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n° 19265Fiche technique26954 caractères26954
Temps de lecture estimé : 16 mn
23/10/19
Résumé:  J'ai pas envie d'aller dans un magasin pour chiffrer une cuisine...
Critères:  fh grosseins entreseins cunnilingu pénétratio -occasion
Auteur : Simon Jeremy      Envoi mini-message
Une cuisine !

J’étais en pleine construction de maison. Cela faisait un an que j’étais séparé de mon ex-compagne. J’avais eu un peu de mal à me remettre de la rupture et, une fois la tête sortie de l’eau, j’ai pris la décision de reconstruire une maison tout seul. J’avais dessiné une petite maison très simple et j’avais beaucoup de travaux à faire.


J’en étais aux finitions. Je venais de finir les faïences de salle de bain et je m’attaquai à la pose du parquet dans la pièce à vivre. Comme j’y passais le plus clair de mon temps depuis plusieurs mois, mes amis avaient pris l’habitude de passer me voir régulièrement à l’improviste. Ils savaient qu’ils me trouveraient forcément là-bas. Certains venaient aider par moment, d’autres, juste boire une bière. Ça me permettait de couper un peu.


Un mardi soir vers 20 h 30, mon pote Alex est passé en rentrant du boulot pour boire un coup. Ça faisait un moment que je ne l’avais pas vu, car il était souvent déplacement. On discutait tranquillement en faisait le tour des lieux pour voir l’avancement du chantier. J’avais créé un petit salon avec des palettes dans une des chambres pour pouvoir se poser quand je recevais du monde. Il me demandait si ça avançait bien. Je lui dis que ça allait, mais que je ne m’étais toujours pas occupé de la cuisine et que ça me faisait chier de perdre une journée à faire le tour des cuisinistes.


C’est un des trucs les plus chiants dans la construction. À chaque fois, tu tombes sur des marchands de tapis qui t’annoncent des tarifs et te disent que c’est le mois anniversaire ou je ne sais pas quelle « connerie » et divisent le prix par deux, voire plus, pour te faire croire à une super affaire ! Du coup, tu es en permanence en train de négocier. Je n’avais vraiment pas envie de perdre du temps avec ça, surtout qu’il me restait quand même encore pas mal de boulot. Mais je savais que ça ne faisait que repousser le problème, car dans tous les cas, il faudrait bien que j’y passe. Alex me dit alors qu’il avait un autre copain qui avait fait changer sa cuisine et qu’il avait trouvé une boîte qui se déplaçait directement chez les gens. La qualité était vraiment pas mal et le prix top. C’était parfait, ça ! J’étais bien intéressé du coup. Il envoya un message à son pote pour avoir les coordonnées de l’entreprise. Il me dit que dès qu’il avait un retour il me passait l’info.


Le jeudi dans la matinée, je reçus le message d’Alex avec les infos. C’était « Cuisine direct », je n’en avais jamais entendu parler. Pour me rassurer, j’ai fait une petite recherche Google, vite fait, pour voir les avis. C’était assez récent comme boîte, mais les avis étaient tous bons. Du coup, entre midi et deux, j’ai appelé pour prendre rendez-vous :



Bon, c’est cool ça ! Plus besoin de courir ! Ça va me permettre de pouvoir bien avancer dans les travaux.


Le lundi suivant j’avais fini le parquet de la pièce à vivre et il ne me restait plus que les plinthes à poser. Je m’affairais à cela sans faire attention à l’heure qui tournait. Il faisait beau temps, du coup toutes les fenêtres étaient ouvertes pour aérer la maison. L’enceinte Bluetooth presque à fond, j’aime bien travailler en musique. Tant et si bien que je n’ai jamais entendu la voiture se garer dans la cour. Un peu surpris lorsque la personne a frappé à la porte qui était ouverte en me disant bonjour.



J’étais un peu surpris de la personne que j’avais en face de moi. C’était une femme de la quarantaine, assez grande, de jolies formes, brune avec les cheveux assez longs, ondulés, les yeux très clairs derrière une paire de lunettes rondes à la mode. Elle portait un jean très moulant avec un haut assez large, une petite veste et une paire de converses, aux pieds. Elle était très souriante. Je la détaillai rapidement, elle avait l’air d’avoir une très belle poitrine, mais on ne voyait pas trop, car le haut ne mettait pas du tout en valeur ceux-ci. Par contre elle avait un très joli fessier.



Elle sort donc son PC qu’elle pose à même le sol et commence un plan sur celui-ci.



