessoire plus tôt.


Les femmes font face aux hommes, et comme elles sont nues, c’est très intéressant de voir leurs seins s’agiter sous le flot de bulles, un bon massage pour raffermir les lolos ! Pour varier les plaisirs, c’est Odile qui me fait face, tandis que Nathalie fait profiter de ses charmes flottants à Armand.


Eh oui, vous avez bien lu : Nathalie est nue dans le jacuzzi ! Comment est-ce possible ? Grâce à Odile qui a proposé à ma compagne d’aller avec elle d’abord dans le bain, sans vêtements, et sans les hommes dans les parages. Puis que nous, les hommes, nous les rejoignions par la suite, en tout bien tout honneur.


Après quelques tergiversations, ma compagne a accepté. Elle n’a pas échappé au fait qu’Armand ait montré furtivement sa zigounette, mais il a quand même essayé d’être sage et de ne pas trop jouer les exhibitionnistes. Odile reste modérée, je suppose que c’est pour ne pas brusquer Nathalie. Mais je la soupçonne de tenter de dévoyer ma compagne, et je ne vois aucun inconvénient à ce qu’elle le fasse !


Armand s’extasie :



Soudain, je sens un pied menu taquiner ma cuisse intérieure. Face à moi, Odile fait comme si de rien n’était, elle cause même avec sa voisine ! Oui, les femmes sont multitâches. Peu après, des orteils mutins s’amusent avec mon sexe qui ne reste pas de marbre !


Même si j’apprécie, je suis quand même inquiet, car si ma compagne découvre ce qui se trame entre mes jambes, je ne suis pas clair.


C’est justement Odile qui détourne l’attention :



Sa voisine lui répond :



Nathalie s’étonne :



Rigolard, Armand confirme :



Je me mêle à la conversation :



Pendant que nous y sommes, j’en profite pour avoir quelques éclaircissements :



Puis mon voisin s’adresse à sa femme qui me tripatouille toujours les couilles en catimini :



Odile complète l’explication :



Il rigole franchement :



Tandis que Nathalie ouvre de grands yeux, je m’exclame :



Se remettant de sa surprise, Nathalie regarde sa voisine :



Ma compagne rougit :



Je préfère reprendre la main :



Nathalie s’offusque :



C’est alors qu’Odile se relève, les mains sur les hanches, apparaissant toute nue et dégoulinante, ce qui est un spectacle très appréciable !



Et sans lui demander son avis, Odile tire ma compagne par le bras, l’obligeant à se lever. Puis elle se plaque à ses côtés enlaçant sa taille, toutes les deux face aux hommes. Deux femmes nues, mouillées, presque enlacées, c’est très joli à voir ! Mon voisin sourit béatement, et moi, je dois avoir le même visage. Odile continue :



Odile soulève carrément le sein un peu pendouillant de Nathalie, le soupesant :



Puis elle délaisse sa voisine, présentant en plateau ses deux petits seins :



J’aimerais bien, mais je n’ose pas trop, surtout avec Nathalie juste à côté. C’est alors que mon voisin se lève prestement :



Et sans attendre la moindre réponse, il capture à pleines mains les seins un peu lourds de ma compagne, qui est tellement surprise qu’elle ne réagit pas ! Du coup, je me mets à l’unisson en palpant de mes paumes la petite poitrine ferme d’Odile…




Tout le temps perdu ne se rattrape plus



Vous vous demandez bien ce qui s’est passé ensuite, n’est-ce pas ? Pour faire simple et rapide, j’ai pu palper les délicats nichons d’Odile, Armand a soupesé ceux de Nathalie. Les corps sont nus, luisants d’eau, l’atmosphère est lascive, nos invités sont très libérés, je le suis aussi, et Nathalie prenait elle aussi le même chemin…


Eh bien, ce sera l’objet d’un prochain texte, si j’ai le courage de l’écrire ! Ne me faites pas de reproches, j’ai tant de choses à faire avant la fatidique échéance…


Pour ma part, le seul reproche que je ferai est que j’ai déjà soixante-six ans. J’aurais aimé faire plein de choses, il y a trente ou quarante ans, quand j’étais dans la force de ma jeunesse avec un corps tout neuf. Mais au moins, contrairement à certaines et certains, je peux dire que j’aurais quand même bien vécu.


Avant de clore ce texte, je jette mes pensées diverses. Depuis quelques semaines, je constate le chemin parcouru par Nathalie. Comme je ne suis pas dans sa tête, et qu’elle ne me confie pas encore ses pensées les plus secrètes, je ne sais pas ce qu’elle pense réellement de tout ça. Peut-être regrette-t-elle tout ce temps perdu avec des hommes incapables de l’élever au septième ciel.


Je me dis alors que j’aurais dû tenter plus tôt ma chance avec Nathalie plutôt que de la laisser dans les mains d’incapables infoutus de la satisfaire. Mais il n’est jamais trop tard pour bien faire, n’est-ce pas ?