On s’installe donc sur le salon.



Elle me présente tous les styles de porte, plans de travail, poignées… On regarde ensemble pour l’implantation des meubles. Le rendez-vous dure un peu plus d’une heure.



Elle range son PC, prend quelques photos et voilà le moment pour elle de partir. Je la raccompagne à la porte et lui dit au revoir. Je la regarde partir dans la cour. Elle a vraiment un joli cul. Bon allez, il faut se remettre au boulot, ça va pas se faire tout seul ! Et me voilà de retour aux affaires.


J’ai bien bossé toute la semaine. La salle de bain est finie, la première chambre aussi, la pièce à vivre a bien avancé. Nous sommes le vendredi après-midi, je suis en train de faire quelque finition à droite, à gauche. J’ai décidé de couper un peu ce week-end pour me détendre un peu. Vers 16 h, alors que je suis en train de finir le ménage du chantier, mon téléphone sonne. Tiens c’est « Cuisine direct ». Il doit lui manquer des infos.



Juste le temps de finir de ranger les derniers outils qui traînent et ça frappe à la porte.



Ça se voit qu’elle n’avait pas prévu d’aller sur un chantier. La tenue est vraiment différente de la dernière fois. Elle porte une jupe de tailleur assez serrée, bordeaux, qui s’arrête au-dessus des genoux, des collants noir opaque, un chemisier noir qui met un peu plus sa poitrine en valeur. Je me dis d’ailleurs qu’elle doit être bien servie de ce côté-là, car malgré le fait que le chemisier est noir, on a quand même l’impression qu’elle a une paire de seins assez gros. Elle porte une petite veste qui va avec la jupe et elle est posée sur une paire de talons hauts. Elle est magnifiquement excitante. Mais bon, allez, arrête de te faire des films, elle n’est pas là pour ça.



Elle va s’installer dans la chambre. Je la regarde aller. Mon Dieu le cul d’enfer que lui fait la jupe ! C’est incroyable ! Un joli cul bien rond. Pas petit, ni gros. Mais il a l’air bien ferme. Je vais dans le cellier me laver les mains et changer de t-shirt, car celui que j’ai actuellement, on ne sait même plus la couleur d’origine tellement il est sale. Je la rejoins donc. Elle a posé sa veste pour être plus à l’aise, le PC est prêt et des papiers sont sortis.



Je m’assois en face d’elle tout en regardant l’écran du PC. Je relève les yeux un court instant, tiens étrange, il me semblait bien que son chemisier était boutonné jusqu’en haut. Et là, il y a le premier bouton qui a sauté. Certainement pour se mettre à l’aise. Il n’y a rien de choquant ni de provocant. Je me dis que je me fais des idées. Bref, passons, elle est pas mal du tout, sa cuisine !



Elle me détaille tous les meubles et me présente toutes les fonctions de ceux-ci. Je ne peux pas m’empêcher de jeter un petit coup d’œil par moment sur ses jolies cuisses gainées. À chaque fois qu’elle retrouve l’écran de son ordi, elle s’avance et se recule ce qui a pour effet de faire remonter un peu sa jupe. Et le spectacle est très agréable à voir. Elle continue comme ça pendant une dizaine de minutes.



Je me lève, elle prend son ordinateur et se lève juste après moi avec un bruit de déchirement étrangement. Je me retourne. Son collant s’est pris dans un morceau de la palette et est resté coincé lorsqu’elle s’est levée. Le collant est entièrement ouvert de la mi-cuisse au mollet sur la jambe gauche.



Je vais dans la pièce à vivre en attendant qu’elle ressorte des toilettes et je m’imagine ma future cuisine à son emplacement. Ça devrait vraiment être sympa. Elle ressort des w.c., elle a enlevé complètement son collant. Elle a les jambes à nue. Elles sont assez musclées, je pense qu’elle doit aimer les séances de bronzage, car elles ont un très joli teint brun. Elle revient vers moi, on regarde ensemble le rendu final et l’on retourne dans la chambre. Je remarque qu’un autre bouton du chemisier a disparu. Je commence à me faire des idées. Lorsqu’elle se penche en avant, par moment je peux voir la naissance de ses seins, ils ont l’air vraiment gros. Ajoutez à cela l’absence de collant, la situation devient de plus en plus compliquée à gérer pour moi.



Elle sort une feuille de son sac et me la tend. Je la saisis et commence à la détailler.



Elle rigole.



Je prends le temps de bien détailler tout ça. Je signe et lui retends le devis. Lorsque je relève la tête un bouton du chemisier a encore sauté. Cette fois, ça lui fait un grand décolleté. Je peux voir la naissance de son soutien-gorge bleu. Je bloque sur ses deux monts qui me font de l’œil. Je n’arrive pas à détourner mon regard.



Ces paroles me ramènent à la raison et me permettent de décrocher mes yeux de ses boobs.



En me fixant dans les yeux, elle me dit :



Tout en défaisant encore un bouton de son chemisier.


Cette fois, je peux admirer presque entièrement son soutien-gorge. Il est bleu avec des motifs en dentelle sur le dessus. Il est très beau.



Elle se lève et finit de déboutonner son chemisier qu’elle laisse tomber au sol. Elle s’approche de moi et m’embrasse à pleine bouche en serrant la tête entre ses mains. Mes mains partent à la rencontre de son corps.


Elle s’assied à califourchon sur moi, ce qui a pour effet de relever sa jupe. Mes mains parcourent ses formes. Je caresse ses cuisses qui sont très fermes et douces, je laisse aller mes mains sur son cul magnifique. Je le caresse tendrement et en profite pour remonter complètement sa jupe sur son ventre. Je remonte mes mains pour dégrafer sur soutien-gorge. Malgré le manque d’entraînement dernièrement, je fais sauter l’agrafe du premier coup.


Elle attrape le bas de mon t-shirt, décolle sa bouche de la mienne et me le retire. Elle le jette par terre, retire son soutif et l’envoie voler aussi. Je me retrouve avec une vue exceptionnelle de ses deux obus. Ils sont énormes et se tiennent parfaitement bien. Ses tétons sont bien durs et pointent. Je prends le gauche entre mes lèvres tandis que ma main droite fait caresse son petit frère. Je lui mordille, lèche, aspire le téton avec ma bouche et le pince et le fait rouler entre mes doigts de l’autre côté. Elle a l’air d’apprécier le châtiment ! Elle lâche des petits râles lorsque je mordille ou tire un peu plus fort dessus.


D’un coup elle me repousse et se relève. Elle fait tomber sa jupe à ses pieds. Elle n’a plus que son string bleu qui va avec le soutien-gorge et ses talons hauts. Elle s’agenouille devant moi, me retire mon pantalon en prenant mon boxer en même temps. Je me retrouve la queue à l’air, bien raide, excité par tout ça. Elle me prend directement en bouche. Elle est très douée. Sa main droite suit le mouvement de sa bouche quant à sa main gauche, elle me caresse les bourses. Elle enroule sa langue le long de ma bite à chaque fois l’aspire et la déroule lorsqu’elle ressort. Par moment, elle me gobe en entier et me garde au fond de la gorge pendant un temps. Puis recommence ses va-et-vient. Par moment, elle enveloppe juste mon gland avec ses lèvres en aspirant et me branle avec sa main très énergiquement.


Autant vous dire qu’à peine cinq minutes après le début des hostilités, j’ai commencé à sentir monter la sève. Je lui signale que je vais bientôt lâcher la purée, mais plutôt qu’arrêter, elle accélère ses mouvements. Je crache tout dans sa bouche. Putain, ça fait du bien ! Elle n’en loupe pas une goutte. Elle avale tout, la goulue !


Elle me nettoie la queue en léchant pour être sûre de ne rien louper. Je la repousse, me lève, l’embrase à nouveau. Elle a encore le goût de mon sperme en bouche. J’écarte son string avec mes doigts et présente mon majeur à l’entrée de sa caverne secrète. Elle est très humide d’excitation, du coup, mon doigt est presque aspiré dans la cavité. Je fais des allers-retours dans sa chatte, retire mon doigt par moment pour jouer avec son clitoris… Je la fais s’asseoir à ma place, je m’accroupis devant elle et commence à lui lécher le minou. Elle a juste une petite bande de poil au-dessus, mais tout est bien entretenu.


Je lèche sa chatte. Elle gémit doucement par à-coups, ses mains se posent sur ma tête et me bloquent pour pas que j’arrête. Je lui introduis deux doigts et la masturbe en la dévorant. Elle mouille énormément. Elle a très bon goût, un petit peu salé, mais je me régale. Elle m’appuie de plus en plus fort sur la tête. Mes doigts la pénètrent le plus vite que je peux. Elle vient à ma rencontre par des petits mouvements du bassin. Ma langue la lèche aussi vite et fort que possible. Elle me coince en croisant ses jambes sur moi. Je sens qu’elle est à deux doigts d’exploser. Elle pousse presque des petits cris à chaque fois que mes doigts arrivent en butée. D’un coup, elle se raidit toute et pousse un énorme râle. Elle mouille tellement que j’ai le visage complément trempé. Elle jouit ! Cela dure un long moment. Ses jambes me bloquent complètement, je ne peux plus du tout bouger. Elle relâche son étreinte pour me libérer. Elle a un sourire radieux qui prouve le plaisir qu’elle vient de ressentir. Elle me repousse du pied tout en se caressant la chatte.



Je me relève donc et vais dans la salle de bain pour me rincer un peu de tout ça. Pendant que l’eau coule, je ne l’entends pas arriver derrière moi. Alors que je remonte la tête après l’avoir passée sous l’eau, elle colle contre mon dos. Je sens ses gros seins se frotter contre moi. Elle me passe une serviette que je prends pour m’essuyer. Pendant ce temps, ses mains recommencent à jouer avec ma queue. Elle la caresse. Je sens que ma vigueur est en train de revenir.



Elle se décolle de moi, entre sous la douche et l’allume en me faisant signe de la rejoindre. Je vais me coller à elle. Je la plaque contre le mur. Merci les douches italiennes assez grandes !


Nous nous embrassons sauvagement. Sa main attrape ma bite et me masturbe. Elle n’a pas encore retrouvé toute son énergie. De mon côté, je lui caresse la chatte. Elle commence déjà à remouiller. C’est impressionnant la quantité de mouille qu’elle arrive à fournir. Elle me repousse contre l’autre mur et se met à genoux devant moi. Elle prend ses seins dans les mains et vient capturer ma queue entre ses deux ballons. Elle me branle avec ses deux obus. Par moment, elle descend la tête et me met des petits coups de langue sur le gland. Il ne faut longtemps pour que je sois de nouveau très raide. Elle se relève sort de la douche et attrape une capote qu’elle avait amenée.



Elle revient me met la capote en m’embrassant. Elle se penche à mon oreille et me dit :



Ses mots me donnent le feu vert. Je la retourne, la penche en avant et la pénètre en levrette d’un coup sec. Elle pousse un cri lorsque j’arrive à la garde ! Je reste quelque seconde comme ça, le temps de trouver la bonne position. C’est elle qui déclenche le début du coït en s’avançant pour faire ressortir ma bite. De là, j’ai commencé les va-et-vient. Violemment et sans ménagement, je la pilonnais. Mes mains posées sur ses hanches pour me guider et imprimer le rythme soutenu. Elle poussait des cris à chaque fois que j’arrivais au fond. Puis j’ai passé une main devant et, pendant que je la pénétrais, mon index jouait avec son clitoris.


C’était exceptionnel ! Je prenais un pied de dingue. Elle se mordait les lèvres pour ne pas hurler, tellement j’y allais fort. D’un coup, j’ai senti ses jambes de dérober, son corps était parcouru de spasmes et elle s’est mise à hurler comme jamais je n’avais entendu. Sa jouissance a duré presque une trentaine de secondes. J’étais toujours au plus profond d’elle, mais je ne bougeais plus. Une fois ses esprits revenus, elle s’est retournée et m’a demandé de m’allonger par terre. Une fois couché sur le sol de la douche. Elle s’est installée au-dessus de moi. Elle s’est empalée sur ma queue en restant très droite. Elle a commencé a monter et descendre sur ma bite. Elle ressortait presque ma bite d’elle à chaque fois. Je voyais sa chatte s’écarter à chaque fois. Ses gros seins balançaient à chaque mouvement. J’ai attrapé ses tétons et joué avec pendant qu’elle jouait avec ma bite.



Elle s’arrêta net, enleva ma capote. Elle me demanda de me mettre debout. Elle me branla la queue le plus vite qu’elle pouvait. Elle visait ses seins. Je lâchais quatre ou cinq grands jets de sperme sur ses magnifiques meules. J’en pouvais plus. Elle se releva et m’embrassa. On s’est lavé et on a essayé de retrouver tous nos habits qui étaient un peu dispersés partout. Après avoir retrouvé une apparence un peu plus présentable, elle me dit :



Elle a récupéré toutes ses affaires, m’a embrassé et est repartie. Depuis ce jour, on se revoit régulièrement et à chaque fois, c’est intense…